Monthly Archives: April 2019

Tesla se prépare à concurrencer les services de VTC

Il y a un an nous vous annoncions qu’Elon Musk avait des vues sur le marché du covoiturage. Récemment, il a également annoncé vouloir concurrencer  les plus grands services de VTC tels que Uber ou Lyft. Tout commence par une interrogation face aux 8 caméras présentes à l’extérieur du véhicule et une à l’intérieur positionnée sur le rétroviseur central. C’est via son compte Twitter que l’entrepreneur s’est exprimé : « elle servira quand nous commencerons à concurrencer les services VTC, permettant ainsi aux propriétaires de gagner de l’argent avec leur auto. Cette caméra servira, en cas d’incident dans votre auto, à vérifier ce qu’il s’est passé ». Une réponse sans équivoque qui laisse présager les fortes ambitions de Tesla en matière d’autopartage entre particuliers.Les propriétaires pourraient alors gagner des revenus en mettant à disposition leur Tesla afin de transporter des passagers. Le grand patron ne s’est pas arrêté là en ajoutant :  « Il s’agit seulement d’achever le logiciel et d’obtenir l’approbation réglementaire. Tout sera expliqué en détail dans un direct en ligne le 22 avril. »

By |2019-04-10T06:14:10+00:00April 10th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Télévision : même en France, la course au streaming s’intensifie – Sud Ouest.fr

C’est le branle-bas de combat dans l’industrie mondiale de la télévision pour tenter de contrer l’irrésistible ascension du géant américain Netflix. Aux États-Unis, pendant qu’Apple fourbit ses armes avec Apple Video+, la Warner et Disney s’apprêtent à lancer leurs plateformes de vidéo par abonnement (ou SVoD). De l’autre côté de l’Atlantique, les grandes manœuvres sont également engagées, souvent via des unions sacrées entre service public et chaînes privées : la BBC et ITV vont lancer leur plateforme commune BritBox, tandis que France Télévisions, TF1 et M6 veulent créer Salto.Des mouvements tectoniques scrutés par les professionnels de la télévision réunis au MIPTV, grand-messe du secteur qui se déroule jusqu’à jeudi à Cannes. "Il y a un emballement et une accélération", explique Philippe Bailly, dirigeant du cabinet NPA Conseil.

By |2019-04-10T06:13:13+00:00April 10th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Installing a Subdermal Bitcoin Wallet Is Only for the Brave

The idea of getting an integrated circuit device or radio-frequency identification (RFID) transponder embedded into your skin probably seems alien. It’s not without its advocates however; over the years various cryptocurrency enthusiasts have engaged in bio-hacking by embedding a microchip with a bitcoin wallet into their hand. On March 15, journalist Bailey Reutzel recently wrote how she got the “Mark of the Beast” and explained how it would now hold her bitcoin. Reutzel said she was inspired when she first met Martijn Wismeijer, otherwise known as ‘Mr. Bitcoin.’In 2014, numerous media outlets reported on Wismeijer’s bitcoin wallets embedded into each of his hands. The two wallets were NFC Type 2 compliant chipsets for cold storage and hot wallet use as well. In 2016, Buzzfeed reporter Charlie Warzel described how he got a bitcoin wallet implanted into his hand in “What the Mark of the Beast taught me about the future of money.”Older versions of bio-chips are the size of a grain of rice and are usually encased in silicate glass. Nowadays there are flexible kinds that are more expensive.You may be curious to learn who supplies these microchips, how the procedure is done, and how much it costs to get ‘chipped.’ One of the most popular suppliers of bio implantable chips, Dangerous Things, estimates that the number of individuals who have been chipped stands at around 100,000. Dangerous Things believes “biohacking is the next phase of human evolution.”The company sells several bio-chips including the Vivokey spark ($134), XDF2 Desfire ($139), Xnt NFC chip ($99-173), Flexnt ($149), and the Vivokey Flex one ($1,000). Dangerous Things and even Vivokey’s website emphasizes that these chips should be installed by a professional. A quick Google search will show bio-hacking professionals and piercing studios that will install the microchips. For instance, one could go to the Calm Body Modification clinic in Stockholm to get a subdermal implant.

