Monthly Archives: March 2019

Your Grocery Store and Office May Soon Come to You | Fast Forward

Hannah Lina Mazzetti recalls the inconvenience of driving an hour from her home in rural Sweden just to buy a gallon of milk. Missing was a local corner store. So the 29-year-old public relations expert helped invent a modern substitute that can potentially drive and park itself.Moby Mart stores are staffless modules with inventory, payment and security systems built in. Customers can unlock the stores with smartphone apps, shop and then check out — all without a storekeeper. Each of three models represents an early foray into what a growing number of designers are working to build: a future where spaces for retail, play and work will come to you — like autonomous cars, but bigger.Space10, an Ikea-funded living future lab in Copenhagen that launched in 2015, last year unveiled its Spaces on Wheels program, with designs for seven different potential autonomous spaces. These vehicles range from an Ikea store on wheels to Play on Wheels, which would allow people to use augmented reality (AR) windows to play games that interact with their surroundings. If this sounds unrealistic, consider that in November 2017, Apple was granted a patent for AR displays that allow external objects to be viewed through a movable transparent window.

By |2019-03-22T06:31:55+00:00March 22nd, 2019|Scoop.it|0 Comments

Facebook Stored Millions of Passwords in Plaintext—Change Yours Now

rganizations can store account passwords securely by scrambling them with a cryptographic process known as hashing before saving them to their servers. This way, even if someone compromises those passwords, they won't be able to read them, and a computer would find it difficult—even functionally impossible—to unscramble them. As a prominent company with billions of users, Facebook knows that it would be a jackpot for hackers, and invests heavily to avoid the liability and embarrassment of security mishaps. Unfortunately, though, one open window negates all the padlocks, bolts, and booby traps money can buy.“As part of a routine security review in January, we found that some user passwords were being stored in a readable format within our internal data storage systems,” Pedro Canahuati, Facebook’s vice president of engineering, security, and privacy wrote in a statement. “Our login systems are designed to mask passwords using techniques that make them unreadable. To be clear, these passwords were never visible to anyone outside of Facebook and we have found no evidence to date that anyone internally abused or improperly accessed them.”Canahuati says that Facebook has now corrected the password logging bug, and that the company will notify hundreds of millions of Facebook Lite users, tens of millions of Facebook users, and tens of thousands of Instagram users that their passwords may have been exposed. Facebook does not plan to reset those users’ passwords.

By |2019-03-22T06:30:51+00:00March 22nd, 2019|Scoop.it|0 Comments

UP Magazine – Trop d’humains tue l’humain ?

Nous sommes 7.7 milliards d’humains vivant sur cette Terre. 80 millions supplémentaires chaque année, soit 220 000 chaque jour. Le rythme a beau décélérer un peu, la tendance nous mène vers une population mondiale de plus de 8 milliards d’âmes dès 2022 pour atteindre la barre des 10 milliards en 2050. En un siècle, de 1950 à 2050, la population humaine aura été multipliée par presque cinq. Un phénomène vertigineux qui s’accompagne de périls déjà amorcés aujourd’hui : vieillissement de la population, poids démographique des pays du Sud, urbanisation échevelée, épuisement des ressources naturelles, dégradation des écosystèmes, migrations climatiques, sociales, économiques ou politiques devenues incontrôlables… Faut-il arrêter de faire des enfants pour sauver la planète ? Doit-on craindre que trop d’humains ne fasse disparaître l’humanité ?Si la population mondiale continue d’augmenter, c’est en raison de l’excédent des naissances sur les décès – les premières sont près de trois fois plus nombreuses que les seconds. Cet excédent apparaît il y a deux siècles en Europe et en Amérique du Nord lorsque la mortalité commence à baisser dans ces régions, marquant les débuts de ce que les scientifiques appellent la transition démographique. Il s’étend ensuite au reste de la planète, lorsque les avancées de l’hygiène et de la médecine et les progrès socio-économiques atteignent les autres continents.Une population africaine en pleine croissanceLa croissance démographique a atteint un taux maximum de plus de 2 % par an il y a cinquante ans et a diminué de moitié depuis, pour atteindre 1,1 % en 2017.Elle devrait continuer de baisser dans les prochaines décennies en raison de la diminution de la fécondité : 2,5 enfants en moyenne par femme aujourd’hui dans le monde, contre le double (cinq enfants) en 1950. Parmi les régions du monde dans lesquelles la fécondité est encore élevée (supérieure à trois enfants), on trouve en 2017 presque toute l’Afrique intertropicale et les régions allant de l’Afghanistan jusqu’au nord de l’Inde en passant par le Pakistan (voir la carte ci-dessous). C’est là que se situera l’essentiel de la croissance démographique mondiale à venir.L’un des grands changements à venir est le formidable accroissement de la population de l’Afrique qui, Afrique du Nord comprise, pourrait quadrupler d’ici un siècle, passant d’un milliard d’habitants en 2010 à probablement 2,5 milliards en 2050 et plus de 4 en 2100, ceci malgré l’épidémie de sida. Alors qu’un homme sur six vit aujourd’hui en Afrique, ce sera probablement plus d’un sur trois dans un siècle. L’accroissement devrait être particulièrement important en Afrique au sud du Sahara où la population pourrait passer d’un peu plus de 800 millions d’habitants en 2010 à 4 milliards en 2100.

