Monthly Archives: January 2019

Apple reportedly replaced 10 times as many batteries as expected in 2018

If 11 million people replaced their iPhone’s battery for $29 rather than spending $1,000 on a new iPhone, that would roughly equate to $11 billion in lost revenue. For reference, Apple said it expected to make between $5 and $9 billion less in its revised forecast. Of course, not every customer that replaced their battery would have definitely bought a new phone, and Apple’s original earnings forecast should have accounted for the replacements, but these numbers give an idea at the scale of the consumer response.COOK SAID THAT “UPGRADE RATES” DID NOT FACTOR INTO THE DECISION The discounted pricing for battery replacements was offered in light of the iPhone throttling scandal, which saw Apple degrade performance of older phones to compensate for their aging batteries. After a considerable outcry when the hidden “feature” was discovered, Apple announced it would attempt to make up for its poor communication by offering cheaper replacement batteries for a year. New batteries would remove the need to throttle older devices that were at risk of crashing when under intense loads.In the first earnings call after the reduced pricing was announced (transcribed by Six Colors), one financial analyst asked whether consumers’ increased awareness that they could replace their batteries rather than upgrade their phones should be a concern for investors. Cook said that “upgrade rates” did not factor into the decision to reduce the price of replacement batteries.

By |2019-01-16T08:36:05+00:00January 16th, 2019|Scoop.it|0 Comments

La légende des taxis-motos kényans

Bus, automobiles, trottinettes et bicyclettes électriques ou pas, centres ville et quartiers piétonniers ou pas, l’augmentation des taxes sur l’essence… la mobilité urbaine motorisée est en cause sur fond de protection de l’environnement et du bien-être des citadins. Posant les questions des infrastructures et des moyens mis en place en amont et concrètement pour que les mesures prises ne soient perçues ni comme pénalisantes ni comme une injustice par les intéressés. Même problématique en milieu urbain africain avec un flux de déplacements et des embouteillages nombreux, en raison d’une concentration accrue de la population dans ces zones.Un phénomène qui ne va pas s’arranger puisque selon des estimations récentes, la population urbaine de l’Afrique passera de 472 millions actuellement à environ 660 millions d’ici à 2025, et à 1 milliard d’ici à 2040. Et déjà de grands groupes occidentaux tels que RATP Dev, Bolloré, Bombarbier, Alstom ou même Uber apportent et adaptent leurs solutions. Tandis que des start-up, avec leurs applis et leur communauté, se lancent dans la course parmi lesquelles Easy Taxi (Rocket Internet) ou Maramoja au Kenya. Sans compter les gouvernements de pays africains subsahariens qui s’activent de plus en plus pour un écosystème autour de la mobilité en ville plus vertueux et efficace. Ainsi l’Agence Marocaine de l’Efficacité Energétique a initié un projet de vélos électriques, tandis qu’en 2017 a eu lieu à Marrakech, la première course de Formule « E » (bolides électriques)*.Entre projet artistique et reportage Encourageant, mais balbutiant. Alors en attendant, le commun des mortels qui, lui, est confronté quotidiennement aux tracas de la mauvaise circulation urbaine, s’organise et même s’amuse. Tel est le cas de ces « moto taxi drivers » baptisés Boda Boda et qui trimbalent à fond les manettes leurs clients sans relâche notamment dans les rues de Nairobi. Leurs deux roues customisés à grands renforts de couleurs et d’accessoires tels des engins de super héros pour attirer le client, ont inspiré Bobbin Case, styliste ougandais-kényan, et Jan Hoek, photographe et écrivain néerlandais.En effet, fascinés par ces motos aussi improbables et originales que réjouissantes pour l’œil, ils ont lancé leur récent projet commun intitulé : « Boda Boda Madness » grâce auquel ils ont habillé sur-mesure 7 de ces motards (qui ont eu leur mot à dire), d'incroyables panoplies complétant avec superbe le thème de leur attelage. Puis ils les ont photographiés, enfourchant leur machine et in situ, pour en faire une galerie de portraits à la fois esthétique et très réaliste, entre reportage et objet artistique. Faisant de Meet Mad Max Driver, Machette, Vibze, Ghost Rider, Red Devil, Lion ou encore de The Rasta Driver, de vraies stars du bitume tout droit sorties d’un univers fantasmagorique. Ajoutant ainsi à Nairobi une attraction aussi utile que récréative sur fond de culture traditionnelle. Mais bien réels, ces rois de la bécane infernale mis ainsi en scène, abordent par l’image ce problème ténu de la mobilité en ville. Une controverse qui a désormais ses légendes vivantes.