By |2019-04-08T15:36:04+00:00April 8th, 2019|Scoop.it|0 Comments

How 30 Full-Time Staff Created the New Crypto TV Network Blocktv

Blocktv’s main office is right across the road from the Israel Diamond Exchange building, at the very heart of the country’s business district. This central location offers easy access to the many crypto projects and service providers based in the area who can easily jump by to talk about the market. The large office gives the feeling of a modern TV channel and includes a professional studio, guest waiting and makeup rooms, as well as a central control room where the crew can monitor the filming and video feeds from all over the world.The company now employs 30 full-time staff members across its various departments and an additional cadre of about a dozen freelancers reporting from around the globe. According to Editor-in-Chief Ron Friedman, staff are tasked with reporting about the crypto community to the crypto community, while also being critical of the space they are covering and maintaining strict independence and healthy skepticism.The idea to create a television news channel dedicated to cryptocurrency was first put into action in June 2018. In December, the company focused on its core product, the live player, which was officially launched in January of this year. The shows are streamed live, both on Youtube and on the company’s own website. The harsh reality of ‘crypto winter’ might have affected the content of the news, but it didn’t the deter the channel’s launch.

By |2019-04-08T15:28:13+00:00April 8th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Audace, vertu et émotion

L’étude distingue cette anné trois grandes tendances : « la vertu », « Brand and The City » et enfin « l’intimité élastique ».  1. La vertu « Faire le bien autour de soi n’est même plus un devoir, c’est un mode de vie. On constate un vrai sursaut en ce sens, notamment chez les plus jeunes », détaille Anne Feuillas, responsable études adjointe chez M6 Publicité. L’étude relève 3 sous-tendances: - Premiére sous-tendance: se réinventer vertueux. Il faut savoir où placer le curseur. Où est le bien, où est le mal ? Pour beaucoup, le numérique est la source de tous les maux. Et pourtant, non, le téléphone mobile n'est pas une drogue, répond ce spot délirant de Wieden+Kennedy Londres (« Phones Are Good ») réalisé en octobre dernier pour l’opérateur téléphonique 3UK, qui nous montre l’utilité de notre portable, qui aurait entre autres évité à Eve d'être tentée par le serpent, ou au Titanic de rencontrer un iceberg… La vertu passe aussi par des « stratégies de tous les jours pour faire des petites choses utiles » , comme l’opération #5minutebeachcleanup, ou encore « Dry January ». Aux USA, on organise des « Sober parties ». « Chez les nouvelles marques, la vertu fait partie de leur ADN, les plus traditionnelles doivent en revanche migrer vers le brand purpose et faire leur mue », commente Anne Feuillas, responsable études adjointe chez M6 Publicité. Fleury Michon se positionne ainsi sur le bien-manger et affirme : « La place d’un conservateur, c’est dans un musée ». De son côté, depuis quelques mois Barbie a pris un tournant à 360° et lancé le « Dream gap Project ». La campagne « #Close TheDreamGap » invite les parents et l'entourage à combler le fossé creusé entre les petites filles et leurs vrais potentiels. Autre questionnement : celui du numérique et de l’éthique. Le New York Times en octobre dernier donnait un coup de tonnerre en publiant un article titré « Who will teach Silicon Valley to be Ethical? ». Certaines entreprises recrutent des Chief Ethical Officers, d’autres essaient de sensibiliser autour de leurs applications, comme Grindr, qui a ainsi  lancé une version éphèmère de son service, baptisée « Kindr ».  - Deuxième sous-tendance : la durabilité dans la consommation. La grande consommation prend en main la question de l’emballage. Ainsi, Ekoplaza Amsterdam a inauguré en mars 2018 le premier supermarché sans plastique. On utilise également  la biotech pour sauver la nature en s’aidant de la nature, comme ce packaging « carbon eater » réalisé par Puma avec le MIT Design Lab qui s’adapte à son objet avant de se dégrader une fois devenu inutile. La question des ressources en eau se pose également et on commence à voir un mouvement de la beauté sans eau, comme avec cette marque américaine « Pinch of Colours » . De même, on assiste à un mouvement profond d’exigence de réparabilité. H&M lance le concept H&M Takecare destiné à prendre soin de ses vêtements et à les customiser. D‘ici 2020, en France les produits électroménagers et électroniques se verront appliquer un « indice de réparabilité », calculé sur 10 critères afin de lutter contre l’obsolescence programmée. La Fnac a pris de l’avance et publie déjà un indice sur certains produits. Demain on fabriquera peut-être tout à partir d’ADN de synthèse -un marché estimé à 1,5 milliard de dollars au niveau mondial- matériaux, parfums, stockage de datas, etc. DNA Script, une start-up française co- fondée par Thomas Ybert travaille sur ce sujet et fabrique de l'ADN synthétique grâce à des enzymes naturelles « domptées génétiquement » pour produire des séquences sur mesure. - Troisième sous-tendance: l’inclusivité Le retail commence enfin à s’ouvrir à tous (handicapés, transgenres, aveugles, sourds...). Le NBA Store a ainsi fabriqué des sacs « Sensory Bags » destinés à tous ceux qui ont un handicap. Chez Sephora on donne des cours de make up à des personnes no genrées. Starbucks a ouvert son premier café en langue des signes en octobre dernier à Wasghington. Coté pub les discours inclusifs célèbrent la diversité. Channel 4 remet un prix chaque année sur la diversité dans la publicité, et a récompensé en octobre la… Royal Air Force. L’autre challenge demain sera également d’éviter que les machines ne reproduisent les biais humains dont elles se nourrissent, comme c’est trop souvent encore le cas. Q est ainsi le premier assistant vocal non genré. « Il est intéressant de voir que les Gafa, comme Google qui a ainsi lancé une « Inclusive Image Competition » afin de développer l'IA la plus ouverte possible, ont commencé à travailler sur le sujet », souligne Anne Feuillas.  2. Brand in the City 80% des Français vivent en zone urbaine. À l’heure où la demande en local n’a jamais été aussi forte et où l’urgence climatique se fait de plus en plus sentir, la ville explore ses capacités de résilience. L’étude met en lumière plusieurs sous-tendances: - La marque participe de plus en plus aux petites et grandes histoires dans la ville. Par exemple Nike aide la ville de Bondy, où est né Kylian Mbappé, en rénovant le stade, organisant des tournois de football dans la ville… La chaine de pizzas américaine &Pizza finance les microprojets que lui soumettent les habitants des quartiers où elle est installée.  - La mobilité augmentée Les géants du numérique pensent la ville de demain. Pour le meilleur. Mais aussi pour le pire, comme City Brain, le système basé sur l’IA conçu par Ali Baba qui brasse de larges quantités de données de mobilité récoltées auprès des pouvoirs publics, des applications de navigation et des caméras de surveillance. La science-fiction rejoint la réalité avec le nouveau projet de Uber de taxis volants qui sera testé aux USA en 2023. La mobilité augmentée est une opportunité pour toutes les marques de s’insérer dans de nouvelles mobilités. Par exemple, Spaces on Wheels le nouveau projet de véhicule autonome de la branche R & D d’IKEA réalisé en collaboration avec l’agence créative f ° am Studio. Il propose sept véhicules autonomes : un bureau, un cabinet médical, un café, une boutique éphémère, un hôtel… Chez Volvo on imagine la 360c, une nouvelle voiture autonome, comme un prolongement d’une chambre, d’un salon ou d’un bureau. L’enjeu du dernier kilomètre est une étape très coûteuse et stratégique pour les marques. Fedex teste ainsi le « FedEx SameDay Bot », robot qui livre le jour même les achats d’un client depuis le magasin jusqu’à son domicile et il a des discussions sérieuses avec Walmart, Lowe’s, Pizza Hut, etc. PepsiCo vient également de lancer une flotte de robots autonomes, les « snackbots », qui livrent diverses collations entre 9 heures et 17 heures aux étudiants au sein d’un campus californien.   - Autre sous-tendance: la ville verte et nourricière. « On cultive la ville de demain, qui subviendra à ses besoins alimentaires », explique A Feuillas. La Cité Maraîchère de Romainville verra ainsi le jour en 2019 quartier Marcel-Cachin, et produira des fruits et légumes en ville sur 1000 m2, une première en France. Ce projet innovant s’intègre dans un projet plus large de développement de l’agriculture urbaine soutenu par Est Ensemble. A la Caverne, une ferme urbaine souterraine installée dans un ancien parking à Paris, dans le XVIII è arrondissement, endives et champignons poussent, éclairés par des ampoules LED.  