Monthly Archives: May 2023

Comment fidéliser ses clients grâce au Web3 ? –

A l’occasion de son événement annuel parisien, la société Salesforce est revenue sur la création d’expériences connectées sur le Web3 et comment ces dernières peuvent aider les entreprises à fidéliser les clients. Aujourd’hui, selon Kamaly Sammandamourthy, Senior Solution Ingineer chez Salesforce, plus d’une centaine de clients se sont déjà lancés dans le Web3 et 50% d’entre eux ont une stratégie dédiée. Pour Jean-Marie Pierron, VP Industry Solutions chez Salesforce, le Web3 peut être utilisé pour plusieurs cas d’usage, notamment à des fins d’amélioration des programmes de fidélité : « La vision à adopter lorsque l’on décide de se lancer dans le Web3 est de proposer toujours plus de personnalisation ». La société permet notamment à ses clients de créer des NFT à travers une solution développée en interne, Salesforce Web3, et de récolter toutes les données disponibles. « Si une entreprise a envie de commercialiser des NFT ou d’en offrir à ses clients, il est possible de créer une collection NFT et de la déployer dans la blockchain sans avoir de besoin de connaissances techniques », explique Kamaly Sammandamourthy. Selon l’ingénieure, l’objectif aujourd’hui est également de proposer une solution « low code » et « low impact » : « Les systèmes de codes étaient très énergivores et il est essentiel de travailler avec une technologie plus durable. Pour cela, nous avons fait le choix d’inclure les cryptomonnaies Ethereum et Polygon sur lesquelles on s’appuie pour déployer les contrats NFT ». Elle ajoute que, grâce à sa connexion avec le CRM Salesforce, toutes les données Web 3 générées par les clients y sont directement intégrées. Selon les deux experts, le développement d’une stratégie Web 3 permet avant tout de récolter de nouvelles données, d’enrichir sa base clients et d’améliorer leur expérience.

By |2023-05-23T08:46:14+00:00May 23rd, 2023|Scoop.it|0 Comments

Trophées de l’Innovation 2023 : les nommés dans la catégorie Start-up sont…

Solikend Solikend, qui est la contraction de « solidaire » et « week-end », est né d’un constat simple : les hôtels sont rarement complets sur une année type, et la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) devient un enjeu majeur. La start-up spécialisée dans la réservation hôtelière flèche donc le paiement de chambres vers des associations. Ce qui permet aux établissements d’écluser de probables invendus, tout en améliorant leur RSE. Plus de 200 hôtels sont partenaires. VisitMoov Visitmoov est une IA de création de parcours touristique personnalisé. La start-up scanne l’offre d’attractions touristiques mais également celle des mobilités (dont les transports en commun) pour proposer au visiteur la meilleure expérience possible. Lauréat du Tourism Innovation Summit de Séville, Visitmoov a réalisé en 2022-23 ses premiers déploiements sur Paris (avec Ile-de-France Mobilités) et la Métropole Nice Côte d’Azur afin d’optimiser la gestion des flux touristiques. Whatizis  Whatizis est un « Shazam des monuments », proposé aux destinations pour valoriser leur patrimoine culturel. Il s’agit d’une application de reconnaissance visuelle des monuments : une simple photo avec son smartphone permet d’identifier un monument et d’écouter des commentaires audios. Deux destinations ont déployé la solution en 2022 : Rennes en partenariat avec l’Office de Tourisme et Paris avec la région Île-de-France. L’application revendique 30 000 utilisateurs.

