Monthly Archives: January 2018

L’Oreal just unveiled a new electronic wearable that doesn’t need a battery

Announced at CES 2018, the product will get a limited launch in the US ahead of the 2018 summer season, with a global launch to follow in 2019. That means you can’t get one in time for ski season this year. It also means we don’t have a price for the wearable at this time, but be prepared to buy a bunch of them when the sensor becomes available. You’ll want to share them with your family, and you might need to replace them from time to time. The UV Sense is less than two millimeters thick and nine millimeters wide. It can be used for up to two weeks at a time, but you get additional adhesive in the box to extend its life. It may be small, but the gadget can store up to three months of data, which is quite impressive. Here’s what UV Sense looks like when torn apart: L’Oreal says the wearable is powered by the mobile phone and activated by UVA and UVB rays. The mobile iPhone and Android apps will offer users data about UV exposure, which should help them either seek shade or reapply sunscreen. Last year, the company launched a UV exposure monitor called My UV Patch, which is a skin sensor that can monitor UV rays. L’Oreal’s La Roche-Posay says that more than one million patches were distributed to consumers in 37 countries, all free of charge. Feedback from customers and studies then showed that 34% of users would apply sunscreen more often and 37% sought shade more frequently. The UV Sense is the evolution of the My UV Patch, a smarter device that can deliver real-time data to users.

By |2018-01-08T18:06:18+00:00January 8th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Non, les distributeurs français n’ont pas à craindre Amazon

Les distributeurs français sont capables d'innover. N'oublions pas que les drives ont été créés en France. La prochaine étape sera la livraison des produits alimentaires à domicile aussi bien dans les grands centres urbains que dans les espaces ruraux, et cette nouvelle révolution devra concerner toute la France pour être couronnée de succès. Dans cette bataille, qui sera celle de la logistique, les distributeurs français ne manquent pas d'atouts grâce à leur couverture nationale en magasins physiques et entrepôts. L'autre transformation espérée par le marché est celle d'une amélioration de la qualité des produits illustrée par l'engouement actuel pour les produits bio. Le prix n'est plus le seul facteur de différenciation décisif. Amazon représente une opportunité davantage qu'une menace. Là aussi, les distributeurs français disposent d'un atout essentiel : le soutien d'une filière agroalimentaire française, l'une des plus performantes au monde. Les distributeurs ont besoin de partenaires agroalimentaires puissants et innovants auxquels ils doivent donner les moyens de se développer par la recherche de prix d'achat équilibrés pour les différentes parties prenantes. Amazon représente donc une opportunité davantage qu'une menace contre laquelle les distributeurs français sont armés pour se défendre. A condition d'être capable de suivre les évolutions d'un marché où l'exigence de transformation continue est devenue la norme.

By |2018-01-07T22:31:23+00:00January 7th, 2018|Scoop.it|0 Comments

« Imprimer un humain complet sera sans doute possible un jour »

Des chercheurs du laboratoire Complex Materials de l'École Polytechnique de Zurich ont mis au point une encre vivante à base de bactéries. Une avancée majeure pour le bioprinting. Les progrès dans ce domaine ont fait, ces dernières années, des pas de géants, permettant d'envisager un avenir où le vivant sera facilement imprimable, comme n'importe quel autre matériau. Mais quel est l'état exact de la science en la matière ? Pourrons-nous un jour imprimer des organes complexes, voire des êtres vivants ? Usbek & Rica a posé la question à André Studart, directeur du laboratoire Complex Materials, et Léa Pourchet, ingénieur de recherche de la plateforme française de bioprinting 3dFab et experte reconnue en bioprinting. André Studart : Notre « encre vivante » consiste en un gel contenant des bactéries vivantes. Cette encre est utilisée pour imprimer des bactéries en 3D, afin de fabriquer des matériaux fonctionnels. Nous avons utilisé des bactéries parce qu'elles sont capables de synthétiser une pléthore de composés, et de former des matériaux structurels comme la cellulose sous la forme de biofilms. Avec cette technique, nous pouvons exploiter la diversité métabolique des bactéries dans l'impression 3D, en façonnant des matériaux avec une fonctionnalité vivante. Cette innovation ouvre des débouchés importants car il est possible d'obtenir des biomatériaux imprimés capables de réagir à leur environnement. Les bactéries, en stimulant les cellules souches, permettent aussi d'imprimer des matériaux qui ne pouvaient pas connaître, jusqu'à présent, une croissance convenable lors de leur incubation. Nous avons imprimé deux types de bactéries : Acetobacter xylinum et Pseudomonas putidas. Les premières sont capables de produire des fibres de cellulose, et les secondes de nettoyer l'eau en dégradant les composés toxiques comme les phénols. Le matériau peut être imprimé dans n'importe quelle forme tridimensionnelle car les bactéries que nous utilisons sont métaboliquement actives.

