Monthly Archives: September 2018

As Chavez described it, Goldman Sachs had been building a Bitcoin trading platform modelled on a commodities futures trading platform, where there is never any Bitcoin traded, but more the promise of how the currency might move.“Our institutional clients said, ‘We would love for you to clear these new Bitcoin-linked futures contracts offered by the exchanges,’ so we’ve been doing that, and then clients since May [started to ask], ‘We would like for you also to provide us liquidity and trade the principal as principal the futures contracts, not just clear them,’ and so we’ve been doing that, the next stage of the exploration, what we call ‘non-deliverable forwards.’

For the most part, the answers are straightforward. "Advertisers pay to have their ads shown in front of YouTube videos," says Markiplier, who currently has 21 million subscribers for his gaming videos. "You get a share of that." Determining that share, however, is a little more complex. "It's like this: You have a fraction of an amount. There's a bunch of factors outside of that, that have nothing to do with you, that affect whether that fraction is bigger or smaller," adds Hannah Hart, whose longstanding channel has some 2.5 million subs. Beyond that there are merch deals, collaborations with brands, and other promotions YouTubers can use to bring in cash from their channels.

Cécile Djunga, une jeune présentatrice météo, a poussé un coup de gueule sur sa page Facebook. L'occasion, pour le pays, de s'interroger sur un mal pernicieux et persistant.Après #balancetonporc, va-t-on assister à un mouvement #balancetoncon ? C'est une piste qu'envisage sérieusement Cécile Djunga, une présentatrice météo bien connue en Belgique, où elle intervient sur la chaîne RTBF depuis un an.D'origine congolaise, Cécile Djunga a publié  une vidéo sur son compte Facebook personnel, dans laquelle elle dénonce le racisme quotidien dont elle fait l'objet. Et appelle à la mobilisation contre ce fléau

A la demande de Pékin, le géant de l'Internet a dévoilé de nouveaux outils visant à mieux encadrer l'accès de ses jeux vidéo.Quelques jours auront suffi à Tencent pour répondre aux injonctions de Pékin. Et le poids lourd de l'Internet chinois ne fait pas dans la demi-mesure. Dévoilant de nouveaux outils de contrôle visant à mieux encadrer l'accès de ses jeux vidéo, Tencent a annoncé qu'il mettrait en place, aux alentours du 15 septembre, un système d'enregistrement directement connecté à la base de données de la police. Une initiative inédite dans le secteur du jeu en Chine, a fièrement souligné l'entreprise.Concrètement, les jeunes Chinois, souvent accros aux jeux vidéo, ne pourront plus tricher sur leur profil pour s'adonner sans limite à leur passe-temps favori. Le système sera en mesure de vérifier avec précision leur identité et, ainsi, de limiter les plages de temps de jeu selon l'âge des participants. « Grâce à ces mesures, Tencent espère continuer à mieux guider les joueurs mineurs et à les amener à jouer de manière raisonnable », poursuit le groupe dans un communiqué.

Sen. Bernie Sanders, hero of the left and a widely rumored 2020 presidential contender, is showing he won’t back down from powerful corporations like Amazon. If companies won’t pay their employees a living wage, Sanders argues, the government should recoup the cost of providing government services through a specific tax.Sanders is partnering with prominent House progressive Rep. Ro Khanna (D-CA) on the Stop Bad Employers by Zeroing Out Subsidies (Stop BEZOS) Act, which would enact a tax on large corporations equal to the federal benefits their low-wage employees receive in order to make ends meet. Companies such as Amazon, Walmart, and American Airlines will have to pay every dollar in aid their workers get from the government back through taxes.The bill’s goal is to curb so-called “corporate welfare” — part of an ongoing battle Sanders has been waging against corporations more broadly — but Amazon has been in his crosshairs of late. He hosted a worker town hall in July and last month put together a petition to demand Jeff Bezos implement better working conditions and pay. Last month, he also set up a web portal for employees to share their experiences, prompting Amazon, in an unusual move, to respond.

It's not easy to quantify if consumers are spending more on minimalist lifestyles or just becoming more discerning about the things they do spend money on. The rise of private labels and consumers caring less about specific brands of household goods, food and clothing speaks to a shift in values. Consumers have been fueled by Marie Kondo's best-selling "The Life-Changing Magic of Tidying Up," fascinated by tiny houses (at least nine TV shows about tiny houses have debuted since 2014) and enthralled with paring down their possessions, whether to rid themselves of mental clutter or living simply enough to be free of a 9-to-5 existence. It's not a coincidence that minimalism has been embraced during a time of economic uncertainty, especially for younger consumers saddled with student loan debt and getting by in the gig economy. 

Selon l’œil prospectif (1) de l’agence Nelly Rodi : 70% des achats de demain se feront encore dans les points de vente physiques. Plus inspirant encore, 71% des Français de 18-35 ans déclarent vouloir mêler loisirs et activités de shopping. Preuve que les magasins tiennent encore de l’enchantement et des convoitises, et misent sur la mixité de leurs espaces de vente (2). La diversité des offres (commerciales, sociales et culturelles) permet de croiser ces objectifs de fréquentation. À ce titre, le projet Vill’Up (3) veut s’inscrire comme un complexe multi-activité, qui se dégage du « tout commerce » en proposant des expériences inter-agissantes de «retailtainment». À plus forte raison, « l’atmosphère d’achats » sonne comme l’argument le plus impliquant face aux prix, la vitesse et l’accessibilité proposés par les cyberespaces de vente.

A l’heure où le numérique vient bousculer le monde de la santé, chercheurs, ingénieurs et entreprises collaborent à Nantes autour de projets communs pour concevoir des solutions concrètes issues des évolutions du numérique. L’un de leurs projets, un avatar piloté par la pensée, fait naître de réelles opportunités pour améliorer l’offre de soins et répondre aux défis de la santé de demain. L’apport des technologies du numérique dans l’évolution des approches thérapeutiques est un enjeu majeur dans le secteur de la santé. A Nantes, le CHU, l’Ecole Centrale et l’entreprise Onepoint travaillent en collaboration depuis un an sur un projet d'avatar piloté par la pensée.En combinant BCI (interfaces cerveau-ordinateur), intelligence artificielle et design thinking, ces derniers ont développé un système permettant d’analyser l’activité cérébrale d’une personne au moyen d’un casque électro-encéphalographique, et d'interpréter ses “intentions de mouvement” en les retranscrivant grâce à un avatar virtuel avec, à la clé, un réel intérêt thérapeutique.