Monthly Archives: October 2018

SpaceX Plans to Land Its First Rocket on California Soil

The rocket that will launch this weekend will be one of SpaceX’s block 5 boosters. In May, SpaceX launched the first of these souped-up versions of its flagship rocket, the Falcon 9. The block 5’s durability comes from a set of upgrades featuring improved engines, a more sturdy interstage (which connects the first and second stages of the rocket), titanium grid fins, and a more robust thermal protection system, all of which allow it to better withstand the rigors of launch. Musk says that this turbocharged version of the Falcon 9 is engineered to re-fly 10 times or more, with only light refurbishments in between, and up to 100 times before retirement.SpaceX has produced four of these beefed-up Falcons; three have flown once, while one has two launches under its belt. The one that flew in May launched again 12 weeks later, and is expected to fly again this year. The launch this weekend will refly a different block 5 booster. Designated B1048 by SpaceX, this booster first took to the skies in July, delivering 10 Iridium NEXT communications satellites into orbit.

By |2018-10-07T10:21:34+00:00October 7th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Première mondiale, SUN-E le vélo électrique solaire arrive à Montrouge

Aujourd’hui, la Ville a sur son territoire une Start-up dynamique et innovante sur des enjeux majeurs environnementaux. En effet, Rool’in, société montrougienne; développe un concept high-tech : le premier vélo électrique solaire.Une dizaine de ces vélos va être expérimentée pendant six mois par les agents de la Ville deMontrouge et ceux du Bemobi, avec le soutien de la Région Ile-de-France et de Bpi france.Par la suite, la société lancera la production avec un constructeur de vélos français.SUN-E est une prouesse de technologie. Equipé de cellules photovoltaïques à haut rendement solaire, il devient le premier vélo motorisé autonome en énergie, au monde. En effet, grâce à la présence de ces cellules et à la gestion des cartes électroniques  embarquées, SUN-E se recharge automatiquement, aussi bien à l’arrêt qu’enmouvement grâce au soleil.

By |2018-10-04T08:30:02+00:00October 4th, 2018|Scoop.it|0 Comments

En octobre, Air France met en avant 10 startups issues de la French Tech

Les startups à découvrir sur placeMyEGGO : Cette cabine de modélisation 3D, munie de 400 minuscules appareils photos, permet de créer votre avatar virtuel au millimètre près. Les clients d’Air France pourront créer leur avatar et le voir évoluer en toute autonomie dans leur téléphone mobile.Glowee : Sur le thème du biomimétisme et de la chromothérapie, cette startup propose une source de lumière vivante, tout droit venue de la nature, qui va révolutionner les manières de produire et de consommer de l’électricité.UMA (Universal Museum of Art) : Ce musée en réalité virtuelle collabore avec des musées et des spécialistes pour réaliser des expositions uniques et accessibles gratuitement sur Internet.Aveine : Cet aérateur connecté insuffle la juste quantité d’air dans votre vin pour lui permettre de respirer en un instant.La SLATE 2+ : Mêlant le plaisir du papier avec la magie du digital, cette tablette permet de numériser des textes ou des croquis en temps réel et de passer à loisir du papier à l’écran.OW1 : Ce système audio portable convertit le son digital en analogique pour retrouver une qualité d’écoute d’exception. Les startups à découvrir en ligneGéovélo : Grâce à un algorithme « multicritère », cette application guide les cyclistes en leur proposant des itinéraires courts ou sécurisés à travers la France.Foodvisor : Cette solution permet d’obtenir les informations nutritionnelles de son repas à partir d’une simple photo et ainsi de suivre son alimentation sans effort, de façon rapide et ludique.Pilipop : Cette jeune pousse a développé une méthode d’apprentissage des langues reposant sur la reconnaissance vocale. Disponible sur mobile et tablette, cette solution a été conçue par des experts linguistiques, spécialement pour les enfants de plus de 5 ans.Languages.AI : Cette solution intelligente de traduction instantanée permet aux utilisateurs d’apprendre une langue en surfant sur le web.

By |2018-10-02T16:39:43+00:00October 2nd, 2018|Scoop.it|0 Comments

L’intelligence artificielle peut-elle être créative ?