By |2018-01-06T18:59:54+00:00January 6th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Pourquoi il faut réquisitionner les GAFAM

Les GAFAM concentrent ainsi l’activité et par là même la richesse de tout le secteur du numérique, et on peut imaginer que seule la prochaine révolution industrielle, d’une ampleur comparable, pourra voir émerger de nouveaux protagonistes et rééquilibrer le marché, bien que les programmes de recherches de ces grands groupes tentent de les prémunir de cette éventualité. Le second danger que comporte cette domination est d'ordre démocratique. En effet la valeur économique des plateformes repose essentiellement sur leur capacité à capter les données de leurs utilisateurs puis à les traiter afin d’alimenter leurs technologies et ainsi de valoriser leurs services. Dans le secteur du numérique, nombreuses sont les voix qui alertent sur les dangers actuels et à venir d’une telle captation et d’un manque total de transparence quant à l’usage réel qui est fait des informations personnelles que nous leur délivrons. Par la quantité et la qualité de ces données qui alimentent leurs outils, les GAFAM disposent d’un réel pouvoir d’influence sur l’opinion publique qui en quelques ajustements d’algorithmes pourrait potentiellement devenir un moyen de manipulation des populations. Ces dangers sont déjà perceptibles aujourd’hui. L’influence des fake news dans l’élection de Donald Trump doit son succès à leur diffusion sur les réseaux sociaux dont les algorithmes des plateformes sont pleinement responsables de leur viralité ; notre perception du monde est largement restreinte et dépendante de notre « bulle de filtres » constituée par notre usage d’Internet et de la compréhension qu’en font les algorithmes qui alors favorisent pour chacun de nous des contenus plutôt que d’autres. Demain verra possiblement la candidature à l’élection présidentielle américaine de Marc Zuckerberg qui aura alors à sa portée Facebook comme outil de promotion de son discours, sans aucun moyen de contrôle par la population d’une quelconque garantie de neutralité dans l’usage qu’il fera lui-même de sa plateforme, ni des biais de conception qu’il pourrait y introduire afin de favoriser la diffusion de ses opinions. Réquisitionner plutôt que démanteler C’est pourquoi démanteler ces plateformes peut s’avérer nécessaire dans le but d’atténuer leurs pouvoirs. Une telle décision permettrait de réguler le marché, ce qui par ailleurs donne la preuve que ce dernier ne se régule pas par lui-même, et de minimiser leur capacité d’influence. Mais démanteler ces plateformes c’est aussi raisonner avec le logiciel capitaliste et libéral actuel en espérant naïvement que d’autres puissances ne profiteront pas de l’affaiblissement provoqué pour devenir à leur tour de nouveaux monopoles, ou de penser qu'un grand nombre de petits empires sont moins néfastes que de gros moins nombreux. Si démanteler les plateformes peut se poser objectivement d’un point de vue économique dans un modèle de société libérale, il n’en reste pas moins que l’usage démocratique qui en sera fait ne sera pas davantage garanti.

By |2018-01-06T18:59:16+00:00January 6th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Nissan développe une technologie pour lire dans l’esprit de ses conducteurs

