Monthly Archives: December 2017

UP Magazine – Une intelligence artificielle construit une autre IA qui surpasse tout ce qui est fait par les humains

Le projet AutoML de Google, conçu pour permettre à l'IA de construire d'autres IA, a maintenant mis au point un système de vision par ordinateur qui surpasse largement les modèles les plus avancés. Le projet pourrait améliorer la façon dont les véhicules autonomes et les robots IA de la prochaine génération "voient". En mai 2017, des chercheurs de Google Brain ont annoncé la création d'AutoML, une intelligence artificielle capable de générer ses propres IA. Plus récemment, ils ont décidé de présenter à AutoML son plus grand défi à ce jour : l'IA a créé un "enfant" qui a surclassé tous ses homologues humains. Une IA qui peut construire une IA Les chercheurs de Google ont automatisé la conception de modèles d'apprentissage automatique à l'aide d'une approche appelée apprentissage par renforcement. AutoML agit comme un réseau de contrôleurs neuronaux qui développe un réseau d'IA enfant pour une tâche spécifique. Pour cet enfant en particulier, que les chercheurs ont appelé NASNet, la tâche consistait à reconnaître des objets - personnes, voitures, feux de circulation, sacs à main, sacs à dos, etc. - dans une vidéo en temps réel. AutoML évaluerait la performance de son enfant NASNet et utiliserait cette information pour améliorer l’IA de son rejeton, répétant le processus des milliers de fois. Lorsqu'il a été testé sur les ensembles de données de classification d'images et de détection d'objets, que les chercheurs de Google appellent "deux des ensembles de données académiques à grande échelle les plus respectés en vision par ordinateur", NASNet a surpassé tous les autres systèmes de vision par ordinateur. Un regard sur l'avenir L'apprentissage machine est ce qui donne à de nombreux systèmes d'intelligence artificielle leur capacité d’exécuter des tâches spécifiques. Bien que le concept sous-jacent soit assez simple - un algorithme apprend en recevant un nombre considérable de données - le processus demande énormément de temps et d'efforts. En automatisant le processus de création de systèmes d'intelligence artificielle précis et efficaces, une IA capable de construire elle-même des systèmes d'intelligence artificielle prend en charge le plus gros du travail. En fin de compte, cela signifie qu'AutoML pourrait ouvrir le domaine de l'apprentissage machine et de l'IA aux non-experts. En ce qui concerne NASNet en particulier, des algorithmes de vision artificielle précis et efficaces sont très recherchés en raison du nombre d'applications potentielles. Ils pourraient être utilisés pour créer des robots sophistiqués gérés par l'intelligence artificielle ou pour aider les malvoyants à recouvrer la vue. Ils pourraient également aider les concepteurs à améliorer les technologies d'auto-conduite des véhicules. Plus vite un véhicule autonome reconnaîtra les objets sur son chemin, plus vite il réagira à ces objets, ce qui augmentera la sécurité de ces véhicules.

By |2017-12-11T22:44:56+00:00December 11th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Inside Baidu’s Bid to Lead the AI Revolution | Backchannel

I traveled to Beijing to chronicle this tenuous moment in Baidu’s history. At 18 years old, Baidu has built the country’s dominant search engine, a business substantial enough to make it one of the most important tech companies in all of China. And yet: It’s hard to be a Chinese search company in 2017, when Chinese people increasingly navigate the web through apps, not via a browser. As WeChat and Alibaba deftly transformed their companies to suit mobile, Baidu missed this shift. It has been struggling to catch up ever since. To ascend to future dominance, Baidu needs to find a new way to grow—and fast. Fortunately, the world has provided Li with just such an opportunity: “the era of artificial intelligence,” he tells me. Li is betting Baidu’s future on the promise that he can own the future of artificial intelligence, in Asia and beyond. So far, North American companies have been earlier to invest in AI, and first to introduce both the new technologies and the resulting products. Many of AI’s most forward-thinking researchers are in Silicon Valley or Canada. The large US tech companies were first with everything from the technologies that will enable self-driving cars to smart speakers such as Google Home and Amazon Echo. But Li has reasons for thinking that there are advantages for a company trying to stake claim to AI in Asia—even as an underdog. It’s still not clear how artificial intelligence will reshape our lives, but it is clear that the change is coming. And those best positioned to deliver that change—and reap the spoils it will inevitably introduce—are those that master and advance the underlying technology. That’s where Baidu is competitive. Like America’s Big Five, Baidu has substantial computing brawn, a suite of AI-powered services called Baidu Brain, and a fast-improving voice assistant platform called DuerOS. “We are one of the few companies who have the capability to develop this type of technology,” says Li.