Ensuite deux algorithmes se font face : l'un génère des images selon ce qu'il a appris, l'autre est censé deviner si c'est l'oeuvre d'une machine ou d'un humain. Le but du premier est de duper le second. Quand il y arrive, on obtient un tableau « original » : « Il y a une variable aléatoire dans l'algorithme, précise Gauthier Vernier. C'est le meilleur moyen qu'on a trouvé pour imiter la créativité. » Après, il ne reste plus aux complices qu'à choisir les portraits qui leur plaisent parmi tous ceux qui ont été produits, et à afficher un prix de vente en milliers d'euros. Ils ont déjà trouvé un acheteur et sont actuellement en négociation avec deux autres.Un précédent chez GoogleLa vente chez Christie's sera la première à présenter une oeuvre entièrement générée par une IA, mais il y a eu un précédent avec des images réinterprétées par des réseaux de neurones. En 2016, Google avait organisé une vente aux enchères à San Francisco , et certaines oeuvres avaient été adjugées de 2.200 à 8.000 dollars. Les créations avaient été produites avec l'aide d'un artiste et grâce à différentes techniques, dont la plus populaire est DeepDream. Il s'agit d'une IA de reconnaissance visuelle que l'on inverse pour lui demander de trouver des choses dans des images qui n'en contiennent pas, et de les faire apparaître : chiens, chats, poissons, etc. Le résultat est psychédélique, et le procédé se revendique même comme un mouvement sous le nom d'« inceptionnisme » (en hommage au film de Christopher Nolan « Inception », sorti en 2010). Certaines d'entre elles utilisaient une autre technique : le transfert de style, il permet de donner à une vulgaire photo les airs d'un Van Gogh.

By |2018-10-02T16:18:28+00:00October 2nd, 2018|Scoop.it|0 Comments

Have marketers lost their common sense?

Renault’s vice-president of global brand strategy laments the amount of time he spends stuck on committees and working in spreadsheets, while Bella Italia’s head of digital says her board doesn’t even care about the cost per impression (CPM). Their shared frustration? Marketers have lost their common sense.Driven by an obsession with data, KPIs and the thrill of being able to watch return on investment in real-time, conversations at Ad:tech London yesterday (27 September) suggest a growing number of marketers have forgotten the basics: how to talk to customers.“We’re currently trying to get everyone to go back to common sense,” Renault’s Bastien Schupp said, speaking on a panel run by Oystercatchers‘ Suki Thompson.“Everyone’s talking in fancy technical terms but when I see a tactical ad during the World Cup semi-final on TV that drives me completely nuts. We need to find a balance between doing the basic things right, getting the right KPIs into the business and keeping some kind of common sense.”Schupp, who is currently on a mission to inject some ‘va va voom’ back into Renault, said not enough of his time is spent talking about creative. Instead, he finds himself “stuck in committees, spreadsheets and boring stuff all the time”.

By |2018-10-01T22:00:38+00:00October 1st, 2018|Scoop.it|0 Comments

« Avec l’IA, nous sommes en train de réinventer la condition humaine »

Le 26 septembre, le think tank The Future Society - créé en 2014 à Harvard - présente au Parlement Européen son rapport sur l’intelligence artificielle (IA), intitulé « A Global civic debate on governing the rise of artificial intelligence », fruit de sept mois de consultations dans le monde entier. Son objectif ? Initier une discussion autour de la gouvernance de l’IA à l’échelle européenne et continentale. Nicolas Miailhe, co-fondateur et président de The Future Society, nous explique sa démarche, et nous livre les premières pistes évoquées dans le rapport. Usbek & Rica : Comment est née l’idée d’organiser une consultation mondiale sur l’intelligence artificielle ? En quoi consiste-t-elle ?Nicolas Miailhe : On a lancé une première réflexion sur l’IA dès 2015. Très vite, nous nous sommes rendu compte qu’il y avait des fractures profondes entre les différentes communautés qui s’intéressent à ce sujet. Des fractures géographiques, mais aussi disciplinaires. Entre les ingénieurs de l’informatique et les sociologues. Entre les militaires et les pacifistes. Entre les citoyens et les industriels, les capitalistes.Et je ne parle même pas des tensions en terme de valeurs tout autour de la planète : accès aux services essentiels en Inde ou en Afrique contre protection de la vie privée ou de la dignité de la personne humaine en Europe.« La révolution de l’IA est un phénomène global dans un monde de plus en plus interdépendant »Nous avons donc constaté l'émergence d'importantes tensions globales qui sont en train de prendre de l'ampleur, parce que la révolution de l’IA est un phénomène global dans un monde de plus en plus interdépendant et interconnecté.On a senti le besoin d’organiser une conversation mondiale sur le sujet et d’une façon qui liquéfie encore un peu plus les éléments de la démocratie représentative, qui fasse vraiment dans la participation, qui implique un maximum de monde.

