Monthly Archives: June 2017

In a major storytelling and branded entertainment effort, Nestlé Molico in Brazil has produced and launched 12 short black and white documentary films with real people telling their stories. The theme presents a debate about humanity, and values frequently considered “feminine” in the modern society. The topic arose following a research study that found Brazilians consider the values of understanding, caring, listening, trusting, sheltering and sensitivity as essential to being human—today, more than ever. The series of 12 short films, “Humanity [In Me],” was produced for the CPG giant by the ASAS International Collective of Storydoers, directed by Paula Trabulsi, script by Monica Waldvogel and with Patrícia Weiss as executive producer and Branded Content Consultant. “We wanted to present authentic narratives based on humanistic stories that create value for people, thus unfolding the brand’s purpose of meeting what is really significant for its audience,” Weiss stated. “Around these 12 stories, Molico opens room for a relevant territory of conversation that affects the human being, regardless of gender, because never before it was so important to evoke the feminine values that inhabit all of us.”

When David Limp thinks about the future of Alexa, the AI assistant he oversees at Amazon, he imagines a world not unlike Star Trek—a future in which you could be anywhere, asking anything, and an ambient computer would be there to fulfill your every need. “Imagine a world in the not-so-distant future where you could have infinite computing power and infinite storage,” Limp said today at WIRED’s 2017 Business Conference in New York. “If you take off the constrains of servers and building up infrastructure, what could you do?” Limp, who has worked at Amazon since 2010 as the senior vice president for devices, sees Alexa as a critical part of this future. Already, you can shout “Hey, Alexa,” and get the assistant to tell you the weather forecast, turn off the lights, hail an Uber, or thousands of other things that Amazon and developers have trained it to do. But Limp says there’s still plenty more work to be done before we live in the AI-assisted future he thinks about every day, and much of that effort has to do with training machines to better understand humans.

L’éditorial, le futur du e-commerce ? Une prophétie qui se réalise, notamment dans le secteur du luxe dans lequel le règne du digital a permis l’avènement du lifestyle. Dans l’ère de la surabondance de produits laissant un consommateur usé et lassé, l’éditorial est le moyen de proposer une ligne directrice inspirante tout en mettant en valeur les produits dans un storytelling qui fait sens. L’éditorial est donc la solution idoine à la problématique majeure des marques de luxe sur le digital, à savoir comment recréer la magie expérientielle in-store. Sur le digital, l’expérience est projective. J’achète la panoplie d’un moi aspirationnel au comble de la hype. Le contenu fait sens, plus facilement, grâce à un équilibre entre autonomie et suggestion. Les e-retailers ont été les premiers à innover en ne manquant pas de créer des contenus floutant les frontières. Le Bon Marché vient en effet de lancer 24 Sèvres, leur e-commerce à la ligne éditoriale léchée, Farfetch nous propose son « Summer Guide », et enfin, lumière sur Semaine, un magazine e-commerce au format innovant.

Un premier Google Maps de la pollution vient de voir le jour Pour la première fois, une ville américaine mesure la pollution non seulement via des stations météo, mais aussi grâce à un système de capteurs mobiles. Un partenaire clé de ce projet n'est autre que Google : la firme de Menlo Park fournit aux chercheurs ses véhicules déjà munis de capteurs en tous genres, auxquels les scientifiques rajoutent les leurs. Il s'agit de mesurer la concentration de particules fines émanant de véhicules et de la combustion du bois et du charbon, celle de l'oxyde nitrique et du dioxyde de nitrogène.

Cette année sur le salon Innorobo, le constructeur chinois Qihan Tech présentait Sanbot, son petit robot humanoïde de 93 centimètres. Dédié à l’amélioration de l’expérience client et au renforcement de la productivité du staff, Sanbot dont le slogan est « Robotics as a service » est l’un des robots qui pourraient bien séduire les acteurs du Tourisme, tels que les hôtels et aéroports. Lennic Qian, Directeur Général des ventes internationales et du département marketing chez Qihan Tech, s’exprime sur les grands objectifs de Sanbot.

C'est fait. Carrefour a annoncé, vendredi 9 juin, la nomination d'Alexandre Bompard au poste de PDG. Le jeune patron de 44 ans, qui va quitter la Fnac, succède à Georges Plassat à la tête du groupe de grande distribution. Il reprendra les rennes du groupe, fort de 380.000 salariés, dont 116.000 en France, le 18 juillet. Davantage qu’un choix d’homme, il s’agit en réalité d’un choix de stratégie à conduire. Les grands hypermarchés (de 10.000 mètres carrés et plus) qui pèsent lourd dans le portefeuille de magasins de Carrefour sont au centre de cette décision. Les magasins où l'on trouve « tout sous le même toit » sont en effet bousculés. La feuille de route à fixer pour ce nouveau patron repose d’abord sur un état des lieux sans concessions. Nouveaux concurrents La clientèle, séduite à l’origine par l’hypermarché où elle trouvait tout à des prix bas, s’en est depuis détournée du fait de la concurrence des grandes surfaces spécialisées, de la renaissance du commerce de proximité et de l’explosion des sites internet marchands. Si les hypermarchés apportent aux consommateurs un gain de pouvoir d’achat, une gamme large et la liberté de choix, ils éliminent, en revanche, ce que proposaient les commerçants traditionnels : l’écoute et l’interaction avec les clients, la sélection des marques et la préconisation des produits les plus adaptés aux besoins. En effet, les hypermarchés privilégient la réduction des coûts et l’optimisation de la performance logistique au détriment du reste. Avec l’arrivée des hypermarchés, la taille des magasins a grandi, mais l’étendue des services offerts s’est atrophiée. Une offre plus riche sur internet À côté d’un prix bas, le besoin des consommateurs de recevoir des services plus complets reste latent. On ne s’étonne pas que ces derniers soient ouverts à toute forme de commerce nouvelle répondant à cette attente. Internet apporte en la matière une réponse bien supérieure à ce que propose l’hypermarché. D’une part, parce qu’internet offre la possibilité aux consommateurs d’éviter de se déplacer vers les points de vente. D’autre part, ce qui est plus important encore, les consommateurs trouvent de meilleurs conseils et d’aide au choix en navigant dans les différents sites marchands et les réseaux sociaux.

