Monthly Archives: May 2018

MIT researchers are already studying the impact of growing up with Amazon’s Alexa and other voice recognition systems on children. A new mega-brand experiment for them to study—Lego and Amazon are bringing Alexa to Duplo, the chunkier line of blocks that Lego produces for younger kids, ages 2 through 5. The new Alexa skill, called Lego Duplo Stories, offers an interactive experience that combines storytelling with the toys to enhance the play experience. The skill is available now in the U.S. and UK on devices that support Alexa, such as the Amazon Echo or Echo Dot, and offers a selection of stories with audio prompts to guide physical play. Some may worry that providing a menu of scripted stories and paths takes away from kids’ innate abilities to come up with their own stories and use their own imaginations. That’s a fair question for parents and care-givers to ponder as they navigate this world of voice, chatbots and AI that’s now available to be included in children’s playtime—a crucial element of kids’ development.

We recognise that as brand owners it’s vital that we get it right when it comes to people’s data. Globally, however, the evidence shows that the way data is collected and used by some industry players has played a large part in reducing people’s trust in online advertising. Data has become increasingly integral to the process of creating, targeting and delivering digital advertising. Nevertheless, people have a fundamental right to privacy and, for the industry to have a sustainable future, we need to recognise that and recalibrate the way we use data for the sake of the consumer. We believe that there is a sustainable future for the online advertising industry built on respect for people’s data and that gives them real transparency to help them decide where, when and how they share their data. We are making the following commitments on data: Strong governance – we will strive to implement robust and dynamic policies and processes to reflect the ever changing way data is used and that consumer data is: Ethically and transparently sourced. Securely stored with appropriate assurances and mechanisms, including audits. Data minimisation – We will adopt a mindset of data minimisation with a view to collecting, using and holding only the data that is necessary to deliver a quality advertising experience. Consumer control and choice over their data – We will create user experiences that give people transparency, control and choice over how their data is shared and used for online advertising, in line with these seven principles: Make it visual Keep it short and simple Make it as intuitive as possible Don’t annoy me Let me change my mind Make it easy Tell me what you’re going to do Active management of the data supply chain – We demand accountability and transparency throughout the data supply chain in order to always have a clear view of what data is being collected and how it is being used by our suppliers. We expect our data supply chain partners to uphold the same high standards we set for ourselves when it comes to: Giving people full control over when, where and how they share their data. Giving people clear, simple information about how their data is being used. Making it easy to opt out. Complying with both the spirit and the letter of relevant self-regulatory and regulatory frameworks. We call on the online advertising industry to embrace a fundamental shift towards an ecosystem built on trust, control and respect for people’s data – including players with less transparent methods of collecting and/or using consumer data. WFA, as the only global organisation representing marketers, will advocate for change and drive action at both company and industry levels. WFA will provide a platform for companies to exchange best practices and inspire others to adopt a mindset of people first over data first; WFA will advocate responsible data practices within our industry, challenge and expose existing practices, champion innovation and embrace proportionate regulatory frameworks which put people’s privacy first. WFA believes that a future in which consumers have full transparency, choice and control over their data will lead to greater trust in online advertising, more sustainable brand-consumer relationships and better marketing. To drive this vision forward, WFA will convene an Advisory Board of global industry leaders to work with WFA’s Digital Governance Exchange (DGX) to help define an evidence-based action plan drawing on insights and learnings from consumers themselves.

Ils avaient été perdus ou pire encore, présumés morts, depuis des semaines, des mois ou des années. Pour ces milliers d'enfants disparus dans les rues, les ruelles et les bidonvilles de l'Inde, une lueur d’espoir apparaît : grâce à un nouvel essai expérimental de reconnaissance faciale de la police de New Delhi, en quelques jours, des disparus ont pu être identifiés. En utilisant une base de données photographiques d'environ 60 000 enfants disparus et en les comparant à environ 45 000 images d'orphelins non identifiés dans les institutions de soins de la ville, 2 930 enfants ont été reconnus par le logiciel de reconnaissance faciale (FRS) du programme pilote. En un clin d'œil virtuel - quatre jours, pour être exact, près de 3 000 vies ont eu la chance d'être remises sur les rails. C'est un résultat étonnant, soulignant comment cette technologie émergente peut aider à guérir un vaste et dévastateur problème social endémique à l'Inde, et qui semble insurmontable sans l'aide des algorithmes FRS. "L'Inde compte actuellement près de 200 000 enfants disparus et environ 90 000 enfants hébergés dans diverses institutions de protection de l'enfance ", a expliqué à The Better India le militant Bhuwan Ribhu du groupe Bachpan Bachpan Bachao Andolan - qui a contribué à l'élaboration de l'essai. "Il est presque impossible pour quiconque de faire des recherches manuelles à partir de simples photos pour faire correspondre les enfants." L'organisation de Ribhu a débuté le projet pour passer au crible la vaste quantité de dossiers conservés dans TrackChild, la base de données nationale indienne sur les enfants disparus. Réalisant que la reconnaissance faciale pouvait aider à accélérer les choses, Bachpan Bachao Andolan est intervenu, obtenant de la Haute Cour de Delhi l'ordre de mettre la base de données TrackChild à la disposition de la police, qui a utilisé son système FRS pour analyser des milliers d'images. "Si un tel type de logiciel aide à retrouver les enfants disparus et à les réunir avec leurs familles, rien ne peut être mieux que cela", a déclaré le président de la Commission nationale indienne pour la protection des droits de l'enfant, Yashwant Jain, au Press Trust of India. Suite au succès de l'essai de New Delhi, les données TrackChild pourront être mises à la disposition d'autres forces de police de l'État qui tentent de retrouver des enfants disparus. Même si ces développements sont encourageants, ils ne vont pas traiter immédiatement tous les cas de disparition en Inde car pour les milliers d'enfants qui disparaissent chaque année, les raisons de leurs disparitions restent très complexes, et souvent violentes. Certains enfants sont enlevés dans la rue pour être vendus à des fins de prostitution ou de travail des enfants. D'autres fuguent volontairement à cause de mauvais traitements de leurs parents. On dit de certaines familles qu'elles vendent leurs enfants ou qu'elles égarent intentionnellement des filles non désirées dans des endroits surpeuplés pour qu’elles ne soient jamais retrouvées.

