Monthly Archives: June 2019

Le texte regroupe plus de 125 propositions relatives au système Hyperloop. Un ensemble de recommandations basé sur les principaux besoins en matière de sécurité développés et présentés par HyperloopTT et TÜV SÜD à Munich en septembre 2018. Les deux organisations ont révélé que l’Hyperloop répondait aux exigences mondiales de sécurité et était assurable au moyen des premiers cadres assurantiels dédiés aux systèmes Hyperloop. Une analyse menée en partenariat avec Munich Re, l’un des leaders de la réassurance.Les directives seront épluchées par la directrice des Transports terrestres de la direction générale de la mobilité et des transports (DG MOVE) de la Commission européenne à Bruxelles. « L’UE est une référence mondiale en matière de transports, que ce soit en termes de recherches, de normes de sécurité ou de réglementation. Nous avons pour objectif de faciliter leur développement tout en étant ouverts à l’innovation : c’est pourquoi nous sommes intéressés par l’analyse présentée ici concernant l’Hyperloop. L’Hyperloop, en tant que nouvelle technologie de transport, peut représenter une opportunité formidable d’améliorer encore un peu plus les connexions entre pays et régions de l’UE, et fournir un moyen de transport terrestre hautement efficace du point de vue énergétique et n’émettant pas de carbone », a déclaré Elisabeth Werner, directrice des Transports terrestres au sein de la DG MOVE.Vers un processus de certificationL’examen des propositions constitue une première étape essentielle pour lancer le processus de réglementation des systèmes Hyperloop par l’Union européenne. « Nous travaillons avec des gouvernements du monde entier à l’élaboration du cadre juridique nécessaire. Il est réjouissant de voir ces efforts progresser », a précisé Andres De Leon, directeur de l’exploitation de HyperloopTT. « Les États-Unis ont créé un conseil spécial pour la commercialisation de l’Hyperloop et la Commission européenne a aujourd’hui lancé la première étape du processus de création d’une réglementation à l’échelle du secteur ».

Dans son étude intitulée Predicts 2019 : Future of Supply Chain Operations, Gartner a sondé plus de 300 cadres impliqués dans des projets de blockchain afin d’identifier leurs besoins et leurs attentes. Dans un marché précoce et immature, les analystes prédisent l’obsolescence de 90 % des projets blockchain existants d’ici 18 mois.Les conclusions du rapport ont été révélées par le média ZDnet.fr. L’enquête met en lumière l’incapacité des fournisseurs à mettre au point des solutions exploitant les chaînes de blocs à la hauteur des attentes gravitant autour de la technologie. À cela s’ajoute une inaptitude à identifier les cas d’usages de la blockchain les plus prometteurs. Le cabinet d’étude prévoit ainsi que 90 % des projets existants de la blockchain devront être retravaillés dans environ 18 mois afin d’éviter l’obsolescence.« Les plates-formes Blockchain sont des plates-formes émergentes et, à l’heure actuelle, il est presque impossible de les distinguer de la technologie de base de la blockchain », explique Adrian Lee, le directeur principal de la recherche chez Gartner avant d’ajouter : « De nombreux DSI surestiment les capacités et les avantages à court terme de la technologie blockchain pour les aider à atteindre leurs objectifs commerciaux, créant ainsi des attentes irréalistes lors de l’évaluation des offres des fournisseurs de plates-formes et des fournisseurs de services blockchain ».Un marché immature et fragmentéGartner qualifie le marché des chaînes de blocs d’immature et « fragmenté ». Une situation qui accroît la confusion chez les décideurs alors que le cabinet d’analyses prévoit une multiplication des fournisseurs. Pour Adrian Lee, cette tendance peut potentiellement empêcher la montée en puissance d’une plateforme dominante sur ce marché. Malgré les incertitudes concernant les solutions actuelles, le rapport ne remet pas en cause la technologie blockchain. Fortune Business Insights prédisait d’ailleurs qu’elle constituerait un marché supérieur à 21 milliards de dollars en 2025. De son côté Gartner prévoit que d’ici 2025, la valeur ajoutée de l’entreprise par la blockchain atteindra un peu plus de 176 milliards de dollars. Un chiffre susceptible de dépasser les 3 000 milliards de dollars à l’horizon 2030.

De plus en plus d'entreprises poussent leurs salariés à lancer des start-up en interne, favorisant l'éclosion d'un écosystème riche de programmes, de services et de formations tournés vers cette nouvelle manière de travailler. Mais gare à l'effet de mode.

Né dans l’aérien, le Yield Management ou gestion de la rentabilité est une pratique consistant à faire fluctuer les tarifs d’un produit ou d’un service pour influencer la demande. Aussi connue sous l’appellation « Revenue Management », cette stratégie marketing s’est développée dans le transport ferroviaire mais aussi l’hôtellerie. Le rapport révèle que 4 hôtels sur 10 le pratiquent. Une stratégie bien connue des voyageurs fréquents : seulement 3 % des sondés ne connaissaient pas la pratique. La majorité des voyageurs familiers (61 %) juge la pratique « normale » ou « habituelle ». Pour autant, seulement 13 % des sondés la considèrent comme attractive ou synonyme de bon plan.À l’inverse, 35 % des clients d’hôtels interrogés par Coach Omnium jugent cette fluctuation comme « anormale » ou « pas acceptable ». Certains y voient un abus de la part d’hôteliers qui « doublent leur prix ou plus encore », peut-on lire dans le rapport. Une situation contraignante pour les voyageurs d’affaires qui n’ont généralement pas le choix de la date et acceptent de payer le prix fort. Enfin, 30 % des sondés considèrent ce jeu de dentelles comme « un véritable casse-tête ». Et si 7 % des voyageurs vont jusqu’à dénoncer ces pratiques sur les sites d’avis en ligne, seulement 16 % renoncent au séjour. « La réaction la plus courante est de renoncer à un hôtel pour un autre, quand c’est possible dans la destination. Ils sont 70 % à le faire, ce qui n’est pas rien », déclare Mark Watkins, Directeur associé de Coach Omnium.

