Monthly Archives: July 2017

Prixtel veut révolutionner la téléphonie avec un forfait gratuit et les contraintes qui vont avec…(GED)

Le concept : il suffit de télécharger l'application (uniquement sur Android, qui représente 85 % du marché) et de créer un compte pour recevoir une carte SIM sous 5 jours. Aucune information bancaire n'est demandée. Avec Blu, pour obtenir des crédits (des « éclairs »), il faut remplir des missions : télécharger des applications, les partager, regarder des publicités en déverrouillant son téléphone... « C'est un geste qu'on fait 2 à 300 fois par jour en moyenne, c'est facile de gagner des éclairs », rapporte Karine Monsallier, porte-parole de l'équipe Blu. Il est ensuite possible de tout faire comme avec un forfait normal : téléphoner, envoyer des sms, surfer sur Internet en France ou à l'étranger... A condition de parvenir à accumuler assez de crédits. Selon les calculs de Blu, avec le visionnage des pubs, quatre applis téléchargées et 10 partagées, l'utilisateur devrait arriver à un forfait comprenant 10 Go de data ou 5 heures d'appel, les SMS illimités et 2 Go d'internet, sans dépenser un sou. Mais dans les faits, cela n'a rien d'un jeu d'enfant : le site 01net.com a fait le test , et n'est pas allé bie

By |2017-07-16T10:57:40+00:00July 16th, 2017|Scoop.it|0 Comments

My Little Paris fait du réel un média à part entière

La société des soeurs Péchiodat veut faire 20 % de ses revenus cette année dans des évènements conçus, pour des marques, comme du contenu médiatique. C'était à ses débuts, en 2008, une newsletter recensant les bonnes adresses parisiennes, pensée dans une chambre de bonne par deux soeurs, Fany et Amandine Péchiodat, avec l'illustratrice Kanako Kuno. My Little Paris est, huit ans plus tard, non seulement un groupe international de médias et commerce en ligne de 150 salariés, mais un des fers de lance de la publicité native s'adressant à quelque quatre millions de membres. Pour autant, la société à l'affût des tendances rachetée en 2013 par Aufeminin.com, une filiale de l'Allemand Axel Springer, dit en avoir senti une nouvelle. Alors que les marques ont de plus en plus de difficultés à capter l'attention de leurs clients sur les supports traditionnels (papier...) mais aussi en ligne, My Little Paris déclinera bientôt la notion de « brand content » dans l'évènementiel. C'est-à-dire en concevant des soirées, des lieux de vie éphémères ou même des ruches d'idées et de formation... Avec la même patte éditoriale que le contenu médiatique qui a fait son succès. Urban Lab Ces initiatives portant le sceau My Little Paris et drainant sa communauté sont financées par les marques qui s'y exposent et devraient représenter 20 % des revenus de la société dès 2017, contre 5 % en 2016. « Ce sont des budgets de minimum 200.000 euros (nous en préparons même un à 2 millions) et nous réussissons à générer le même type de marges que sur nos activités classiques », précise Fany Péchiodat. My Little Paris va ainsi lancer l'Urban Lab, un « laboratoire » pour « décrypter les tendances » et « imaginer des expériences de vie urbaine » qui sont aussi autant d'opportunités de poster des photos sur les réseaux sociaux. Il impulsera des projets tels que « Mona », espace de co-working et rencontres dédié aux femmes voulant entreprendre, sponsorisé par AXA, Estée Lauder et Nike. Ou encore, « New Faces », un site web d'aide aux entrepreneurs de banlieue, ainsi que « Le Garage », lieu d'expérimentation et de savoir-faire rattaché au média « lifestyle » masculin du groupe, « Merci Alfred ».