A l'horizon 2021, Ikea et le designer britannique Tom Dixon donneront naissance à un projet qui permettra de cultiver plantes et légumes à la maison. Les premières idées du concept seront partagées en mai 2019 à l'occasion de l'exposition florale de Chelsea, le "Chelsea Flower Show" à Londres.  3. L’intimité élastique « La relation à l’intime change, encouragée par les jeunes marques Les petits tracas deviennent des expressions de soi et nos derniers tabous tombent », souligne l’étude qui note là encore 3 sous-tendances: - De nouveaux territoires corporels. Clean & Clear lance une gamme colorée de patches contre l’acné pour les millennials.  Sur ses paquets, Truly Organic affiche : « #Love Your Imperfections». On ose parler des règles. Un groupe de femmes lance des podcasts baptisés « Les Menstruelles ». Les derniers tabous sur la santé sont en train de sauter, notamment pour les hommes. La marque Hims spécialisée dans les produits masculins étend son offre avec des produits contre l’érection. La conversation est lancée sur une tonalité fun et franche. Bawdy, qui confectionne des masques pour raffermir les fesses portant des noms amusants (« Shake it », « Bite it »…), n'hésite pas à proclamer: « Make Your Face Jealass » (rendez jaloux votre visage)  - La recherche de petits bonheurs privés, « d’ode à la douceur ». Ainsi, Parterre Surfaces Chauffantes, finaliste des James Dyson Awards propose de « chauffer le corps plutôt que l’espace, en créant des zones de chaleurs plus ponctuelles et localisées dans l’habitat ». Burger King Espagne crée un os à commander aux caisses, ou à faire livrer, pour que le toutou puisse se régaler lui aussi, le temps que le maître déguste son hamburger, et ce en toute tranquillité.  Beaucoup d'activités que l'on faisait à l'extérieur sont désormais effectuées à l'intérieur.  67% des Français reconnaissent selon Sociovision qu’ils « préfèrent passer des moments tranquilles avec ma famille ou mes amis, chez moi ou chez eux plutôt que de les voir à l’extérieur ». Deux exemples illustrent cette tendance : le Peloton Bike, vélo de salon connecté, dont le guidon est couplé d’un écran tactile de 55 centimètres qui diffuse les exercices d’un coach sportif filmé en direct. Autre nouveauté : LG a profité du CES de Las Vegas en janvier dernier pour présenter une machine à bière, HomeBrew, fonctionnant avec des capsules.  - De l’IA à l’IE, l’intelligence émotionnelle.  Comme INfluencia le laissait déjà entendre dans son numéro N°20 sur l’émotion en juin 2018, « ce besoin d’émotion est réel », insiste A. Feuillas. On attend de nos machines une compréhension émotionnelle. Le robot humanoïde SEER (pour Simulative Emotional Expression Robot) conçu par l’artiste japonais Takayuki Todo, peut imiter les expressions d’une personne qui se tiendrait en face de lui. Demain, des voitures feront bientôt des clins d’œil aux piétons. Jaguar et Land Rover travaillent sur un tel prototype. L’appli Replika est auto-apprenante, mène des conversations intéressantes, copie nos façons de penser, et nous donne l’impression de parler à un ami. Mais la machine peut-elle pour autant remplacer un être cher ? Samsung en Inde a ainsi développé à l’automne 2018 Bixby, un assistant vocal qui permet de donner l’illusion de parler un proche, atteint d’une maladie neuro-dégénérative. La marque a réalisé un spot de 3 minutes « Let Voices of Love Live Forever », vu plus de 201 millions de fois ! Une idée très forte mais aussi très perturbante », reconnait la responsable études adjointe chez GROUPE M6. « Au total les Français ont envie de vivre mieux, conclut Anne Feuillas, L’individu se cherche, se questionne sur ce qui l’entoure comme sur ce qui le définit. Il veut agir et consommer avec plus d’éthique et de responsabilité. Il s’interroge sur ce qu’il peut faire de bien pour restaurer le futur. La science et les avancées technologiques sont ainsi repositionnées autour des besoins de la société. Individus et marques apprennent à collaborer pour imaginer le vivre ensemble de demain. A ces dernières donc de donner aux consommateurs les moyens de mettre en place les comportements vertueux vers lesquels ils tendent, notamment en matière de durabilité. Et bien sûr, de combler les besoins émotionnels qui sont croissants ».