By |2017-12-11T22:44:35+00:00December 11th, 2017|Scoop.it|0 Comments

#Delivery : Le groupe Monoprix investit dans epicery pour accélérer son développement national – Maddyness

La startup de livraison de produits des commerçants de bouche locaux epicery pourra non seulement livrer les produits bio de Monoprix et Naturalia mais aussi s’appuyer sur le réseau et l’expertise logistique du groupe en région pour déployer son service à l’échelle nationale. C’est un tournant pour epicery. La startup spécialisée dans la livraison de produits provenant de commerçants de bouche locaux annonce ce jeudi avoir signé un partenariat stratégique avec le groupe Monoprix. Cela permet à la jeune pousse d’enrichir son catalogue avec une sélection de produits bio des magasins Monoprix mais aussi Naturalia, filiale du groupe Monoprix. “Ce partenariat s’inscrit dans la tendance actuelle qui rapproche les acteurs de l’e-commerce alimentaire des réseaux traditionnels de distribution“, se réjouit Édouard Morhange, président d’epicery. Il s’accompagne d’une prise de participation minoritaire de Monoprix au capital d’epicery, dont le montant n’a pas été dévoilé. Mais ce partenariat sera aussi l’occasion de passer un nouveau cap pour la startup, celui de l’exentesion de son service à l’ensemble du territoire français. La jeune pousse annonce ainsi son intention de le déployer “courant 2018” au niveau national, en s’appuyant évidemment sur le réseau de distribution de son nouveau partenaire. Fort d’une présence dans 250 villes françaises et d’un service qui assure 2,3 millions de livraisons à domicile par an, Monoprix constitue un allié précieux pour epicery, qui profitera de son expertise logistique en plus de la force de sa marque. Fondé en 2016 par Elsa Hermal et Edouard Morhange avec l’appui de Marc Ménasé, Epicery fonctionne aujourd’hui comme une marketplace : le consommateur commande directement via la plateforme et se fait livrer dans l’heure comme dans les trois jours à venir, à sa convenance. La jeune pousse, qui bouclait un tour de table de 700 000 euros en octobre 2016, revendique à ce jour près de 300 commerces partenaires, à paris et Lyon.

By |2017-12-11T22:44:16+00:00December 11th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Nicolas sort ses appellations incontrôlables de vins

L’étiquette ou le packaging dans tous les univers sont incontournables, pourvu qu’ils ne soient pas galvaudés. Mais dans celui du vin, l’étiquette en particulier joue un rôle primordial, non seulement pour son esthétique mais aussi parce que sur une bouteille, elle est le seul endroit où l’on peut délivrer des informations. Notamment celles sur l’origine du vin contenu. Un peu comme un sceau garant de qualité et de savoir faire. C’est dire si l’enjeu est de taille pour séduire le consommateur. Pas une marque qui ne s’en préoccupe pas avec le plus grand sérieux, à l’instar de Nicolas. Pourtant à l’occasion du 6 décembre, jour de son saint patron, le distributeur sélectif, a pris des libertés avec ces fameuses étiquettes. Lancée avec Rapp France, cette opération exceptionnelle propose aux amateurs de vin de générer des étiquettes à la fois aléatoires et personnalisée, donnant naissance à des « Appellations Incontrôlables ». Une étiqueteuse qui colle à l’histoire de l’amateur Il suffit à l’utilisateur d’indiquer quelques-unes de ses informations ou celles d’un.e proche comme ses nom, prénom, date et lieu de naissance, et le générateur d’étiquettes digital conçoit aussitôt une étiquette originale en l’agrémentant de quelques détails supplémentaires plus fantaisistes. Une « Appellation Incontrôlable » qui peut tout aussi bien être imprimée pour être collée sur une bouteille destinée à être offerte, et être partagée sur les réseaux sociaux personnels ou de la marque, donnant droit même, pour les plus chanceux, à des cartes cadeaux. L’occasion pour cette dernière d’élargir son panel de clients en créant de la connivence via le divertissement ou la créativité et de l’engagement via leur histoire et un échange de proximité. Mais pas seulement car ce service ludique sert aussi la marque en lui permettant de proposer une bonne idée de cadeau inattendu donc de créer du trafic en magasin ou sur son e-site, de confirmer l’attention portée à ses clients et de prendre la parole différemment dans une période assez chargée. Et surtout d'avoir fait preuve d'originalité en n'ayant pas succomber à l'exploitation de l'Avent qui inspire tant de marques mais qui risque de lasser à force d'être surutilisé.

