Monthly Archives: May 2023

Clarins lance Joli rouge en expérience “make up” digitale sur Cosmopolitan.fr

Clarins, célèbre marque de cosmétiques française fait appel à la technologie d’essai virtuel de maquillage de Perfect Corp à l’occasion d’une campagne de lancement de la nouvelle version de Joli Rouge. La technologie est mise en œuvre par GMC Media, la régie du Groupe Marie Claire. La campagne actuellement visible jusqu’au 16 mai 2023 sur Cosmopolitan.fr permet aux internautes de Cosmopolitan.fr de tester virtuellement la nouvelle version Joli Rouge de Clarins. Au sein de l’article dédié à Joli Rouge Clarins sur Cosmopolitan.fr, un module interactif est proposé à l’internaute l’invitant à tester en live sur son visage, sur sa photo ou sur la photo d’un mannequin, la dernière version du rouge à lèvres Joli Rouge Clarins avec des teintes associées. Une fois l’essai virtuel en réalité augmentée effectué, la consommatrice a la possibilité de cliquer sur un bouton « Shop now » l’invitant à se rendre sur le site internet de clarins.fr afin d’acheter le produit. Le module d’essai de Joli Rouge qui s’affiche permet de tester 5 références de rouges à lèvres dans les différents finis – satiné, mat & brillant. L’internaute s’approprie ainsi le rouge à lèvres de son choix en fonction de ses préférences. « Nous offrons la capacité aux annonceurs et agences de générer du trafic ultra qualifié en drive to e-store » commente Ali Kone, directeur Adtech et Data chez GMC Media. « Nous cherchions une technologie pouvant parfaitement s’intégrer dans le contenu éditorial de nos sites » poursuit-il. « Make UP expérience avec Perfect Corp permet d’allier la qualité de l’expérience utilisateur UX pour nos internautes tout en conservant la qualité éditoriale de nos sites » se félicite-t-il.

By |2023-05-22T09:58:31+00:00May 22nd, 2023|Scoop.it|0 Comments

En France, il y a plus de 300 entreprises labellisées B Corp – Entreprises – Ekopo.fr

Le nombre d'entreprises labellisées B Corp vient de franchir le seuil symbolique de 300 sociétés. Un passage symbolique dont se félicite Thomas Breuzard, coprésident (avec Camila Garcia Quijano) du B Lab France, une association regroupant les acteurs certifiés au sein de l'Hexagone. Sur LinkedIn, lui expliquait que c'était « un signal positif envoyé à toutes et à tous ». Et ce, car « elle marque avant tout l'engagement croissant d'entreprises françaises en faveur d'une autre économie, bénéfique à tous les humains et au vivant dont ils font partie, plutôt que dirigée vers le seul profit ». Thomas Breuzard, issu de la permaentreprise Norsys, considère que les acteurs économiques ont à « chercher à être les meilleures pour le monde » et non « au monde ». Progresser, ne pas arrêter Pour obtenir le sésame, les structures répondent à 200 questions, sur des sujets aussi variés que la gouvernance, l'impact carbone ou encore les conditions de travail des collaborateurs et le choix des fournisseurs. Il faut donner les réponses, et puis apporter les preuves de ce qui est avancé, sans oublier la phase d'audit à l'oral, très importante. En amont, une entreprise a la possibilité de s'auto-évaluer gratuitement, via l'outil B Impact Assessment. Une opportunité... pour progresser, ne jamais cesser, peut-être inciter les autres à rejoindre l

