Un besoin d’évolution accru par des changements de comportements et d’attentes de la part des voyageurs qui semblent prendre conscience de l’impact négatif sur l’environnement de leur séjour. Les séjours de proximité et la réduction du nombre de voyages internationaux semblent être 2 tendances qui caractériseront le secteur à moyen terme. Et bien que certains acteurs du secteur trouvent un écho auprès des consommateurs pour leurs valeurs écoresponsables, la transition écologique n’est pas sans poser de problème au secteur.

 

Selon l’enquête, le Voyage est en retard sur d’autres secteurs en ce qui concerne l’engagement global envers les 17 objectifs de développement durable fixés par l’ONU pour 2030. Malgré les enjeux de compétitivité difficile d’intégrer ces objectifs au cœur des stratégies de recouvrement d’activité, d’autant plus pour des acteurs traditionnels dont le modèle est construit sur des volumes importants. L’étude rapporte ainsi que 42 % des acteurs du secteur ont déclaré être contraints de stopper le développement de produits de voyages durables en raison de la crise sanitaire. Parmi les 17 objectifs de développements durables, les acteurs du Voyage se distinguent toutefois comme de bons élèves, en affichant des taux d’engagement supérieurs à la moyenne des autres secteurs dans trois domaines : l’innovation des infrastructures, la contribution aux villes et communautés durables et la qualité des conditions de travail.

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