Monthly Archives: May 2018

Le Conseil d'Etat a considéré que les gains réalisés sur les achats et ventes de cryptodevises devaient être considérés fiscalement comme des plus-values. Avec à la clef un régime fiscal plus avantageux. La décision du Conseil d'Etat, rendue ce jeudi, était très attendue par les particuliers qui achètent et vendent des bitcoins. Les sages devaient se prononcer sur le traitement fiscal des gains réalisés sur les cryptomonnaies. Depuis 2014, ces derniers étaient considérés comme des « bénéfices non commerciaux », comme par exemple, les honoraires des professions libérales. Ils entraient donc dans le calcul de l'impôt sur le revenu, et à ce titre, pouvaient être imposés jusqu'à 65 %, tous prélèvements confondus. Une analyse contestée par l'avocat Nicolas Canetti, associé chez Bornhauser. A l'origine de l'affaire, des clients qui avaient acheté des bitcoins très tôt, avant que la cryptodevise ne connaisse sa popularité actuelle. Quand ils ont cédé leurs « pièces » ils ont été effarés de voir leur niveau de taxation. Et ont lancé la contestation. « La catégorie des bénéfices non commerciaux est une catégorie 'balai' qui concerne tous les revenus qui ne rentrent pas dans un autre régime, souligne l'avocat. Or il existait un régime qui pouvait parfaitement convenir : celui de la plus-value sur cession de biens meubles. »

Par peur, égoïsme, archaïsme, à Air France comme à la SNCF, les organisations syndicales refusent d'admettre que le monde a changé au risque d'aller dans le monde… Ecoutez le podcast de David Barroux. C'est quand on se croit immortel que l'on prend des risques insensés. Ayant trop longtemps vécu à l'abri de la concurrence et sous la protection de l'Etat, une partie des salariés de la SNCF comme d'Air France pensent visiblement qu'ils peuvent continuer de se comporter comme des enfants gâtés jusqu'au-boutistes sans que cela puisse avoir de réelles conséquences négatives. ils se trompent

April 27, 2018 After disclosing for the first time how many Prime members it has, Amazon has followed up with a price increase of roughly 20%, lifting the annual membership fee to $119, the first time it has bumped up the price in four years. The price increase was disclosed as the company posted earnings on Thursday. Amazon founder Jeff Bezos had revealed in his annual letter to shareholders last week that there are over 100 million Amazon Prime members worldwide. The Prime membership number is in line with eMarketer's earlier estimate that by the end of 2018 the number of Amazon Prime members in the US will break the 100 million mark, reaching 105.2 million figure is for the US only. eMarketer does not estimate worldwide Prime members, and Amazon did not break out international subscriptions for the eight other countries Prime is offered in. Still, it's fair to guess the US has the majority of members.

Amazon.com Inc. on Thursday delivered a double punch, reporting its best revenue growth in more than six years while topping $1 billion in profit for the second straight quarter. The results surprised investors who were already expecting Amazon to post strong numbers as it extends its dominance in online retailing and builds on gains in cloud-computing services. But this quarter, Amazon was expected to post a more modest profit as it refocused on longer-term investments after a blowout holiday period. Instead, Amazon more than doubled its quarterly net profit to $1.6 billion—just under its record of $1.9 billion from the holiday quarter—as revenue surged about 43%. The profit feat is an achievement for a company with a reputation for plowing nearly every dollar it earns into investments. The revenue growth was Amazon’s best mark since the third quarter of 2011, pushing the total to about $51 billion. The company credited the better-than-expected results to its cloud-services division and strong growth in the company’s advertising business. Amazon’s swelling profitability doesn’t appear to be an anomaly—it expects operating income to potentially more than double to as high as $1.9 billion in the second quarter—though Chief Financial Officer Brian Olsavsky cautioned he might not always have such good news. “We certainly will always have periods of higher investment, and through the year we expect investments to increase,” particularly for video content, Mr. Olsavsky said. He added that the company will continue to hire.

Le digital capte désormais des budgets conséquents chez les enseignes du retail en France. Dans ce digital, les actions dans les réseaux sociaux représentent quant à elles, de 0% à 30% des dépenses. Facebook et Instagram arrivent en tête des usages, notamment via des pages locales pour chaque point de vente des enseignes. Enquête auprès de 40 enseignes en France C’est ce que montre l’étude réalisée par la startup Ubiq avec le club de la franchise. Un panel de 40 enseignes de la grande distribution et des distributeurs spécialisés a été analysé. Dans le détail, toutes les enseignes du retail interrogées utilisent le digital pour leur promotion. Ce digital se décline en réseaux sociaux employés par la quasi-totalité (93%) des enseignes, emailng (67%), le Search (61%) et le display (42%). Côté dépenses dans le digital au global, 35% des enseignes dépensent de 10% à 20% de leur budget média dans le digital, Elles sont uniquement 15% à dépenser plus, de 20% à 30% dans le digital, et à peine 9% à dépenser 40% et plus de leur budget média dans le digital. Enfin, elles sont 15% à dépenser moins de 10% de leur budget média sur le digital. De 0% à 30% du budget digital dans les médias sociaux

