Monthly Archives: July 2017

Le Boncoin va lancer un système de paiement en 2018

Le Boncoin va "donc développer des moyens vraiment faciles de paiement pour des dizaines de millions de personnes, poursuit Antoine Jouteau. Les univers ciblés seront les locations de vacances, tout ce qui est bien de consommation et pourquoi pas, demain, la voiture." Pour l'heure, Le Boncoin n'a pas décidé s'il allait prélever une commission sur les transactions. "Le modèle n'est pas arrêté, dit Antoine Jouteau. Le transactionnel, c'est un nouveau modèle pour nous : on vient sur le terrain des e-commerçants, donc on est attendu." Plusieurs mesures fiscales, touchant l'économie collaborative, vont entrer en vigueur prochainement. Les utilisateurs du Boncoin ne seront pas épargnés. "Cela va avoir un impact sur les français et cela va être difficile pour eux car on va leur demander de déclarer leurs revenus sur ces plate-formes, estime Antoine Jouteau. Ce que l'on souhaite, c'est qu'il y ait une équité fiscale entre les acteurs français européens, et américains. On espère que tous vont appliquer scrupuleusement cette loi. Si les plate-formes françaises devaient subir une concurrence déloyale, elles mèneraient des actions. On est assez confiant, puisque les autorités nous ont promis que la loi s'appliquerait à tous, mais on sera vigilant."

By |2017-07-10T20:38:18+00:00July 10th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Wanup lance le Loyalty Centre, une plateforme d’information pour les hôteliers

http://www.tom.travel/2017/07/10/wanup-lance-loyalty-centre-plateforme-dinformation-hoteliers/ Wanup vient d’annoncer le lancement du Loyalty Centre, une plateforme en ligne dédiée à la formation des professionnels de l’hôtellerie. Les partenaires du programme de fidélité hôtelière de Wanup ont désormais accès à du contenu ludique et informationnel spécialement édité par l’équipe internationale de Wanup et servant d’accompagnement pour les professionnels du secteur. Des vidéos pratiques, retours d’expérience, rapports et actualités sur le secteur sont ainsi mis à disposition des réceptionnistes et des managers souhaitant être au fait des dernières pratiques en termes de marketing et des nouvelles tendances en matière de fidélisation. « Notre objectif est d’accompagner la profession dans son évolution, au travers d’une plateforme moderne et adaptée aux attentes des hôteliers, déclare Patrice Florentiny, Regional Manager France & Suisse chez Wanup, dans un communiqué. Conçu comme un espace d’échange personnalisable, le Loyalty Centre a pour ambition de devenir un outil indispensable pour tous les professionnels du secteur ». Disponible en plusieurs langues, le Loyalty Centre s’adapte à tous les marchés et s’inscrit donc dans la volonté de Wanup de rassembler le monde hôtelier autour de son programme. « Nous croyons en l’économie collaborative et à son potentiel. Nous souhaitons ainsi fédérer une communauté d’hôteliers où chacun apporte sa pierre à l’édifice. Nous voulons établir un échange de bons procédés dont l’objectif sera d’optimiser le développement business de chacun», conclut Patrice Florentiny.

By |2017-07-10T20:35:31+00:00July 10th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Pierre Coppey, Vinci : « Le numérique est en train de révolutionner de fond en comble toutes nos activités » | Petit Web

Nous en avons choisi quatre : le véhicule autonome - qui concerne toutes les composantes du groupe, d'Eurovia [constructeur d'infrastructures routières] à Vinci Energies, en passant évidemment par Vinci Autoroutes ; l'impact des événements climatiques sur nos métiers ; les RH à l'horizon 2030 ; et l'impact de la digitalisation de la construction, des plans jusqu'à la maintenance des ouvrages. Dans notre mécanique de veille, nous avons le souci de ne pas générer des informations supplémentaires, mais de capter les centres d'intérêt de nos collaborateurs, pour les amener sur des sujets de long terme, auxquels ils ne sont pas confrontés au quotidien. Ensuite, nous lancerons des appels à projets autour de certaines verticales.

By |2017-07-10T14:35:24+00:00July 10th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Fabrice Dumans, Tymio : « Tous ceux qui prédisent la mort de l’e-mail se trompent » | Petit Web