Coup de théâtre ! C'est finalement Éric Carreel, le fondateur et ancien président de Withings qui a été choisi par Nokia comme repreneur de la startup. Le groupe avait déboursé 170 millions d'euros en 2016 pour mettre la main dessus. Retour aux sources pour Withings ! La société IoT, rachetée en 2016 par Nokia, pourrait prochainement retrouver son indépendance et… son fondateur. Le géant finlandais a en effet annoncé ce mercredi qu’il entrait en négociations exclusives avec Éric Carreel pour lui (re)vendre la société qu’il a fondée. L’opération devrait être finalisée d’ici la fin du deuxième trimestre 2018 et la vente comprendrait à la fois les produits grands publics et ceux destinés aux entreprises. Aucun montant n’a été annoncé à ce stade des discussions. C’est l’un des points à négocier, alors que Withings avait été acquise par Nokia pour 170 millions d’euros. Sa valorisation avait été fortement revue à la baisse par le Finlandais l’année dernière, ne dépassant pas les 30 millions d’euros… Une chute qui ne faisait que confirmer l’échec du rachat mais aussi de la stratégie de diversification de Nokia, alors que la startup n’a jamais trouvé ses marques au sein du groupe qui s’est repositionné comme équipementier télécom.

Le producteur chinois de smartphones et d'objets connectés vient de déposer sa demande à la Bourse de Hong Kong. Il pourrait lever 10 milliards de dollars. Après plusieurs hésitations, Xiaomi, le producteur chinois de smartphones et d'objets connectés, a formellement déposé, ce jeudi, sa demande d'introduction en Bourse sur la place de Hong Kong. Donnant le coup d'envoi à une levée de fonds qui pourrait s'imposer comme la plus grande réalisée depuis 2014 par un géant chinois de la tech. A l'époque, Alibaba avait levé 21,8 milliards de dollars. La direction de Xiaomi, emmenée par son fondateur Lei Jun, n'a pas encore dévoilé le montant de son introduction. Mais les analystes estiment qu'il pourrait tenter de vendre pour 10 milliards de dollars d'actions dans une opération qui valoriserait Xiaomi potentiellement à 100 milliards de dollars. Des fonds pour croître Dans sa demande, le groupe explique qu'il a besoin de liquidités pour développer de nouveaux smartphones, des téléviseurs ou des enceintes « intelligentes » et doit aussi financer son expansion à l'international. Très bien implanté en Chine et en Inde - où il a dépassé, ces derniers mois, Samsung et Apple -, très présent en Asie du Sud-Est, le groupe multiplie les offensives en Occident. Il lancera ainsi ses opérations commerciales en France le 22 mai. Si Xiaomi est encore discret sur les contours financiers de son introduction, il a dû tout de même, pour déposer sa demande, faire la lumière sur l'état réel de ses revenus. Le groupe révèle ainsi qu'il a fini l'année 2017 sur une perte nette de 43,9 milliards de yuans, soit 5,7 milliards d'euros, malgré une progression de son chiffre d'affaires de 67,5 % à 114,6 milliards de yuans (15 milliards d'euros). En 2016, alors que ses ventes de smartphones avaient plongé, le producteur avait réussi à dégager un léger profit net de 491,6 millions de yuans (65 millions d'euros).

