Monthly Archives: May 2017

How Drivers Are Finally Outfoxing Uber – Backchannel

When Ibraheem Ibraheem signed up to drive for Uber in 2014, it was as a side gig while he earned a computer science degree at New York City’s Brooklyn College. He never thought of himself as the kind of guy who, 18 months in, would be sitting across the room from Uber management, angrily telling them they were in “a race to the bottom to see who’s going to bleed out financially first.” It was June 2016, and six months earlier, the 33-year-old’s relatively easy side hustle had turned into something significantly more demanding when Uber cut fares in New York City by 15 percent. Frustrated drivers had protested outside of Uber’s offices and called for a strike on Super Bowl Sunday — but nothing had changed.

By |2017-05-30T21:42:59+00:00May 30th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Cette nuit en Asie : The Body Shop bientôt sous pavillon chinois ?

Décision attendue dans les prochains mois L'affaire est encore loin d'être conclue et plusieurs candidats sont sur les rangs. Le dernier à s'être déclaré est la société italienne de capital-investissement Investindustrial. Mais d'autres fonds sont candidats, notamment Bain Capital, BC Partners, CVC et Advent, indiquait récemment l'agence Reuters. Acquis il y a 11 ans pour 945 millions d'euros, Body Shop n'a jamais décollé au sein de L'Oréal, qui misait alors sur l'essor de la demande pour les produits à base d'ingrédients naturels. The Body Shop, qui compte plus de 3.000 boutiques dans le monde, fait désormais face une baisse de ses ventes et de ses bénéfices, ce qui a précipité la décision de la vendre. Alors que L'Oréal espérait pouvoir céder la société pour près d'un milliard d'euros, les offres seraient actuellement inférieures. Une décision est attendue dans les prochains mois.

By |2017-05-30T09:49:29+00:00May 30th, 2017|Scoop.it|0 Comments

UP Magazine – D’ici 3 ans Microsoft promet de stocker des données dans l’ADN

Aujourd’hui, nos données sont stockées essentiellement sur des supports magnétiques. Imaginons un instant qu’elles puissent être conservées dans de l’ADN, tout comme le sont les données génétiques des organismes vivants. Leur archivage serait alors illimité et tiendrait dans un volume extraordinairement restreint. C’est le pari que fait Microsoft dont les chercheurs annoncent pouvoir stocker à grande échelle nos données dans l’ADN d’ici la fin de la décennie.

By |2017-05-30T09:46:53+00:00May 30th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Tiffany Looks for a Way to Sparkle

The New York-based company certainly hopes so. The 180-year-old Tiffany in February featured the pop star in its first Super Bowl commercial to introduce its fashion jewelry Tiffany HardWear collection. The company, which will report its Q1 financial results on Wednesday, may give some sign of how the new collection has performed and give the troubled luxury retail industry another reading on how it's connecting with consumers, in particular millennials. Like many high-end retailers, Tiffany’s comparable sales have been falling. In Tiffany's case, they have declined for two straight years. A stronger US dollar that affected some tourist spending and dented translated overseas sales (which make up more than half of the company's revenue total) was only one of the factors. The company also has blamed “macroeconomic and geopolitical challenges” that have affected luxury spending. For instance, in its top and home market in the US, Tiffany has seen lower spending by both US customers and foreign tourists. The company’s New York flagship on Fifth Avenue, adjacent to the Trump Tower, saw an 11% drop in sales last fiscal year before the decline slowed to a 7% drop in Q4.

By |2017-05-27T15:21:25+00:00May 27th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Les ambitions de Paul English avec son application Lola

