Monthly Archives: May 2019

Chez Amazon, un algorithme vire les employés « pas productifs »

En l’espace de 14 mois, Amazon aurait viré plus de 300 employés dans un seul entrepôt de BaltimoreEn février dernier, Amazon révélait ses résultats annuels pour 2018, bien supérieurs aux attentes de la plupart des analystes : le chiffre d’affaires s’est élevé sur l’année 2018 à 233 milliards de dollars, soit une hausse de 31% par rapport à 2017. Si la santé financière de l’entreprise est au beau fixe, on ne peut en dire autant de celle morale et physique de ses employés.En avril, The Guardian pointait le manque de considération de la plateforme d’e-commerce pour ses employés blessés, des employés qui doivent se battre pour obtenir des soins médicaux pour des blessures dues à leur travail. C’est cette fois-ci The Verge qui révèle de bien curieux procédés : en l’espace de 14 mois, Amazon aurait viré plus de 300 employés dans un seul entrepôt de Baltimore, pour défaut de productivité. Plus glaçant encore, les documents recueillis par The Verge - une lettre, augmentée d’informations venant d'un avocat représentant l’entreprise - révèlent un système automatisé d’avertissement et de licenciement. Les Temps modernes 2019Dans les faits, Amazon définit un taux de productivité renseigné pour chaque employé dans un système automatisé. « Le système d’Amazon enregistre les taux de productivité de chaque salarié et sur cette base, génère automatiquement avertissements et lettres de licenciement sans action du superviseur », lit-on dans la lettre. Amazon précise que les superviseurs sont éventuellement en mesure de révoquer le licenciement, sans préciser toutefois les modalités. « Les salariés d’Amazon nous disent se sentir traités comme des robots, parce que leur travail est géré et supervisé par des robots », commente auprès de The Verge Stacy Mitchell, co-directrice de l’Institut pour l’autonomie locale (Institute for Local Self-Reliance) et grande critique de l’entreprise américaine. 

By |2019-05-04T22:54:51+00:00May 4th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Les contours de la future cryptomonnaie de Facebook se précisent

L'offensive de Facebook dans la cryptomonnaie prend forme. La firme de Menlo Park aurait pris langue avec des dizaines de firmes financières et de commerçants en ligne,  avance le « Wall Street Journal » qui précise que les équipes du réseau social planchent sur le projet depuis plus d'un an et que celui-ci a pour nom de code « Project Libra ».Dans le détail, le groupe de Mark Zuckerberg s'échine à convaincre les sites d'e-commerce et de m-commerce d'accepter sa future devise virtuelle, qui pourrait être baptisée « Facebook Coin », pour les achats sur leur plate-forme. Pour les convaincre, le groupe leur ferait miroiter des frais de transactions gratuits.Le nouveau projet fou de Facebook : battre monnaie En parallèle, le groupe américain discute d'un rapprochement avec Visa et Mastercard. La raison ? La grande majorité des utilisateurs du réseau social ont une carte de crédit ou de débit de l'une de ces deux firmes et Facebook va être amené à s'appuyer fortement sur leur système de paiement respectif (achat, vente et échange) quand il lancera sa « crypto ».« On sent que ce projet est bien plus qu'un gadget »Facebook chercherait aussi à lever 1 milliard de dollars auprès de tous ces futurs partenaires éventuels en vue de soutenir la valeur de sa future monnaie (« stable coin ») et lui éviter ainsi une trop grande volatilité comme celle observée avec le bitcoin, la plus connue des devises virtuelles, croit aussi savoir le « Wall Street Journal ». Pour cela, le réseau social devrait aussi indexer son Facebook Coin sur le dollar américain.« On sent que ce projet est bien plus qu'un gadget. Ils veulent construire un système de paiement global », souligne Clément Jeanneau, cofondateur de Blockchain Partner. « Le projet de crypto de Facebook s'inscrit dans un vrai changement de business model. »Facebook veut fusionner les messageries d'Instagram, WhatsApp et MessengerSous pression en raison des multiples scandales liés à son exploitation des données personnelles de ses utilisateurs, Facebook est contraint d'opérer sa mue. Même si son  modèle économique ne montre pour l'heure aucun signe de faiblesse . Cette semaine, Mark Zuckerberg a ainsi levé le voile sur les grands changements à venir concernant le  recentrage du groupe vers les échanges privés. L'autre grand chantier de la firme californienne cette année.Plus de 2 milliards d'utilisateurs chaque jour Chapeauté par David Marcus, ancien patron de PayPal, le « Project Libra » doit permettre à Facebook de diversifier ses revenus ; 98 % sont générés par la publicité en ligne. Le groupe pourrait lancer un ballon d'essai dès cet été en expérimentant sa « crypto » en Inde, via WhatsApp - l'une des applications qui constitue l'écosystème « social » de Facebook (qui comprend aussi Messenger et Instagram).C'est l'atout maître du géant de la Tech pour faire de sa crypto un succès. En tout, l'empire de Mark Zuckerberg, qui a bien identifié le paiement comme la nouvelle frontière du numérique, peut s'appuyer sur une communauté de plus de 2 milliards de personnes qui se servent chaque jour de l'un de ses services.Pour les inciter à utiliser ses Facebook Coin, le groupe lancé dans une course de vitesse avec  Telegram, qui travaille aussi sur sa « crypto », songerait notamment à leur permettre d'en gagner en regardant de la publicité. Une manière pour le groupe de gagner, lui, sur les deux tableaux, sans remettre en cause son business model.Le réseau social réfléchirait aussi à une fonctionnalité permettant à ses utilisateurs de cliquer sur une publicité pour acheter le produit ou service en question via sa « crypto ». Une fonctionnalité semblable est d'ailleurs actuellement  expérimentée sur Instagram.  De son côté, le vendeur pourrait ensuite réutiliser la devise virtuelle pour acheter à nouveau de la publicité au sein de l'écosystème. La nouvelle révolution « facebookienne » est bien en marche.

