Monthly Archives: April 2019

Monese veut devenir la référence bancaire des voyageurs

Monese est une néobanque sur mobile dédiée au grand public. Contrairement aux banques traditionnelles, celle-ci permet via son application d’ouvrir un compte bancaire simplement à l’aide de sa carte d’identité ou de son passeport en deux minutes. « Cette simplicité est rendue possible grâce à notre technologie propriétaire de reconnaissance faciale. L’utilisateur n’a qu’à tourner la tête à droite puis à gauche afin que l’application scanne son visage et compare son identité à celle du passeport ou de la carte d’identité fournie », a expliqué Norris Koppel, CEO de Monese. Un dispositif biométrique qui exonère l’utilisateur d’envoyer une série de documents pour ouvrir un compte bancaire.Au travers de ses fonctionnalités et d’un service client disponible en 13 langues, la startup est parvenue à réunir une clientèle mobile, habituée aux déplacements à l’étranger. Monese propose par exemple à ses clients un taux de change interbancaire de 0,5 % partout dans le monde. « Nous libérons les voyageurs des frais bancaires appliqués lorsqu’ils retirent de l’argent ou qu’ils paient chez un commerçant à l’étranger. Avec Monese, ils accèdent aux services d’une banque locale lors de tous leurs déplacements », a indiqué Norris Koppel, CEO de Monese.Un programme de fidélisation orienté TravelActuellement, l’application permet d’ouvrir un compte domicilié dans 20 pays européens tandis que la carte bancaire fonctionne dans 200 pays. « L’application intègre également le service d’Apple Pay qui peut être utilisé dans 11 pays actuellement. À terme, nous intégrerons également les services de paiement mobile Ali Pay et WeChat Pay », a indiqué Michael Möglich, Responsable des marchés France et Allemagne chez Monese.

By |2019-04-10T06:23:06+00:00April 10th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Ireckonu aide les hôtels à mieux anticiper les besoins de leurs clients

L’ambition de la société Ireckonu est de rassembler tous les systèmes d’un établissement sous une même plateforme. « Aujourd’hui, la réception, le service de nettoyage et celui de la maintenance sont rarement connectés entre eux », explique Jan Jaap von Roon, CEO de la société. L’intérêt d’une telle démarche ? « Remettre le client au centre en se focalisant sur l’expérience », ajoute t-il. Ainsi, la plateforme Ireckonu connecte la serrure connectée, le système de climatisation, la télévision et les croise avec les préférences du client. Cela permet de réparer les éventuelles avaries avant même qu’il ait besoin de les signaler et de préparer sa chambre en fonction de ses attentes. L’équipe de l’hôtel est notifiée en temps réel. « Nous ajoutons également une couche d’intelligence pour prédire les pannes », déclare Jan Jaap von Roon.

By |2019-04-10T06:22:45+00:00April 10th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Les cofondateurs de Sea Bubbles planchent sur le bus fluvial du futur

Sea Bubbles, la startup française qui conçoit des taxis flottants électriques passe sous pavillon étranger. Ses cofondateurs, Alain Thébault et Anders Bringdal, ont accepté de céder 66 % de leurs parts à des investisseurs étrangers, selon Business Insider France. Le montant de la vente et l’identité des investisseurs n’ont pas été détaillés. « Nous avons été approchés par des investisseurs chinois, suisses, suédois et américains. Les familles Thébault et Bringdal ont accepté une offre d’achat d’un groupe d’investisseurs étrangers », a simplement indiqué Alain Thébault, le navigateur de 56 ans à Business Insider France.En attendant les termes précis de l’accord, une holding suisse doit porter le rachat. Cette dernière s’est d’ailleurs montrée intéressée par le nouveau projet sur lequel planchent les cofondateurs de Sea Bubbles. Après avoir conceptualisé leur offre de taxi flottant et vendu quatre bulles à Baja Ferries à Miami, les deux marins veulent passer à l’étape supérieure. Alain Thébault et Anders Brigal souhaitent désormais  faire « voler des bus sur l’eau ». Un projet baptisé The Fly Bus qui consistera à créer des bateaux-taxis électriques de 12, 32 voire 49 places. Une solution de mobilité fluviale visant à décongestionner le trafic routier dans les grandes métropoles.

By |2019-04-10T06:22:23+00:00April 10th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Marques engagées : les « game changers » récompensés !

