– Favoriser la création d’un écosystème suffisamment mature pour que se développe une blockchain ouverte issue d’initiatives françaises ou européennes, alimentées par des financements publics de soutien à la recherche et au développement, sur le modèle de l’intelligence économique ;

– Envisager une adaptation du régime applicable en matière de preuve électronique et de signature numérique ;

– Évaluer l’intérêt de consacrer dans la loi le statut de tiers de confiance numérique chargé d’assurer la protection de l’identité ; des documents, des transactions et en mesure d’auditer et de certifier les protocoles « blockchains  » ;

– Mener une revue générale des normes susceptibles de conditionner l’essor de la technologie des blockchains ;

– Améliorer les services publics grâce au potentiel de certification, de reconnaissance de l’identité numérique et d’archivage des blockchains, par exemple pour favoriser la participation citoyenne (organisation de consultations locales dématérialisées et sécurisées), pour délivrer plus rapidement des titres administratifs (carte grise, carte Vitale, K Bis, numéro Siren, etc.) ou pour archiver en confiance des diplômes universitaires.

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