J'avais en tête le sujet de l'e-mail depuis pas mal de temps : en regardant sa boîte mail, on se dit souvent qu'on n'en arrivera jamais à bout. On souffre tous de l'e-mail, mais en même temps, on en envoie plein. On a le sentiment que l'on doit répondre super vite à tout, ce qui a une incidence profonde sur la qualité de la communication : finalement, on préfère répondre vite que de manière précise. - Vous n'êtes pas les seuls à vouloir vous attaquer au sujet... Tous ceux qui prédisent la mort de l'email se trompent. Slack, par exemple, se présentait au départ comme un "e-mail killer" : aujourd'hui, il n'y a plus aucune référence à cette promesse sur leur site. Promettre de tuer l'e-mail, c'est facile. Le mal est tellement profond que c'est une promesse qui touche tout le monde, mais la tenir est impossible. Nous aurons toujours besoin d'un outil de communication asynchrone. Il faut résoudre le problème de l'e-mail dans l'e-mail, c'est à dire dans le protocole. Mais la technologie est devenue trop grosse pour que le protocole évolue, il y a trop d'acteurs impliqués. - En France, le concept de "droit à la déconnexion" doit bien vous aider... Nous allons accélérer ici, car ce sujet a le mérite de pointer du doigt le problème que nous voulons résoudre. L'e-mail est la convergence de toute la communication en entreprise. Il entraîne une course à la vitesse, qui créé des effets néfastes à plein de niveau : le stress, la distraction, l'interruption. Comme les métiers sont de plus en plus collaboratifs, il est devenu difficile de ne regarder ses e-mails que deux fois par jour. - Comment comptez-vous faire pour améliorer la situation ? Certains groupes ont mis en place des chartes de l'e-mail, compliquées à faire respecter. D'autres coupent les serveurs à 18h, ce qui est un non-sens. Plutôt que d'aller dans des extrêmes, il faut responsabiliser les gens, leur faire prendre conscience qu'envoyer un e-mail, c'est prendre du temps à quelqu'un. Notre idée est donc de responsabiliser l'émetteur, en lui demandant de déterminer au moment de l'envoi si son e-mail attend une réponse ou une action, et si oui, pour quand. Nous commençons par une première étape : mieux rééquilibrer le rapport entre émetteur et récepteur. On ne va pas remplacer l'email, on lui ajoute une fonctionnalité.

By |2017-07-10T14:35:19+00:00July 10th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Ebullition dans les paiements, fusion à plusieurs milliards en vue

Le monde du paiement est décidément en pleine ébullition. Une, voire plusieurs, fusions, se profilent entre des acteurs majeurs des systèmes de paiement en ligne : le britannique Worldpay a révélé ce mardi avoir été approché en vue d'un rachat par l'américain Vantiv Inc et JPMorgan Chase Bank. L'action WorldPay a flambé ce mardi à la Bourse de Londres (+27,7%), portant sa capitalisation à 8 milliards de livres, soit 9,1 milliards d'euros. La nouvelle a soutenu toutes les valeurs du secteur, notamment son concurrent français Worldline (+3,5%), contrôlé par Atos Origin, qui avait essayé de mettre la main sur Worldpay en 2010, ou encore l'allemand Wirecard (+7%). A l'été 2015, c'est un autre français, Ingenico (+3,7% ce mardi), qui avait tenté sans succès, de racheter Worldpay. Gemalto a aussi gagné 3,15%. Le 1er juillet, c'était le danois Nets A/S qui avait confirmé aux investisseurs qu'il avait été approché et évaluait ses options (+10,9% lundi, +2,7% mardi). Le numéro un scandinave des paiements, fondé par des banques de la région, a été introduit à la Bourse de Copenhague en septembre dernier par ses actionnaires, les fonds de private equity Advent International et Bain Capital. Il est valorisé plus de 4 milliards d'euros. Le secteur est à la fois très lucratif et en pleine recomposition : les acteurs traditionnels issus du traitement des paiements par carte et ayant basculé sur le numérique, sont concurrencés par de nouveaux acteurs 100% digitaux tels que la licorne néerlandaise Adyen ou la startup américaine Stripe.

By |2017-07-10T14:35:12+00:00July 10th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Aéroports : le patron d’Air France veut des « mesures d’urgence »

Les voyageurs qui pestent en raison de temps d'attente interminables dans les aéroports parisiens ont désormais un soutien de poids : le PDG d' Air France-KLM, Jean-Marc Janaillac. « Il y a des mesures urgentes à prendre de la part des pouvoirs publics », par exemple « en termes d'acceptation de nouveaux matériels qui permettraient la reconnaissance faciale des personnes, comme ce qui existe à Londres ou à Amsterdam, par exemple », a-t-il déclaré dimanche à Reuters. Jean-Marc Janaillac, qui a évoqué des temps d'attente « très très importants » - parfois plus d'une heure et demie à Roissy, voire plus de deux heures à Orly - a également appelé à l'affectation d'un « plus grand nombre de fonctionnaires de la police de l'air et des frontières » ainsi que « peut-être, pour certaines destinations, un allégement des [procédures] totalement rigides de consultation ou de vérification des passeports ». Contrôles renforcés Ce problème ne vaut pas pour les seuls aéroports parisiens. Depuis le 7 avril, tous les Etats de l'Union européenne ont l'obligation de procéder à des contrôles renforcés de tous les passagers, y compris les ressortissants de l'UE. Jusqu'à présent, seuls les ressortissants des pays hors UE étaient soumis à un tel traitement. Or, si cette obligation ne change rien pour les grands aéroports français, où les contrôles renforcés sont déjà pratiqués, leur généralisation s'annonçait problématique pour les aéroports régionaux . Par ailleurs, le PDG d'Air France-KLM a confirmé la poursuite de l'amélioration de l'activité du groupe aérien. « La fréquentation, comme pour toutes les compagnies, est effectivement dynamique en ce moment », a-t-il observé. « Il y a une tendance au deuxième trimestre qui est positive », a-t-il ajouté, alors qu'Air France-KLM doit publier ce lundi les chiffres du trafic de juin.