By |2019-04-03T06:27:46+00:00April 3rd, 2019|Scoop.it|0 Comments

Facebook Had a Busy Weekend, From News Feed to Livestream Changes

The torrent of Facebook news began Friday, when COO Sheryl Sandberg said the company was “exploring restrictions on who can go Live depending on factors such as prior Community Standard violations.” The decision came less than three weeks after a terrorist attack in Christchurch, New Zealand, that killed 50 people was livestreamed on Facebook. The social network, as well as other companies like YouTube, struggled to stop the shooter’s video from being reuploaded and redistributed on their platforms.In 2016, Zuckerberg said that live video would “create new opportunities for people to come together." Around the same time, the company invested millions of dollars to encourage publishers like Buzzfeed to experiment with Facebook Live. The feature provided an unedited, real-time window into events like police shootings, but it was also repeatedly used to broadcast disturbing events. After the Christchurch attack, Facebook is now reexamining who should have the ability to share live video, which has proven difficult for the company to moderate effectively.Sandberg also said Facebook will research building better technology to “quickly identify edited versions of violent videos and images and prevent people from re-sharing these versions.” She added that Facebook had identified over 900 different variations of the Christchurch shooter’s original livestream. Sandberg made her announcement in a blog post published not to the Facebook Newsroom but to Instagram's Info Center, indicating Facebook wants its subsidiaries to appear more unified.Old Zuckerberg Blog Posts Disappear Also on Friday, Business Insider reported that years of Zuckerberg’s public writings had mysteriously disappeared, “obscuring details about core moments in Facebook’s history.” The missing trove included everything the CEO wrote in 2007 and 2008, as well as more recent announcements, like the blog post Zuckerberg penned in 2012 when Facebook acquired Instagram.Facebook said that the posts were mistakenly deleted as the result of technical errors. “The work required to restore them would have been extensive and not guaranteed, so we didn’t do it,” a spokesperson for the company told Business Insider. They added that they didn’t know exactly how many posts were lost in total.This isn’t the first time Zuckerberg’s content has gone missing from Facebook. Last April, TechCrunch reported that some of the CEO’s messages were erased from people’s private inboxes. (Facebook later extended an “unsend” feature to all Facebook Messenger users.) And in 2016, “around 10” Zuckerberg blog posts also disappeared from the social network. The deletion was similarly blamed on a technical error, but in that case the blogs were later restored.Zuckerberg Calls for Regulation in Four Areas In an interview with WIRED last month, Zuckerberg said, “There are some really nuanced questions … about how to regulate, which I think are extremely interesting intellectually.” On Saturday, the Facebook CEO expanded on that idea in an opinion piece published in The Washington Post. “I believe we need a more active role for governments and regulators,” Zuckerberg wrote, calling for new regulation in four particular areas: harmful content, election integrity, privacy, and data portability.In the piece, Zuckerberg acknowledged that he believes his company has too much power when it comes to regulating speech on the internet. He also mentioned Facebook’s new independent oversight board, which will decide on cases where users have appealed the content decisions made by Facebook’s moderators. (On Monday, Facebook announced it was soliciting public feedback about the new process.)Zuckerberg also said the rest of the world should adopt comprehensive privacy legislation similar