By |2017-12-11T22:43:07+00:00December 11th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Google Is Giving Away AI That Can Build Your Genome Sequence

On Monday, Google released a tool called DeepVariant that uses deep learning—the machine learning technique that now dominates AI—to assemble full human genomes. Modeled loosely on the networks of neurons in the human brain, these massive mathematical models have learned how to do things like identify faces posted to your Facebook news feed, transcribe your inane requests to Siri, and even fight internet trolls. And now, engineers at Google Brain and Verily (Alphabet’s life sciences spin-off) have taught one to take raw sequencing data and line up the billions of As, Ts, Cs, and Gs that make you you. And oh yeah, it’s more accurate than all the existing methods out there. Last year, DeepVariant took first prize in an FDA contest promoting improvements in genetic sequencing. The open source version the Google Brain/Verily team introduced to the world Monday reduced the error rates even further—by more than 50 percent. Looks like grandmaster Ke Jie isn’t be the only one getting bested by Google’s AI neural networks this year. DeepVariant arrives at a time when healthcare providers, pharma firms, and medical diagnostic manufacturers are all racing to capture as much genomic information as they can. To meet the need, Google rivals like IBM and Microsoft are all moving into the healthcare AI space, with speculation about whether Apple and Amazon will follow suit. While DeepVariant’s code comes at no cost, that isn’t true of the computing power required to run it. Scientists say that expense is going to prevent it from becoming the standard anytime soon, especially for large-scale projects. But DeepVariant is just the front end of a much wider deployment; genomics is about to go deep learning. And once you go deep learning, you don’t go back.

By |2017-12-11T22:42:17+00:00December 11th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Voiture électrique : le pari fou de l’Inde

Le gouvernement indien a lancé un véritable défi aux industriels : électrifier à 100 % le parc automobile d'ici à 2030. De ce fait, les initiatives des constructeurs bourgeonnent. Mais la question des infrastructures reste encore en suspens. Confronté à une pollution alarmante - selon l'OMS, six villes indiennes figurent parmi les plus polluées au monde -, le gouvernement indien s'est lancé, dès 2016, dans un pari fou : faire rouler le pays à 100 % à l'électricité plutôt qu'au diesel ou à l'essence, et ce dès 2030. Jugé plus qu'ambitieux, cet objectif, qui laisse perplexe, a cependant le mérite d'enclencher une dynamique. Selon les pronostics publics, d'ici à 2020, ce sont près de 6 millions de véhicules électriques qui pourraient rouler sur les routes indiennes. Un bond fulgurant alors que, chaque année, 3 millions de véhicules, toutes énergies confondues, sont mis en circulation dans le pays.

By |2017-12-11T22:41:20+00:00December 11th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Apple en passe de racheter Shazam

Selon Tech Crunch, la firme américaine serait en discussions avancées en vue de l'acquisition de l'appli de reconnaissance musicale Shazam, qui pourrait être annoncée lundi. La transaction serait de plusieurs centaines de millions de dollars. Une nouvelle acquisition en vue dans la musique : après les casques et le service de streaming Beats pour 3 milliards de dollars en 2014, Apple serait en discussions avancées en vue du rachat de l'application de reconnaissance musicale Shazam, selon le site spécialisé Tech Crunch. La transaction, qui se chiffrerait en plusieurs centaines de millions de dollars, pourrait être annoncée dès lundi. Selon Tech Crunch, Apple pourrait débourser de l'ordre de 300 millions de livres (340 millions d'euros ou 400 millions de dollars) pour s'offrir Shazam. Ce serait trois à quatre fois moins que la valorisation lors de son dernier tour de table en 2015. En dépit d'une forte notoriété, l'application, qui a été téléchargée plus d'un milliard de fois, selon des chiffres de l'automne 2016, peine à monétiser son service, accessible au départ en 1999 par SMS : l'entreprise britannique a réalisé un chiffre d'affaires de 40 millions livres (45 millions d'euros) lors de son exercice fiscal 2016 et une légère perte.