By |2023-05-23T08:45:22+00:00May 23rd, 2023|Scoop.it|0 Comments

Meta écope d’une amende record de 1,2 milliard pour transfert illégal de données

La CNIL irlandaise a choisi la semaine du cinquième anniversaire du règlement général pour la protection des données (RGPD) pour infliger à Meta une amende record de 1,2 milliard d'euros, pour ne pas avoir respecté les règles de l'art européen dans le transfert de données aux Etats-Unis. Dans une décision publiée lundi, énième rebondissement d'une saga qui remonte à une plainte du militant de la protection de la vie privée Max Schrems déposée il y a dix ans, elle ordonne au propriétaire de Facebook de suspendre ses flux de données transatlantiques. L'Autorité irlandaise de protection des données lui donne cinq mois pour « suspendre tout futur transfert de données personnelles aux Etats-Unis ». Et six mois pour arrêter « le traitement illégal, y compris le stockage, aux Etats-Unis » des données personnelles de l'UE transférées. Jusqu'ici, c'est Amazon qui détenait le record avec 746 millions d'euros d'amende infligée par le Luxembourg. Dix ans de saga Meta est accusé de ne pas avoir suffisamment protégé les données des Européens des services de sécurité américains. Depuis que la Cour de justice de l'UE a annulé, en 2020, le Privacy Shield, un accord sur le flux de données entre le Vieux Continent et le pays de l'Oncle Sam, Meta utilisait un autre instrument juridique, des clauses contractuelles type (ou SCC), pour transférer les données. Mais la CNIL irlandaise estime que ce mécanisme ne permet pas de prévenir « les risques pour les droits et libertés fondamentaux » des utilisateurs européens de Facebook.

