« Là, on pense qu’il y aura plutôt 300 entreprises, ce qui est une preuve de  maturité », assure-t-il. « Il y a une réduction de la voilure à plusieurs niveaux qui s’explique par une rationalisation des investissements, la volonté d’avoir une meilleure sélection », abonde Olivier Ezratty, qui table sur 20% des startups françaises de moins qu’en 2019.

« En 2014-2015, c’était important que la French Tech montre ses muscles »
« En 2014-2015, c’était important que la French Tech montre ses muscles parce qu’elle n’existait pas sur le radar de la tech mondiale. Il y a sans doute eu des excès, c’est un peu un retour de balancier », estime de son côté Frédéric Rossi, directeur général délégué de Business France.

L’agence gouvernementale de promotion des entreprises françaises à l’étranger accompagne une vingtaine de startups chaque année à Las Vegas et fédère les délégations françaises présentes sur le salon. Cette année, « on a souhaité mettre un petit peu de rationalisation dans le village gaulois où on avait une présence française qui était très éclatée », explique ce responsable.

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