By |2019-01-16T08:35:45+00:00January 16th, 2019|Scoop.it|0 Comments

#A#A#A : la devise terriblement matérialiste des 15-18 ans

#Avoir, #Argent et #Apparence. Voilà les trois mots qui définissent le bonheur pour les 15-18 ans selon une enquête du cabinet Occurrence.Superficiel, vous avez dit superficiel ? Crouler sous le cash, être connu.e.s dans le monde entier et avoir un physique de rêve quitte à passer sous le bistouri : voilà à quoi rêvent les jeunes Français.es. Inquiétant pour ne pas dire flippant ?Une enquête du cabinet d’études Occurrence réalisé avec Malene Rydahl, l’auteur de plusieurs ouvrages comme « Heureux comme un danois » (Grasset, 2014, J’ai Lu 2015) et « Les 5 pièges du bonheur » (Flammarion 2017, J’ai Lu 2018) a cherché à préciser la définition que les jeunes âgés de 15 à 18 ans, ont du bonheur. La conclusion de ce sondage effectué en juillet dernier auprès de 1036 répondants peut se résumer en trois lettres : AAA pour #Avoir, #Argent et #Apparence.Un job oui mais pour gagner grosCes futures adultes sont, avant toute chose, extrêmement matérialistes. Pour eux, la clé du bonheur est le cash. 71% des jeunes pensent ainsi qu’être riche rend heureux et 1 adolescent sur 3 juge que l’argent lui permettra d’être heureux à 30 ans. Leur futur emploi doit donc être, pour eux, extrêmement rémunérateur et il doit les aider à devenir célèbres.Beaucoup souhaitent ainsi travailler dans les réseaux sociaux et devenir instagrameurs, influenceurs ou youtubers. Le métier d’avocat séduit aussi de nombreux mineurs. « Je ne m’attendais pas à ce que l’argent soit aussi puissant auprès des 15-18 ans », reconnaît Assaël Adary, président d’Occurrence. Pour être « rich et famous », la génération Z estime aussi devoir être « belle ». Et le moins que l’on puisse dire, est que les jeunes ne sont pas satisfaits de leur apparence.Vive la chirurgie esthétique Seuls 7% des adolescent.e.s se trouvent tout à fait belles ou beaux. Pour corriger leurs petits défauts ou plus si affinité, 40% des filles aimeraient faire au moins une opération esthétique. 20% des garçons souhaiteraient, eux aussi, passer sous le bistouri d’un chirurgien plastique. La beauté est pour ces jeunes étroitement liée à la notion d’être sexy. « Leur vision de l’apparence est très sexuée », confirme Assaël Adary.

By |2019-01-16T08:34:15+00:00January 16th, 2019|Scoop.it|0 Comments

UP Magazine – Objets connectés : comment réguler cette vague qui déferle dans notre quotidien ?

