Monthly Archives: December 2020

Comment l’ancien bras droit de George Soros a fini par succomber aux charmes du bitcoin

Après Paul Tudor Jones et Bill Miller, Stanley Druckenmiller est le dernier grand gérant de Wall Street à avoir succombé au charme du bitcoin. « Il a beaucoup d'attrait comme réserve de valeur. Il existe depuis 13 ans et chaque jour qui passe renforce sa marque », a déclaré à CNBC, le gérant de hedge fund qui, avec George Soros, fit vaciller la livre sterling en 1992. Stanley Druckenmiller qui gère désormais sa fortune (4,4 milliards de dollars) au sein de sa société d'investissement familiale Duquesne, détient des bitcoins pour diversifier un portefeuille, composé aux trois quarts d'actions, essentiellement américaines. Cette année, il a profité de la hausse de groupes comme Amazon, Netflix, Alphabet, et misé sur le rebond de titres comme Starbucks et JPMorgan Chase. 185 milliards de dollars Les gérants de hedge funds constituent une manne potentielle considérable pour les marchés des cryptos. La fortune des 25 plus riches d'entre eux est estimée à 185 milliards de dollars cette année, en hausse de 2,8 milliards de dollars par rapport à 2019, selon « Forbes ». Ces gestionnaires sont en quête permanente de nouveaux investissements et placements (rendement, diversification du portefeuille) et le bitcoin peut leur apparaître comme un bon candidat. A peine 1 % de leur fortune lui apporterait 18,5 milliards de dollars de nouveaux capitaux.

By |2020-12-01T18:08:49+00:00December 1st, 2020|Scoop.it|0 Comments

Ce que veut faire le trio Niel-Zouari-Pigasse dans la consommation durable

2MX Organic visera tant la distribution que la production, les deux dans une logique d'intégration verticale, et pas forcément du bio. « Nous voulons la création d'un champion du soutenable et du durable, mais nous pouvons acquérir une entreprise « généraliste » et la transformer ensuite », affirment les partenaires. Le communiqué publié détaille les critères d'acquisition : une société présente dans le secteur des biens de consommation avec un accent particulier sur le développement durable, à fort potentiel, éventuellement via une restructuration, avec « une notoriété de premier ordre » et une « position concurrentielle forte ». Le spectre est large. Les intéressés sont tenus à la confidentialité. Ils visent une opération au cours du premier semestre 2021. Ils ont à coup sûr une idée de leur cible. Xavier Niel et Moez-Alexandre Zouari tiennent aussi à une composante numérique. « Le consommateur achète de plus en plus avec son smartphone », justifie ce dernier.

By |2020-12-01T10:42:41+00:00December 1st, 2020|Scoop.it|0 Comments

Quelle ordonnance pour la relation clients à l’heure de la covid-19 ?

« Le monde a changé, il s’est déplacé quelques vertèbres », fredonne le chanteur Julien Doré dans son dernier opus musical. À quelques variantes près, ces paroles peuvent fort bien s’appliquer aux enjeux actuels de la relation clients. Sans être aussi radicale que certains où il y aurait un monde d’avant-Covid et un monde d’après-Covid, la crise sanitaire a en revanche indéniablement fait bouger des lignes dans les relations qu’entretiennent les clients avec les marques. Avec une période de confinement qui a notamment accéléré certaines évolutions déjà en gestation.     Une consommation plus parcimonieuse   Une enquête post-confinement effectuée en mai dernier par Altavia et OpinionWay, a esquissé de manière précise les nouvelles attentes des Français en matière de consommation. Première observation : l’astreinte à domicile a entraîné une réduction significative de la consommation pour 58 % des Français, avec une tendance encore plus accrue pour les jeunes (69 %) et les CSP+ (71 %). Cette expérience inédite de confinement a ensuite bousculé les habitudes (ou les certitudes) des clients.     La très grande majorité d’entre eux ne témoignent pas d’une envie « d’achats de rattrapage » même si les médias se sont fait écho de longues files d’attente devant les magasins d’habillement ou dans la restauration rapide une fois le déconfinement annoncé. Beaucoup d’entre eux déclarent vouloir décaler des achats dans le temps (65 %), voire carrément les abandonner (28 %). Toujours dans cette même étude, 41 % des Français sont convaincus qu’il leur faudra du temps pour retrouver leurs habitudes tandis que 69 % envisagent de consommer différemment.   L’institut britannique de l’étude de l’opinion Censuswide et l’éditeur Mood Media se sont précisément penchés sur cette transformation au cours d’une vaste enquête dévoilée en septembre 2020. Plus de 8 000 consommateurs sur quatre grands marchés (Etats‑Unis, Chine, Royaume‑Uni et France) ont été auscultés. Concernant l’Hexagone, un constat s’impose : les consommateurs tricolores dépensent effectivement moins et dans une proportion plus élevée que leurs homologues des trois autres pays. 36 % ont réduit leur budget achats et 51 % l’ont maintenu à niveau égal.     Le sanitaire, nouvel acteur du parcours client     Assez logiquement, ce sont les magasins physiques qui encaissent le plus le choc de la crise du coronavirus, y compris depuis la réouverture autorisée par le gouvernement le 11 mai dernier (lors du premier déconfinement). L’étude indique notamment que 63 % des shoppers français consacrent moins de temps en boutique contre 30 % qui ont repris leurs habitudes d’avant la pandémie. Les motifs économiques figurent évidemment parmi les premiers arguments cités pour expliquer cette désaffection qui a frappé la quasi-intégralité des points de vente, excepté les petits commerces alimentaires indépendants (39 % y passent le même temps), les grandes surfaces (39 % également) et les surfaces alimentaires de proximité et les supérettes (31 %).     Entre-temps, la dimension sanitaire s’est invitée dans la relation clients dans les magasins. L’étude Censuswide/Mood Media souligne notamment que 49 % des consommateurs pensent qu’ils pourraient être contaminés par le virus en fréquentant une boutique. Même si dans le même temps, l’institut et son partenaire soulignent que 80 % se sentent à l’aise avec les mesures appliquées comme le port du masque obligatoire, le lavage des mains au gel hydroalcoolique à l’entrée ou encore la distanciation d’un mètre au comptoir ou en caisse.     Et pour les enseignes qui vendent des produits nécessitant un essayage ou une manipulation, la dimension sanitaire est encore plus prégnante et elle n’est pas prête de s’estomper d’autant que les autorités martèlent de plus en plus qu’il va falloir apprendre à vivre avec le virus dans l’attente d’un traitement ou d’un vaccin qui s’avère efficace. Sur les lieux physiques de vente, la sécurité sanitaire s’est dorénavant immiscée dans l’expérience clients.   Néanmoins, il convient de ne pas dramatiser excessivement. Certes, le point de vente a pu être affecté dans son fonctionnement. Pour autant, les consommateurs ne le jugent pas anxiogène. Dans la même étude, 71 % d’entre eux déclarent être confiants à l’idée de fréquenter à nouveau les magasins. L’expérience sensorielle, la possibilité de toucher et essayer un produit mais aussi d’avoir un conseil humain, tout cela reste pour 47 % des personnes interrogées, un atout préférentiel que le commerce en ligne ne peut pleinement satisfaire. 46 % plébiscitent aussi la capacité à jouir du produit immédiatement et de le ramener à domicile, là où il faut patienter quelque temps pour un achat électronique.

