Le groupe de Cupertino semble avoir bien réfléchi à ce qu’il allait partager : le mapping du visage n’est pas complet, donc théoriquement, il est impossible pour le développeur tiers de reproduire le visage de l’utilisateur. De même, les données du scanner facial ne peuvent ni être utilisées pour de la publicité, ni revendues, ni permettre d’identifier l’individu dans le cadre d’applications censées être utilisées anonymement.
Si Apple met en avant qu’il surveillera de près les développeurs et les applications, l’inquiétude monte. Apple doit, avant de bannir un développeur, découvrir que l’usage fait des données récoltées ne respecte pas les conditions d’utilisation, ce qui peut prendre du temps. Sans compter les risques de piratage chez les développeurs tiers.
Surtout, les spécialistes estiment que la possibilité d’utiliser le mapping facial et les expressions du visage pour mieux cibler les publicités en fonction des réactions des utilisateurs pourrait constituer une violation de la vie privée. La tentation est grande pour les publicitaires, même si Apple interdit dans ses accords d’utiliser ces données de la sorte.
Sourced through Scoop.it from: www.clubic.com
Leave A Comment