Collectivement, l'IoT peut nous rendre plus connectés, mieux informés, plus efficaces et moins gaspilleurs. Mais s'il est mal utilisé, il peut affaiblir la sécurité et la résilience de nos réseaux informatiques et de nos données. Car c'est la relative simplicité des dispositifs de l'IoT qui est la source des problèmes mais aussi des opportunités. « Les avantages sont nombreux mais, dans le même temps, les plus grands risques pèsent sur la résilience et la sécurité » souligne François Coallier, Président du sous-comité SC 41, Internet des objets et technologies connexes, du comité technique mixte ISO/IEC en charge de la normalisation de l’Internet des objets . Les défis que posent l'interopérabilité – c'est-à-dire la capacité des dispositifs de l'IoT de se connecter sans difficulté entre eux et avec d'autres systèmes – et la sécurité sont liés. « Les technologies évoluent sans cesse et à un rythme extrêmement rapide », ajoute François Coallier, « de sorte que leur adjonction au réseau s'est effectuée à la fois rapidement et souvent au cas par cas, au fur et à mesure de l'émergence de nouvelles technologies ». La croissance de l'IoT est exponentielle, et l'on estime que d'ici à 2020 le nombre de dispositifs IoT connectés pourrait atteindre les 50 milliards, avec un marché se chiffrant vraisemblablement en milliards de dollars. Le maillon faible2016, l'année où a été créé le JTC 1, l’organisme qui traite de la normalisation internationale dans le domaine. Ce futa également été une année frappante, au sens propre comme au figuré, pour l'Internet des objets, en raison d'attaques de grande ampleur sur les réseaux. En mars de cette année-là, par exemple, l'attaque du logiciel Mirai, qui a paralysé une grande partie de l'Internet dans l'Est des États-Unis, a été la plus grosse offensive sur l'Internet jamais réalisée. Beaucoup de gens ont été surpris de la rapidité de la propagation du code malveillant et de la facilité avec laquelle le pirate avait pu entrer dans des réseaux prétendument sécurisés. Alors, comment une telle frappe a-t-elle été possible ? En ciblant le maillon faible d'une chaîne ou, dans le cas précis, les dispositifs IoT à la périphérie du réseau.« Les auteurs de la frappe ont ciblé notamment des dispositifs tels que les caméras de vidéosurveillance sans fil et les téléviseurs intelligents vendus avec un nombre limité de noms d'administrateur et de mots de passe par défaut », explique François Coallier. Le fabricant a produit des millions de ces dispositifs. Le botnet des pirates « a essayé tour à tour chaque combinaison de nom d'administrateur et mot de passe jusqu'à ce qu'il trouve la bonne combinaison pour prendre le contrôle du dispositif » précise-t-il. « En parvenant à pirater plus d'une centaine de milliers de ces dispositifs, les pirates ont pu générer des attaques de déni de service à grande échelle qui ont mis temporairement à genou une partie du Web américain. » Concernant un autre acte de piratage largement relayé dans les médias – une attaque d'ingénierie sociale sur les ordinateurs personnels (PC) de l'administration d'une usine ayant abouti à la paralysie de sa chaîne de production – François Coallier précise, « dans ce cas, il semble qu'il ait été possible d'accéder aux systèmes de production de l'usine à partir de ses PC, ce qui n'aurait pas été le cas si les systèmes de production avaient été isolés des PC connectés à l'Internet par une segmentation adéquate du réseau. » Qui plus est, le réseau aurait pu être beaucoup plus sûr simplement en appliquant les processus et procédures bien documentés déjà décrits dans de nombreuses normes liées à la sécurité informatique, qui préconisent la segmentation des réseaux pour une sécurité accrue. La même année que le botnet Mirai, un groupe de chercheurs israéliens a démontré comment il est possible de pirater un réseau d'éclairage, simplement à l'aide d'un drone aéroporté modifié, en exploitant la vulnérabilité d'une ampoule intelligente courante. En contournant les mesures de sécurité d'une seule et unique lampe, il est possible d'infecter les ampoules adjacentes compatibles et d'en prendre le contrôle. Selon ces chercheurs, s'il y a, dans une ville, suffisamment d'ampoules intelligentes utilisant les mêmes protocoles de communication, des attaquants malveillants peuvent facilement accéder et infecter en quelques minutes l'ensemble du réseau d'éclairage. Scénario extrême servant à démontrer la réalité des failles, l'exercice a montré le potentiel d'attaques malveillantes de grande ampleur dans des réseaux apparemment sécurisés, en exploitant des vulnérabilités négligées dans des dispositifs simples en périphérie du réseau.