Comme chaque année depuis vingt ans, des enchères ont été organisées pour déterminer qui aurait le privilège de déjeuner avec Warren Buffett. C'est Justin Sun, fondateur de Tron, qui a déboursé 4,6 millions de dollars pour pouvoir déjeuner avec « l'oracle d'Omaha ». Il compte bien le faire changer d'avis sur les cryptomonnaies.

Le bois-énergie est la première source d'énergie en France et l'Office National des Forêts veut développer cette filière à la Réunion. Elle a commencé à faire des tests depuis ce lundi, sur deux essences présentes au Maido : l'accacia, espèce invasive et le cryptoméria de classe 2 et 3 issus des coupes d'éclaircie. Ces tests vont durer plusieurs mois sur un gisement de bois particulièrement intéressant, le Maido. Pour l'ONF, il s'agit de trouver une solution durable dans le traitement du surplus de bois. Concernant l'accacia qui sera traité en priorité, il est peu qualitatif pour la transformation. A travers une coupe tous les 15 ans, la filière bois permettra de maitriser le peuplement de cette espèce invasive, implantée dans la zone pour relancer la reprise de la forêt après les incendies.  Dans cette forêt,1000 m3 seront prélevées chaque année afin d'alimenter les chaudières de l'usine du Gol à Saint-Louis, en complément de la bagasse, du fuel et du charbon.

We forecast that retail ecommerce sales of food and beverage products in the US will surpass $22 billion this year, growing more than 20% annually through 2021. While this emerging segment of ecommerce has a long way to go before generating the sales figures of established categories like apparel and consumer electronics, it’s growing significantly faster than any other ecommerce product category tracked by eMarketer.

On Friday, New Yorkers get a peek at the future: paying for a transit ride not with a swipe, but just by holding a smartphone or smartwatch near a turnstile.Starting at noon, contactless fare readers from Metropolitan Transportation Authority’s new OMNY system will go into operation at 16 subway stations and on Staten Island buses. To use one, riders with contactless credit or debit cards, or smartphones or smartwatches equipped with mobile wallets, can tap or wave them in the direction of a reader, which will glow blue when they’re ready to use. (You can tell if your credit card is contactless if it has a sort of sideways Wi-Fi symbol on it).Riders will also be able to use Apple Pay, Google Pay, Samsung Pay, and Fitbit Pay to purchase single tickets. And they’ll be able to create and log on to their own MTA payment accounts, so they can keep track of their rides and add money to their passes from afar. The system—and the ability to use it for monthly or weekly transit passes—should roll out MTA-wide by late 2020. By 2021, riders should also be able to purchase OMNY cards, which they can load with cash and use like today’s MetroCards. OMNY apps for iOS and Android are in production.Despite New Yorkers’ insistence that they have the best of everything first, the idea of using contactless and mobile payments in a public transit system isn’t new. London, Tokyo, Sydney, Beijing, and Shanghai have had the tech for years. The US has lagged, in part, because contactless credit cards have not taken off here as they did in Europe and Asia. But even Portland, Oregon, beat New York to the transit punch, launching a full-scale Apple Pay integration this month.And during the initial rollout, OMNY isn’t particularly practical for most commuters, who don’t use those particular transit lines and don’t pay for individual tickets each time they pass through a fare gate. Even OMNY’s short-term goals aren’t exactly world-shaking. It promises to cut down the time it takes for each rider to get through a turnstile, with the ability to accept 30 fares per minute—a nice feature during rush hour. It should reduce the amount of time people spend in line waiting to reload fare cards and allow the MTA to retire some of those bulky MetroCard vending machines that now crowd stations.

Digital currencies have had a great year based on the five months up to June 1st. So far cryptocurrencies have outshined traditional investments like oil, gold, and popular stocks. The market valuation of all 2,000+ digital currencies is now close to a quarter of a trillion dollars. There’s also been a steady $40-100 billion dollars in trade volume every 24 hours over the last few weeks. In comparison, the top performing traditional asset is oil, which is up over 29% since the beginning of the year.Oil and gold’s performance over the first five months of 2019.This is followed by stocks like Nasdaq (+15%), S&P (+13%), Dow Jones (+10%), and Nikkei (+6%). One troy ounce .999 Gold (Au) prices have remained around the same value over the last five months but gained 0.46% since Jan. 1. On the first of the year, the price of one ounce of silver was $15.49 but the value has lost 7.48% with current prices at $14.33 per troy ounce of .999 silver (Ag).The Top 5 Crypto Market LeadersA great majority of cryptos gained much more value than most of these traditional assets combined. The top runner of 2019 is binance coin (BNB) which has gained 450% this year. BNB has climbed from $6.19 per coin on Jan. 1 to $34.06 at today’s opening prices. Litecoin (LTC) is the second largest 2019 market leader with 265.85% gained when the price was $30.46 on the first of the year and $111.44 per LTC today.

After more than one year of analysis and deliberation, the report containing the recommended regulatory framework for cryptocurrency in India is now ready to be submitted to the finance minister, according to local media. The new finance secretary, former Secretary of the Department of Economic Affairs (DEA) Subhash Chandra Garg, reportedly confirmed its readiness at an event hosted by the Associated Chambers of Commerce and Industry of India on Thursday.“On the cryptocurrency regulation, Garg said the report is ready,” PTI reported, further quoting the finance secretary as saying:We will submit it to the finance minister (soon). Of course, once the approval is done, it will be made public.