By |2019-05-04T22:54:21+00:00May 4th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Airbnb va ouvrir 200 appart’hôtels dans le Rockefeller Center à New-York

Airbnb par ci, Airbnb par là… La plateforme de location d’hébergement entre particuliers occupe particulièrement la scène médiatique ces derniers temps. Il faut dire qu’avant son entrée en Bourse, qui devrait s’effectuer cette année ou l’an prochain, Airbnb multiplie les annonces.Quelques semaines après avoir racheté HotelTonight et investi dans OYO, le spécialiste indien de la location de chambres d’hôtel, c’est du côté du continent américain que la plateforme a jeté son dévolu. Elle a collaboré avec RXR Realty, l’un des plus grands promoteurs immobiliers de New-York, afin d’acquérir 10 étages du Rockfeller Plaza. Airbnb va ainsi créer 200 appart’hôtels luxueux au cœur de la ville qui pourront être réservés depuis la plateforme.Avec ces logements, la société entend combiner le confort du foyer et une expérience authentique habituellement réservée à la population locale. Une manière de compenser les lois restrictives en matière de location de New-York et de renforcer sa position dans le secteur de l’Hôtellerie.

By |2019-05-04T22:53:57+00:00May 4th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Can Marriott really beat Airbnb in the luxury home rentals market?

As Marriott and Airbnb both move into the luxury home rentals market, does the world’s largest hotel group and its suite of premium pads really have the edge over the startup poised for a billion-dollar IPO?Marriott has added yet another product to its already teeming portfolio of 30 hotel brands, spanning 7,000 properties across 130 countries.From next week, Homes & Villas will give travellers access to 2,000 premium and luxury homes in more than 100 destinations across the US, Europe, the Caribbean and Latin America. Expected to cost between $200 to $1,000 a night, these “highly-curated” homes include a cottage set in six acres of Californian wine country and an oceanfront villa in Anguilla, complete with a private beach and personal butler.The hotel mega group believes its Homes & Villas product will “complement the core offerings of Marriott’s hotel portfolio”, adding close to 40 new “leisure destinations” to the mix.Seemingly taking a swipe at Airbnb, vice-president of Homes & Villas, Jennifer Hsiech, says the new product will offer consumers a “seamless booking experience” that helps navigate the “increasingly complex and uncertain set of home rental choices.”The business first trialled home rentals last year as part of a pilot in selected European cities. After discovering the average stay during the pilot was more than triple a typical hotel stay, Marriott is convinced its pitch to the premium home rental market is a winner.While a move to sell home rentals through its Marriott Bonvoy loyalty app is already in the works, from next week any travellers searching on the Marriott website for a stay of three-plus nights, in a location where there is a luxury home, will be served links to Homes & Villas properties.The hotel group is sure it can steal a march on rival Airbnb by offering premium homes from a “trusted travel company” tied into loyalty benefits. This is based on the insight that 90% of people who rented a home during the pilot phase were Marriott Bonvoy members.As with its fleet of hotels, Homes & Villas travellers will be able to earn loyalty points for every rental stay, which can be redeemed for exclusive experiences at their chosen property, from game nights and gourmet cooking to BBQs.And with that Marriott may have thought it had the premium rental market all sewn up. The problem is that no sooner does the hotel mega chain make a move than news emerges Airbnb is poised to launch what it describes as a “new category of urban lodging”.