Flipkart, an India-based ecommerce company founded in 2007, may be the object of desire for not one but two two of the biggest retailers in the world. Walmart has been in final negotiations to buy a majority share—at least 55%—for an estimated $8 billion to $12 billion. But on Wednesday Amazon reportedly countered with a bid to buy a 60% stake in Flipkart. The ecommerce market in India was slow to take off, but it’s growing. eMarketer expects digital buyers in India will number 224.1 million this year, rising to 367.4 million by 2021. We forecast that retail ecommerce sales in the country will increase from $27.32 billion to $50.17 billion over the same period. For Walmart, international expansion is a way to offset sluggish revenue growth in the US. It would also be a fast track to compete with Amazon in India. “Flipkart represents a ready-made way to enter India and gain immediate access to a customer base of more than 100 million people. It's also a company with a deep understanding of the market and has already built out its ecommerce technology—something Walmart has historically been lacking,” said eMarketer senior analyst Rahul Chadha.

In India, 337.0 million people, or more than a quarter of the population, will use a smartphone in 2018, according to eMarketer’s latest forecast. The number of smartphone users in India will grow by close to 16% this year—the highest growth rate of any country in the world broken out by eMarketer. Since its last forecast, eMarketer increased its estimate for the smartphone audience in India by more than 31 million people. This uptick is thanks to the growth in smartphone usage in urban areas, where affordable smartphones are becoming widely available.

Cambridge Analytica, the data firm at the centre of this year’s Facebook privacy row, is closing and starting insolvency proceedings. The company has been plagued by scandal since the Observer reported that the personal data of about 50 million Americans and at least a million Britons had been harvested from Facebook and improperly shared with Cambridge Analytica. Cambridge Analytica denies any wrongdoing, but says that the negative media coverage has left it with no clients and mounting legal fees. “Despite Cambridge Analytica’s unwavering confidence that its employees have acted ethically and lawfully, the siege of media coverage has driven away virtually all of the Company’s customers and suppliers,” said the company in a statement, which also revealed that SCL Elections Ltd, the UK entity affiliated with Cambridge Analytica, would also close and start insolvency proceedings. “As a result, it has been determined that it is no longer viable to continue operating the business, which left Cambridge Analytica with no realistic alternative to placing the company into administration.” As first reported by the Wall Street Journal, the company has started insolvency proceedings in the US and UK. At Cambridge Analytica’s New York offices on an upmarket block on Manhattan’s Fifth Avenue, it appeared all the staff had already left the premises. The Guardian rang the doorbell to the company’s seventh-floor office and was met by a woman who would not give her name but said she did not work for the company. Asked if anyone from Cambridge Analytica or SCL was still inside, she said: “They used to be. But they all left today.”

L'annonce du plan de rachat d'actions géant d'Apple n'est que la partie émergée de l'iceberg. 2018 sera en effet une année record pour les entreprises du S & P 500. Celles-ci devraient réaliser plus de 800 milliards de dollars de rachat d'actions (presque l'équivalent de la capitalisation de la Bourse de Milan, et environ 3,5 % de la capitalisation de l'indice S & P 500...), selon les estimations de Dubravko Lakos-Bujas chez JP Morgan, contre 519 milliards en 2017. Un niveau bien supérieur à l'estimation faite auparavant par Goldman Sachs à 650 milliards de dollars. Laquelle correspondait d'ailleurs au précédent record, établi en 2007. Selon la banque américaine, au 2 mars, les entreprises avaient déjà annoncé un montant record de 151 milliards de dollars depuis le début de l'année. Les marchés ont déjà les yeux rivés sur les résultats de 2018 Il y a d'abord un effet de rattrapage alors que les entreprises ont réduit leurs rachats d'actions de 3,2 % en 2017, à 519 milliards selon les chiffres de S & P Dow Jones indices et de 9,2 % par rapport à 2015. Un niveau, certes élevé, mais qui montrait une forme d'attentisme de la part de Wall Street. Les firmes avaient en effet réduit leurs opérations dans l'attente du vote de la réforme fiscale voulue par Donald Trump. « Cette réforme (baisse des impôts sur les profits des entreprises, amortissement immédiat des investissements, incitation au rapatriement des profits conservés à l'étranger) va certainement conduire à une hausse des rachats d'actions par les entreprises américaines », reconnaît ainsi Patrick Artus chez Natixis.

Apple’s second quarter earnings report on Tuesday reassured Wall Street that iPhone sales are healthy—the company sold only 3% more iPhones in the last quarter but profit soared because the $1,000 iPhone X was its top-selling model each week in the quarter. “We’re thrilled to report our best March quarter ever, with strong revenue growth in iPhone, Services and Wearables,” said Tim Cook, Apple’s CEO. “Customers chose iPhone X more than any other iPhone each week in the March quarter, just as they did following its launch in the December quarter. We also grew revenue in all of our geographic segments, with over 20% growth in Greater China and Japan.” Apple’s quarterly earnings call on Tuesday also detailed four areas of growth powered by its connected technology: wearables (with Apple watch now “the top-selling watch in the world”), payments, security and healthcare services.