Deux ans plus tard, la «Google City» ne fait plus rêver grand monde au Canada. Aux craintes initiales liées à vie privée des résidents, s’est ajoutée une série de polémiques sur la gouvernance du projet et les ambitions du géant américain. En juin 2019 pourtant, Sidewalk Labs publiait son très attendu «master plan», soumis à l’évaluation de son partenaire Waterfront Toronto, l’entité publique qui réunit la ville, la province et l’Etat fédéral pour aménager les bords du lac. Loin d’apaiser les craintes des Canadiens, ce plan directeur n’a fait que les renforcer, révélant la nature des désaccords entre la firme new-yorkaise et Waterfront Toronto. Pour régler les points de désaccord avec Sidewalk Labs, l’entité canadienne Waterfront a décidé de fixer une date limite : ce jeudi 31 octobre.
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