Monthly Archives: June 2019

Google va consacrer 1 milliard de dollars au problème du logement

Cela ne résoudra pas le  problème de l'immobilier dans la région de San Francisco, mais l'initiative est de taille. Google a annoncé qu'il allait consacrer 1 milliard de dollars, dans les dix prochaines années, pour construire des logements accessibles.Le géant de l'internet va remettre sur le marché des terrains qu'il possède, pour l'équivalent de 750 millions de dollars. Selon son PDG, Sundar Pichai, ce sont ainsi 15.000 nouveaux logements qui pourraient y être créés. Le reste de l'enveloppe - 250 millions - ira à des incitations, pour que les acteurs du marché construisent au moins 5.000 logements à prix réduit. L'an dernier, seuls 3.000 logements neufs ont été construits dans la région.

By |2019-06-20T19:29:12+00:00June 20th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Libra : ce que Facebook va faire de vos données personnelles

C'est l'un des plus gros enjeux soulevés  par le « libra ». En dévoilant ce mardi  les contours de son projet de monnaie numérique, Facebook s'efforce de mettre fin aux spéculations sur l'utilisation future des données personnelles générées par l'intermédiaire de « Calibra ». C'est via les services de cette filiale - détenue à 100 % par le groupe de Menlo Park -, que les utilisateurs pourront acheter, vendre, stocker et utiliser la « crypto ».« Calibra a été créé afin d'avoir une entité réglementée et dédiée qui s'engagera fermement à respecter la vie privée de ses clients, car nous avons entendu haut et fort que vous ne voulez pas que les données sociales et financières soient mélangées. Nous comprenons que nous devrons gagner votre confiance », a clamé dans la foulée du lancement, David Marcus, qui  a supervisé l'ensemble du projet et pris la tête de Calibra.  Mais des zones d'ombre demeurent.

By |2019-06-20T19:28:50+00:00June 20th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Facebook Project Libra Cryptocurrency, Coming in 2020

While Facebook has been driving the project, the company is framing its role as one member of a federation of dozens of companies and non-profit organizations that will together manage the currency through a Swiss foundation. Corporate members of the organization, known as the Libra Foundation, will be required to contribute a minimum of $10 million to help the currency gain traction, an effort that will likely see users receive a small amount of Libra to test it out.Initial members of the foundation are Facebook and 27 other partners, including Visa, MasterCard, PayPal, Coinbase, and venture capital firms like Andreessen Horowitz and Union Square Ventures. Marcus hopes as many as 100 partners will be onboard by the time the currency debuts, by which time the group will have crafted a formal charter that sets out voting rights and other rules.The Libra blockchain—like other blockchains—will provide a tamper-proof record of transactions on the network. But, unlike Bitcoin and other public blockchains, only authorized bodies—in this case, foundation members—will be allowed to run a node.In addition, members will also maintain the supply of Libra in response to demand—meaning they will issue new Libra as needed, and destroy the digital currency when people redeem them.

By |2019-06-20T19:24:11+00:00June 20th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Google Wants a Piece of the Ecommerce Marketplace – eMarketer Trends, Forecasts & Statistics

Google's redesigned version of Google Shopping brings its online marketplace center stage. But can the new platform—which merges Google Shopping with the company’s existing retail marketplace, Google Express—compete with the likes of Walmart, eBay and Amazon?The online marketplace model—where products and services are sold by multiple third parties through a single ecommerce entity—has become a disruptive force in the consumer goods industry. According to a February 2019 survey conducted by Salesforce, 81% of consumer goods professionals worldwide believe that online marketplaces have transformed how consumers connect with products.

By |2019-06-20T19:16:44+00:00June 20th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Une compagnie américaine commande les premiers avions électriques

Cape Air, qui dessert des liaisons telles que New York-Nantucket et Boston-Martha's Vineyard, a accepté d'acheter l'avion électrique à neuf passagers, baptisé Alice. La compagnie aérienne, dont le siège social est au Massachusetts, exploite actuellement des turbopropulseurs. S'exprimant au Salon du Bourget, Omer Bar-Yohay, PDG d'Eviation, a déclaré que d'autres sociétés aériennes, dont des compagnies majeures telles que United Continental et JetBlue, sont des clients potentiels pour l'avion électrique, qui a une portée de 650 miles. L'entreprise vise des trajets courts, tels que Paris-Toulouse, Oslo-Trondheim en Norvège et San José-San Diego aux Etats-Unis. Avec 200 dollars par vol, les coûts d'exploitation de l'Alice sont inférieurs à ceux d'un turbopropulseur, qui consomme environ 1 000 dollars de carburant, mais avec une vitesse de croisière de 276 miles par heure, il est plus lent que les turbopropulseurs traditionnels généralement utilisés sur ces routes.

