Monthly Archives: June 2017

About 2,100 jobs are on the chopping block as Verizon prepares to combine Yahoo and AOL for a digital advertising offensive. Yahoo’s shareholders on Thursday approved the $4.5 billion sale of its key businesses to Verizon. The deal is expected to close by Tuesday. AOL and Yahoo will cut 15 percent of the 14,000 workers they now employ, or about 2,100 jobs, said a person familiar with the matter who requested not to be identified discussing the cuts.

Destygo : startup qui met l’intelligence artificielle à disposition des entreprises en créant des assistants conversationnels intelligents pour leurs voyageurs. Insidr : entreprise qui fournit des « Insidr Packages » aux voyageurs, comprenant un guide papier ainsi qu’un smartphone doté de « real time tips » et d’autres applications dédiées à guider le voyageur et faciliter son séjour. Hellojam : disponible sur Messenger, Hellojam est le chatbot qui conseille des sorties aux jeunes selon leur budget, leur âge, leur localisation… Welkeys : une plateforme de conciergerie pour les locations Airbnb, proposant de faire le gardiennage des clés, l’accueil des voyageurs, le ménage… Wombee : un réseau social destiné aux voyageurs. Wombee permet aux globe-trotteurs de se sociabiliser avec leurs pairs dans l’établissement hôtelier où ils séjournent. BePooler : une solution de covoiturage pour les salariés d’entreprises. Handy de tink labs : un système d’exploitation mobile dédié à l’industrie Hôtelière. Tink Labs a conçu un téléphone que les hôtels peuvent mettre à disposition de leurs clients afin d’assurer l’automatisation des chambres, le guidage des voyageurs et autres fonctionnalités. Meet june : une plateforme qui met en relation les voyageurs et les habitants de leur lieux de séjour afin de leur offrir une expérience originale. Les georges : un service de networking qui offre une solution de badge connecté afin d’accéder aux profils des personnes présentes autour de soi lors d’événements. Copass : une plateforme permettant de trouver et de réserver des espaces de coworking. Oneblip : une plateforme de solutions collaboratives. Oneblip offre un service de covoiturage, de coworking et de parking sharing. Fromigo : une marketplace britannique offrant aux voyageurs un panel d’activités et d’expériences à vivre dans la ville de Londres.

L’objectif des GAFAM, c'est d’absorber le marché, de devenir eux-mêmes le marché. Aujourd'hui, si on le souhaite, l’ensemble de notre consommation peut passer uniquement par ces intermédiaires. Les GAFAM veulent devenir le lieu où se déroulent toutes les transactions, et l'intelligence artificielle peut les y aider. L'idéal-type du futur, ce serait un dispositif automatisé qui absorberait tous les dispositifs marchands de transaction. La question qui va nous être posée sera celle de la boîte noire : comment fonctionnent ces dispositifs, qui les contrôle, et où se situe la démocratie dans tout ça ? Si le capitalisme évolue encore dans les années qui viennent, Internet va suivre. Quelle est votre vision du futur du réseau ? Les GAFAM sont là pour rester. Il y a quelques années, les observateurs disaient, sans doute pour se rassurer, que Google et Facebook pouvaient mourir, qu’un concurrent pouvait émerger. Aujourd’hui, ça ne marche plus. Les GAFAM ne sont plus de simples services, mais des sociétés tentaculaires. Quand Facebook constate que les jeunes quittent le réseau, il rachète Instagram, et la concentration s’accélère. Je pense que l’équivalent est à chercher du côté de l'industrie automobile au XXIe siècle. Google a plus à voir avec General Motors qu’avec Altavista. Leur domination est partie pour durer, pour au moins des dizaines d’années. Illustration de l'étude Gafanomics par Fabernovel Le contexte définit les évolutions de l’Internet. Si on continue dans le même schéma et dans les mêmes politiques, je ne vois pas comment on pourrait sortir de la situation actuelle, si l'on considère qu’elle va à l'encontre de l’intérêt général. Le point positif est qu’il y a tout de même des discours critiques qui émergent. Des discours politiques, qui se traduisent en volonté de proposer une alternative technologique, de reprendre la main sur nos données, avec tout le travail de Framasoft en France ou de la communauté du logiciel libre. Les travaux académiques autour du digital labor constituent un autre exemple de ce mouvement : on rentre dans une période de maturité par rapport à ces réflexions. L’Internet tel qu’on le connaît a à peine 20 ans, c’est plutôt normal.