By |2019-01-15T03:00:51+00:00January 15th, 2019|Scoop.it|0 Comments

La blockchain désormais sous l’œil de Pékin

La Chine va imposer aux sociétés exploitant une blockchain de nouvelles réglementations strictes leur imposant de censurer le contenu, d’autoriser les autorités à accéder aux données et d’identifier les utilisateurs.L’Administration chinoise du cyberespace (CAC) a introduit de nouvelles réglementations concernant les sociétés exploitant la technologie blockchain qui opèrent dans le pays.Sous couvert d’assainir le secteur de la blockchainCes réglementations sont regroupées sous l’appellation «Réglementation sur la gestion des services d’information sur la blockchain»,L’annonce a été publiée sur le site Web de l’organisme de réglementation le jeudi 10 janvier. Les lignes directrices, qui entreront en vigueur le 15 février, ont été élaborées dans le but de contribuer au “développement sain de cette industrie”.Le CAC estime que ces nouvelles règles sont faites pour «préserver la sécurité nationale et les intérêts publics sociaux, tout en protégeant les droits et intérêts légitimes des citoyens».Après les cryptomonnaies, la blockchainLa Chine réprime les crypto monnaies depuis 2017, année où le gouvernement chinois a tout simplement interdit les ICO et empêché les échanges de crypto-monnaie sur son marché intérieur.La technologie de la blockchain semble, elle, tolérée, même si Pékin veut garder un oeil sur son usage.Ainsi, les sociétés concernées seront tenues d’enregistrer les utilisateurs avec leur nom et leur identité nationale ou leur numéro de téléphone portable tout en éliminant tout contenu jugé interdit par la législation chinoise en vigueur.Les entités qui violeraient ces règles seront passibles d’amendes ou de poursuites, a déclaré la CAC. Les amendes vont de 5 000 à 30 000 yuans (640 à 3900 euros).

By |2019-01-15T02:18:31+00:00January 15th, 2019|Scoop.it|0 Comments

#CES2019 : « si elle ne rassure pas le public, l’industrie des véhicules autonomes ne verra jamais le jour »

« La société n’acceptera jamais une machine qui tue des gens »Au 21 décembre 2018, le ministère des véhicules motorisés comptabilisait 129 accidents mettant en cause des véhicules autonomes dans l’état de Californie. Un chiffre dérisoire en comparaison avec les 1000 morts chaque année sur les routes américaines causées par l’alcool. Pourtant les accidents impliquant des véhicules autonomes ont fait couler beaucoup d’encre. « La société n’acceptera jamais une machine qui tue des gens. », a réagi Amon Shashua, Professeur et CEO de Mobileye, une filiale d’Intel dédié au développement de système autonome embarqué. Pour lui, l’enjeu ne consiste pas à prouver la sécurité des dispositifs, mais avant tout à la définir.« Nous avons créé un modèle pour définir le concept de prudence d’un point de vue mathématique de manière à ce qu’il puisse être implémenté au sein d’une intelligence artificielle », a-t-il ajouté. Les équations de ce modèle ont été partagées au travers d’un livre blanc par Intel afin d’être reprises par les différents constructeurs. Le gouvernement chinois, Baidu, Huawei et Valeo ont d’ailleurs débuté les essais la semaine précédant le CES 2019. Le conférencier a invité tous les acteurs du segment, même ses concurrents, à rejoindre l’initiative qui bénéficiera à l’intégralité de l’industrie. « Il n’est pas question de créer de la concurrence sur des sujets sécuritaires », a déclaré Déborah A.P Hersman, Présidente et CEO National Safety Council, saluant l’initiative menée par Mobileye.

By |2019-01-14T20:54:23+00:00January 14th, 2019|Scoop.it|0 Comments

#CES2019 : La sonnette connectée, une solution pour accueillir les clients d’Airbnb et consorts ?