Parmi les 47 candidatures soumises au jury présidé par Laurence Monnoyer-Smith, Commissaire Générale et déléguée interministérielle au développement durable, 8 lauréats ont été primés pour l’excellence des initiatives qu’ils ont présentées : o #BtoC produits : Tefal (Groupe Seb) pour sa gamme Resource®, la première gamme de poêles 100 % recyclées, issue de l’économie circulaire française. o #BtoC services : Aviva pour La Fabrique Aviva qui permet de financer des projets d’entrepreneurs à fort impact sociétal et environnemental. A ce jour, 3M € ont été investis par La Fabrique Aviva. o #BtoB produits et services : Interface pour sa démarche exemplaire Mission Zero®, mise en place il y a 25 ans, qui démontre qu’un fabricant de moquette gros consommateur de pétrole peut devenir la 1ère entreprise au monde à adopter un modèle totalement circulaire. o #RSM Native : Bioviva Éditions pour ses jeux éducatifs éco-conçus en France qui associent éducation au développement durable et épanouissement de l'enfant. o # ONG avec une Marque :[Ex-aequo] : Emmaüs Défi en partenariat avec Carrefour pour soutenir le développement et l’essaimage de la Banque Solidaire de l’Équipement, qui apporte une solution concrète aux personnes venant d’obtenir un logement pérenne après avoir vécu des situations d’hébergements précaires.[Ex-aequo] : Marine Stewardship Council (MSC) et Aquaculture Stewardship Council (ASC) engagées avec de nombreuses marques et distributeurs pour la semaine de la pêche responsable dont l’objectif est de mobiliser les citoyens pour la préservation des océans, des lacs, des rivières et pour la Pêche responsable. o #Coup de cœur du Jury : Spareka pour son opération Repair Tour de France qui permet aux citoyens de France d’entretenir et de réparer eux-mêmes électroménager, piscine et motorisation de portail et de garage. o #Coup de cœur des étudiants de Audencia : Monoprix et sa démarche « Tous Cultiv’acteurs » dont l’ambition est d’accompagner les agriculteurs dans une démarche de progrès vers la labellisation de leurs produits par Bee Friendly, un référentiel très exigent qui comporte une liste noire de pesticides interdits et une liste de bonnes pratiques agricoles.

By |2019-04-10T06:22:04+00:00April 10th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Les réunions ou l’art de perdre son temps et son argent

Réunions, meetings, points, comités, appelez ça comme vous voudrez, toujours est-il que ces moments non seulement vous font perdre votre temps, mais aussi l’argent de vos employeurs : 3 300 euros par an et par employé pour être exact. Le gestionnaire de solutions technologiques pour entreprises Sharp rend compte de l’aspect désuet des réunions en étude.  25 heures par mois : c’est le temps moyen passé par les employés des PME françaises en réunion. Et si cette première donnée fournie par la dernière enquête Sharp vous alarme, attendez la suite. Ce temps perdu représente 3 300 € par an et par employé pour ces entreprises. Un petit gouffre financier non négligeable donc mais aussi une perte d’énergie et lorsque l’on sait que 59% des employés estiment que ces réunions n'aboutissent généralement à rien de concret et qu’ils sont 56% à les qualifier « d'ennuyeuses ».  Organisation et papier-crayon Manque de partage d'information au préalable (30%), invitation inutile (31%), taux de participants trop élevé (26%) : l’organisation laisse à désirer et devient la raison principale du manque de productivité de ces réunions. Autre problématique : la qualité des outils technologiques mis à disposition des employés dans les salles de réunion. Trop souvent inadaptés ou obsolètes : 26% des collaborateurs travaillent encore sur papier, et 35% font leurs présentations sur paperboards ou tableaux blancs effaçables. En 2019, oui.