By |2019-05-04T22:53:18+00:00May 4th, 2019|Scoop.it|0 Comments

David Malpass, président de la Banque mondiale : « L’innovation est la clé pour l’Afrique »

David Malpass, 63 ans, est le nouveau président de la Banque mondiale, depuis le 9 avril, pour un mandat de cinq ans. Pour son premier voyage, cet économiste américain proche de Donald Trump, qui l’avait nommé sous-secrétaire au Trésor pour les affaires internationales, a choisi Madagascar, un pays où l’extrême pauvreté touche environ 75 % de la population.Lors de sa prise de fonction, il a précisé que l’Afrique serait pour lui une priorité et qu’il se consacrerait en premier lieu à la réduction de la pauvreté d’ici à 2030. M. Malpass l’avait déjà signifié en 2017. A cette époque, il avait critiqué des institutions internationales « pas très efficaces », « souvent corrompues dans leurs pratiques de prêts », et avait estimé que la Banque mondiale devrait se recentrer sur la lutte contre la très grande pauvreté.A Madagascar, lundi 29 avril, M. Malpass a annoncé un financement de 392 millions de dollars (environ 350 millions d’euros) destiné à l’amélioration de l’accès à l’électricité (150 millions de dollars), au budget de l’Etat (100 millions), aux familles démunies (90 millions) et à la sécurisation des titres fonciers (52 millions). Cet entretien, partagé avec Radio France internationale (RFI), est sa première expression publique hors des Etats-Unis.

By |2019-05-04T22:48:28+00:00May 4th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Vers un statut pour les travailleurs des plates-formes numériques

Installés dans une sorte de no man’s land juridique, les travailleurs des plates-formes numériques sont peut-être sur le point d’en sortir. Le gouvernement et des députés macronistes parachèvent, en effet, leur réflexion sur ce dossier crucial, puisqu’il touche notre modèle social, très largement structuré autour du salariat. L’objectif est double : sécuriser l’activité des entreprises et étoffer les droits des individus qu’elles emploient. Des dispositions devraient être prises dans le projet de loi d’orientation des mobilités, actuellement en cours d’examen au Parlement.Depuis plusieurs années, on assiste à l’émergence d’une nouvelle catégorie d’actifs, payés à la tâche par des plates-formes digitales (comme Uber ou Deliveroo) en contrepartie d’un service apporté à un consommateur. Qu’ils soient livreurs à vélo ou chauffeurs, beaucoup de ces travailleurs « ubérisés » relèvent du régime du microentrepreneur, pour lequel il existe une « présomption de non-salariat » : autrement dit, ils sont considérés comme des indépendants et ne bénéficient pas de la couverture sociale accordée à un salarié « ordinaire ». De son côté, la plate-forme qui met en relation « son » travailleur avec un client est soumise à des prélèvements moins lourds qu’une société dont la main-d’œuvre est salariée.Ces transformations sèment l’inquiétude, notamment parmi les syndicats, qui y voient un détricotage insidieux du code du travail. Elles débouchent aussi sur des contentieux, à l’initiative – en particulier – de ces « ubérisés » : ils sont, en effet, quelques-uns à avoir demandé à la justice de requalifier en contrat de travail leur relation avec les plates-formes. La quasi-totalité d’entre eux ont d’abord été déboutés. Mais deux décisions récentes, de la Cour de cassation et de la cour d’appel de Paris, leur ont donné gain de cause, ébranlant, du même coup, les grandes enseignes – Uber et consorts : celles-ci ont peur, désormais, que leur modèle économique soit fragilisé. Cet arrêt de la Cour de cassation qui inquiète les plates-formes numériquesEtablir une charteC’est donc dans ce contexte que le gouvernement et des élus LRM ont lancé une concertation sur le sujet. Une démarche similaire avait été engagée en 2018 : elle avait débouché sur l’adoption d’un amendement à la loi « avenir professionnel », porté par Aurélien Taché, député La République en marche (LRM) du Val-d’Oise.