t seems that everyone these days is looking for a disruptive business model. But a business model is only one part of the equation. Equally important is the mental model behind the business model, as well as a measurement model for both. It’s the combination of mental, business, and measurement models that allows real transformation to occur. The airline industry is a cautionary tale of what happens when companies emulate new business models without bringing over the associated mental models. For over 40 years, Southwest Airlines has been a disruptive force in the airline industry, creating an entirely new category and a record 43 consecutive years of profitability. Traditional carriers like United, American, and Delta have a wide range of fares with multiclass cabins, heterogenous fleets, and hub-and-spoke routes. Southwest’s innovation was to focus on low fares with one-class cabins, homogenous fleets, and point-to-point routes.

Le groupe lance une chaîne culinaire, assortie d’un site Web et d’une application. Depuis la disparition de Cuisine+ (Groupe Canal) en juin 2015, il n'existe plus de chaîne consacrée exclusivement à la cuisine. Il n'en fallait pas plus pour convaincre Altice de surfer sur l'engouement suscité par les émissions culinaires. Le groupe du milliardaire Patrick Drahi lancera le 12 juin My Cuisine, distribuée en exclusivité par SFR. Au programme, des séries culinaires et diverses émissions pédagogiques et de divertissement, avec des chefs cuisiniers comme le Britannique Jamie Oliver et Luana Belmondo, qui animait une chronique dans « C à vous » sur France 5.

Dans sa campagne d'Italie, Vincent Bolloré n'est à ce jour pas sorti vainqueur de la bataille qu'il a livrée pour contrôler Mediaset, mais il a définitivement remporté celle pour s'emparer de Telecom Italia. Déjà premier actionnaire de l'opérateur télécoms italien avec 23,94 % de son capital et détenant depuis la dernière assemblée générale, début mai, les deux tiers des sièges au conseil d'administration, il ne lui restait plus qu'à placer un de ses fidèles lieutenants à sa tête. C'est dorénavant chose faite : Arnaud de Puyfontaine , président du directoire de Vivendi a pris jeudi la présidence exécutive de Telecom Italia en remplacement de Giuseppe Recchi qui assumera la vice-présidence, poste que le français occupait jusqu'à présent. Développer le haut débit Arnaud de Puyfontaine devra désormais agir sur plusieurs fronts. Celui du rétablissement de la santé financière de Telecom Italia amorcé depuis un an par son administrateur délégué Flavio Cattaneo, arrivé en remplacement de Marco Patuano, qui avait des divergences stratégiques avec Vivendi. L'entreprise, suite notamment à de sérieuses économies, a dégagé en 2016 un bénéfice net de 1,8 milliard d'euros, supérieur aux attentes, après une perte de 70 millions d'euros en 2015.

À travers un jeu collaboratif sur Twitch, n’importe qui peut parier sur des titres et faire fructifier ou non la somme qu'il a mise à disposition, à savoir 50.000 dollars. Interface et musique rétro, typiques des années 1980. Un ovni, "StockStream", a fait son apparition sur la plate-forme Twitch , qui permet de diffuser en temps réel des parties de jeux vidéo auprès des internautes du monde entier. La particularité de ce nouveau jeu collaboratif ? Il permet de faire fructifier ou non à la Bourse de New York les économies d'un ingénieur chez Amazon (maison-mère de Twitch). Ce dernier a mis à disposition des utilisateurs pas moins de 50.000 dollars. Tandis que les cours de Bourse et notes d'analystes défilent à l'écran, les utilisateurs de Twitch doivent voter pour acheter ou revendre une action. Toutes les cinq minutes, StockStream comptabilise les votes et exécute automatiquement la commande qui a eu le plus de succès grâce à l'application Robinhood, qui permet de miser en Bourse. Un jeu vidéo aux effets bien réels, donc.

