Monthly Archives: August 2018

Google lance un outil d’analyse des prix dans le voyage

Il est toujours difficile de déceler et d'analyser la stratégie de Google dans le monde du voyage. On attendait, en 2016, quelques annonces autour des déplacements professionnels (comparateurs, outil d'assistance…) mais l'entreprise californienne n'a pas donné suite à ses projets. Le business travel est-il un univers économique trop restreint pour une entreprise qui gère quelques 900 millions de visites quotidiennes dans le monde ? Les prix optimisés s'affichent en vert sur l'écranMalgré ce constat, Google reste fortement présent sur le monde du voyage et vient d'annoncer la création d'un nouvel outil pratique, développé en collaboration par Google News Lab et Polygraph, qui montre comment les prix changent en fonction du moment où l'on réserve son voyage. Mieux, la fonctionnalité "hébergement" aide les voyageurs à trouver des chambres d'hôtel même si les dates choisies sont très demandées.

By |2018-08-29T13:00:06+00:00August 29th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Toyota invests $500 million in Uber

The automaker announced on Monday that it is investing $500 million in Uber and working more closely with the company to accelerate the development and deployment of self-driving vehicles. Uber plans to retrofit Toyota Sienna minivans with its autonomous technology and begin real-world testing in 2021.The deal gives Toyota a key partner in a field that is growing rapidly, and comes on the same day that four of the automaker's suppliers announced a partnership to develop some of the software underpinning autonomous vehicles."This agreement and investment marks an important milestone in our transformation to a mobility company," Shigeki Tomoyama, the president of Toyota Connected Company, said in a statement.Automakers and tech companies continue scrambling to position themselves for a future in which car ownership gives way to mobility as a service. That's led to a growing number of partnerships as companies like Toyota realize they don't know much about ridesharing and companies like Uber discover that building cars is hard.

By |2018-08-29T10:13:07+00:00August 29th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Cryptomonnaies : l’Iran va bientôt mettre au point sa propre devise | CIO MAG

Le régime annonce travailler activement à la création de sa propre cryptomonnaie. A en croire l’un des responsables du Suprême Cyberspace Council, ce projet d’une devise nationale est très en avance et la République Islamique a même terminé l’esquisse. Par ailleurs, la Banque centrale, comme toutes les autres banques, va devoir clarifier la situation des cryptomonnaies puisque le secteur est actuellement dans une grande opacité.La mise en point d’une cryptomonnaie nationale devrait aider à créer un statut pour ce genre de devises qui suscitent la méfiance et la controverse, au-delà même du pays. Pour l’heure, les banques iraniennes et les institutions de crédit refusent d’accorder de l’importance au Bitcoin et à toutes les autres monnaies virtuelles, de craintes qu’elles favorisent le blanchiment d’argent depuis le mois de septembre dernier. L’Iran connait par ailleurs des attaques de cryptomonnaies qui proviennent de son propre sol.

By |2018-08-29T10:06:17+00:00August 29th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Gilles Babinet : « la technologie crée un nouveau rapport à l’Afrique » | CIO MAG