By |2018-10-01T22:00:30+00:00October 1st, 2018|Scoop.it|0 Comments

Autolib ‘: Bolloré réclame 235 millions d’euros à 103 communes franciliennes

Le groupe Bolloré a adressé au Syndicat Autolib' Vélib' Métropole, qui réunit les communes utilisatrices de l'ex-service d'autopartage, une facture de 235 millions d'euros, a annoncé mercredi 26 septembre dans un communiqué le syndicat mixte, qui "se réserve la possibilité" de la contester devant les tribunaux.Cette facture fait suite à la résiliation le 21 juin du contrat de service unissant les collectivités à Bolloré. Elle est en ligne avec le montant de 250 millions d'euros annoncé par le groupe fin juillet lors de l'arrêt définitif d'Autolib'.103 communes dont ParisCe montant, qui "comprend le déficit estimé par le groupe Bolloré sur les années d'exploitation du service depuis 2011 et le coût de la résiliation anticipée" est "comparable à celui déjà demandé par le passé par l'industriel aux collectivités et qui avait conduit à déclencher la procédure de résiliation du contrat", assure le Syndicat.

By |2018-10-01T21:54:39+00:00October 1st, 2018|Scoop.it|0 Comments

Voiture électrique : les usagers la jugent chère – Sciencesetavenir.fr

Selon une enquête révélé mardi 25 septembre 2018 et réalisée en ligne pour l'Observatoire Cetelem de l'automobile auprès de 10.600 personnes de 16 pays, 73% des personnes interrogées pensent que posséder une voiture électrique coûte plus cher, même si l'on inclut dans l'équation ses coûts d'utilisation très inférieurs à ceux d'un véhicule traditionnel (prix de l'électricité, assurance, frais de maintenance). "La voiture électrique reste assez mystérieuse pour l'immense majorité des automobilistes parce que c'est un saut technologique tel, que les freins psychologiques restent extrêmement importants", commente Flavien Neuvy, directeur de l'Observatoire Cetelem de l'automobile. "Il y a l'autonomie, le prix d'achat, les constructeurs et les États devront faire plus de pédagogie s'ils veulent que le marché décolle."

By |2018-10-01T21:54:18+00:00October 1st, 2018|Scoop.it|0 Comments

Carrefour, La Redoute, la Fnac… Comment ils luttent contre l’ogre Amazon

En quelques années, Amazon est devenu un empire technologique et une véritable machine à cash : "Ils affichent aujourd’hui des résultats mirobolants et sont capables de dépenser 15 milliards de dollars en R&D sur 177 milliards de dollars de chiffre d’affaires tout en étant rentables ! Cela leur permet d’investir sur des business d’avenir à trois, cinq, dix ans", explique Jérôme Gayet, président de l’Institut du Commerce connecté (ICC). Pascal Malotti, directeur conseil et marketing chez Valtech, renchérit :"Personne ne peut les suivre. Ils asphyxient littéralement la concurrence !"

By |2018-10-01T21:52:07+00:00October 1st, 2018|Scoop.it|0 Comments

Jeff Bezos signe un coup de maître dans les lancements militaires

Fournisseur traditionnel du Pentagone, la co-entreprise de Boeing et Lockheed a choisi le moteur développé par Blue Origin pour leur future fusée Vulcan.Joli succès pour Blue Origin ! La start-up de Jeff Bezos a annoncé jeudi soir que son moteur de fusée a été sélectionné par Boeing et Lockheed Martin pour leur futur gros lanceur. Alors que Blue Origin n'a encore envoyé dans l'espace que sa mini-fusée Blue Shepard destiné au  tourisme spatial, la société vient de franchir une étape clé, pour devenir un jour, fournisseur direct du Pentagone.Le moteur que la société développe depuis une quinzaine d'années pour sa future fusée New Glenn a remporté l'appel d'offres lancé par United Launch Alliance (ULA), la co-entreprise entre Boeing et Lockheed Martin qui assure traditionnellement la mise en orbite des satellites espions et de défense américains. Le moteur-fusée BE-4 se chargera de la propulsion de la fusée Vulcan. ULA a, à son actif, 110 lancements réussis pour la Nasa et la défense américaine.Abaisser le coût des lancementsVulcan doit prendre la succession des fusées Atlas V et Delta 4, le but étant évidemment d'abaisser le coût des lancements dans un marché devenu plus concurrentiel mais aussi de ne plus dépendre du motoriste russe qui fournit le RD-180 propulsant le premier étage de l'Atlas V. La fusée Vulcan fera partie des lanceurs lourds américains avec une capacité annoncée de mettre en orbite basse jusqu'à 29 tonnes de charges utiles !

By |2018-10-01T20:51:12+00:00October 1st, 2018|Scoop.it|0 Comments