By |2019-04-10T06:21:55+00:00April 10th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Freelance : repenser les codes de l’épanouissement pro

« The Gig Economy » ou l’économie du Freelance imprègne chaque fois plus nos sociétés. À l’heure de la transformation digitale/managériale/entrepreneuriale des entreprises, où les travailleurs indépendants se multiplient, les entreprises ont moins de "prise" sur leurs salariés. Coup d'oeil sur les motivations d'une tendance qui devient une réalité durable via une étude ReportLinker.  Selon une récente étude réalisée par ReportLinker, 76% des professionnels déclarent être convaincus que les freelances sont plus heureux que les employés traditionnels (+11 pts par rapport à 2017). Une organisation de vie professionnelle alternative qui trouve son engouement dans de nombreux facteurs.  Plus de liberté pour plus d'épanouissement professionnel  Alors certes pour certains, « freelance » rime avec insécurité et perte de repères des codes de stabilité de l’emploi au sens où la société l’entend, mais la course au CDI n’est plus en ligne de mire pour la majorité des travailleurs français. Pour commencer, le travail en freelance offre au travailleur la possibilité de fixer lui-même son salaire -dans des limites raisonnables bien évidemment. Être son propre patron (27%), avoir des horaires de travail flexibles (21%) et bénéficier d'un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle (15%) sont les principales raisons pour lesquelles un travailleur pencherait pour son indépendance.  À vos risques et périls Mais parce que la précarité à vite fait de gagner les citoyens, il est important de souligner que le manque de sécurité financière (23%), d'emploi (21%) ou l’aspect inexistant d’épargne pour la retraite (23%) font partie des facteurs qui entraînent parfois un retour au salariat après une expérience en indépendant.  Une tendance qui prend ses aises dans l’esprit collectif Devenir freelance au cours de sa carrière professionnelle est donc une idée qui fait lentement son chemin dans l’esprit des travailleurs traditionnels. S'il est « peu probable » que 68% des professionnels changent leur vie professionnelle pour devenir indépendants,  cela est moins souvent  « très improbable » par rapport à il y a un an (49% en 2019 contre 59% en 2017). En outre, un tiers des travailleurs traditionnels (32% en 2019 vs 26% en 2017) pensent à la possibilité de se lancer dans une carrière indépendante un jour et 76% (vs 32% en 2017) d’entre eux se disent prêts à franchir le cap dans les 5 prochaines années.  Vers une économie à la tâche durable et mondialisée ? Plus globalement, il semblerait que plus de 25% des travailleurs participent aujourd'hui à l’économie du « gig » comme disent les américains pour parler de cette économie d’indépendants payés à la tâche et non à l’heure. Que ce soit à temps partiel ou à plein temps, plus de 10% d’entre eux y ont recours pour leur revenu unique ou principal. 

By |2019-04-10T06:20:11+00:00April 10th, 2019|Scoop.it|0 Comments

The store is no longer a store, the store is a story !

75% des marques ne manqueraient pas aux consommateurs si elles venaient à disparaître. Effrayant, n’est-ce pas ? Les résultats de l’étude « Meaningful Brands » publiée par Havas, en disent long sur l’attitude de cet « uber-consommateur » impatient, exigeant et critique mais aussi expert et ultra-connecté, qui ne s’en laisse plus compter.  Ce chiffre choc, qui date d’un an, est à compléter aujourd’hui avec les révélations d’une autre enquête toute récente, l’Observatoire des comportements de consommation, réalisée par Odoxa et Emakina, selon laquelle 48% des Français ont préféré se rendre dans une enseigne différente de celle qu’ils fréquentent habituellement au cours des derniers mois. 64% de nos compatriotes affirment également qu’une mauvaise expérience client peut les faire abandonner une marque ou une enseigne à laquelle ils étaient fidèles. Enfin 52% quitteraient une marque par coup de foudre pour un concurrent. Conclusion : un client n’est plus fidèle à vie. Qu’il consomme grâce au digital ou dans un véritable magasin, peu importe. Car la guerre entre e-commerce et retail physique est désormais terminée, les pure players ouvrent des points de vente dans la vraie vie et les retailers se digitalisent de plus en plus. Alors comment attirer et séduire ce consommateur volage, le transformer en un shopper heureux et surtout le garder ? Tout simplement en lui offrant plus de services, plus d‘expérience et plus d’émotion. Aux Etats-Unis, The store is no longer a store, the store is a story (le magasin n’est plus un magasin, le magasin est une histoire). Un tout petit y qui change tout. Bientôt en France aussi ? 