By |2019-05-04T22:47:58+00:00May 4th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Intelligence artificielle : « La complexité de la modélisation du cerveau humain a toujours été sous-estimée »

Yann LeCun, chercheur en intelligence et vision artificielles à l’Université de New York et directeur de Facebook Artificial Intelligence Research (FAIR), est l’un des pionniers de l’intelligence artificielle (IA) grâce à son rôle majeur dans le développement des technologies de l’apprentissage profond (« deep learning »). C’est à ce titre qu’il a reçu, le 27 mars, avec Yoshua Bengio et Geoffrey Hinton, le prix Turing – un « Nobel de l’informatique ».Pourtant, Yann LeCun affirme volontiers que les ambitions en matière de recherche en intelligence artificielle ont toujours été extravagantes. La complexité de la modélisation du cerveau humain pour reproduire son fonctionnement – ce qui est l’objectif originel de l’intelligence artificielle – a toujours été sous-estimée, et les progrès des recherches sont moins importants que ceux auxquels on s’attendait. Pour ce chercheur, il faut délaisser la course à la performance technologique pour se recentrer sur les sujets fondamentaux que sont l’intelligence, le sens commun, ou encore l’apprentissage (« Y a-t-il un cerveau dans la machine ? », « La Méthode scientifique » – Nicolas Martin, France Culture, 30 août 2017).La majorité des applications dont on dit qu’elles utilisent l’IA – la traduction, le diagnostic médical, la voiture autonome – utilisent en fait l’apprentissage profond, sa composante principale et quasi unique. Aujourd’hui, tous les assistants vocaux virtuels suivent des scripts préécrits par des humains en fonction de la reconnaissance de mots, ce qui confère à l’IA une compréhension encore très superficielle du sens de la parole.

By |2019-05-04T22:47:18+00:00May 4th, 2019|Scoop.it|0 Comments

L’Oréal : « notre force de frappe sur le nouveau marketing est très importante »

C’est un virage digital « inside » qu’a pris L’Oréal. « La beauté et le digital, c’est un accord parfait » résume Lubomira Rochet, Chief Digital Officer de L’Oréal. Elle a pris la parole à l’occasion de la présentation de la nouvelle expérience client délivrée avec Modiface, la société d’intelligence artificielle et de réalité virtuelle racheté par L’Oréal, le 19 février à Paris.3 milliards d’euros de vente sur internetLe commerce via internet monte en puissance. « Le e-commerce a pesé 3 milliards d’euros de revenus en 2018. C’est plus de 11% de notre chiffre d’affaires, et c’est une croissance de 40% par rapport à 2017 » se réjouit la responsable. La communication et le marketing du groupe de cosmétiques change également en profondeur. « Aujourd’hui, 43% de notre achat de média va sur le digital. Et sur ce digital, 75% est géré en programmatique » annonce-t-elle. « Nous sommes vraiment sur les nouvelles manières d’acheter du média » insiste-t-elle.Les points de contact digitaux grimpent en audience. Le nouveau marketing se développe avec tout ce qui est l’influence marketing et le contenu. « Sur le nouveau marketing, notre force de frappe digitale est très importante, puisque nous avons plus de 1,2 milliard de visiteurs sur nos sites. Nous avons plus de 350 millions de followers sur nos réseaux sociaux. On génère 3 milliards d’euros d’équivalent média au travers du marketing de l’influence » dit-elle. Le marketing et la communication sont pensés différemment. « 80% de nos contenus sont pensés nativement pour le digital au-delà de la TV et du print. 80% sont complètement pensés pour le digital » pointe-t-elle.De nouvelles manières de découvrir et d’essayer les produitsC’est la première phase de la transformation qui est la transformation des fonctions de L’Oréal en plaçant le digital à l’intérieur. Cette transformation se poursuit, insiste Lubomira Rochet. La seconde phase qui s’ouvre est la réinvention de l’expérience du consommateur et des nouvelles technologies, dit-elle. Cela concerne l’intelligence artificielle, la réalité augmentée, la réalité virtuelle, la voix, …« Cela aura un impact sur la manière dont les consommateurs vont découvrir nos marques, nos produits, les essayer, les acheter, les recommander » annonce-t-elle. Pour autant, même si le digital et la data montent en puissance, il faut d’abord créer une relation avec la cliente. « La relation surpasse la data. La data ne viendra que s’il y a une relation » conclut la Chief Digital Officer.Pour l’achat média, L’Oréal travaille avec les plateformes de ses deux principaux inventaires, Google et Facebook. C’est-à-dire les outils Power Editor de Facebook et Google Marketing Platform (anciennement DoubleClick). L’Oréal commence à modéliser son achat média. Le moment où cette modélisation va pouvoir se transformer en automatisation de l’achat média via du Machine Learning se rapproche.