By |2023-05-23T08:44:06+00:00May 23rd, 2023|Scoop.it|0 Comments

Ledger et MetaMask : les « wallets » sur la sellette

Que Ledger n'a-t-il pas fait en se dotant d'une fonction « Mot de passe oublié ? » La start-up française, leader mondial des portefeuilles physiques de cryptomonnaies (une sorte de clé USB protégée), a provoqué l'ire d'une partie de la cryptosphère en leur proposant de récupérer leur phrase secrète en cas de perte. Son alter ego américain MetaMask, taxé d'ouvrir la porte à la collecte d'impôts sur les cryptos, a lui aussi mis à cran le secteur. Nouvelle crise ? Ledger d'abord. La start-up, valorisée 1,3 milliard d'euros , commercialise des portefeuilles de cryptos physiques vus comme les plus sécurisés. Dessus est stockée la clé privée donnant accès aux cryptos. Pour y accéder, l'utilisateur doit mémoriser un super mot de passe, soit une phrase de 24 mots. Aussi technologique que ce soit, il y a un côté archaïque à au moins deux titres : Ledger s'apparente à un bas de laine numérique, et on recommande souvent d'écrire la phrase… sur un bout de papier. Une clé Ledger détruite et incendiée En cas de perte de la clé USB ou de son sésame, personne ne pourra vous aider à retrouver vos fonds, même s'il s'agit d'un magot de millions de dollars en bitcoin… Stefan Thomas , cet Allemand qui a oublié le mot de passe de son disque dur où l'attendent 200 millions de dollars, en sait quelque chose. Pour pallier ce problème, Ledger a donc lancé, à la mi-mai, Recover, un service devant permettre de retrouver sa phrase secrète. LIRE AUSSI : ENQUETE - Comment Ledger a fait de Vierzon un haut lieu des cryptomonnaies Pour le Twittos « OKLAHODL », qui s'est filmé détruisant sa clé Ledger au marteau pour la brûler ensuite au chalumeau - ne manquant pas de faire le buzz -, l'entreprise française l'a trompé, en introduisant ce qu'il qualifie de « porte dérobée ». Pour lui, si Ledger peut restituer une clé perdue, c'est qu'il y a accès ; l'entreprise s'en défend. En somme, il rompt la promesse chère aux cryptofans du « not your keys, not your coins » (« pas votre clé, pas votre monnaie »). En réalité, la clé est découpée en trois bouts répartis avec deux sociétés, Coincover et EscrowTech. Pour certains, c'est encore pire. Piratage et crise de confiance Mais, explique, Ledger, la reconstruction de la phrase a lieu sur la clé USB et, sauf collusion entre ces trois acteurs, il est impossible de mettre la main dessus. La start-up demande donc qu'on lui fasse confiance. Seulement voilà, tous n'ont pas oublié le piratage de Ledger en 2020, quand les données personnelles de 273.000 clients ont fuité sur internet. Donc pour certains internautes, lier phrase secrète et identité de son porteur ouvre, forcément, une faille. Plus embêtant, Ledger a tweeté que « techniquement parlant, il a toujours été possible de créer un micrologiciel qui facilite l'extraction de clés » sur ses portefeuilles, mais a supprimé le tweet. LIRE AUSSI : DECRYPTAGE - Ledger : 4 choses à savoir sur la licorne française des cryptos Pourtant, ce Ledger Recover est optionnel. Ceux qui veulent conserver leur phrase sur un bout de papier - et courir un risque plus grand de perdre leurs cryptos - en ont le choix. Le français a lancé cette offre pour au moins trois raisons : offrir une solution devant éviter la perte de ses fonds, s'ouvrir à un public plus large, maintenant que la start-up a déjà touché les initiés, et générer des revenus récurrents - Recover coûte 10 euros par mois - en plus de la vente de matériel. Ménager la chèvre et le chou « Pour rendre l'autoconservation accessible à tous, nous devons développer des produits innovants qui maintiennent la sécurité tout en résolvant des obstacles concrets pour les utilisateurs », fait valoir sur Twitter Charles Guillemet, directeur technique de Ledger. LIRE AUSSI : DECRYPTAGE - Cryptoactifs : les défis que posent les nouvelles règles Pour Stanislas Barthelemi, manager Cryptos et Web3 chez KPMG France, « le fait est surtout que Ledger a raté sa communication, en annonçant ça comme un cheveu sur la soupe, ce qui a pu ternir un peu son image ». Cela montre aussi à quel point les acteurs des cryptos en quête de croissance « sont entre deux eaux : d'un côté la clientèle historique adepte de décentralisation mais de l'autre, une clientèle à conquérir en demande de plus de facilité d'usage et de garanties », entrevoit l'expert. MetaMask dans le viseur aussi MetaMask peut en dire autant. Le portefeuille de l'américain ConsenSys (largement financé par Microsoft) édite une extension pour navigateur - et ne vend pas de clé USB comme le français. Il est surtout utilisé pour les NFT. A la suite d'une mise à jour récente, il a laissé entendre qu'il « se réserve le droit de retenir les taxes si nécessaire », provoquant, là encore, un tollé 3.0. En novembre 2022, il faut dire qu'il avait déjà échaudé ses utilisateurs en annonçant collecter leur adresse IP. LIRE AUSSI : DECRYPTAGE - MetaMask : 3 choses à savoir sur la passerelle vers le Web3 Si le cas Ledger est optionnel, celui de MetaMask relève d'une confusion . Quand certains y ont vu un prélèvement à la source à venir de l'administration fiscale directement dans la petite application, la mention légale concernait, en fait, d'autres produits édités par ConsenSys. Qui utilisent, eux, des paiements par carte bancaire. Pour Stanislas Barthelemi, « tout cela a été monté en épingle de façon irrationnelle ». Mais alors que le business des cryptos n'est pas toujours clair , il reste à comprendre pourquoi certains s'émeuvent autant dès que l'on touche même de loin à leur confidentialité. Ont-ils vraiment tous, chevillée au corps, la vision d'un web post-GAFA plus protecteur de la vie privée ? Ou mieux vaut-il ne pas regarder ce qui se cache dans leur armoire ? Clés de compréhension La conservation des cryptomonnaies est un vrai roman à clés, dans lequel le jargon technique représente quelque chose de bien connu. Le portefeuille numérique ou physique (« wallet », comme MetaMask, ou « hardware wallet », pour Ledger), peut être comparé à une boîte aux lettres. Dedans, on y met des cryptos et des NFT protégés par deux clés : une clé publique (l'adresse postale), et une privée (la clé de la boîte aux lettres). La phrase secrète de 24 mots sert d'empreinte de la clé privée, pour en faire un duplicata.

By |2023-05-23T08:43:18+00:00May 23rd, 2023|Scoop.it|0 Comments

Will the Google New York Times deal lead to a “A Stampede of Principles?”