By |2020-12-01T10:20:01+00:00December 1st, 2020|Scoop.it|0 Comments

Le bitcoin établit un nouveau record

Le bitcoin a établi lundi un nouveau record à 19.850 dollars (16.542 euros). Son prix record varie selon les nombreuses bourses (Asie, Etats-Unis, Europe) où le bitcoin est côté. Sur la première d'entre elles par les volumes, Binance, son record est de 19.798 dollars. Sur Coinbase et Bitfinex, le bitcoin n'a pas encore dépassé son plus haut de fin 2017. Le 17 décembre 2017, son cours avait atteint près de 19.783 dollars selon l'indice de prix de Coindesk. Le bitcoin progresse de 169 % cette année. Il s'établit à 19 540 dollars (16 340 euros) mardi en début de journée. Il a progressé de 35 % le mois dernier, dans un contexte d'euphorie sur les marchés boursiers internationaux. Il a connu son troisième meilleur mois de novembre depuis 2013 (451 %) et 2017 (49 %) La hausse pourrait se poursuivre en décembre avec un franchissement net des 20.000 dollars. La leader des cryptos progresse dans deux cas sur trois le dernier mois de l'année. Son meilleur mois de décembre fut en 2011 (53 %) puis en 2010 (32 %). Le bitcoin a en revanche tendance à baisser au premier trimestre, autour de 10 %, et notamment en mars (repli dans 80 % des cas). Les politiques de soutien aux marchés mises en oeuvre par les banques centrales à partir du mois de mars ont aussi favorisé les plus risqués des actifs, les cryptomonnaies. Le bitcoin qui surfe sur les crises , a triomphé de la pandémie du Covid-19 au prix de fortes turbulences . Ether , la deuxième crypto , a vu son cours multiplié par près de 5 cette année. A 610 dollars (510 euros), son cours reste en revanche très en deçà de son record de janvier 2018 (1.448,00 dollars). L'indice « bitwise 100 » qui regroupe les 100 premières cryptos a gagné 160 % cette année. Mais l'envolée des cours des cryptos risque aussi d'attiser l'appétit des pirates informatiques . Les casses des plateformes de transactions seront très rentables pour eux .

By |2020-12-01T10:19:13+00:00December 1st, 2020|Scoop.it|0 Comments

This Much I Learned: Patagonia’s Alex Weller on the power of purpose

Outdoor apparel company Patagonia is widely considered one of the world’s most purposeful brands. Since 1985, the company has pledged 1% of its sales to the preservation and restoration of the natural environment, awarding well in excess of $89m to grassroots environmental groups. A certified B Corp since 2011, Patagonia is focused on creating durable garments produced in the most sustainable way possible, as it seeks to become carbon neutral by 2025. The company’s mission statement, which was changed overnight by founder Yvon Chouinard in 2018, reads: “We’re in business to save our home planet”. Far from shying away from political issues, this year Patagonia committed to become an antiracist company. It recently stitched ‘Vote the Assholes Out’ into pairs of its ‘Stand Up Shorts’ as a call to remove all politicians from office who take money from fossil fuel interests and roll back environmental policy.

By |2020-12-01T10:13:36+00:00December 1st, 2020|Scoop.it|0 Comments