Maudit soit Nicolas Sarkozy. En 2008, il modifie la Constitution, rendant impossible plus de deux mandats présidentiels consécutifs. Dix ans plus tard, Emmanuel Macron fulmine et rumine. Dès 2018, un an après son accession à l’Elysée, il lâche devant des visiteurs : “Le seul élu à qui on impose cela, c’est ma pomme.” Le sujet le taraude, “le bornage temporel pèse sur sa conscience car il est interdit de destin par une norme”, remarque un proche. En 2027, il aura 49 ans et celui qui n’aime rien tant que la liberté est ligoté, privé du choix d’être ou de ne pas être de nouveau candidat. Est-ce pour cela qu’Emmanuel Macron patine à ce point, que depuis sa réélection, il donne l’impression de ne pas savoir où il veut aller, où il veut emmener le pays ? Comme si un ressort était cassé.
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