The Wall Street Journal reported earlier this week that the New York Times have signed a huge $100 million deal with Google, “that allows the Alphabet unit to feature Times content on some of its platforms, according to people familiar with the matter.” How will other publishers respond? Will they flock to Google in search of similar deals? What happens to the plurality of the media and a free and independent press if journalists are answerable to Google as their paymaster? Will such scruples and principles be trampled underfoot in the rush to Google’s door? Or will the authorities step in?     As many will be aware, Google has been seeking to capture as many news publishers as possible in its Google News Showcase product for a couple of years now, with limited interest from users. One commercial issue with the News Showcase is that Google becomes the advertiser instead of the publisher and keeps the vast majority of the ad revenue generated, sharing maybe 20% with publishers. Aside from being a bad deal for publishers, there is then the regulatory issue that Google has an incentive to promote its own “News Showcase” over other more relevant content from rivals in its search results. Such discriminatory self-preferencing was found to be illegal in the EU’s Google (Shopping) case, which attracted a 2.4 billion fine. The US Department of Justice has also brought a case against Google on the issue. That case goes to trial in September of this year. The News Showcase has generated regulatory interest especially in the EU and Germany. The Google/New York Times deal may raise the same issue again but on a bigger scale. The article indicates that the New York Times will also be “using Google tools for marketing and ad-product experimentation.” If this involves the promotion of the New York Times over its rivals that would clearly raise a competition problem. The Wall Street Journal also carried a story detailing Google’s plans to “shift the way it presents search results to incorporate conversations with artificial intelligence, along with more short video and social-media posts.” The CMA currently has a consultation open on this issue. Responses are due by the end of the month. Again, Google appears to be working on the basis that it can continue to promote its own products into its search results. Indeed, just this week Google announced Search Generative Experience, a proposal for the integration of its own AI (Bard) into Search (see our post here). This looks to be the same abuse that Google was fined for by the EU. Will the authorities now step in and enforce the law?   

By |2023-05-23T08:39:36+00:00May 23rd, 2023|Scoop.it|0 Comments

RSE : la pub peut commencer à mesurer son empreinte carbone

En avril dernier, l'Union des marques lançait son meta référentiel de l'empreinte carbone de la communication. La dernière matinée Udecam, dédiée à la RSE, célèbre aussi la sortie (après 2 ans de gestation, dont 6 mois de test) de l'outil de mesure de l'empreinte carbone des campagnes média. Patrick Gouyou Beauchamp, à l'Udecam (agences média), a mené des discussions avec le Syndicat des Régies Internet (SRI), pour un référentiel commun de mesure de l'empreinte carbone des campagnes média. La méthode a été affinée avec Christophe Girardier, de GLImpact. La phase d'utilisation des campagnes compte environ 70 % de son empreinte carbone : regarder une campagne sur une tablette, en wifi, plutôt qu'en 4G, modère son empreinte. La France semble avoir de l'avance sur le sujet. Damien de Foucault, qui dirige l'Udecam plaide pour poursuivre le dialogue entre les différentes parties prenantes : "L'heure est à la convergence il va falloir que les calculettes des régies et notre outil donnent des résultats convergents. Il faut embarquer le marché". Intégrer la mesure de l'empreinte carbone dans les outils ? L'outil de mesure carbone des campagnes sera-t-il intégré dans l'achat média directement, comme une agence média, Pilot, le fait depuis dix ans en Allemagne? C'est LA question, et elle n'est pas tranchée. Le process va prendre du temps, explique Damien de Foucault, qui dirige l'association qui représente les agences média : "Il va falloir aux annonceurs du temps pour intégrer le indicateurs de cet outil, et que se dégagent des standards. Il faudra plus d'un an pour avoir des référents. L'intégrer au média planning, doit être une démarche collective et cela va prendre du temps. La mesure d'audience désilotée est aussi compliquée que la mesure de l'empreinte carbone. Il faudra trouver un tiers certificateur. Nous avons sollicité le CESP qui est intéressé mais pas encore compétent. Personne n'a le Graal, mais tout le monde a commencé à travailler". En attendant, la méthode de calcul de performance neutralise cette phase pour mieux comprendre les leviers d'optimisation qui incombent aux professionnels, comme de diminuer le poids de la vidéo.

By |2023-05-23T08:38:38+00:00May 23rd, 2023|Scoop.it|0 Comments

Usbek & Rica – « La moitié de la capacité des câbles mondiaux est aujourd’hui utilisée par les GAFAM »