By |2017-12-11T22:19:05+00:00December 11th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Digital Assistants: Santa’s New Helper

Consumers have grown more comfortable with voice-enabled devices like Amazon’s Alexa and Google Home. So much so that many are considering using them for one of the most important tasks of the year—holiday shopping. According to a new survey from SAP Hybris, 38% of US consumers said they would consider using AI-powered digital assistants for their holiday shopping needs, whether that’s to purchase gifts for others, research deals or buy items for themselves. That’s a higher number than the 17% who actually used such devices during the holidays last year. In fact, SAP Hybris says that “consumers who used their devices for holiday shopping last year are more likely to use them again for the same purpose in 2017.” One likely reason for this shift is that more consumers are comfortable shopping via AI-powered assistants, especially after having used them to shop in the past. Nearly half of respondents who had used an assistant to purchase something already said they’d consider using it again for holiday shopping in particular.

By |2017-12-11T22:11:42+00:00December 11th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Le bitcoin fait des débuts prometteurs en Bourse

Les premiers contrats à terme sur la cryptomonnaie ont été lancés dimanche par le Chicago Board Options Exchange. Une nouvelle ère qui donne davantage de crédibilité à cette devise très volatile. C'est fait, le bitcoin a fait ses premiers pas en Bourse, une nouvelle étape dans sa quête de reconnaissance. Le premier marché à terme sur la plus populaire des cryptomonnaies a été inauguré dimanche à minuit (heure de Paris) par le Chicago Board Options Exchange (CBOE). Lancés à 15.000 dollars, ces premiers contrats à terme arrivant à échéance en janvier 2018 ont pris jusqu'à 25,67 % à 18.850 dollars au cours de leur première séance. A la fermeture des marchés européens, ils cotaient à 18.200 dollars, en hausse de 21,33 %. Les échanges ont dû être suspendus temporairement à deux reprises afin d'éviter de trop grandes fluctuations des prix. Et dans les vingt premières minutes de la séance, le trafic était si important que le site internet du CBOE a été rendu temporairement inaccessible.

By |2017-12-11T22:08:52+00:00December 11th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Comment l’intelligence artificielle va-t-elle impacter le travel management ?

L’intelligence artificielle (IA) est LE sujet de l’année 2017. Pas étonnant donc, même dans un évènement dédié au voyage d’affaires, que la thématique soit abordée. Lors de l’évènement GBTA Europe qui se déroulait à Francfort en partenariat avec VDR, l’IA a même été l’objet d’une plénière. Les sujets technologiques étant en temps normal cantonnés aux ateliers, ce changement est suffisamment important pour être relevé. Malheureusement, il a été plus question d’automatisation que d’IA. Au début de la conférence, Catherine McGavock, Regional Vice President EMEA de GBTA, a présenté Ingo, la vraie fausse intelligence artificielle mise au point par l’association. Sur le script, il s’agit d’une IA capable de mener une interview avec les intervenants et de rebondir sur ce qui est dit. En réalité, il s’agit d’un cube creux qui s’allume lorsque qu’une personne dissimulée pose des questions au micro. Même si l’audience n’était pas dupe, il s’agissait d’une manière efficace et amusante de montrer le potentiel de l’intelligence artificielle. Les données, l’essence de l’IA Alex Kaluzny, CTO d’Egencia, a été le premier à être interrogé par Ingo. Selon lui, l’IA va jouer un rôle important dans le travel management. Mais chez Egencia, la technologie est loin d’être maîtrisée. « Il est encore difficile de la déployer à grande échelle », a-t-il déclaré sur scène. Le challenge est de rassembler un grand nombre de données pour mettre au point des scénarios et surtout pour permettre de gérer l’imprévu. « Grâce aux nombreuses marques du groupe Expedia, nous avons une vision plus globale du comportement des internautes », a continué Alex Kaluzny. C’est pourquoi le CTO pense qu’Egencia a toutes les cartes en main pour jouer un rôle dans ce domaine. Pour lui, l’intelligence artificielle peut améliorer l’expérience des voyageurs, en personnalisant l’accompagnement grâce aux données, mais elle peut véritablement aider les travel managers.

By |2017-12-11T22:07:39+00:00December 11th, 2017|Scoop.it|0 Comments