to the European Union’s General Data Protection Regulation that went into effect last year. There’s currently no modern privacy law in the United States, though California passed a strong privacy bill last summer, which Facebook originally opposed. Now a number of lawmakers, and lobbyists, are jockeying to get a federal privacy law in place before the state-level rules take effect next year.The op-ed arrives as Facebook faces a looming Federal Trade Commission investigation over alleged privacy violations. Lawmakers on both sides of the aisle have also recently expressed an interest in regulating or even breaking up the social media giant. Zuckerberg’s op-ed provides a sketch of the kind of regulation that his company would be comfortable adopting. Some critics have also argued that legislation like GDPR can strengthen the dominant position of companies like Facebook and Google.Facebook Opens Up About How News Feed Works How Facebook chooses what content to feature in the News Feed has consistently remained mostly a mystery. As Will Oremus wrote last week in Slate, “For all of Facebook’s efforts to improve its news feed over the years, the social network remains as capricious and opaque an information source as ever.”But on Sunday evening, Facebook quietly announced that it will begin revealing more about why users see one post over another when they scroll through their feeds. The company will soon launch a “Why am I seeing this post?” button, similar to the one it launched in 2014 for advertisements. It will begin rolling out this week and will be available for all Facebook users by the middle of May, according to Buzzfeed.“This is the first time that we’ve built information on how ranking works directly into the app,” Ramya Sethuraman, a product manager at Facebook, wrote in a blog post. The new feature might tell users, for example, that they’re seeing a post because they are friends with someone on Facebook or because they joined a specific group. But the button will also provide more granular information, such as telling users they’re seeing a specific photo because they’ve “commented on posts with photos more than other media types.”Facebook is also making updates to its preexisting “Why am I seeing this ad?” button. It will now tell users when an advertiser has uploaded their contact information to Facebook. In addition, it will show users when advertisers work with third-party marketing firms. For example, an ad for a shoe company might reveal the name of the marketing agency it hired to sell its new sandals.Pivot to Paying Publishers? On Monday morning, Zuckerberg suggested he might create a new section of Facebook dedicated to “high-quality news.” Details are scarce, but it may feature content Facebook pays publishers directly to share. The remarks were made during an interview Zuckerberg did with European media executive Mathias Döpfner, which the CEO posted to his personal Facebook page. The announcement comes a year after Facebook said it would begin deprioritizing news stories in its News Feed in favor of content from friends and family.Last week, Apple announced it was launching a $10 per month paid news aggregation service called News+ (it features content from WIRED). But unlike Apple, Facebook doesn’t appear to be getting into the subscription business. “We’re coming to this from a very different perspective than I think some of the other players in the space who view news as a way that they want to maximize their revenue. That’s not necessarily the way that we’re thinking about this,” Zuckerberg said in the interview.Facebook’s earlier attempts to partner with media organizations have been a mixed bag. The social network also previously explored creating a dedicated feed for publishers but abandoned the project. Without knowing more, it remains to be seen what, if anything, is going be different this time.