Alors que les véhicules autonomes sont susceptibles de devenir la norme sur les routes du futur, Nissan fait le pari inverse et décide avec sa technologie B2V d’améliorer l’expérience de conduite des conducteurs humains de demain. Un scénario digne d’un épisode de Black Mirror qui est pourtant le fruit des recherches des équipes du constructeur nippon. Avec sa technologie B2V (Brain to Vehicle), Nissan compte relier l’esprit du conducteur à son véhicule afin d’anticiper ses actions. Pour y parvenir, le conducteur est équipé d’un casque couvert d’électrodes qui analyse son activité cérébrale en continu. L’encéphalogramme est ensuite transmis au véhicule à la manière d’un rapport. L’objectif ? Permettre au véhicule d’identifier si le conducteur s’apprête à tourner, à accélérer ou à freiner, pour qu’il puisse accompagner son action. Grâce à la technologie B2V, la voiture pourrait effectuer la commande nécessaire de 0,2 à 0,5 seconde plus rapidement que l’être humain. Cela paraît infime, mais permettrait d’éviter certains accidents ou à minima d’en réduire la violence. Nissan a annoncé également que la technologie B2V serait opérationnelle d’ici 5 à 10 ans. Nissan B2V à contresens du véhicule autonome « Quand les gens pensent conduite autonome, ils ont une vision d’un futur très impersonnel, où les humains cèdent le contrôle à des machines. La technologie B2V fait le contraire, en utilisant les signaux du cerveau pour rendre la conduite plus excitante et plaisante », a souligné Daniele Schillaci, vice-président de Nissan sur le site de l’entreprise. Pour le constructeur nippon, les véhicules autonomes ne prendront pas le monopole de la route dans le futur. Il fait le pari que certains conducteurs feront le choix de continuer à conduire. C’est à cette cible qu’il s’adresse avec sa technologie B2V. L’objectif étant d’améliorer l’expérience de conduite, la rendant plus sûre et plus agréable. En plus de contribuer à la réduction du temps de réaction du véhicule, B2V permettra à la voiture de s’adapter en permanence au style de conduite de son chauffeur.

By |2018-01-06T18:59:08+00:00January 6th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Failles de sécurité : Apple confirme être concerné

Les appareils Mac, iPad et iPhone ne sont pas épargnés par les failles de sécurité découvertes sur les microprocesseurs d'Intel, AMD et ARM. Après une longue journée de silence, et alors qu'Intel était en première ligne après ces révélations jeudi sur les failles de sécurité des microprocesseurs, Apple a à son tour confirmé être concerné par ce problème. L'ensemble des appareils Mac, iPhone et iPad sont vulnérables à travers ces deux failles, baptisées Spectre et Meltdown, et découvertes par l'équipe de chercheurs en cybersécurité Project Zero de Google. Ce problème de sécurité pourrait permettre à des hackers de pirater des informations sensibles sur presque tous les appareils informatiques modernes équipés de puces d'Intel, AMD ou ARM. Pour le moment, l'agence américaine en charge de la cybersécurité (CERT) a indiqué « ne pas avoir connaissance » de tentatives de piratage utilisant ces failles. « Tous les systèmes Mac et appareils (mobiles) iOS sont affectés mais il n'y a aucune attaque connue à l'heure actuelle », a fait savoir la firme de Cupertino sur son blog officiel. Pour éviter toute possibilité de piratage, Apple « conseille de ne télécharger des applications que depuis des sites sûrs, comme l'App Store ». Le groupe précise avoir diffusé des correctifs sur ses systèmes MacOS et iOS pour limiter l'impact possible de la faille Meltdown et travaille à la mise à jour de son navigateur Safari pour éviter des attaques via la faille Spectre.

By |2018-01-06T18:58:44+00:00January 6th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Why the Controversial “Black Museum” Is ‘Black Mirror”s Most Important Episode

UTOPIANISM RESTS UPON a single, fundamental truth: that we can be better than we were before. But what if we can’t? What if we’re stuck in a loop, slave to new innovations that only amplify hate, human flaw, and social fragility? In the techno-dystopian wheelhouse that is Charlie Brooker’s darkly imaginative anthology series, Black Mirror, that is often the case at hand. In Brooker’s inverted paradise, proximity comes at a price. What one is willing to give up for it—either to create the gulf or to clear it—is the source of all the sad chaos that outlines his futurescape. His stories are of a world in the throes of madness—be it dread brought on by devices that govern human emotion (“Nosedive”; “The Entire History of You”) or the mayhem that arises out of one’s inability to access, or sustain, a particular social standing (“The National Anthem”; “Shut Up and Dance”). What at first feels like a twisted fairytale slowly unravels into a vision of the quotidian, as if Brooker is saying: our emerging reality is much more unnerving than pure fiction. For all its technological sprawl, Black Mirror is a show about the flesh and bone of human suffering: the different ways individuals hurt and grieve, the way human innovation expands the distance between people, communities, and ideologies. It’s not solely a matter of distance, but also of what one is willing to do to bridge that distance, that causes the series’ small, fertile tragedies. In some ways, this is Brooker’s central thesis. Humans get into trouble not when we make progress, but when we try to overcome humanity by treating emotion and spirit like science—the quest to articulate and optimize the ineffable. Black Mirror’s true utopianism, though, has always been presenting a fairly multicultural future without comment, and with “Black Museum,” season 4’s final episode, all of Brooker’s work—and the question of proximity—coalesces into one of his finest visual, narrative, and thematic treats yet. With even more daring, its ending invites a reading that’s not so obvious to everyone.