A February 2018 survey from Conversocial found that 17% of respondents (85% of whom were located in the US and 15% in the UK) said remaining in the channel where the request was initiated is the most important piece of a good online customer service experience. Although there are a number of contact methods, these respondents don’t want to be shuffled from channel to channel to solve an issue. If support is requested via social, for example, they don’t want to be told to contact a call center. Meanwhile, almost four in 10 respondents said the most important aspect of a positive customer service experience is having an issue resolved in a single interaction. When a brand’s support team starts in one channel before moving to another, it could frustrate consumers seeking a fast solution. It's worth noting that, as an online customer service platform, Conversocial’s findings may favor digital methods more than traditional interactions.

Macquarie was so impressed with Amazon's "blowout" earnings, the global investment bank raised its 12-month price forecast to the highest on Wall Street and a value that would imply a record milestone for a publicly traded company. "We believe that even without margin expansion in core retail, the other businesses can drive significant profit growth over the coming years and will make AMZN the first trillion dollar company," analyst Ben Schachter wrote in a note to clients Friday. "As its core 1st and 3rd party retail sales continue to take significant share from virtually all competitors, its subscription business, AWS, and advertising business are all exceeding expectations markedly." The analyst's new price target is $2,100, which would imply a surge of about 40 percent from Thursday's close to a market value of $1.02 trillion. Amazon closed Thursday at $1,517.96 and was up 9.5 percent in premarket trading Friday to 1,661.99. Amazon said Thursday evening that revenue jumped 43 percent in the first quarter. Net income more than doubled to $1.6 billion the company said. Schachter's new target (up from $1,750) is the highest on Wall Street, according to TipRanks.com, which rates him as one of the top analysts in the space. He rates the stock outperform. There's only one thing that could stop Amazon, Schachter wrote: the government. "Our primary concern remains regulatory risk and the growing potential for political interference," he said. "AMZN's continued success is sure to attract more attention from governments around the world than ever before."

Si vous êtes utilisateur de Facebook, vous avez récemment dû accepter de nouvelles conditions d'utilisation de la plateforme. Pour le juriste Lionel Maurel, dont nous reproduisons ici un article de blog, le réseau social effectue un véritable « chantage au service » et, même si il affirme le contraire à grand renfort de communication, ne respecte pas les dispositions du nouveau règlement général sur la protection des données (RGPD) européen, qui entrera en vigueur le 25 mai. Facebook s’y était engagé, cela s’est produit : des millions d’utilisateurs en Europe ont reçu un mail de la plateforme les invitant à accepter les nouveaux paramètres de confidentialité mis en place pour se mettre en conformité avec le règlement général sur la protection des données (RGPD) qui entrera en vigueur le mois prochain. Chantage au service Le message était intitulé « Veuillez accepter nos conditions d’utilisation avant le 25 mai pour continuer à utiliser Facebook ». En elle-même, cette formulation est problématique, car elle revient une nouvelle fois à exercer sur les utilisateurs une forme de « chantage au service ».

Pionnière du mouvement des fablabs en France, Emmanuelle Roux est sur tous les fronts pour oeuvrer à la démocratisation de ce qu'elle appelle la « culture numérique ». Une mission d'autant plus urgente et complexe qu'elle estime que ce ne sont pas 20% mais bien 90% des Français qui sont « des illetrés numériques ». Combien de Français savent ce qu'est une API ? Combien d'entre eux ont déjà consulté le code source d'un logiciel ? Et combien ont une idée ne serait-ce qu'approximative de ce qu'est une blockchain ? Depuis plus de vingt ans qu'elle oeuvre à la diffusion de la culture numérique, Emmanuelle Roux a pu constater à quel point l'illetrisme en la matière transcende les générations, les milieux sociaux et les secteurs professionnels.

« La fiction, par sa faculté à aiguiller nos imaginaires, a la responsabilité de produire de l’utopie et un avenir souhaitable, à rebours de la tentation dystopique », écrivait le 12 février dernier sur ce même site Antoine Brachet, directeur Intelligence Collective de la société bluenove. Trois jours plus tard, le coup d’envoi officiel du projet « Bright Mirror » était donné. Clin d’œil délibéré aux dérives anticipées par la brillante série britannique Black Mirror, ce projet, pensé par bluenove et The Future Society - et dont Usbek & Rica est partenaire – a pris dans un premier temps la forme d’ateliers d’écriture collectifs, qui ont débouché sur la rédaction de 60 micronouvelles de fiction. La seule contrainte imposée aux auteurs volontaires était de respecter un calibrage très serré (3000 signes), de démarrer son texte par la phrase « 15 janvier 2050 : je suis assis paisiblement chez moi en train de lire… » et, évidemment, d’imaginer un futur lumineux.