Le service de DOCAPOST permet de stocker un document dans un espace « à la Dropbox » puis d’enregistrer le dépôt (via un hash du document) dans une blockchain.

La solution se veut agonistique et fonctionne avec toute la famille de blockchains, qu’elles soient publiques, privées ou de consortium.

A la base, la blockchain permet de graver dans le marbre toutes les informations (débiteur, créditeur, montant, heure et date des transactions) des échanges effectués entre les utilisateurs d’une monnaie virtuelle. Depuis, les variantes se sont multipliées pour tenter d’adapter ses principes techniques (chainage par hash entre blocks, distribution massivement parallèle du registre, etc.) à des usages qui n’étaient pas prévus initialement.

Une des options explorées est de gérer des informations en rapport avec d’autres « sous-jacents » qu’une monnaie : document, œuvre d’art, matériel et même nourriture. Ce qui pose la question de relier un élément extérieur à une blockchain.

« La souche de cette technologie est basée sur des transactions financières n’ayant aucune autre information à transporter que sa propre valeur. Dès lors que l’information transportée se rapporte à un objet externe – ici un document – alors il fallait proposer un moyen de conserver dans les règles de l’art l’objet référencé dans le registre », synthétise Olivier Senot.

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