By |2018-01-06T18:58:24+00:00January 6th, 2018|Scoop.it|0 Comments

This AI-Fortified Bot Will Build the First Homes for Humans on Mars

WHEN HUMANS ARE finally ready to relocate civilization to Mars, they won’t be able to do it alone. They’ll need trusted specialists with encyclopedic knowledge, composure under pressure, and extreme endurance—droids like Justin. Built by the German space agency DLR, such humanoid bots are being groomed to build the first martian habitat for humans. Engineers have been refining Justin’s physical abilities for a decade; the mech can handle tools, shoot and upload photos, catch flying objects, and navigate obstacles. Now, thanks to new AI upgrades, Justin can think for itself. Unlike most robots, which have to be programmed in advance and given explicit instructions for nearly every movement, this bot can autonomously perform complex tasks—even those it hasn’t been programmed to do—on a planet’s surface while being supervised by astronauts in orbit. Object recognition software and computer vision let Justin survey its environment and undertake jobs such as cleaning and maintaining machinery, inspecting equipment, and carrying objects. In a recent test, Justin fixed a faulty solar panel in a Munich lab in minutes, directed via tablet by an astronaut aboard the International Space Station. One small chore for Justin, one giant leap for future humankind.

By |2018-01-06T18:58:13+00:00January 6th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Alexa Wants You to Talk to Your Ads | Backchannel

Amazon’s Alexa offers more than 25,000 skills—the set of actions that serve as applications for voice technology. Yet Domino’s is one of a relatively small number of brands that has seized the opportunity to enter your home by creating a skill of its own. Now that Amazon Echoes and Google Homes are in kitchens and living rooms across the country, they open a window into user behavior that marketers previously only dreamt of. But brands’ efforts to engage consumers directly via voice have been scattershot. The list of those that have tried is sparse: some banks; a couple of fast food chains; a few beauty companies; retailers here and there. Building a marketing plan for Alexa has been a risky venture. That’s because, when it comes to our virtual assistants, no one knows what the hell is going on. But if 2017 was the year that Alexa hit the mainstream, 2018 will be the year that advertisers begin to take her seriously by investing time and money in figuring out how to make use of her. The shift toward a screenless, voice-first future has been slow and awkward. Without a playbook on how exactly to employ this technology, brands have been paralyzed. But the staying power of voice technologies is now universally accepted, and their ubiquity no longer belongs to a far-off future. A few brands have already begun to infiltrate the space. On Alexa, you can order your regular Starbucks drink, call an Uber, or check the balance of your Capital One account. But soon competition will mount, the wheels will begin to turn, and the experimentation that’s already begun will spread, writ large, throughout the industry.

By |2018-01-04T10:57:50+00:00January 4th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Elon Musk, vers l’infini et au-delà

Elon Musk a des allures de Shiva des entrepreneurs : à la tête de SpaceX, Tesla, Neuralink, The Boring Project ou encore derrière l'idée de l'Hyperloop, le Néo-Américain est entré récemment dans le Top 10 des entrepreneurs les plus admirés chez l'oncle Sam. En 2018, ce natif de Pretoria, en Afrique du Sud, devrait encore faire parler de lui avec deux lancements d'envergure. Dès ce mois-ci, avec le premier décollage de la Falcon Heavy . Du haut de ses 70 mètres et avec près de 64 tonnes de capacité, elle sera l'une des plus grosses fusées jamais lancées depuis 1972 et la fusée Saturne V, qui avait servi à la mission Apollo 11. Objectif : l'orbite martienne, avec à son bord une Tesla jouant « Space Oddity », le tube de David Bowie. Fantasque mais réaliste, le fondateur de PayPal a d'ores et déjà prévenu qu'un échec était à prévoir. Des touristes sur la Lune Mais le jeu en vaut la chandelle. D'ici à la fin de l'année, Elon Musk veut proposer, grâce à cette même fusée, son premier vol touristique dans l'espace. Direction la Lune, avec à bord deux passagers fortunés. Dans le domaine spatial, SpaceX est devenu, en quinze ans d'existence, la première entreprise du secteur. Avec 18 lancers en 2017 dont 14 avec des fusées réutilisées, rien ne semble pouvoir arrêter le « serial entrepreneur », malgré ses rêves démesurés.

By |2018-01-04T10:57:28+00:00January 4th, 2018|Scoop.it|0 Comments