Alors quand le Co-fondateur de Kayak lance Lola, une application qui met en relation agents de voyage et voyageurs en amont et pendant le voyage, tous les regards sont tournés vers lui. Avec Lola, il est possible de réserver une chambre d’hôtel, un billet d’avion, une voiture ou de poser des questions. Les agents sont disponibles 24/24h et 7/7j. « Aujourd’hui, les gens aiment discuter via des applications de messagerie. C’est pourquoi Lola repose sur ce type d’échanges », a expliqué Paul English sur scène. Les 15 agents à disposition sont également joignables par téléphone. Depuis 2015, la startup a levé 43 millions de dollars. De son expérience d’entrepreneur, l’Américain a retenu notamment deux choses. D’abord, la messagerie c’est bien, à condition d’apporter un service. Deuxièmement, les gens qui voyagent beaucoup veulent un service simple et personnalisé. Interrogé par TOM, Paul English a donné quelques pistes sur la place que prendra l’intelligence artificielle dans l’application. « L’intelligence artificielle a de la valeur lorsqu’un agent est absent et pour répondre à des questions simples. Mais il n’y a rien de plus agaçant qu’un chatbot qui ne répond pas », nous a-t-il confié. De l’IA oui, mais davantage dans une optique de personnalisation donc. Une nouvelle version plus tournée vers le voyage d’affaires Sur scène, le co-fondateur de Kayak a révélé qu’une V2 de Lola serait disponible à la fin de l’été. Cette nouvelle version sera résolument tournée vers les voyageurs fréquents et le voyage d’affaires. Les utilisateurs pourront réserver des prestations sans passer par un agent. Elle s’adressera également aux professionnels « qui en ont assez de leur politique voyage et des contraintes », a-t-il déclaré. Lola s’adresse donc surtout aux PME. Onze entreprises basées à Boston (QG de Lola) ou dans ses alentours proposent déjà le service à leurs salariés. Un tournant qui permet à la startup se s’assurer des revenus plus élevés. Jusqu’ici, elle gagnait de l’argent en prenant une commission sur les réservations de certaines prestations (25 dollars sur un billet d’avion par exemple).

By |2017-05-27T15:14:36+00:00May 27th, 2017|Scoop.it|0 Comments

With 50% Faster Growth, Unilever Sees ROI of Sustainable Brands

Unilever is delivering on its sustainability promises set forth in 2010 in the Unilever Sustainable Living Plan (USLP) roadmap for accelerating growth while reducing environmental footprint and increasing positive social impact. In 2016, the company’s portfolio of ‘sustainable living brands’—defined by their contribution to one or more of the USLP targets—delivered over 60% of growth year-on-year and grew more than 50% faster than the rest of the company’s brands.

By |2017-05-27T15:09:25+00:00May 27th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Bourse: rien ne semble pouvoir arrêter la «techmania»

Le Nasdaq a touché un nouveau record historique jeudi soir. Les valorisations s’emballent. Jusqu’à quand? Selon une note Bank of America, l’exubérance autour des valeurs high-tech n’est pas encore irrationnelle, mais pose question sur la suite de la flambée du Nasdaq. Il y a de quoi avoir le vertige. Le Nasdaq a touché jeudi un nouveau record historique à 6.205 points, un peu plus de deux ans après avoir franchi le seuil psychologique des 5.000 points pour la première fois depuis 15 ans. En 2017, l'indice gagne encore 15,27% et près de 20% depuis l'élection de Donald Trump. Depuis son point bas de mars 2009 à 1.268 points, les cours ont été multiplié par près de 5 (4,9 fois). Symbole ultime de la domination des valeurs technologiques, celles-ci trustent de nouveau le Top 5 des plus grandes sociétés cotées du monde. Apple, Google, Microsoft, Amazon et Facebook pèsent ensemble 2.880 milliards de dollars, soit autant que les membres du CAC 40 et du Dax réunis ! Techmania Mais c'est quasiment toute la cote qui semble être gagnée par la folie technologique, constate Bank of America Merrill Lynch. « Si les gains de 30 % des actions Facebook et Google cette année ont contribué à la poursuite de la techmania, 84% des actions technologiques ont une performance positive ». Qu'est ce qui pourra stopper l'élan des stars de la tech américaine, s'interroge d'ailleurs Bank of America Merrill Lynch, dans une note appelée «Occupy Silicon Valley». Les auteurs, Michael Hartnett et Jared Woodard, constatent d'abord que la surperformance des valeurs de croissance américaines par rapport aux valeurs cycliques a dépassé le niveau atteint lors de la « Bulle internet » de l'an 2000. Conséquence de la combinaison d'une faible croissance, d'une faible inflation et de taux très bas, selon les analystes de BofA ML.