By |2017-07-16T10:55:52+00:00July 16th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Crédit Mutuel Arkéa acquiert la fintech Pumpkin pour en faire une néobanque…a quand la néo-monnaie? (GED)

Pionnier d'une stratégie ouverte de partenariats avec les jeunes pousses de la finance, Crédit Mutuel Arkéa tire désormais tous les fruits de l'écosystème qu'il a construit autour de lui pour imaginer de nouvelles offres. Le groupe doit ainsi annoncer jeudi l'acquisition pour un montant non communiqué de 80% du capital de Pumpkin, fintech à l'origine d'une solution de transfert d'argent de personne à personne . Sur la base de cette application mobile, le groupe bancaire mutualiste va lancer à la fin de l'année une néobanque pensée pour les jeunes de 16 à 28 ans. Cette cible fait rêver les banques mais les acteurs traditionnels ont du mal à s'approprier ses us et coutumes, largement commandés par le mobile. C'est une des raisons pour lesquelles Arkéa prend le contrôle de Pumpkin. « Non seulement son équipe est de très grande qualité mais son savoir-faire marketing lui permet de créer une proximité avec ses clients sans commune mesure avec les banques traditionnelles », assure Ronan Le Moal, directeur général de Crédit Mutuel Arkéa. Expérience communautaire Créée en 2014 par trois étudiants alors à l'Edhec (Hugo Sallé de Chou et Constantin Wolfrom) et à Supinfo (Victor Lennel) - qui conservent 20 % du capital-, la jeune pousse ajoute à sa solution de paiement une expérience communautaire inspirée des codes des réseaux sociaux. Les 250.000 utilisateurs peuvent ainsi associer des commentaires à leur opérations et les partager. Cette approche permet à Pumpkin de croître de façon virale : la communauté d'utilisateurs double tous les six mois moyennant des coûts d'acquisition limités à 1,5 euros par souscripteur. L'application revendique plus de 5 millions d'euros de transactions par mois avec 75% d'utilisateurs actifs recourant à Pumkin environ 4 fois par mois. « L'objectif est de développer les cas d'usages pour passer à une utilisation quatre fois par jour », précise Constantin Wolfrom.

By |2017-07-16T10:54:10+00:00July 16th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Altice-SFR emboîte le pas à Orange dans la banque

La maison mère de l’opérateur a déposé une demande d’agrément auprès de la BCE pour la création d’Altice Bank. SFR marche dans les pas d'Orange. L'opérateur télécoms, propriété de l'homme d'affaires Patrick Drahi, va prochainement lancer sa propre banque. Comme l'indique « Le Parisien », SFR a déposé une demande d'agrément auprès de la Banque centrale européenne (BCE), en vue d'obtenir une licence bancaire. Selon le quotidien, la banque devrait être lancée d'ici 2019. « Ce n'est pas le style de Patrick Drahi d'attendre trois ans pour lancer un projet, en général il est très rapide », estime quelqu'un qui connaît le tycoon des télécoms, jugeant tout à fait possible que la banque soit lancée dès cette année. En réalité, cela va beaucoup dépendre des délais de réponse de la BCE. « La banque devrait s'appeler Altice Bank. C'est le nom qu'Altice a déposé à l'INPI en octobre 2016. SFR a en effet vocation à adopter le nom Altice d'ici juin 2018. »Nous avons déposé ce nom au cas où nous voudrions à un moment ou à un autre lancer des opérations dans ce domaine », a indiqué Michel Combes, DG d'Altice, à l'AFP, tout en précisant qu' « aucune décision n'a été prise ».

By |2017-07-16T10:52:34+00:00July 16th, 2017|Scoop.it|0 Comments

TF1 sur le point d’obtenir une coupure de publicité dans ses journaux et de perdre son audience…(GED)