Artificial intelligence is changing the world and doing it at breakneck speed. The promise is that intelligent machines will be able to do every task better and more cheaply than humans. Rightly or wrongly, one industry after another is falling under its spell, even though few have benefited significantly so far. Recommended for You Google Sprinkles AI on Its Spreadsheets to Automate Away Some Office Work Trump Misused MIT Research in Reasons for Ditching Climate Deal The Cryptocurrency Market Is Growing Exponentially How AI Can Keep Accelerating After Moore’s Law You Don’t Have to Major in Computer Science to Do It as a Career And that raises an interesting question: when will artificial intelligence exceed human performance? More specifically, when will a machine do your job better than you? Today, we have an answer of sorts thanks to the work of Katja Grace at the Future of Humanity Institute at the University of Oxford and a few pals. To find out, these guys asked the experts. They surveyed the world’s leading researchers in artificial intelligence by asking them when they think intelligent machines will better humans in a wide range of tasks. And many of the answers are something of a surprise. The experts that Grace and co coopted were academics and industry experts who gave papers at the International Conference on Machine Learning in July 2015 and the Neural Information Processing Systems conference in December 2015. These are two of the most important events for experts in artificial intelligence, so it’s a good bet that many of the world’s experts were on this list. Grace and co asked them all—1,634 of them—to fill in a survey about when artificial intelligence would be better and cheaper than humans at a variety of tasks. Of these experts, 352 responded. Grave and co then calculated their median responses The experts predict that AI will outperform humans in the next 10 years in tasks such as translating languages (by 2024), writing high school essays (by 2026), and driving trucks (by 2027). But many other tasks will take much longer for machines to master. AI won’t be better than humans at working in retail until 2031, able to write a bestselling book until 2049, or capable of working as a surgeon until 2053. The experts are far from infallible. They predicted that AI would be better than humans at Go by about 2027. (This was in 2015, remember.) In fact, Google’s DeepMind subsidiary has already developed an artificial intelligence capable of beating the best humans. That took two years rather than 12. It’s easy to think that this gives the lie to these predictions. The experts go on to predict a 50 percent chance that AI will be better than humans at more or less everything in about 45 years.

Victimes de l'injonction à la perfection qui plane sur la plateforme, certaines des plus grandes youtubeuses beauté françaises disent avoir oublié qui elles sont réellement. "Je suis à bout de souffle, tellement ça me stresse de faire cette vidéo. Mais je voulais vraiment vous livrer le fond de ma pensée, vous dire ce que ce que j'ai sur le coeur en ce moment, et depuis un certain temps maintenant." Assise sur son lit, Marie Lopez, alias EnjoyPhoenix, peine à cacher son émotion. Elle a pris des notes sur son ordinateur, "pour essayer de ne rien oublier". Promet malgré tout une vidéo "un peu brouillon". "Désolée de vous avoir menti" Depuis deux ans, la youtubeuse, qui est suivie par 2,8 millions de personnes, a l'impression de "mentir" à ses abonnés. "Je me perds, ce que je fais sur ma chaîne, ce n'est pas ce que j'aime."

A loss for humanity! Man succumbs to machine! If you heard about AlphaGo’s latest exploits last week — crushing the world’s best Go player and confirming that artificial intelligence had mastered the ancient Chinese board game — you may have heard the news delivered in doomsday terms. There was a certain melancholy to Ke Jie’s capitulation, to be sure. The 19-year-old Chinese prodigy declared he would never lose to an AI following AlphaGo’s earthshaking victory over Lee Se-dol last year. To see him onstage last week, nearly bent double over the Go board and fidgeting with his hair, was to see a man comprehensively put in his place. But focusing on that would miss the point. DeepMind, the Google-owned company that developed AlphaGo, isn’t attempting to crush humanity — after all, the company is made up of humans itself. AlphaGo represents a major human achievement and the takeaway shouldn’t be that AI is surpassing our abilities, but instead that AI will enhance our abilities.