By |2019-03-22T06:26:07+00:00March 22nd, 2019|Scoop.it|0 Comments

Dépenser plus pour économiser plus…

Loyalty Challenge repose sur un mécanisme de gamification pour lancer, à chacun des clients, des défis ultra-personnalisés en fonction de ses goûts et affinités. Ces challenges consistent à dépenser sur plusieurs semaines un montant donné sur une marque donnée afin de gagner une récompense sous forme de cagnotte à dépenser dans l’enseigne.« Nos algorithmes nous permettent ainsi de constater que vous avez une affinité particulière pour Barilla et que vous dépensez en moyenne sept euros par semaine pour acheter leurs produits », précise Zyed Jamoussi « Notre programme va alors vous proposer d’investir non plus cinq mais sept euros pour profiter d’une promotion de 20 ou 25%. C’est une nouvelle manière de faire de la fidélité dans les magasins. Avant vous accumuliez des points dès le premier euro dépensé mais les rabais étaient faibles et maintenant vous économisez plus si vous dépensez plus… ». Les distributeurs ont vite compris les avantages qu’ils pouvaient tirer de ce système.Défis et gamification « L’innovation étant au cœur de notre stratégie de fidélisation client, nous avons été particulièrement séduits par la solution Loyalty Challenges », résume Anne Benoit, Responsable CRM Auchan Retail France « Elle permet à Auchan de faire de la fidélisation one to one et de renforcer nos dispositifs basés sur l’ultra-personnalisation. Grâce à UntieNots, nous pouvons développer des propositions très impactantes pour nos clients et créer une expérience client unique ». Les fidèles de l’enseigne sont ainsi invités à se rendre sur la page web dédiée ou sur l’application MyAuchan pour choisir des défis qui correspondent à leurs goûts et à leurs historiques d’achat. Les défis se cumulent et permettent de gagner jusqu’à 50€ de cagnotte grâce à ses achats online et offline. Une fois les défis sélectionnés d’un simple clic, il lui suffit de présenter sa carte de fidélité en caisse. Aucun coupon ni ticket à scanner n’est nécessaire pour « jouer ». Après chaque achat, les compteurs des défis grimpent. Les consommateurs peuvent suivre à tout moment la progression de leurs challenges. Lorsque leurs objectifs sont atteints, ils reçoivent leur récompense en cashback. Testés avec succès en 2017 auprès de 150 000 clients, Auchan propose désormais ses « Défis Waaoh » à toutes les personnes qui possèdent sa carte de fidélité.