Il y a vingt ans, les GAFAM étaient les clients directs des opérateurs qui les taxaient énormément pour faire passer les données par leurs câbles. Ces opérateurs n’ont pas vu venir la réaction financière des GAFAM qui ont alors décidé d’investir directement dans les câbles pour s’émanciper de ces coûts. Ils ont commencé par prendre des parts dans les consortiums d’opérateurs, puis ont investi seuls ou en petit nombre.  La moitié de la capacité des câbles mondiaux est aujourd’hui utilisée par les GAFAM : ils sont les moteurs du trafic mondial. Outre l’intérêt économique, ces fournisseurs de contenu choisissent les routes suivies par ces câbles pour relier entre eux leurs data centers pour aller plus vite et répondre à leurs propres besoins. Enfin, le fait d’avoir très peu d’acteurs économiques autour de la table permet d’accélérer considérablement les décisions pour mettre en œuvre de nouveaux câbles : là où il fallait parfois l’accord de trente opérateurs avant, il n’en faut plus que deux ou trois aujourd’hui. En investissant par eux-mêmes, les GAFAM posent plusieurs câbles sur une même route, pour ne pas être victimes d’aléas ou d’impairs et ainsi de ne pas ralentir leur activité en cas de dommages sur le réseau. Leur stratégie d’investissement est parfaitement utilitariste et très maîtrisée.  

By |2023-05-22T12:08:53+00:00May 22nd, 2023|Scoop.it|0 Comments

Hublot Big Bang Unico Nespresso Origin: Green Machine

THERE ARE MORE than a few unlikely collaborations in the watchmaking world. This year's Muppets mash-up with Oris to produce the ProPilot X Kermit Edition is a fine example, of course. As is the Domino's Pizza Rolex, with the fast-food company's logo resplendent on the dial of an Air-King, awarded to franchise owners who hit $25,000 in weekly sales four weeks in a row. Now Swiss manufacturer Hublot, which has something of a reputation for material experimentation, particularly with sapphire cases, has partnered with Nespresso—yes, the coffee brand. The two teams have produced a limited edition Big Bang watch that uses recycled aluminum capsules and coffee grounds in both the case and the strap. PHOTOGRAPH: HUBLOT Nespresso, another Swiss company, has a track record of turning its pods into other products. Its Second Life Project, launched in 2016, has turned out vegetable peelers, Victorinox penknives, and Caran d'Ache ballpoint pens over the years. The reason for Nespresso's nods toward eco endeavors is clear. Coffee capsules may produce fewer greenhouse gases than filtered coffee, but the waste they create is still a huge problem. Globally, coffee capsules make up about 576,000 metric tons of waste. As Hublot's Big Bang Unico Nespresso Origin is limited to just 200 pieces and costs $24,100, or €25,200, one suspects the ecological impact of the watch will be minimal, but owners will have additional bragging rights nonetheless. Measuring 42 millimeters in diameter, the case, which is water resistant to 100 meters, uses 28 percent recycled aluminum, which is then anodized to obtain the striking green color. The caseback and container housing the movement are made from recycled titanium. The watch also comes with not one, but two straps made from “eco” material. The first includes 4.1 percent recycled coffee grounds and 8.2 percent recycled rubber. The second is completely recycled and made by the Taiwan company SingTex, which produces a fabric called SCafé made of 5 percent recycled coffee grounds and 95 percent recycled polyester. Indeed, it is the first time, apparently, that SCafé has been used to make a watch strap. Fortunately, Hublot's quick-change, one-click system means you can swap the two strap options without using any tools. PHOTOGRAPH: HUBLOT Another boon is that the collaboration has been designed with a laudably light touch. While the verdant green is the hue of Nespresso’s Master Origins Peru Organic capsule, the only other visual clue of Nespresso's involvement is the brand's “N” logo engraved on the crown. However, despite the subtlety, it apparently still took Hublot an entire year of research and development to achieve the right color-matching on the seven different materials that make up the watch: the anodized aluminum, the varnish on the dial and hands, the Hublot logo decal on the glass, the strap rubber, and the fabric, lining, and hook-and-loop tape of the Velcro strap. Delve into the innards of the piece and you'll find Hublot’s HUB1280 Unico self-winding chronograph powering the watch, which has a power reserve (the length of time you can not wear the watch without it stopping) of 72 hours. Finally, attention has also been paid to the watch's packaging. The Big Bang Unico Nespresso Origin comes in the brand's new Greenbox case, which will supposedly be used for all Hublot pieces going forward. Created entirely from oak—including, impressively, its hinges—the box is made from mostly massive, traceable wood and designed to be reusable, as its recycled interior is removable.

By |2023-05-22T12:08:00+00:00May 22nd, 2023|Scoop.it|0 Comments

Paris : enfin des navettes sur la Seine pour les JO 2024 ?