Dans cette nouvelle ère de l’Engagement Economy, les directeurs marketing se transforment petit à petit en directeurs de l’expérience, en charge de fournir des expériences exceptionnelles aux consommateurs tout au long de leur relation avec la marque. Aujourd’hui, les directeurs marketing doivent faire en sorte que leurs équipes soient motrices dans l’engagement client, allant au-delà de l’acquisition pour fournir plus de valeur ajoutée à chaque étape. Pour mener à bien cette nouvelle mission, les marketeurs doivent non seulement assurer un contact permanent avec les différents services, notamment les services commerciaux et support, mais également avec les autres parties prenantes (clients, prospects, employés et partenaires) afin de fournir une expérience personnalisée sur tous les canaux et à n’importe quel moment. Ces expériences doivent évoluer au fil du temps afin de répondre aux besoins toujours changeants des consommateurs et de renforcer toujours plus la relation entre marques et consommateurs. D’un point de vue technologique, les marketeurs ont ainsi tout intérêt à s’équiper d’une plateforme unifiée conçue expressément pour créer ces expériences en connectant plusieurs points d’échange disparates. La relation client constitue un élément capital de la stratégie commerciale et de communication de l’entreprise. Si le principe de l’Engagement Economy permet d’aller encore plus loin dans la satisfaction client et la personnalisation, la première étape reste bien d’éduquer les entreprises à ces nouvelles pratiques et de les inciter à repenser leurs méthodes.

Le titre a atteint un record à Wall Street. Faisant d’Alibaba la plus grosse entreprise chinoise cotée, avec une capitalisation de 360 milliards de dollars. La nuit a été fructueuse pour Jack Ma. Le patron d'Alibaba s'est enrichi de 2,8 milliards de dollars alors que le géant chinois du e-commerce tenait la vedette à la Bourse de New York. Après avoir dit attendre une croissance de 45% à 49% de ses ventes au cours de l'exercice fiscal 2017-2018, Alibaba a vu son titre s'envoler de 13,29%, pour atteindre 142,34 dollars, un record. Les investisseurs, dont les prévisions étaient plus modestes, ont salué la stratégie de diversification du groupe (dans le cloud, le divertissement, le paiement, l'international...) permettant à la plateforme Internet de lui assurer des perspectives de croissance solide, en dépit du ralentissement de la deuxième économie mondiale.

Après avoir pris le contrôle du groupe français Aldebaran , le créateur des petits robots de compagnie Pepper et Nao, le japonais Softbank Group a annoncé, ce vendredi, qu'il venait d'activer l'acquisition de Boston Dynamics et de Schaft, deux producteurs de robots et d'humanoïdes jusqu'ici détenus par Alphabet, la maison-mère de Google. Le groupe américain avait laissé entendre dés le début de 2016 qu'il cherchait, dans le cadre de son virage stratégique, à se séparer de ces entreprises initialement acquises en 2013 sous la conduite d'Andy Rubin, le créateur d'Android qui a depuis quitté ses fonctions. Plusieurs grands groupes, dont le constructeur nippon Toyota , avaient manifesté, en coulisses, ces derniers mois, un intérêt pour les machines spectaculaires de Boston Dynamics. La société née en 1992 dans l'un des laboratoires du prestigieux Massachusetts Institute of Technology (MIT) a développé, grâce notamment à des budgets de recherche de l'armée américaine, plusieurs énormes robots extrêmement agiles et puissants mimant des mouvements animaux ou humains.

Le groupe audiovisuel public, France Télévisions, avait depuis plusieurs années l'intention de marcher sur les plate-bandes de Netflix, le service SVOD américain, et ses concurrents. Delphine Ernotte, à la tête de France Télévisions, y est parvenue, non sans peine, après de difficiles discussions avec les sociétés de production. Le nouveau service sera disponible pour les Français dès le mois de septembre 2017. Mais réussir à s'imposer dans un secteur déjà bien représenté et où Netflix semble dominer risque de s'avérer compliqué. Un abonnement moins cher que celui de Netflix Le nouveau service SVOD de France Télévisions, disponible sur France.tv, le nouveau site du groupe, va jouer la carte du prix pour tenter de convaincre les Français. Le prix de l'abonnement mensuel n'a pas encore été communiqué mais il est déjà annoncé comme moins cher que le leader du secteur, Netflix. Un prix bas rendu possible par un business-model différent. Alors que Netflix et ses concurrents optent pour l'achat des droits de diffusion moyennant des sommes très élevées, le service SVOD de France Télévisions va partager une partie de ses revenus avec les sociétés de production en fonction de l'audience de leurs contenus sur la plateforme. Une manière de réduire le coût initial de la diffusion et de multiplier les titres disponibles.