By |2019-03-22T06:22:57+00:00March 22nd, 2019|Scoop.it|0 Comments

UP Magazine – Plaidoyer pour une souveraineté numérique européenne

Le  numérique est devenu le nouveau théâtre de conflits internationaux entre États mais aussi avec les acteurs industriels, comme l’a révélé en son temps Edward Snowden sur la surveillance pratiquée par la NSA. Il s’agit d’un nouvel enjeu auxquel sont confrontés les États, les acteurs économiques et les citoyens eux-mêmes, pour préserver leur souveraineté numérique. La Gouvernance de l’Internet ne doit plus être uniquement envisagée comme une régulation « a posteriori » des édifices technologiques mis en place par les industriels mais bien comme une co-conception à laquelle les citoyens et les entreprises européennes devront être associés pour définir les normes et standards de ces technologies (1). Le 26 mai prochain les électeurs européens voteront afin d’élire leurs représentants au sein du Parlement de l’Union européenne. Dans une forte période d’instabilité politique, l’Union jouera son devenir. Les électeurs attendent une vision et un cap pour répondre aux nombreux enjeux d’avenir. Parmi ceux-ci, le numérique a pris une place singulière et incontournable. Aussi, le CESE encourage l’Union européenne à faire émerger son modèle. Présent dans tous les domaines et porteur d’avancées indéniables, le numérique est devenu un marqueur économique et stratégique fort. Les géants américains (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft – GAFAM) et chinois (Baidu, Alibaba, Tencent, Xiaomi – BATX) en sont l’illustration majeure. Leur position dominante dans le monde et donc dans l’Union, conjuguée à des pratiques commerciales et éthiques éloignées des principes auxquels l’Union est attachée, induit un enjeu majeur en termes de souveraineté.Face à ces géants, l’Union européenne doit pouvoir elle aussi porter un modèle qui lui est propre et faire émerger sa voie distincte. De même que plusieurs mondes politiques sont imaginables selon les clivages, plusieurs mondes numériques sont concevables selon les choix stratégiques qui seront faits.Pour que l’Union européenne renoue avec les principes d’un internet ouvert et décentralisé, soutienne les acteurs européens du secteur et se positionne sur les technologies prometteuses (Intelligence artificielle, blockchains…), le Conseil économique, social et environnemental (CESE) préconise notamment : • De renforcer la régulation des plateformes numériques à l’échelle de l’Union européenneLe CESE considère qu’il convient d’instaurer les conditions d’une concurrence équitable sur le marché numérique européen. Pour cela, le CESE recommande de renforcer le travail de conviction et la construction d’alliances au niveau européen et international afin d’aboutir en 2020 à l’adoption d’un régime fiscal commun des grandes entreprises du numérique. D’ici-là, le CESE encourage la mise en place, entre les Etats membres qui y sont favorables, d’une coopération renforcée pour l’instauration d’une taxe GAFAM, sur le modèle de celle décidée par la France. Le CESE recommande de garantir le respect des principes et des valeurs de l’Union européenne dans l’économie des données ainsi que la neutralité du net. A cette fin, le CESE préconise de renforcer le principe de consentement libre et explicite des utilisateurs et utilisatrices à la collecte et à l’utilisation de leurs données personnelles. De même, le CESE recommande de renforcer le régime juridique de la responsabilité des plateformes en les dotant d’un statut propre et de réaffirmer le principe de la neutralité du Net, sous le contrôle d’une autorité indépendante (« DataWatch »). • De favoriser l’émergence d’un écosystème numérique conforme aux principes et aux valeurs de l’Union européennePour le CESE, il convient de mettre en place un environnement favorable à un écosystème numérique ouvert en Europe. Pour cela, le Conseil préconise de renforcer la coopération en matière de cybersécurité entre l’Union européenne, ses Etats membres et ses partenaires stratégiques et de saisir l’Organisation internationale du travail (OIT) afin d’établir une nouvelle norme internationale en la matière. Le CESE estime également que l’émergence d’un tel écosystème passera par un soutien au développement du numérique européen. Soutien qui pourrait notamment s’exprimer par la création d’un label Euro Tech, d’un guichet unique européen et d’un dispositif incitatif de financement pour améliorer l’accès des jeunes entreprises européennes aux technologies numériques.