« C'est effectivement une demande de TF1, a expliqué un porte-parole du CSA jeudi matin. La porte n'a pas été fermée mais aucune décision n'a été prise ». TF1 n'a pas souhaité commenter. La loi autorise une chaîne à couper ses journaux avec de la publicité s'ils durent plus de 30 minutes. Mais pour pouvoir le faire, il faut le feu vert du CSA et une modification de la convention de la chaîne de télévision. Gilles Pélisson, le patron de TF1, avait expliqué l'an dernier qu'il ne s'agissait que d'un alignement sur les obligations des autres chaînes et qu'il ne couperait pas ses JT de façon intempestive car cela lui ferait perdre des téléspectateurs. Selon des études faites par la concurrence, le revenu supplémentaire généré par la chaîne pourrait atteindre 30 à 80 millions d'euros, sur un marché publicitaire télévisuel de 3,2 milliards en France. « 50 millions est une estimation raisonnable », dit un cadre du secteur. Cela peut paraître peu au regard du marché, mais ce serait potentiellement de la marge gagnée pour TF1 et perdue pour ses concurrents, disent certains d'entre eux. Or beaucoup de chaînes de la TNT sont déjà déficitaires. « Un impact de 50 millions d'euros serait supérieur au chiffre d'affaires de la grande majorité des chaînes de la TNT, » dit ce cadre. La radio et la presse pourraient être affectées puisqu'elles ont une audience qui se recoupe avec celle des JT lorsqu'il s'agit d'information. Selon nos informations, aucune étude d'impact n'a été demandée pour l'heure par le CSA et les acteurs vivant de la publicité (télévisions, radio, presse écrite) souhaitent que ce soit le cas avant que le sujet ne soit tranché. « C'est très étonnant car le CSA est généralement très sourcilleux sur ce point, » dit un professionnel en mentionnant la demande de passage de LCI au gratuit. En outre, les rivaux de TF1 craignent que cette nouvelle fenêtre attribuée à TF1 n'incite France Télévisions à revenir à la charge pour étendre ses plages publicitaires lui aussi, par exemple après son 20 heures. Le surcroît de marge de manoeuvre potentiellement donné à TF1 coïncide avec de grands espoirs de simplification de la réglementation audiovisuelle en matière de publicité formulés par les chaînes françaises suite à l'élection d'Emmanuel Macron. Les télés espèrent notamment pouvoir accueillir des bandes-annonces de films dans leurs écrans publicitaires. « Il y a une logique à libéraliser mais il faut que cela profite à tous et que ce soit fait d'une façon ordonnée », dit un acteur du secteur.

By |2017-07-16T10:51:32+00:00July 16th, 2017|Scoop.it|0 Comments

India’s Internet Is Led by Local Languages, Not English – eMarketer

It would be easy to mistake English as the online lingua franca in India, but that’s far from reality. The country is home to a strikingly high number of native languages; India’s 2001 census reported more than 1,600 dialects spoken in the country, with 22 official languages recognized by the government. While English was once the most widely used language among internet users, that’s no longer the case, according to data from KPMG in India and Google. The companies found that Indian-language internet users numbered 234 million in 2016, far more than the 175 million English-language internet users. In addition, the firms predict that the number of Indian-language internet users will grow to 536 million by 2021, far outpacing the growth rate foreseen for English-language internet users. That shift has been driven by several factors, according to the firms. Smartphones are increasingly being adopted by consumers outside of urban areas—a group less likely to speak either English or Hindi. The government is also hastening the process with plans to invest more than $350 million in increasing digital literacy in rural areas. In addition, the drop in the cost of mobile date plans has made data-intensive behaviors like watching online videos easier than ever for consumers.

By |2017-07-14T13:40:21+00:00July 14th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Mind the Gap: Why the Disconnect Between Marketing Technology and Data Hurts Customer Loyalty – eMarketer

Companies believe they know their customers well because they’ve invested so much in gathering data. But consumers still feel like brands don’t know them as well as they should. That’s because there’s still data out there that companies haven’t captured, so the consumer feels like they’re not listening. Plus, even when companies do capture information, they don’t go the last mile to leverage that data and change the customer service experience. They don’t follow through in the application of the insight that they collect because there’s not enough feedback between the data stack and the marketing technology stack. eMarketer: What’s causing this data disconnect? Are marketers investing in the wrong data tools or the wrong marketing technology? Stirrup: They’re overlooking certain pieces of data and therefore are not feeding them into their marketing technology stack. For example, our recent research shows that less than 50% of the companies we surveyed are using tools to analyze and implement social data, and that’s crucial. “Even when companies do capture information, they don’t go the last mile to leverage that data and change the customer service experience.” Also, not enough companies are operationalizing customer survey data or feedback from customer support interactions. If a customer has recurring issues with a certain product, for example, they don’t want to see email marketing related to that product. Companies don’t have technology in place to analyze unstructured feedback. That data is in a separate silo, and it’s a missed opportunity.