Treize ans après l’expérience malheureuse de Voguéo, ou encore des Sea Bubbles avortées, une coopérative espère relancer un service de navettes fluviales à Paris, sur la Seine pour les Jeux olympiques, l’an prochain. Cette initiative privée s’adresserait tant aux touristes qu’aux banlieusards voulant récupérer un RER. « C’est assez aberrant de ne pas avoir de transport public fluvial en Ile-de-France », se désole Dany Carvalho. Cet officier de marine que le confinement a ramené sur terre s’est mis en tête de ressusciter les coches d’eau, très nombreux dans la région il y a encore un siècle. Il envisage tout un réseau desservant 20 escales sur la Seine et la Marne, joliment baptisé « MonBeauBateau » (ou « Mon BB » pour les intimes). « En utilisant des bateaux écologiques, nous visons à compléter les services de transport public existants », explique le jeune PDG de RiverCat, société coopérative créée pour l’occasion. Paris traversée de long en large Première étape : une ligne traversant tout Paris, qui serait lancée au printemps 2024 entre Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine) et Alfortville (Val-de-Marne). Le trajet prendrait une heure quinze de bout en bout – à 12 km/h dans la capitale et 20 km/h en banlieue -, avec des arrêts à Beaugrenelle, aux Invalides, au Louvre et à la Bibliothèque François-Mitterrand. Le bateau passera toutes les demi-heures de 06H00 à 22H00. L’inspiration vient de Londres et Rotterdam, et ce sont six catamarans conventionnels de 100 places – utilisant des biocarburants à base d’huiles végétales – qui doivent être loués aux Pays-Bas, avant la construction de navires électriques, espère Dany Carvalho. Il a pris langue avec le port de Paris « pour avoir une convention d’occupation temporaire des escales ». Haropa Port, qui gère ledit port, confirme avoir reçu une demande fin avril. Entre 3 et 8 euros pour traverser Paris RiverCat table sur des billets coûtant entre 3 et 8 euros selon le parcours, avec des carnets, des abonnements et des réductions pour les détenteurs du Pass Navigo. Cette « ligne parisienne » ne fait pas partie des plans de transport des Jeux olympiques mais RiverCat compte évidemment sur l’événement pour l’imposer. Une autre liaison bien plus courte, sur la Seine également, doit être testée en Essonne, pendant les JO, du 25 juillet au 9 septembre 2024. Elle doit relier tous les quarts d’heure Soisy-sur-Seine à Ris-Orangis et Juvisy-sur-Orge. Pour y rejoindre une gare stratégique où passent deux lignes de RER. « Il sera possible de traverser la Seine (…) sans émettre de CO2 et surtout sans avoir à supporter des contraintes d’embouteillages » particulièrement denses dans ce secteur, a salué la maire de Juvisy, Lamia Bensarsa Reda, citée dans le journal municipal. Une société norvégienne louera les bateaux Quatre petits bateaux, futuristes, seront loués à l’entreprise norvégienne Hyke. Laquelle prendra en charge « tout le package » selon son directeur général Bjørn Utgård. « Les bateaux tout électriques, les quais avec les bornes de recharge intégrées et les solutions d’autonomie qui permettront aux bateaux de naviguer par eux-mêmes ». Un premier bateau du même modèle doit être lancé en juin en Norvège, précise le responsable. Plusieurs villes sont intéressées, y compris en France. « On a trop longtemps négligé l’eau en tant qu’infrastructure de transport urbain et poumon bleu dans une ville », souligne-t-il. Ces navettes de 50 places seront d’abord pilotées par un humain, avant de fonctionner en autonomie totale. Le projet est d’ailleurs soutenu par Voies navigables de France (VNF). L’association cherchait des démonstrateurs de bateaux autonomes décarbonés pour les JO. Cette liaison dans l’Essonne est appelée à être pérennisée « si le succès est au rendez-vous ». Une « ligne promenade » est aussi prévue le week-end, jusqu’au centre de Paris. Une levée de fonds de 3 millions d’euros « On ne réclame pas de subventions. On a un modèle économique qui repose sur la ligne parisienne et qui nous permet d’être rentables au cours de la quatrième année de service.  » Et ce grâce aux 70% de touristes attendus, affirme Dany Carvalho. Celui-ci précise être « en train de faire une levée de fonds de 3 millions d’euros ». Une somme selon lui nécessaire « pour démarrer le service ». Ile-de-France Mobilités, qui a multiplié les études ces dernières années, reste toutefois dubitative. La dernière expérience, la navette fluviale Voguéo au sud-est de Paris, a été abandonnée après trois ans en 2011. Elle était trop peu fréquentée et très coûteuse. L’autorité régionale des transports étudie de son côté une ligne sur le canal de l’Ourcq. Entre Jaurès (au nord-est de Paris) et Bondy (Seine-Saint-Denis).