By |2019-03-20T21:27:57+00:00March 20th, 2019|Scoop.it|0 Comments

In brands and blockchains we trust | Interbrand

Trust is in decline everywhere you look. Multiple studies have shown an ongoing decline in trust between people and governments, NGOs, media and corporations for a number of years. In a recent global study, when consumers were asked about their expectations of a company CEO they overwhelmingly prioritised ‘ensuring trust’ over all other factors, including the quality of products and services.Trust is the foundation of commerce and a critical factor in building strong brands, yet it’s at an all-time low. The internet is in some ways partially to blame for this implosion of trust but, as is often the case, technology is both the problem and the solution. The next generation of internet technologies is already gestating and is based on blockchain technologies – technologies that will hopefully start to rebuild trust in our institutions, precisely because they are more ‘trust-less’.A blockchain is simply a digital ledger, a record of transactions and data. The clever part is when these digital ledgers are public, decentralised and permission-less, which means there’s no central authority that has the power to change transactions and data within the ledger. Bitcoin is a good example of a decentralised permission-less ledger. Nobody owns bitcoin and, due to the difficulty involved in the blockchain’s cryptography and the power required to mine a block, it’s currently impossible to change records on the bitcoin blockchain. The bitcoin ledger is immutable.So what’s the connection with trust? Well, blockchain technologies and these immutable ledgers are now being applied to many industries where trust is a factor in value exchange and value creation. From supply chain integrity to social media, finance and artificial intelligence, there are hundreds of blockchain projects being worked on right now by the next wave of disruptive startups with trust at the core.

By |2019-03-20T21:27:44+00:00March 20th, 2019|Scoop.it|0 Comments

30 Years On, Reports of the Web’s Death Are Exaggerated

On the early web, launched two years after Berners-Lee's proposal, you could click links to other pages and files, read text, and—well, that's about it. But it's no exaggeration to say an entire ecosystem emerged from Berners-Lee's simple components. As web browsers became more sophisticated, so too did the web. The Mosaic browser from the National Center for Supercomputing Applications popularized inline images. Netscape, founded by former Mosaic developers, delivered more sophisticated tools for the visual design of pages. More importantly, Netscape 2.0 introduced the JavaScript programming language in late 1995, which enabled web developers to add more interactivity to their sites.At first JavaScript could only be used for simple things, like ensuring that you filled out all the "required" fields on a form before submitting it. But by 2006, JavaScript and other web technologies had become powerful enough to build complex applications like Google Docs. The additional utility came at a cost. In 2016 the typical website reached the size, in megabytes, of the original 1993 version of the videogame Doom. Thanks to ads and ad tracking scripts, an apparently simple webpage could now take up multiple floppy disks. And the median size just keeps growing.With each leap forward in its underlying technologies, the web has become ever more useful—and ever more annoying. The ability to open multiple windows was a handy feature, but it also led to the rise of the pop-up ads that plagued the web in the late 1990s and early 2000s. Browser makers responded to the scourge of pop-up ads with their own built-in pop-up blockers. That endless cat-and-mouse dynamic might be reason enough to retreat from the web to apps. But these escape hatches tend to just lead right back to the web.In 2010, WIRED proclaimed that the web was dead. That pronouncement was premature, partially because links to web content became the currency of social media. But also because the web had become so powerful that its underlying technologies are now used to build mobile and desktop apps. For example, the desktop versions of apps like Slack, Discord, and Spotify are actually built on Google's Chromium web browser. They are, in essence, web browsers that serve up only a single web application. Countless mobile applications work much the same way.That’s because creating multiple versions of an app for different operating systems is a lot of work. The web, all the way back to Berners-Lee's original proposal, was always meant to be cross-platform. In recent years, tools like Electron, a toolkit open-sourced by GitHub and used by Slack and Discord to make their desktop apps, and React Native, a Facebook creation for building mobile apps with JavaScript, have brought the idea of using web technologies to create native applications into the mainstream. For example, Microsoft used Electron to build its desktop code-editing tool VS Code.Even apps that aren't necessarily repurposed web browsers rely heavily on web technologies. Apple News and podcasting apps rely on a web format called Really Simple Syndication (RSS) to slurp up the content that they present to you. And behind the scenes, servers still use the successor protocols to Berners-Lee's original HTTP to communicate with one another.The web proved so powerful that instead of being killed by apps, it remade computing in its own image.

By |2019-03-20T21:27:29+00:00March 20th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Le buzz des Etats-Unis : une dernière levée de fonds avant la Bourse pour Uber

