Monthly Archives: November 2018

On Monday, the Venezuelan government announced that the public can now purchase the country’s national cryptocurrency directly from the Superintendency of Cryptoassets and Related Activities (Sunacrip). Sunacrip is in charge of regulating all crypto-related activities in Venezuela.The petro was originally backed by only oil. However, its latest whitepaper shows that the digital currency is now also backed by gold, iron, and diamond. The Venezuelan government-backed newspaper Correo del Orinoco wrote:This Monday the sale of el petro cryptocurrency is successfully launched for all Venezuelans and those who want to make financial transactions digitally through this mechanism.Venezuela’s vice president of the economy, Tareck El Aissami, explained that the petro can currently be acquired with a number of foreign currencies and cryptocurrencies. Accepted fiat currencies include the dollar, yuan, and the euro, he elaborated, adding that accepted cryptocurrencies include BTC, ETH, and XEM.Buyers can visit the Sunacrip headquarters to purchase the petro with cash. Purchasing with cryptocurrencies can also be done on the petro’s official website, El Aissami noted.

Sephora est la première marque de produits de beauté à tester un nouveau format publicitaire de réalité augmentée en France. Ce format doit permettre à Sephora de créer une expérience publicitaire ludique et mémorable en offrant aux consommateurs la possibilité d’essayer les masques Sephora Collection en réalité augmentée.Le dispositif s’enclenche lors de la navigation sur les sites média affiniitaires tels que Marie Claire, Au Féminin, Grazia, Vanity Fair, Glamour et Closer. Les consommateurs pourront essayer les masques visage Sephora Collection en réalité augmentée lors de leur navigation au sein même de la publicité et sans installation d’application. La campagne a été lancée avec Kr Wavemaker, agence media de GroupM France et en exploitant la technologie de Teads.

Elle doit être à l'offensive, ne cesse de répéter Bruxelles. Et elle a raison, car même si les deux premières économies mondiales ont encore pris de l'avance, avec des géants comme Binance, l'« Alibaba des cryptomonnaies », ou ConsenSys, le « studio » mondial de la blockchain, l'Europe a les moyens de combler son retard. Et surtout de s'imposer.Prise de conscienceD'abord parce que les pays européens ont compris ce qui se jouait  depuis l'explosion du bitcoin. Rares sont ceux qui n'ont pas commencé à modifier leur législation. Malte, l'Estonie et la Lituanie - la Suisse aussi - sont évidemment en pointe, avec une fiscalité et une réglementation de plus en plus claires, mais ce ne sont pas les seuls.De plus gros acteurs, comme  la France, progressent à pas de géant. Avec la loi Pacte, qui prévoit notamment la création d'un visa AMF pour  les levées de fonds en cryptomonnaies (ICO), Paris veut devenir moteur en Europe. «  On envoie un message clair sur le fait que la France et l'Europe sont une destination de choix », explique le député LREM Pierre Person, rapporteur de la mission d'information sur les crypto-actifs.Et puis le Vieux Continent a compris que la blockchain est une technologie qui nécessite énormément de souplesse. Dans leur approche, les pays européens tentent de concilier besoin de régulation et Far West réglementaire. Un subtil entre-deux alors que la technologie ne cesse d'évoluer. « C'est tout l'enjeu, réussir à encadrer la technologie sans l'empêcher de se développer », souligne Pierre Person.Surtout, l'Europe est un vaste marché, comme la Chine et les Etats-unis, avec 500 millions d'habitants. Elle a les moyens de peser, avec plusieurs hubs technologiques, des chercheurs, d'importantes places financières. Et avec un modèle économique favorable, à la fois industriel, financier et libéral. Ce qui n'est pas forcément le cas de la Chine et des Etats-Unis, où le dirigisme de l'une et la financiarisation économique de l'autre sont très marqués. Et peu compatibles avec une adoption massive de la blockchain.

Nakamoto’s successors on the Bitcoin project, along with the developers of rival cryptocurrencies, are working to solve these problems, but in ways that sometimes radically diverge from the original white paper. The Bitcoin project is considering an innovation called the Lighting Network that would speed up transactions by moving most transactions outside of the blockchain. Sirer, meanwhile, is working on new protocols that address both speed and environmental impact. Others have created new cryptocurrencies that try to address a whole host of Bitcoin issues, from performance to privacy."Technically, Satoshi has been outclassed in every imaginable way," Sirer says. "And for the issues we still face, [Satoshi’s writing] provides no solution."That led Sirer to declare on Twitter in June that "Satoshi is dead." Sirer didn't mean that literally, but in the sense that Nietzsche wrote that "God is dead": Even Satoshi wouldn't be able to resolve the sorts of disputes the cryptocurrency community now faces.Jonathan Sidego, an executive at the hedge fund Numerai agrees with Sirer that Nakamoto’s paper has little guidance to offer on the problems now facing bitcoin and that the public will interpret Nakamoto’s writings in different ways.

La France a pleinement embrassé l'essor de l'intelligence artificielle et s'est imposé comme un acteur majeur du secteur, notamment grâce à plusieurs méga-levées de fonds, supérieures à 20 millions de dollars.Qui a dit que la France était toujours à la traîne ? N’en déplaise aux French bashers, l’Hexagone fait partie des premiers rôles européens en matière de levées de fonds liées à l’intelligence artificielle, selon une étude réalisée par le fonds Serena, très actif dans le secteur. D’abord en termes de montants investis, puisque la France se classait en 2017 deuxième derrière l’indétrônable Royaume-Uni, qui concentre à lui seul plus d’un tiers des montants investis (782 millions d’euros sur 2,2 milliards de dollars). Avec 438 millions de dollars d’investissements dans des startups de l’IA fondées sur son territoire, la France est un solide concurrent. Certes talonné par l’Allemagne (306 millions de dollars) et les pays nordiques (267 millions de dollars).

October 31, 2018In a physical retail environment, packaging continues to influence consumers' purchasing decisions. This is not just from a design or visual standpoint, but also from a desire for more information.According to a September 2018 survey of 3,000 consumers worldwide conducted by science and technology company Danaher, ingredients were the most important packaging element to health and beauty shoppers, followed by the expiration date. Touch and feel and design features ranked lower. Increasingly, shoppers are turning to digital means to find these important attributes. The study found that in the past three months, 19% of internet users took a photo of a product to search for more information, 15% scanned a bar code to learn more about a product, 13% used a code to verify the authenticity of a product, while 7% used an augmented reality (AR) app.

Amazon might not be the first retailer that comes to mind for health, personal care and beauty products, but it's the third-fastest-growing category by our estimates. We forecast that Amazon's US sales of those products will reach $16 billion this year, a 37.9% increase over 2017.According to new Edison Trends data, health and beauty is the third-most-purchased category on the Amazon in 2018. For the year ending in September 2018, Neutrogena and Dove had the largest market share in the category.Of the top five beauty brands by market share, only Maybelline is associated with makeup exclusively. Judging by the other four brands (including Aveeno and Burt's Bees), it seems that skincare is more commonly bought on Amazon, likely due to items such as moisturizer, body wash or lip balm being bought on price and product attributes rather than subjective qualities like color or coverage. 

On Oct. 31, 2008, at 2:10 p.m. EDT, the creator of the Bitcoin network, Satoshi Nakamoto, announced the publication of the protocol's whitepaper using a It's been ten years since the day Nakamoto’s idea was revealed to the world which unleashed the first pure peer-to-peer version of electronic cash.