By |2019-04-10T06:19:10+00:00April 10th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Des vouchers Uber pour permettre aux entreprises de valoriser leurs clients

Cette nouvelle fonctionnalité est une façon d’aider les sociétés à valoriser leurs clients les plus fidèles ou de leur permettre d’organiser facilement des campagnes marketing. Les vouchers facilitent la prise en charge du transport afin de leur offrir une nouvelle expérience client. Pour Ronnie Gurion, General Manager et Global Head d’Uber for Business : “Les entreprises recherchent de nouvelles manières et technologies pour accompagner leurs clients, les vouchers Uber fournissent un avantage utile et facilement activable par les clients”.Les centres commerciaux Westfield ont d’ores et déjà testé ce programme en proposant des vouchers à leurs clients premium et visiteurs, tout comme Freshworks ou TGI Fridays. « C’est une nouvelle opportunité de prendre soin de nos invités : même s’ils passent une soirée mémorable dans notre bar, nous sommes sûrs qu’ils rentrent de façon responsable et sécurisée à la maison” , déclare Ray Blanchette, Chief Executive Officer de TGI Fridays.

By |2019-04-10T06:18:58+00:00April 10th, 2019|Scoop.it|0 Comments

UP Magazine – Société disloquée et hors-sol généralisé

Aujourd’hui, avec l’horizontalisation des relations, tout est mis sur le même plan, diluant les expertises et plaçant le débutant au même niveau que celui qui a 30 ou 40 ans d’expériences. Cela crée là aussi une confusion et les rapports humains sont à réinventer. Unreligare qui ne soit pas uniquement basé sur de nouvelles formes d’affinité électives. Aux réseaux fermés et corporatistes succède celui ouvert des réseaux sociaux mais tout aussi sélectif et dont les critères ne sont plus les CSP mais les générations… « numériques ». Les scléroses générationnelles succèdent à celles basées sur le diplôme ou le compte en banque.Il va nous falloir coinventer une maturité de rapports humains et de moyens de se relier et de tisser de nouvelles fraternités avec ces formes de reliance modifiée. Internet et les réseaux sociaux ont à créer leur éthique des nouveaux modes relationnels autres que ceux proposés par les Gafam. Une voie pour le futurAinsi, prenons conscience de ce que nous avons laissé se déliter avant que la structure globale de la société ne "s'effondre" et laisse alors la place à des propositions conservatrices : régime politique et religion, qui apporteront des règles plus strictes pour tenir ensemble la société.Nous pouvons décider de remettre d'équerre l'ensemble des "ordres" qui structurent notre société en les actualisant à notre évolution de civilisation. Une spiritualité mature, dégagée des dogmes obsolètes et représentés par des officiants cohérents et incarnant leur cheminement. Puis, réinventons une politique actualisée, à la démocratie participative et coopérative dont les formes variées pourront rendre la richesse de l'expression locale des citoyens. Evidemment, une économie renouant avec son étymologie (gestion de la maison) et qui permet l'équilibre et le rétablissement de circuits créant de la valeur et qui soit régénérative pour l'environnement et les citoyens. Une économie valorisant les métiers, au lieu de détruire le travail et les activités. Ce qui valorise les différents corporatismes. Et alors, police et armée remplissent leur rôle de gardiens de la paix civile.Osons remettre chacun à sa place, investi de sa pleine potentialité à assumer ses rôles et responsabilités et l'énergie circulera mieux dans la société.

By |2019-04-10T06:18:41+00:00April 10th, 2019|Scoop.it|0 Comments

RATP : des titres de transports disponibles sur WeChat

Avec 34 000 abonnés, le compte WeChat RATP ne cesse de voir son nombre d’utilisateurs augmenter. Désormais, grâce à la fonctionnalité « Pay and Collect », les touristes ou voyageurs d’affaires chinois peuvent acheter leur titre de transport en amont et en payant en Yuans. Dès lors que le titre est payé, le mobinaute n’a plus qu’à aller le retirer au guichet d’une des 368 stations et gares du réseau RATP. Il faudra encore un peu de patience avant de pouvoir utiliser son smartphone comme titre de transport. Expérimentée depuis juillet 2018, cette fonctionnalité est désormais disponible depuis mars 2019. Ce nouveau moyen de paiement intégré à l’application a été développé par la jeune pousse EuroPass, incubée au Welcome City Lab. Depuis son lancement, elle a enregistré plus de 200  ventes et une moyenne de 600 consultations quotidiennes.

By |2019-04-10T06:17:32+00:00April 10th, 2019|Scoop.it|0 Comments