By |2019-04-03T06:26:49+00:00April 3rd, 2019|Scoop.it|0 Comments

What Will Be the Right Price to Cut Congestion in New York?

The plan would, by 2021, establish a fee for cars or trucks entering the most hectic part of Manhattan, below 60th Street. A few people are expected to get a break on the charge, with planned exemptions or credits for low-income area residents, those with disabilities, and those who need to visit medical services in the area. But for everyone else, it should get a lot more expensive to drive around Manhattan—probably around $11 per car and $25 per truck. (Those numbers come from a state-commissioned task force on congestion pricing, but the Metropolitan Transportation Authority’s Triborough Bridge and Tunnel Authority will set the prices in coming months.) The agency might choose to assess variable fees, making it, for example, more expensive to drive in the congestion zone during rush hour or on weekdays.The money collected through the plan is slated to go straight to the city’s public transit system. Officials say they expect the plan to raise at least $15 billion in its first five years for capital improvement projects—which just might have pushed the plan over the finish line, politics-wise. “What precipitated this thing getting passed is the subway crisis,” says Bruce Schaller, a former New York City transportation official. “It doesn't have anything to do with traffic speeds in Manhattan.”It turns out that those twin goals—fighting traffic and raising lots of money—could be at odds with each other, at least a little bit. “It’s a funny kind of tension,” says Michael Manville, an associate professor of urban planning at UCLA’s Luskin School of Public Affairs. “Policymakers have to balance them.”The congestion pricing challenge is straight out of the Economics 101 textbook. Make it too expensive and inconvenient to drive in Manhattan, and traffic evaporates—but the city will raise little money to invest in its struggling transit network. Set a lower price, making it still inexpensive and convenient to drive, and the city will raise lots of money for subways—but not relieve much congestion. The result: a bunch of cranky voters who don’t understand why it’s suddenly pricier to drive on still-crowded roads.

By |2019-04-03T06:24:27+00:00April 3rd, 2019|Scoop.it|0 Comments

Le nouveau projet fou de Facebook : battre monnaie

C'est un lieu discret au siège californien de Facebook où le décor austère contraste avec la « coolitude » des locaux du géant : quelques bureaux et une seule salle de réunion. Ici, une cinquantaine de salariés travaillent, calfeutrés depuis des mois, concentrés sur un projet qui pourrait changer la destinée du réseau social : le « Facebook Coin », sa future cryptomonnaie.  En pleine « bitcoinmania » il y a un an, Mark Zuckerberg avait fait savoir que le groupe  travaillait sur cette technologie . Quelques mois plus tard, il passait à l'action en créant un pôle blockchain. Signe de l'importance du projet, « Zuckie » en a confié les clefs à  David Marcus, ancien patron de PayPal et ex-membre du conseil d‘administration de  Coinbase, la plus grosse plate-forme américaine d'échanges de cryptos.Accélérer dans le commerce mobile et le paiement en ligneLe lancement du Facebook Coin serait programmé cet été, selon la presse américaine. Une révolution du côté de Menlo Park, qui serait aussi un coup de tonnerre dans le ciel des géants de la tech. «  Ce serait la première devise transnationale émise par une multinationale  », explique Philippe Herlin, docteur en économie et auteur de deux livres sur le bitcoin.Blockchain : après la bulle, l'heure de véritéMark Zuckerberg accroît encore ses pouvoirs chez FacebookLa première priorité de Facebook avec sa crypto ? Accélérer dans le commerce mobile et le paiement en ligne en permettant à ses utilisateurs d'effectuer une flopée de transactions (réserver un billet d'avion, commander un VTC, etc.), à l'instar de ce que propose  le chinois WeChat , propriété du  géant Tencent.  Ce qui serait pour le réseau social une manière de se diversifier,  la firme étant « mono-revenus » (98 % proviennent de la pub en ligne).« Facebook s'attribuerait là l'un des éléments essentiels d'un Etat : la monnaie »Mais son projet est bien plus ambitieux. «  On dit souvent que Facebook est le premier pays au monde avec ses 2,3 milliards d'utilisateurs  », fait valoir Philippe Herlin. «  Il s'attribuerait là l'un des éléments essentiels d'un Etat : la monnaie.  »Une devise revêt un caractère très symbolique qui renforce le sentiment d'appartenance à une même communauté. Elle est aussi vectrice de lien social. Autant de dimensions prépondérantes pour l'empire de Zuckerberg, massif écosystème d'applications sociales (Instagram, Messenger et WhatsApp).Ce projet doit en effet être appréhendé à l'aune de  la stratégie plus globale de Facebook. En parallèle à sa future cryptomonnaie, la société de Mark Zuckerberg planche sur un  autre chantier pharaonique : « Whatstabook ». Il vise à rendre interopérables toutes les messageries de son écosystème pour faciliter les échanges privés entre utilisateurs et doper le temps passé sur sa famille d'applications.

