Le géant qui vend près de 400 marques dans 190 pays publie déjà sur son site la composition de ses références. En France, le groupe a voulu aller plus loin en affichant, à partir du second trimestre 2021, sur les produits de sa gamme Knorr, le Nutri-score et un visuel de portion à consommer. « Les grandes marques doivent s’engager pour répondre aux attentes des consommateurs dans le dialogue et la transparence et c’est ce que nous faisons avec nos marques tant au niveau des ingrédients et recettes que des emballages plus respectueux de l’environnement, vante Nicolas Liabeuf, le président d’Unilever West Europe. L’approche pédagogique sur la portion que nous avons développée en France pour Knorr, vient compléter l’approche Nutri-Score actuelle et permet aux consommateurs de mieux comprendre l’impact des quantités qu’ils consomment au quotidien sur leur santé et leur bien-être». Le choix de ce label, qui a été fondé en 1838 à Heilbronn en Allemagne par Karl Heinrich Knorr  n’est pas innocent.

 

 

 The Future 50 Foods
 

Plus de 95% de ses ingrédients agricoles sont en effet déjà cultivés de manière durable dans le respect d’une charte stricte relative à la qualité du sol, à l’utilisation de l’eau et au respect de la biodiversité. La marque met aussi en avant la nécessité de manger une plus grande variété d’aliments et davantage de légumes. Elle a notamment publié l’an dernier un rapport intitulé « The Future 50 Foods (50 Futurs Ingrédients) », qui identifie les cinquante aliments végétaux que l’on devrait consommer en plus grande quantité, pour notre santé et celle de la planète. Knorr s’engage à introduire de plus en plus de ces ingrédients dans ses références. Mais au lieu d’attendre une telle évolution, les consommateurs ne devraient-ils pas plutôt acheter des produits frais et non transformés ? La réponse à cette question semble couler de source…

Lire l’article complet sur : www.influencia.net