Les sonnettes connectées ont le vent en poupe sur le marché de la maison intelligente, en témoigne la douzaine de projets repérés au CES 2019. Si Amazon y voit déjà une opportunité d’optimiser son service de livraison à domicile, les acteurs positionnés sur le segment de l’hébergement alternatif ont aussi leur carte à jouer. De tels dispositifs ne permettraient-ils pas, notamment, de déverrouiller la porte aux touristes quand l’hôte ne peut être présent ?Ring, Netatmo, Kasa, Ezviz, Tuya, Maximus Altro Smart… Avec près d’une douzaine de projets repérés lors du CES 2019, les sonnettes connectées sont venues en force aux États-Unis. Ces supports ajoutent une palette de fonctionnalités au segment de la maison intelligente. Si chaque marque tente de se démarquer au travers d’un design ou d’une fonctionnalité particulière, la majorité des projets propose le même type de service. Équipés d’une caméra, d’un haut-parleur, d’un assistant personnel — Google Assistant, Alexa ou Siri — et connectés au smartphone de l’utilisateur, ces appareils constituent de nouveaux dispositifs de sécurité.Certains, comme l’Altro Smart, permettent d’ouvrir à distance la porte de l’habitation à un individu. Dans le commerce, Amazon y voit déjà une opportunité pour ses livreurs de déposer un colis à l’intérieur de la maison ou de l’appartement tandis que le propriétaire est absent. Mais dans le Tourisme, ce genre de serrure pourrait avoir une toute autre utilité…

By |2019-01-14T20:52:46+00:00January 14th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Walmart’s New Campaign Spotlights Digital Grocery Business

The campaign, which debuted during the Golden Globes award show, uses famous vehicles from film and television—including the Batmobile, the DeLorean from "Back to the Future" and Scooby Doo's Mystery Machine—to highlight the convenience and ease of buying online and picking up in-store (BOPUS).But the marketing effort isn't limited to traditional linear TV. In a blog post, Walmart's CMO Barbara Messing wrote that it's cross-platform, with creative being spread across social media, online video, radio and in-store platforms.The campaign comes as Walmart and Amazon continue to fight for supremacy in the US digital grocery space. A Deutsche Bank Securities report published in October predicted that, by the time 2018's sales were counted, Walmart would likely overtake Amazon as the largest digital grocery player in the US.Similarly, data from The Retail Feedback Group shows that Walmart might hold a slight advantage over Amazon among consumers. The November 2018 survey of US digital grocery shoppers found that 33% had bought groceries from Walmart online within the past month, compared with 31% for Amazon.

By |2019-01-14T20:52:30+00:00January 14th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Latin American P2P Markets Defy Global Trend to Smash Volume Records