By |2017-05-27T15:03:32+00:00May 27th, 2017|Scoop.it|0 Comments

New Amazon bookstore looks like airport desperation pit-stop

Amazon may have finally killed the bookstore once and for all — by opening one. The online retailer has launched New York’s first Amazon Books, a glorified airport stall located on the third floor at the Shops at Columbus Circle. Upstairs from Borders’ shuttered flagship bookstore, the cramped, 4,000-square-foot space takes no cash and has no listed prices. Modal Trigger Non-Prime members pay a higher price.Getty Images You have to either scan the barcode with your phone or take the book to one of the store’s scattered kiosks. (Turns out, non-Amazon Prime members have to pay the list price, which is more expensive than buying the book at Amazon.com.) The store — Amazon’s seventh in the US — offers some 3,000 titles, all displayed face-out with a random customer review. The titles are chosen based on ratings, pre-orders, sales, popularity on Goodreads and curator assessments. None has less than four out of five stars. “It’s not a bookstore, basically,” says an unimpressed Yvonne Reid at the shop’s opening Thursday. “It’s just pick up and go,” says the 54-year-old Westchester resident who works in the mall. The store does have some variety. Genres include classic fiction, sci-fi, cookbooks and travel. There’s a robust children’s selection. Yet a laughably scant photography section had just three titles. Other head-scratching displays include “Books Kindle Readers Finish in 3 Days or Less,” where the nonfiction “Hillbilly Elegy” incongruously sits among bawdy bodice-rippers.

By |2017-05-27T15:03:12+00:00May 27th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Katy Perry et Ellen Degeneres vont animer des programmes exclusifs sur YouTube

La plateforme Youtube veut lancer une nouvelle série de contenus exclusifs pour attirer à nouveau les annonceurs qui l'ont quittée avec fracas en mars dernier. La plateforme de vidéo en ligne YouTube va produire plusieurs nouveaux programmes pour renforcer sa offre propre. Et notamment une émission spéciale avec la chanteuse Katy Perry. La filiale de Google a annoncé jeudi le lancement, "plus tard cette année", de sept nouvelles émissions, notamment Katy Perry Live Special, dans laquelle la chanteuse américaine revient sur la création de son nouvel album. Accessible gratuitement à tous les internautes Il s'agit d'une montée en puissance pour YouTube, qui concentrait jusqu'ici l'essentiel de sa production sur ses "Youtubeurs", des stars maison, rendues célèbres grâce à leurs vidéos postées sur la plateforme. Autre émission nouvelle, Ellen's Show Me More Show, avec l'animatrice de NBC Ellen DeGeneres, dont le talk-show est l'un des plus regardés aux Etats-Unis.

By |2017-05-24T18:03:52+00:00May 24th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Des banques françaises toujours à la traine pour Apple Pay

Apple Pay soufflera sa première bougie en France cette année mais le nombre de banques partenaires reste encore marginal. Point de BNP, de Société Générale, Crédit Mutuel, Crédit Agricole ou de Banque Postale. La faute à des négociations qui trainent en longueur entre Apple et des banques qui s'offusquent des termes du contrat qu'on leur impose, explique Le Monde. Le directeur d'un réseau bancaire toujours en discussion avec la Pomme la qualifie de « dernière société fermée dans le monde » au regard de « toutes sortes de clauses de confidentialité » et d'ajouter « et il faut qu’on les remercie. Ils ont le sentiment qu’ils nous apportent la civilisation et qu’ils vont nous apprendre le métier des paiements ». Un banquier (la plupart sont cités anonymement) parle de « méthodes de brigands » parce qu'Apple s'immisce entre la banque du vendeur et celle de son client lorsqu'un paiement est réalisé. Apple réclame une fraction de la commission d'interchange qui circule entre les deux banques. Une commission dont le montant a déjà été atténué et finalement plafonné par Bruxelles. Lors du lancement d'Apple Pay en France, Les Echos rapportaient qu'Apple prélevait une commission fixe de 5 centimes par transaction. Une banque perçoit en moyenne une rémunération de 10 centimes pour un achat de 50 euros ; sur de petites sommes, ce fixe d’Apple absorbe cette commission bancaire.

By |2017-05-24T18:03:44+00:00May 24th, 2017|Scoop.it|0 Comments