By |2017-07-10T14:23:43+00:00July 10th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Les stars de la high-tech affolent Wall Street

Le Nasdaq, au plus haut historique, gagne 15 % en 2017. Mais plusieurs signaux montrent que le marché de la technologie n'est pas loin de la bulle. Il y a de quoi avoir le vertige. Le Nasdaq américain a inscrit vendredi un nouveau record historique à 6.210 points, son 30e cette année. Depuis son point bas de mars 2009 à 1.268 points, les cours ont été multipliés par près de 5, alors que l'indice gagne encore plus de 15 % en 2017. Symbole de la domination des valeurs technologiques, celles-ci trustent le Top 5 des plus grandes sociétés cotées du monde. Apple, Google, Microsoft, Amazon et Facebook pèsent ensemble 2.930 milliards de dollars, soit plus que les membres du CAC 40 et du DAX réunis ! Mais c'est quasiment toute la cote qui semble être gagnée par la folie technologique, constate Bank of America-Merrill Lynch. « Si les gains de 30 % des actions Facebook et Google cette année ont contribué à la poursuite de la "techmania", 84 % des actions technologiques ont une performance positive. » « Qu'est ce qui pourra stopper l'élan des stars de la tech ? » s'interroge Bank of America-Merrill Lynch. Les analystes Michael Hartnett et Jared Woodard constatent d'abord la surperformance des valeurs de croissance américaines (en premier lieu les valeurs high-tech) par rapport aux valeurs cycliques. Elle a dépassé le niveau atteint lors de la bulle Internet de l'an 2000. Conséquence de la combinaison d'une faible croissance, d'une faible inflation et de taux très bas, selon BofAML. Pour savoir si la flambée du Nasdaq va se poursuivre, ceux-ci ne se tournent pas vers les astres, mais interrogent plutôt dans un clin d'oeil Alexa, l'assistant vocal intelligent d'Amazon : « Alexa, la bulle high-tech va-t-elle se reproduire ? »

By |2017-07-09T17:08:54+00:00July 9th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Avec l’HomePod, Apple se lance sur le marché des enceintes connectées

Cette année, la conférence des développeurs d’Apple ne s’est pas limitée aux logiciels. Commencer une conférence informatique en montrant un gigantesque bug : il fallait l'oser, Apple l'a fait. En ouverture de sa confé­rence annuelle pour les développeurs (WWDC), lundi à San Jose (Californie), le groupe a projeté une vidéo hilarante montrant un monde où toutes les applications de la firme à la pomme auraient disparu : plus de GPS, de sites de rencontres, de jeux... Et un message simple : « Continuez à développer des applications, le monde a besoin de vous ! » Un gag qui a permis à Tim Cook, le PDG d'Apple, d'entrer sur scène sous les applaudissements de près de 5.000 créateurs d'applications, venus découvrir les prochaines évolutions des systèmes d'exploitation de l'iPhone, des Mac et des autres produits de la firme de Cupertino. « Réinventer la musique » Mais, pour la première fois depuis 2013, le grand rendez-vous annuel des développeurs ne s'est pas limité aux logiciels. Il a même été marqué par le ­lancement d'un tout nouveau produit signé Apple : une enceinte connectée appelée HomePod. Avec cet objet arrondi, aux ­formes douces, « Apple va réinventer la musique - de nouveau », a affirmé Tim Cook. Car, au-delà d'une qualité sonore qui sera bien sûr « amazing » (dixit Apple), HomePod se pilotera entièrement à la voix et donnera accès à de nombreux services. Objectif : concurrencer Amazon sur le marché très convoité des assistants vocaux personnels.

By |2017-07-09T17:08:49+00:00July 9th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Travail : les salariés se plaignent de faire beaucoup trop de réunions

Trois salariés sur quatre disent ne pas pouvoir décliner les invitations aux réunions. Pourtant, 52% d’entre elles seulement sont jugées productives. La réunion de travail est-elle le nouveau mal du siècle ? En tout cas, les salariés ne sont pas loin de le penser. Selon une enquête réalisée par OpinionWay du 3 au 19 avril 2017 auprès de 1.012 salariés d'entreprises de 500 salariés et plus (méthode des quotas) dans des secteurs économiques variés, les répondants passent en moyenne 4,5 heures par semaine en réunion, soit 3,4 semaines par an, et plus du double (6,2 semaines) pour les cadres ! Mais à peine plus de la moitié (52%) de ces réunions sont considérées comme productives. Environ 18% des salariés déplorent qu'il n'y ait "pas d'ordre du jour" ou "d'objectif clairement défini", et 26% ne voient pas la nécessité de leur présence à ces réunions. Pourtant, 75% des mêmes répondants déclarent ne pas avoir la possibilité de décliner l'invitation et ne pas y participer.

By |2017-07-09T17:08:42+00:00July 9th, 2017|Scoop.it|0 Comments