En Afrique, nous n’avons que peu d’antécédents technologiques et surtout d’immenses besoins à résoudre, nécessitant des approches différentes à tout ce qui existe. Les premières expérimentations montrent clairement que des « Ovnis » sortent de terre : M-Pesa [service de micropaiement mobile lancé au Kenya, puis en Tanzanie et en Afrique du Sud, ndlr] en est un, mais il y en a également dans la santé comme Djantoli au Mali et au Burkina Faso, dans l’agriculture comme M-Farm au Kenya…, ainsi que dans l’énergie, les transports, la sécurité, etc. C’est très encourageant.Vous avez participé aux dernières Assises de la transformation digitale en Afrique (ATDA), organisées par CIO Mag en novembre 2017 à Paris et à Abidjan, puis suivi le 5è sommet UA-UE des 29 et 30 novembre derniers en Côte d’Ivoire : qu’elles ont été les décisions « numériques » prises à l’issue de ces deux événements?Beaucoup d’initiatives ont été lancées lors de ces deux événements, mais je crois qu’il y a une volonté nouvelle d’utiliser la technologie pour créer un nouveau rapport à l’Afrique. Si l’écosystème africain reste moins développé que celui qui existe en Europe, la relation n’en est pas moins bidirectionnelle ; les développeurs africains travaillent déjà sur des projets destinés à l’Europe et les contributions sur les plateformes d’open source sont équitablement partagées. A mon sens, pour la France, l’opportunité est de sortir de la « Françafrique » en reconnaissant cette bidirectionnalité.Des initiatives comme celle de Karim Sy – Jokkolabs [espace de coworking et d’innovation en Afrique francophone, présent en Côte d’Ivoire, au Cameroun, au Mali, au Maroc, au Burkina Faso, au Benin, en Gambie et au Sénégal, ndlr] – vont dans la bonne direction et devraient être massivement soutenues. Mais, à mon sens, il manque toujours des fonds d’investissements dédiés aux enjeux d’impact par la technologie. Le fait qu’un projet comme CityTaps [société fondée par Grégoire Landel proposant des compteurs intelligents et prépayés pour apporter l’eau dans les villes du Sahel, ndlr] ne puisse progresser que très lentement du fait de levées de fonds limitées, par exemple, démontre que les grandes institutions d’impact n’ont pas encore pris la juste mesure de ce que peuvent faire les technologies numériques. Il faut encore que cela change

By |2018-08-29T10:05:10+00:00August 29th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Intelligence artificielle : mais où sont les femmes ?

En début d'année, une chercheuse du MIT, Joy Buolamwini, avait ainsi démontré que  les logiciels de reconnaissance faciale fonctionnent mieux sur des hommes que sur des femmes , et sur des personnes à peau claire qu'à peau foncée, parce que les systèmes ont été entraînés avec des bases où les hommes blancs étaient davantage représentés. De même, une étude  publiée l'an dernier par la revue « Science » montrait que les outils de traitement du langage associent plus fréquemment les prénoms féminins avec des activités familiales et les prénoms masculins avec des activités professionnelles.D'où l'importance que les outils d'intelligence artificielle ne soient pas développés uniquement par des « mâles blancs quadragénaires »,  comme l'avait dit Emmanuel Macron dans le discours de remise du rapport de Cédric Villani sur l'IA, le 29 mars dernier au Collège de France. Or, selon ce document, citant des chiffres de 2016, « dans les écoles d'ingénieur en informatique, on dénombre moins de 10 % de femmes ». La semaine dernière,  une étude de l'entreprise canadienne Element AI estimait que 12 % des chercheurs en IA dans le monde étaient des femmes (14,8 % en France).

By |2018-08-29T08:46:51+00:00August 29th, 2018|Scoop.it|0 Comments

UP Magazine – Démission de N. Hulot : l’incompatibilité écologique

L’écologie, combat perdu d’avance dans un gouvernement libéral ? Un combat qui ne peut se mener seul. « Qui serait à la hauteur tout seul ? Où sont mes troupes ? Qui ai-je derrière moi ? » s’écrie-t-il, la voix étranglée par l’émotion. Nicolas Hulot ne pouvait ignorer la position libérale d’Emmanuel Macron, comme l’a rappelé la journaliste Léa Salamé sur France Inter. « Mais on peut évoluer, s’apporter les uns les autres. Je ne critique personne. J’espère que mon départ provoquera une profonde introspection de notre société sur la réalité du monde. » Certes, mais une introspection sociétale est-elle suffisante ? La France avait jusqu’à aujourd’hui un ministre qui portait depuis trente ans des convictions profondes. Il était le porte-parole emblématique des enjeux de la planète. Il s’est heurté au mur des indifférences, des incohérences et des petits calculs à court terme. Cela en dit long sur notre aptitude collective à affronter ce qui nous attend ou, au moins, nous y préparer avec intelligence.