Un petit milliard pour la route. Selon  le « Wall Street Journal » , Uber serait en négociations avancées pour obtenir au moins un milliard de dollars supplémentaires, de la part d'un consortium mené par Softbank, juste avant l'introduction en Bourse de la société, prévue cette année. La somme serait destinée au développement de son unité de voitures autonomes et viendrait s'ajouter aux quelques 24 milliards de dollars levés par Uber depuis sa création.Softbank, déjà actionnaire d'Uber, investirait via son fonds Vision Fund, en compagnie d'autres investisseurs, parmi lesquels un constructeur automobile dont le nom reste pour l'instant secret. Ce consortium prendrait une participation minoritaire dans l'unité dédiée à la conduite autonome, sur les bases d'une valorisation comprise entre 5 et 10 milliards de dollars.De lourds investissementsPour Uber, il s'agit de continuer à investir dans un domaine où tous les acteurs du secteur se battent. En 2017, la société californienne n'avait pas hésité à dépenser 750 millions de dollars pour le développement de son activité de robotaxis. Mais elle a dû réduire ses investissements l'an dernier.L'opération pourrait être conclue le mois prochain, selon le quotidien américain, alors que l'introduction en Bourse d'Uber devrait intervenir en mai ou en juin. La société doit apporter des précisions la semaine prochaine sur son entrée en Bourse, au cours d'une réunion avec les analystes et lors de réunions préliminaires avec ses avocats et ses banquiers. Dans son ensemble, elle  vise une valorisation de 120 milliards de dollars et chercherait à gonfler son unité sur les voitures autonomes afin de séduire les investisseurs.

By |2019-03-20T21:05:40+00:00March 20th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Aéroport de Lyon : le robot voiturier Stan gare les voitures des voyageurs d’affaires (+vidéo)

Après des tests effectués début 2018, le robot voiturier Stan va proposer ses services aux voyageurs d'affaires à plus grande échelle sur le P5+ de l'aéroport de Lyon. Quatre machines autonomes, fonctionnant en simultané, prendront prochainement en charge les voitures des passagers. Elles auront à leur disposition 500 places de parking et 12 boxes pour accueillir et restituer les véhicules aux clients. La plate-forme lyonnaise a ajouté "L’objectif est naturellement de poursuivre le développement et d’augmenter encore la capacité de ce parking innovant. A terme, ce dispositif pourrait représenter jusqu’à 2000 places supplémentaires et s’étendre sur plus de 6000 places en tout".  Avec ce nouveau système de parking automatisé, les voyageurs d'affaires ne perdent plus de temps à chercher une place disponible ou à retrouver son véhicule. Après avoir réservé un parking sur le store d’Aéroports de Lyon, le passager dépose son véhicule dans un box dédié, pour ensuite rejoindre les terminaux via la navette située à proximité immédiate. Le robot-voiturier vient alors prendre en charge la voiture afin de la stationner sur un parking sécurisé. A son retour, le client récupère son véhicule dans l’un des boxes. L'aéroport de Lyon n'est pas la seule installation aéroportuaire intéressée par le robot voiturier, imaginé par Stanley Robotics. Londres Gatwick testera l'appareil cet été tandis que Roissy a sauté le pas en 2017.

By |2019-03-20T20:46:12+00:00March 20th, 2019|Scoop.it|0 Comments

« On va plutôt vers la fin des robots humanoïdes »

« Discuter avec un robot n’est pas aussi plaisant que de converser avec un humain. » C’est ce que nous dit notre cerveau et ce que montre une étude menée par des chercheurs du CNRS et d’Aix-Marseille Université, publiée le 11 mars dans la revue Philosophical Transactions of the Royal Society of London B.Plus précisément, les chercheurs ont enregistré par imagerie à résonance magnétique fonctionnelle l’activité du cerveau de volontaires qui devaient tour à tour discuter avec un être humain, puis avec un robot humanoïde. Conclusion : la discussion humaine stimule bien davantage l’activité de l’amygdale et des noyaux gris centraux, impliqués dans les circuits de la récompense, mais aussi de l’hypothalamus, qui synthétise l’ocytocine, un neuropeptide favorisant le lien social.Notre système de récompense sociale s’active donc davantage lorsque nous interagissons avec des humains que lorsque nous le faisons avec des robots, même humanoïdes. Est-ce à dire que notre cerveau dresse une barrière infranchissable, de nature, entre nos congénères et leurs ersatz robotiques, tuant dans l’œuf les fantasmes de développement des robots sociaux ? Ou bien le perfectionnement de la technologie est-il capable de combler ces écarts de perception ? Nous avons posé la question à l’un des auteurs de l’étude, Thierry Chaminade, chargé de recherche au CNRS, à l’Institut de neurosciences de la Timone (CNRS / Aix-Marseille Université).

By |2019-03-20T20:44:28+00:00March 20th, 2019|Scoop.it|0 Comments