By |2017-07-14T13:31:59+00:00July 14th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Las Vegas veut devenir l’une des principales smart cities du monde

http://www.tom.travel/2017/07/12/las-vegas-veut-devenir-lune-principales-smart-cities-monde/ Las Vegas, dont les réseaux et systèmes téléphoniques sont fournis par Cisco, souhaite devenir l’une des principales smart cities du globe en renforçant son partenariat avec l’entreprise d’informatique américaine. Pour entamer son plan d’innovation, la maire Carolyn Goodman n’a pas choisi Cisco par hasard. L’entreprise américaine s’est progressivement spécialisée dans la transformation technologique des villes, notamment grâce à sa plateforme digitale Smart+Connected. Les villes de Kansas City, Copenhague ou encore Paris bénéficient déjà du programme déployé par Cisco, visant à créer des agglomérations plus connectées, sécurisées, modernes et économiquement intelligentes. Las Vegas rejoindra donc ce panel de grandes villes avec pour objectif d’améliorer l’expérience et le mode de vie des 42 millions de touristes annuels et des 2,2 millions d’habitants de la Vallée. La ville intègrera des caméras connectées, des capteurs et des systèmes de collecte de données afin de rentrer dans l’ère de la digitalisation. Sécurité avant tout Les solutions de Cisco sont actuellement testées dans le département de l’innovation de Las Vegas, un « digital playground » prévu pour expérimenter les dispositifs en toute sécurité, avant même de les déployer dans toute la ville. Pour Michael Sherwood, CIO de la ville de Las Vegas, la sécurité est sans aucun doute leur priorité numéro un. Lancé en mars 2016, le parc d’innovation de la métropole du Nevada représente la toute première étape de la transformation digitale de la ville et est désormais le terrain de toutes les expériences.

By |2017-07-14T13:28:25+00:00July 14th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Au Revoir, Colette Paris: The End of an Era

In a shock to the world of fashion, renowned Parisian boutique Colette will close its doors in December. The shuttering of the cult icon of haute cool, which just celebrated its 20th anniversary, signals the end of an era. “As all good things must come to an end, after 20 wonderful years, Colette should be closing its doors on December 20 of this year,” the retailer said in a statement. “Colette Roussaux has reached the time when she would like to take her time; and Colette cannot exist without Colette.” Founded in 1997 by Colette Roussaux and later run with her daughter Sarah Andelman, who lived above the store, Andelman shared the news in a post on Colette’s social media channels, with the dates 1997 and 2017 in the two circles that make up its logo. Colette is arguably the original doyenne of luxury fashion with an edgy street aesthetic and the original purveyor of the pop-up store concept. “We started to work with people like Virgil [Abloh] before he started Off White, as well as OAMC’s Luke Meier when he came from Supreme, and with the whole wave of designers like Hood By Air,” Andelman told The Business of Fashion last year. “At a certain point it didn’t make sense to have them on the ground floor anymore, so they went up with the designers.” The three-story, 8,000-square-foot space Rue Saint-Honoré sells wares from niche film camera to souvenirs and T-shirts, jewelry and toys. Its exclusive high-low collaborations have led to unique products, independent magazines and the fashion incarnation of the Apple Watch, with curated music soundtracks another signature element of its retail mix. “It’s the only shop where I go because they have things no one else has,” Karl Lagerfeld told BoF last year. “I buy watches, telephones, jewellery there — everything really! They have invented a formula that you can’t copy easily, because there is only one Colette, and her and Sarah are 200 percent involved.”

By |2017-07-14T13:23:23+00:00July 14th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Biométrie, puces RFID : l’inquiétant futur de l’identification

Minority Report, Ubik, Bienvenue à Gattaca... La science-fiction regorge de scénarios fondés sur l'usage abusif de technologies d'identification, comme la biométrie ou la reconnaissance faciale. Pour les auteurs, le futur est angoissant : un monde dans lequel chaque citoyen est traqué, tracé, identifié et reconnu, par son frigo autant que par les services de police. Faut-il en conclure que l'anonymat et la vie privée sont voués à disparaître ? En 2017, nous n'en sommes pas encore là. Mais la biométrie prend déjà de l'ampleur, via notamment les lecteurs d'empreintes digitales sur smartphone. En Suède, des employés acceptent l'implatation d'une puce sous la peau pour être reconnus à l'entrée des bâtiments. En Inde, 1,133 milliard d'individus sont fichés dans la plus grande base de données biométriques au monde. Et en France, le fichier TES est appelé à centraliser les données biométriques de tous les Français. Dans quelques décennies, des acteurs privés pourront-ils ficher ainsi leurs clients ? C'est pour éviter ce scénario catastrophe que certains organisent la résistance, notamment en créant des vêtements ou des accessoires pour contrer les caméras de surveillance.

By |2017-07-14T13:21:52+00:00July 14th, 2017|Scoop.it|0 Comments