By |2019-04-02T04:16:20+00:00April 2nd, 2019|Scoop.it|0 Comments

This Photo Gallery App Is a BCH Light Wallet in Disguise

Last Wednesday, BCH fans were introduced to a wallet that is concealed by pretending to be a generic photo gallery application. The developer who designed the new BCH wallet, Bchgallery, calls himself ‘Pokkst’ and has been working on a number of platforms over the last few weeks. Bchgallery is an open source Android-based BCH light client that allows users to store funds while keeping the wallet hidden behind the veil of a fake application. Essentially the wallet uses a decoy home screen and the first time the wallet launches the user must set up a PIN. To make the wallet more masked, the application’s title bar must be tapped five times in order to access the PIN screen.The wallet also features an offline mode for composing raw transaction hexes to NFC tags. Additionally, the wallet supports the Cash Accounts protocol designed by Jonathan Silverblood. The camouflaged nature of the Bchgallery wallet adds another effective privacy style wallet into the BCH ecosystem following the Electron Cash Cashshuffle release and the recent Neutrino launch. Moreover, Pokkst has been developing cryptocurrency applications for quite some time and is known for creating the BTC wallets Crescent Pay, Apollo Wallet, the Orion Client and server, and an app called Procedural Pass.

By |2019-04-01T15:09:37+00:00April 1st, 2019|Scoop.it|0 Comments

Laptops to Stay in Bags as TSA Brings New Technology to Airports

The TSA took a major step in a broader plan to revamp its overall screening process with faster, more advanced technology when it signed a contract Thursday for hundreds of new carry-on baggage screening machines, Administrator David Pekoske said on a press call Friday. The agency has tested the new technology at more than a dozen airports since 2017, along with the relaxed protocols that allow passengers to leave items such as laptops and toiletries inside their luggage.The rollout of the computed tomography, or CT, machines will begin this summer, Pekoske said. The $97 million contract will buy 300 machines, but the list of airports receiving them has yet to be made final, Pekoske said.The technology creates 3-D images of bags’ contents and will eventually be able to detect items automatically that the TSA now asks passengers to remove, he said.“It’s not a little bit better, it’s a lot better,” Pekoske said of the technology.In total, the agency expects to replace its more than 2,000 X-ray machines with the CT equipment over the next eight years, he said. The five-year contract was awarded to Edgewood, Maryland-based Smiths Detection, but the next phase of procurement may include multiple vendors, he said.While the CT pilot program didn’t show reduced wait times at participating airports, the agency is expecting the technology will speed up lines as passengers and staffers get used to the new processes. Pekoske said he expected more staff to be needed initially as the new machines are put in place.President Donald Trump called for another 300 CT machines to be funded in his fiscal 2020 budget request released earlier this month.

By |2019-04-01T15:09:13+00:00April 1st, 2019|Scoop.it|0 Comments