By |2018-08-29T08:45:26+00:00August 29th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Un potager d’intérieur urbain, évolutif et créatif pour tous

 D’ici à 2050, 80% de la population mondiale vivra dans les villes. Dans une société française de plus en plus urbaine et où les préoccupations liées à l’alimentation prennent une place de plus en plus prépondérante, la place du vert, projets et start-up écolos fleurissent et investissent les terres en milieu urbain. On l’a vu récemment avec le banc écolo de la start-up allemande Green City Solution alliant design et cause environnementale, avec la démocratisation de la culture éco-responsable et ses différents pendants, mais aussi avec des concepts innovants comme Botanic ou Pousse Pousse, deux start-up revisitant la place du jardin dans l’habitat urbain. Le postulat est clair pour toutes ses initiatives : les citoyens peuvent participer à l’évolution de la ville et des habitudes de consommation urbaines pour un avenir plus respectueux de l’environnement. Une dynamique d’accessibilité au vert et de compréhension du cycle de la nature et de ses saisons via la technologie qui ne semble en être qu’à ses balbutiement et dont nous nous impatientons de voir la suite.

By |2018-08-29T08:45:13+00:00August 29th, 2018|Scoop.it|0 Comments

How small businesses can prepare for the rise of the cashless economy

There was once a time when small businesses would only accept cash as a means of payment, but many of those same businesses are now replacing traditional tills with contactless technology as tech-savvy consumers demand quicker and easier cashless alternatives.Indeed cashless payments are no longer a luxury but a customer expectation.Debit card payments leapfrogged cash as the most popular form of payment in the UK for the first time according to data published earlier this year, 12 months sooner than expected. Hardly surprising given there are now more than 100 million contactless cards in circulation.According to industry figures from UK Finance, British consumers used their debit cards 13.2 billion times last year, up 14% from 2016, while the number of cash transactions fell by 15% to 13.1 billion during the same period. Over the next decade the number of cash payments is predicted to halve to just 6.4 billion, the equivalent of 16% of all transactions.Amid the rise of payment apps such as Monzo and Apple Wallet, businesses – no matter what size – need to prepare for a cashless future or risk being left behind.With churches now using contactless technology to take donations and a number of Big Issue vendors and buskers doing the same, there is no excuse for smaller businesses.Out with the old, in with the newTech-savvy consumers are the future, according to Bosh McKeown, the CEO and co-founder of independent London-based coffee chain The Attendant, and he doesn’t want to be left behind.The Attendant operates across four sites in Central London and made the transition to a cashless operation in April after analysing a number of data points and recognising the most popular demographic that was walking into its store.“Our cash payments continued to decrease rapidly year on year, so we’ve known for a while that we wanted to go cashless, we just needed the guts to go and do it,” McKeown says.As well as improving processes for staff, he says going cashless sets his venture apart from competitors because it has the ability to attract and retain modern day consumers who prefer the speed and efficiency of a contactless world.