By |2023-05-22T12:06:36+00:00May 22nd, 2023|Scoop.it|0 Comments

LVMH présente les 18 finalistes de son Prix de l’Innovation 2023, rendez-vous le 15 juin

Le groupe de luxe LVMH annonce les 18 finalistes de la 7ème édition du « LVMH Innovation Award ». Les finalistes présenteront leurs solutions sur le stand LVMH à Viva Technology, salon qui se tiendra du 14 au 17 juin 2023. Six catégories de jeunes sociétés innovantes Le concours a attiré 1320 candidats de 75 pays. Les 18 finalistes sont classés en six catégories. Chaque catégorie verra – le 15 juin – une startup nominée comme gagnante dans sa catégorie, une startup sera récompensée par un prix spécial pour ses travaux dans les données et l’intelligence artificielle. Une seule startup se verra décerner le « Grand Prix » du LVMH Innovation Award 2023. LVMH souligne qu’il y a 28% de femmes fondatrices et co-fondatrices et que 78% de ces entreprises ont une femme dans leur équipe dirigeante. Les finalistes rejoindront « La Maison des Startups LVMH », le programme d’accélération des entreprises de LVMH, où ils bénéficieront d’un accompagnement, d’un mentorat et d’un accès au réseau LVMH d’experts de l’industrie du luxe. Dans la catégorie « Omni-canal et vente au détail » : Chatlabs  : des expériences de commerce social hyper-personnalisées et qui convertissent fortement, alimentées par l’intelligence artificielle. Ekoo : description de produit et avis en vocal sur les pages produits. Save your wardrobe : fournisseur de plateforme d’infrastructure de services de réparation et d’entretien. Dans la catégorie « Expériences numériques immersives » : Absolute labs : plateforme de CRM pour le Web3 qui analyse la blockchain pour la définition des prix des objets NFT, le marketing dans le Web3 et la messagerie via le wallet (porte-monnaie digital). Fosfor : un écran holographique phygital « full body » 3D pour enrichir les expériences en magasin. Metav.rs : une plateforme permettant de gérer des stratégies Web3 à travers des expériences 3D et la gamification. Dans la catégorie « Excellence des opérations » : Apollo plus : une intelligence artificielle pour le contrôle de la qualité à travers la chaîne de valeur de la production de mode. Fabriq : solution de pilotage de la performance opérationnelle des usines afin d’améliorer la productivité. Livingpackets : emballages intelligents réutilisables, sécurisés et connectés avec des fonctionnalités de suivi, d’assurance et de paiement. Dans la catégorie « Image et médias pour la désirabilité de la marque » : Bloom : société deeptech d’intelligence des données sociales pour des insights qualitatifs et prédictifs. Vidmob : analyses vidéo créatives donnant des recommandations exploitables pour de meilleures performances publicitaires. Wizaly  : solution d’attribution pour les campagnes médias cross-canal en ligne et hors ligne. Dans la catégorie « Durabilité et technologies vertes » : Bioweg : la société vise à remplacer les micro-plastiques et les polymères non dégradables en cosmétique par des ingrédients biosourcés. Releaf paper : emballage durable à base de feuilles mortes. Woola : emballage fait de restes de laine de mouton pour réduire les déchets plastiques. Enfin, dans la catégorie « Expérience employé, diversité et inclusion » : Badger : conversion de la parole en texte sur un badge intelligent pour un assistant commercial afin d’améliorer les communications avec les clients ayant une déficience auditive. Neobrain  : cerne les compétences clés de demain afin d’orienter les stratégies RH des entreprises en matière de formation, de mobilité interne et de recrutement. Neobrain utilise l’intelligence artificielle et le Big Data. Skilleo : plateforme de recrutement basée sur le jeu vidéo pour évaluer les soft skills des candidats.

By |2023-05-22T10:00:17+00:00May 22nd, 2023|Scoop.it|0 Comments