D’une part, une banque entièrement digitalisée, pouvant répondre à des velléités de simplification et d’immédiateté, développant l’autonomie du client sur des opérations simples à faible valeur ajoutée, et intégrant les contraintes réglementaires incluses nativement dans sa relation client. Une banque où l’IA, la robotisation et les algorithmes pourront rayonner.
En effet, d’autres secteurs ont pu bénéficier de cette digitalisation profonde, comme celui des transports, où l’intelligence artificielle et la digitalisation s’invitent à toutes les étapes des déplacements urbains. La digitalisation permet d’offrir au consommateur un service personnalisé, interactif et généralement accessible 24 heures sur 24.
D’autre part, une banque dont la stratégie d’accompagnement d’épargne et de gestion patrimoniale répond à de besoins plus avancés comme un crédit immobilier complexe ou la gestion de titres vifs. Ici, le client doit bénéficier de conseils avisés que le banquier, chef d’orchestre, construit en mobilisant les différentes expertises de la banque. Une banque où l’ingénierie patrimoniale, mettant le digital au service de l’humain, prend tout son sens.
Sourced through Scoop.it from: www.lesechos.fr
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