By |2019-06-20T19:12:10+00:00June 20th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Beauté connectée, médias sociaux… et si on devenait tous beaux ?

Le programme d’intelligence artificielle qui vous montre ceci fait correspondre à chaque scénario une panoplie de produits, du masque lumineux au make-up naturel en passant par un shampooing professionnel, ainsi que le coaching qui les accompagne. Pour les marques, c’est une aubaine, limite freudienne, doublée d’un coup de génie : elles comblent le fossé entre le moi digital et le moi réel – #nofilter. Cette intelligence dans l’accompagnement a vocation à se décliner sur tous les touchpoints du parcours client des produits cosmétiques : en magasin, en salon de coiffure ou d’esthétique, en ligne et, bien-sûr, dans la salle de bain. La beauté connectée, c’est ainsi une proposition de service circulaire qui vous frappe en plein Narcisse puis qui vous suit un peu partout et vous conseille – via l’IA mais aussi via des spécialistes et conseillers – afin de vous permettre de devenir la meilleure version de vous-même.  La même beauté pour tous ? Platon disait que la beauté est un idéal indéfinissable dont nous pouvons seulement reconnaître les manifestations individuelles. Cette théorie est primordiale alors que les médias sociaux dévoilent les habitudes esthétiques et les canons de beauté propres à des cultures il y a peu encore technologiquement isolées.Tandis que les Chinois se jettent sur les produits de cosmétique active français, les Français eux s’intéressent aux produits de maquillage coréens, le tout peut-être sous les conseils d’une influenceuse suédoise. Et si les écarts entre ces pays sont importants à la base, il semble que cette mise en commun internationale participe d’une certaine convergence et d’un lissage des routines beauté et des discours marketing les desservant.  Identité manipulée? La peur de détonner joue sûrement un rôle dans ce drôle de théâtre où chacun se sent exposé et donc vulnérable. Disons-nous d’une personne ou d’une image qu’elles sont belles car elles nous renvoient à une vérité collective, superficielle et – force est de l’admettre –manipulée ? Ou la beauté est-elle toujours dans l’œil de celui qui regarde, fruit d’un rapport intime et subjectif ? Les grands groupes et quelques marques indépendantes ont déjà commencé à se positionner subtilement sur cette dichotomie, sur ce paradoxe entre hyperpersonnalisation et homogénéisation des standards, en nourrissant de technologie l’imaginaire de ce grand rassemblement sans pour autant en délaisser les tropismes sociétaux, culturels et régionaux, afin de conquérir un marché de plusieurs milliards de consommateurs. Un black mirror de la beauté serait-il en marche? 

By |2019-06-17T18:11:36+00:00June 17th, 2019|Scoop.it|0 Comments

L’avancée d’Alipay en Europe contribue à l’expérience voyageur chinoise

Dès l’été 2019, six services de paiement mobile européens intégreront le paiement par QR Code d’Alipay. En 2018, le nombre de commerçants européens acceptant ce service a triplé. Des chiffres qui, en complément des récentes annonces du groupe, confirment l’intérêt d’Alibaba vis-à-vis du marché européen et l’importance du paiement dans l’expérience de voyage.Alipay s’est associé avec six portefeuilles mobiles ou « wallets » basés en Europe. Un partenariat qui permet au service de paiement du géant Alibaba de promouvoir le paiement par QR Code auprès des commerçants européens. Destiné avant tout aux voyageurs en provenance de Chine, adeptes de cette méthode de paiement, le service est disponible également pour les Européens. Un exemple qui rappelle comment les services de paiement contribuent à l’expérience de voyage. En 2018, les touristes chinois ont effectué 14,2 millions de visites en Europe, soit 14,4 % de plus que l’année précédente.Actuellement, Alipay dessert un peu plus d’un milliard d’utilisateurs, dont une majorité de Chinois, grâce à ses partenaires asiatiques. Au travers de ces rapprochements, le géant chinois étend désormais sa présence sur le Vieux Continent. Parmi ses partenaires, Alipay compte la société autrichienne Bluecode, ePassi basée à Helsinki, l’application de paiement espagnole Momo Pocket, Pagaqui au Portugal, Pivo en Finlande et Vipps en Norvège. Au total, ces six wallets réunissent 5 millions d’utilisateurs et 190 000 commerçants en Europe. Désormais, ils utiliseront la technologie d’Alipay et rendront le paiement par QR Code disponible auprès de leur réseau de commerçants.

