Une ancienne employée de l’entreprise a montré que les lignes de code écrites par les femmes étaient plus souvent rejetées que celles écrites par des hommes. Ce que l’entreprise conteste.

Toutes les lignes de code ne se valent pas. Une ingénieure de Facebook a montré l’an dernier dans une étude interne que les programmes écrits par des femmes au sein de l’entreprise étaient plus souvent rejetés que ceux écrits par des hommes, a révélé hier le “Wall Street Journal” . L’ingénieure, qui ne travaille plus chez Facebook, affirme avoir enquêté sur la base de données collectées sur cinq années. Selon le quotidien, elle montre que les lignes de code écrites par des femmes ont une probabilité 35% plus élevée d’être rejetées. Ces lignes font en outre l’objet d’un examen plus poussé que celles écrites par des hommes, et suscitent davantage de questions lors des revues internes. Chacune des lignes de code écrite pour faire fonctionner le réseau social fait en effet l’objet d’un examen contradictoire entre développeurs.

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