By |2018-08-28T09:11:12+00:00August 28th, 2018|Scoop.it|0 Comments

De la société de consommation à la « satiété » de consommation

Le mouvement locavore : un fait social majoritaire Le territoire s’offre alors en lieu de résistance et de mise en pratique d’une consommation authentique, vraie, saine et non frelatée. Le mouvement locavore n’est plus une tendance émergente, il est un fait social majoritaire. C’est ce que révèle notre enquête : 88 % des Français disent privilégier la consommation de produits locaux et 80 % sont encore prêts à des efforts supplémentaires pour parvenir à plus d’authenticité dans leur consommation. Il est bien loin le temps où le désir d’une consommation plus authentique n’apparaissait que comme la lubie de bobos urbains ou d’écolos babas retranchés dans leurs campagnes. Après avoir été longtemps différencié en termes d’âges ou de catégories socioprofessionnelles, le profil des acheteurs de produits alimentaires bio est désormais très proche du profil “ moyen ” des Français. 85 % ont consommé des aliments bio en 2016 et une très large majorité de femmes (68 %) a acheté un produit cosmétique bio au cours de cette même année8. Dans les territoires, les preuves de cet appétit pour l’authentique sont innombrables. Les AMAP et leurs paniers de légumes et de fruits de saison continuent de croître, on en compte plus de 2 000 aujourd’hui quand elles n’étaient encore que 700 il y a cinq ans. Les vins “ naturels ” sont de plus en plus mis à l’affiche par les restaurateurs et les cavistes. Les microbrasseries se développent de façon exponentielle. La presse quotidienne régionale fourmille d’articles sur ces brasseries de proximité. Les Rennais ont soif de bière artisanale, nous dit ainsi Ouest France pour illustrer ce mouvement9. Des microbrasseries ne cessent d’éclore, en plein cœur urbain, à Montreuil par exemple, ou en pleine zone rurale, on en compte sept dans le seul département de la Creuse. Leur nombre a doublé en cinq ans, on en recense près de 1 000 aujourd’hui. Avec toujours la même recette : une bière locale, artisanale, élaborée à partir de matières produites sur place et désireuse d’incarner un territoire, un terroir. Une bière “ fait maison ” authentique dans sa composition, ses saveurs et son histoire. Chacun peut même s’y rendre pour créer, fabriquer et embouteiller sa propre bière. Toujours à la pointe quand il s’agit de saisir les tendances et les aspirations des consommateurs, les marques tentent de surfer (on verra un peu plus loin qu’il n’est pas certain qu’elles y parviennent véritablement) sur ce besoin d’authenticité. Si l’on cherchait un signe supplémentaire de la puissance de ce besoin d’authenticité, on le trouverait ainsi aisément dans les campagnes publicitaires de la grande distribution. Dans celle d’Intermarché, faisant la promotion des légumes et des fruits “ moches ” et affirmant par là sa volonté de lutter contre le gaspillage alimentaire. Dans celle, toute récente, de Carrefour, mettant en valeur la vente de légumes “ interdits ”, c’est-à-dire de légumes rares de terroir dont les semences ne peuvent être commercialisées, aux noms poétiques comme l’artichaut Camus du Léon, la courge butternut Kouign Amann ou les haricots cocos du Trégor. Ou encore, dans celle de Fleury Michon : “ Venez vérifier ”, invitant tous les consommateurs à venir par eux-mêmes constater l’origine et la fabrication des produits pour répondre aux nouvelles exigences de traçabilité et de transparence. Pour résister et tenter de faire écho à ce besoin de naturel, les marques rivalisent toutes désormais dans le marketing du “ sans ” : sans huile de palme, sans conservateurs, sans exhausteurs de goût, sans nitrites désormais, depuis qu’un livre fortement médiatisé a alerté sur les dangers de la charcuterie industrielle. C’est une tendance puissante et majoritaire : on veut mieux manger aujourd’hui. Pour le goût, parce que manger reste un plaisir. Pour soi, pour rester en forme et en bonne santé. Pour la planète aussi, en étant acteur et artisan de pratiques plus éthiques et respectueuses du vivant. Pour plus de huit Français sur dix, il n’est plus possible de consommer sans faire attention au gaspillage alimentaire, au respect du bienêtre animal et à la diminution des emballages plastique. L’alimentation devient ainsi le champ d’une consommation plus morale et vertueuse, où l’on tente à la fois d’être plus en accord avec soi-même et d’agir à son niveau contre les dysfonctionnements du monde. La même logique préside à l’engouement pour les médecines douces et les plantes. Dans notre enquête, deux tiers des Français (55 % des hommes et 72 % des femmes) disent avoir recours à des plantes et des huiles essentielles pour leur santé et leur bien-être. 

By |2018-08-28T09:11:04+00:00August 28th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Google dément du bout des lèvres vouloir lancer un moteur de recherche en Chine

Le Pdg Sundar Pichai a laissé entendre que Google n'était « pas près de lancer un moteur de recherche » qui se plierait à la censure. Mais aussi que l'entreprise ne pouvait rester à l'écart du marché chinois.Google prépare-t-il son retour en Chine et est-il prêt pour y parvenir à se plier aux desiderata de la censure chinoise ? Deux semaines après que le site « The Intercept » a affirmé que la firme américaine envisageait une version « chinoise » d'Android qui filtrerait les résultats de recherche, Sundar Pichai, le patron de Google, a formellement démenti ces informations devant ses salariés.Selon les médias anglo-saxons, c'est en effet jeudi, lors d'une réunion interne avec des salariés du groupe que le patron de Google a, pour la première fois, évoqué le sujet et tenté de couper court aux rumeurs. Mais aussi de calmer l'inquiétude et le début de fronde au sein même de l'entreprise.

By |2018-08-25T14:02:21+00:00August 25th, 2018|Scoop.it|0 Comments