By |2019-06-17T17:40:12+00:00June 17th, 2019|Scoop.it|0 Comments

UP Magazine – Projet “New Deal” : pour les voies rapides du futur du Grand Paris

Grâce à la mobilisation de tous les moyens qu’offrira la technologie (véhicules connectés, délégation de conduite, Internet des objets), les voies New Deal pourront absorber de hauts débits de trafic réduisant d’autant la circulation des véhicules autosolistes. A terme, le trafic serait réduit de 50 % dans le cœur de la mégapole, et « la pollution atmosphérique ne sera plus qu’un mauvais souvenir ».  La pollution sonore serait parallèlement réduite de moitié par la baisse de trafic, les nouvelles technologies routières faisant le reste.Ainsi, le périphérique deviendrait, à l’horizon 2050, un grand boulevard métropolitain, avec un trafic réduit de moitié, 50 % de ces voiries étant réservés à la végétalisation.Il deviendrait un boulevard à traverser à pied : de 4 ou 5 Voies, il passserait à 3 ; les voies abandonnées, remises en pleine terre, seraient végétalisées sur les parois, le terre-plein central et les murs antibruit. En s’appuyant sur les alternatives qui auront été développées d’ici là : Grand Paris Express, prolongation des lignes de métro, réseau de bus, nouvelles lignes de tramway, mobilités douces, intermodalité, délestage du trafic de poids lourds, transport fluvial et ferroviaire pour la logistique, télétravail, etc., le périphérique et ses abords seraient ainsi libérés de toutes nuisances, permettant d’ouvrir une large trame urbaine privilégiant des espaces verts réunissant Paris et les communes limitrophes, un espace de respiration où pourraient venir se développer de nouveaux usages. New Deal : une mise en œuvre en trois étapes Entre 2020 et 2024, 200 nouvelles lignes de cars express sur autoroute relieront les communes de grande couronne aux principales gares de RER et zones d’activité proches de la Francilienne et libèreront de la voiture les habitants de la grande couronne travaillant dans Paris. Entre 2024 et 2030, un réseau de voies réservées et de nouveaux Hubs « New Deal » accueilleront cars, navettes express et véhicules partagés sur la voie de gauche de la Francilienne, de l’A86 et des principales autoroutes du Grand Paris, en synergie avec la mise en service progressive du Grand Paris Express. Entre 2030 et 2050, les nouvelles technologies permettront d’optimiser le débit des 500 kilomètres de voies « New Deal » sur lesquelles circuleront des véhicules collectifs autonomes.Un Pass Mobilité universel opéré par une autorité unique permettra d’accéder à toutes les solutions de transport. L’espace public reconquis sur une partie des emprises des autoroutes urbaines sera durablement transformé en espaces propices aux mobilités douces et aux nouveaux usages.

By |2019-06-16T21:58:10+00:00June 16th, 2019|Scoop.it|0 Comments

« Le centre commercial fait partie désormais du parcours d’un client…

les centres commerciaux sont des lieux de flux et même d’hyper-flux et sont devenus un véritable média particulièrement adapté au marché automobile. Dans un marché aussi concurrentiel, ils permettent de créer des lieux qui expriment le territoire de marque et de faire vivre une nouvelle expérience de marque, notre écosystème digital relayant et renforçant encore cette présence. Associer une marque à un centre commercial permet de créer une forte proximité avec les visiteurs fans de leur centre et de susciter de l’engagement. Et ce lien est encore plus fort en province. Tout est possible, en fonction des spécificités du modèle, des objectifs de la marque, depuis une présence sur un délai très court (2 à 3 jours) jusqu’à la reproduction d’une concession en passant par le pop-up store.

By |2019-06-16T21:53:54+00:00June 16th, 2019|Scoop.it|0 Comments