Despite a steady decline in global Localbitcoins volume during recent weeks when measuring in fiat currency, several Latin America P2P markets consistently posted record trade activity heading into the new year.The months of November and December 2018 saw the Colombian Localbitcoins post consecutive records for weekly trade activity.The increased volume appears to have peaked during the end of December, with the current record of 759 BTC or 8.40 billion Colombian Pesos (COP) (approximately $2.66 million) worth of cryptocurrency changing hands during the week of Dec. 22, 2018.Since then, volume has significantly receded, with 346 BTC or approximately 4.26 billion COP (roughly $1.35 million) worth of bitcoin core trading hands during the week of Jan. 5th, 2019 – a drop in volume of between 50 and 55 percent over the course of just two weeks.Peruvian and Argentinian Trade Activity Drops 50% Since December SurgeWhen measuring in fiat currency, the Peruvian Localbitcoins markets posted six consecutive records for weekly trade volume from the week of Nov. 14, 2018, until Dec. 29, 2018.Peruvian P2P trade saw a new record posted for both fiat and cryptocurrency volume with 252 BTC or 3.46 million Peruvian Sol (PEN) (nearly $1.04 million) worth of trade during the final week of 2018. Since posting the current record, P2P trade between PEN and BTC has dropped by roughly 25 percent to 190 BTC or 2.59 million PEN (approximately $776,000).When measuring in fiat currency, the Argentinian Localbitcoins markets posted record volume of nearly 9.45 million Argentine Pesos (ARS) (roughly $256,000) during the week of Dec. 8, 2018. The same week saw 65 BTC traded on the platform, the most to change hands since April 2017.Despite the significant burst in trade activity, Argentinian P2P trade appears to have since dropped off by between 40 and 50 percent in roughly one month, with 30 BTC or 5.64 million ARS (approximately $153,000) worth of crypto trading on Localbitcoins during the week of Jan. 5, 2019.Dominican and Mexican P2P Trade Spikes During Week of Dec. 22, 2018P2P trade between the Dominican Peso (DOP) and BTC broke records twice during December 2018, with volume more than doubling during the week of Dec. 22 to post the current record of 47 BTC worth of weekly trade when measuring in cryptocurrency.When measuring in fiat, the 9.2 million DOP (roughly $182,000) worth of BTC traded during the same week comprises the third strongest weekly trade activity on record, and the strongest volume posted since the week of Jan. 13, 2018.Mexico also saw a surge in P2P trade during the week of Dec. 22, 2018, with 9.34 million Mexican Pesos (MXN) (roughly $488,000), or 115 BTC, changing hands in a single week – the second strongest on record when measuring in MXN.Venezuelan Cryptocurrency Trade Continues to SurgeSeven weeks during November and December of last year saw record volume posted for Venezuelan Locabitcoins trade when measuring BTC, six of which also comprised then-record volume when measuring in Venezuelan Bolivars (VES).After posting a new record of 1,974 BTC or 5.29 billion VES (nearly $6.66 million) worth of trade during the week of Dec. 22, the Venezuelan Localbitcoins markets have since failed to post a new record for two consecutive weeks when measuring in cryptocurrency for the first time since September 2018.

By |2019-01-14T20:52:10+00:00January 14th, 2019|Scoop.it|0 Comments

No, IBM’s Quantum Computer Won’t Break Bitcoin

IBM’s commercial launch of its new quantum computing system has fueled reports claiming that the technology may spell doom for bitcoin and cryptocurrency.The reports are based on a long-standing fear that the advent of quantum computing could break contemporary encryption practices, undermining the security of distributed ledger technologies.The Q System One uses IBM’s 20-qubit chip, with the company claiming that the unit is “designed for commercial use.” At launch, Arvind Krishna, director of IBM Research, described the system as “critical in expanding quantum computing beyond the walls of the research lab as we work to develop practical quantum applications for business and science.”Despite IBM implying that the computer can be physically purchased, the device is only accessible via the cloud due to the extreme delicacy and climate required to operate quantum chips. According to Gizmodo, IBM also “already offers cloud-based access to its [quantum] experience, which includes the 20-qubit chip.”Experts Doubt Practical Uses for IBM’s 20-Qubit SystemWhile a number of analysts have noted the commercial significance of IBM’s Q System One, many onlookers are skeptical of the capabilities of the system, instead suggesting that 50-qubit chips are likely to have a greater array of practical applications.Helmut Katzgraber, principal researcher at Microsoft Quantum, similarly described IBM’s announcement as a “historical milestone to be able to commercially acquire a digital device, even though the technology is at its infancy,” but anticipates that the system will be of little use beyond research and PR.IBM Q System One Comprises Commercial Rather Than Computational MilestoneDespite describing the increasing accessibility of quantum computing as “significant,” Andrew Childs, the co-director of the Joint Center for Quantum Information and Computer Science at the University of Maryland, expressed skepticism regarding IBM’s device, stating: “Ultimately though, I think figuring out how to make a lot of low-noise qubits is a lot more important than figuring out how to put them in a beautiful package.”“It’s more like a stepping stone than a practical quantum computer,” stated Winfried Hensinger, professor of quantum technologies at the University of Sussex. “Don’t think of this as a quantum computer that can solve all of the problems quantum computing is known for. Think of it as a prototype machine that allows you to test and further develop some of the programming that might be useful in the future,” he added.

By |2019-01-14T20:51:37+00:00January 14th, 2019|Scoop.it|0 Comments