By |2019-05-04T22:06:55+00:00May 4th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Hypermarchés Carrefour : suppression de postes et recours à l’encaissement automatique

A l’occasion d’un comité central d’entreprise extraordinaire pour Carrefour Hypermarchés, vendredi 31 janvier, Marie Cheval,  Directrice Exécutive Hypermarchés France a présenté un plan de transformation mêlant recours à la technologie et suppression franche d’activités et de postes.Un plan dont le syndicat CGT de Carrefour s’est fait l’écho. 200 magasins seront équipés en partie de caisses automatiques et 168 verront le développement des scanettes pour les clients. 10 hypermarchés seront passés en modèle libre-service « Low cost » et 50 stations-services supplémentaires passeront en « tout automatique ».La CGT indique également la fermeture de toutes les bijouteries, la fin du gros électroménager, la suppression du rayon photo. Il y aura la suppression des vendeurs multimédia dans une vingtaine d’établissements, la suppression de la moitié des cadres dans les établissements ayant de 25 à 30 cadres, la cession de mètres carrés dans 20 magasins, le passage de 10 hypermarchés supplémentaires en location gérance. Il y aura l’implantation de Corner Fnac Darty en remplacement de certains rayons (EPCS, Culture etc. …).

By |2019-05-04T22:06:42+00:00May 4th, 2019|Scoop.it|0 Comments

La banque JP Morgan crée sa propre monnaie digitale sur la blockchain

La puissante banque américaine JP Morgan Chase lance sa propre monnaie digitale sur internet, en utilisant les techniques de la blockchain. Cette monnaie, le « JPM Coin », vaut 1 $ et doit servir aux échanges financiers instantanés entre institutions et entreprises. Elle n’est pas destinée aux particuliers pour le moment.La monnaie « JPM Coin » est destinée à accélérer les règlements. Cette monnaie digitale sera remboursable en dollars. Au fil du temps, le « JPM Coin » sera étendu à d’autres grandes devises que le dollar américain. La banque insiste sur le fait que le « JPM Coin » est actuellement un prototype.Le JPM Coin » sera émis sur la blockchain Quorum déjà existante chez JP Morgan puis étendu à d’autres plateformes. Le « JPM Coin » sera utilisable sur tous les réseaux Blockchain standard.Le « JPM Coin » est actuellement un prototype qui sera testé avec un petit nombre de clients institutionnels de JP Morgan, avec des projets d’extension du programme pilote plus tard cette année. Le « JPM Coin » est actuellement conçu pour les flux de mouvements de fonds entre entreprises.Etant donné que le projet est toujours dans une phase de test, la banque ne prévoit pas de rendre disponible le « JPM Coin » pour les particuliers à ce stade. JP Morgan figure dans le Top 10 des banques les plus puissantes au monde.

By |2019-05-04T22:06:30+00:00May 4th, 2019|Scoop.it|0 Comments