By |2023-05-22T09:25:55+00:00May 22nd, 2023|Scoop.it|0 Comments

La facture écologique des pétroliers chiffrée à 209 milliards de dollars

Dans le débat foisonnant sur la responsabilité environnementale des groupes pétroliers, un sujet commence à émerger, celui de « réparations » . Portée par plusieurs ONG, cette question est l'objet d'une étude réalisée par deux chercheurs, Marco Grasso de l'université de Milan, et Richard Heede, du Climate Accountability Institute, et publiée vendredi. Ils ont tenté de calculer, sous l'égide de l'organisation One Earth, la part que devrait payer chacun des 21 plus gros pétroliers au monde selon les dommages qu'ils causent à l'environnement. Pour déterminer ces « réparations », les deux chercheurs sont remontés jusqu'en 1988, date à laquelle le GIEC est créé et la responsabilité humaine dans le réchauffement climatique évoquée par le scientifique de la Nasa, James Hansen, lors d'auditions devant le Congrès américain. Un tiers des dommages sont alors attribués aux entreprises (de manière « conservatrice », selon le rapport), un tiers aux gouvernements et un tiers aux consommateurs. Un montant à payer est ensuite attribué à chaque entreprise, sur l'ensemble de la facture environnementale couvrant la période 2025-2050, selon la part d'émissions de gaz à effet de serre générées par leurs activités fossiles entre 1988 et 2022. 209 milliards par an Une distinction a été faite entre les groupes situés dans les pays riches, ceux situés dans des pays intermédiaires (Russie, Chine, Mexique…) et ceux situés dans les pays en développement (Inde, Iran, Venezuela). Selon l'étude, ces derniers doivent être exemptés de réparations car ils contribuent au développement économique de leur population. « Les peuples de ces pays ont besoin de bénéfices maximaux de la part des groupes pétroliers », écrivent ainsi les chercheurs. L'étude en vient à la conclusion que, pour réparer les dommages causés à l'environnement, les 21 plus gros pétroliers devraient verser un total de 209 milliards de dollars par an entre 2025 et 2050, date à laquelle a été fixé l'objectif de neutralité carbone.

By |2023-05-22T09:24:37+00:00May 22nd, 2023|Scoop.it|0 Comments

Quatre ans après la loi Pacte, la société à mission peine à transformer les entreprises

Les effets de la loi Pacte sur l'économie sont encore minces, constate une étude de KPMG. Quatre ans après la promulgation de ce texte qui crée notamment la qualité de société à mission, les entreprises s'emparent timidement de cet outil. La France compte plus de 1.000 entreprises à mission mais ces pionniers ont une marge de progression pour se saisir pleinement de ce statut, selon le premier panorama des sociétés à mission publié par KPMG. En effet, si 72 % des sociétés à mission ont défini une raison d'être en lien direct ou partiel avec leur activité, « plus de 25 % d'entre elles en ont adopté une sans la relier à leur coeur d'activité », note le cabinet de conseil, lui-même devenu société à mission en 2022. KPMG distingue ainsi trois typologies de missions. Les missions « coeur d'activité » (40 %), les missions « spectre large » (20 %), quasi assimilables à des démarches RSE dans leur formulation, et enfin les missions « hybrides » qui proposent un compromis entre ces deux typologies (40 %). La mission, en mesure de transformer une entreprise Le cabinet estime toutefois que la « mission » de l'entreprise doit refléter son identité et traduire sa contribution sociétale. « Si une mission est ancrée dans une réalité propre à l'entreprise, elle peut faire évoluer son modèle économique », souligne ainsi Nathalie Rondeau, responsable chargée des sociétés à mission au sein de KPMG. « La raison d'être est un point de départ fondamental pour prendre des engagements sur le long terme », ajoute la spécialiste.

By |2023-05-22T09:22:29+00:00May 22nd, 2023|Scoop.it|0 Comments

Qui contrôle OpenAI ? Pas Microsoft, assure Satya Nadella

OpenAI est-il toujours un laboratoire dédié au développement de l'intelligence artificielle profitant « à toute l'humanité », comme l'énonce sa charte ? Ou la société est-elle devenue le bras armé de Microsoft dans l'IA générative ? Le géant de la tech s'en défend. Dans une interview vidéo à CNBC, Satya Nadella, PDG de Microsoft, a déclaré qu'il n'était « pas factuellement correct » d'affirmer que sa firme contrôlait la société de Sam Altman et son fameux chatbot qui affole la planète tech, ChatGPT. Le patron américain, aux manettes de Microsoft depuis 2014, répondait directement aux allégations d'Elon Musk sur le sujet. Le patron de Tesla, Twitter et SpaceX - qui faisait d'ailleurs partie des cofondateurs d'OpenAI avant de s'en retirer il y a quelques années - a déclaré en avril que Microsoft avait « à ce stade » une influence très forte, voire « un contrôle direct » sur la start-up d'intelligence artificielle. « Un excellent partenariat commercial » Une déclaration réfutée par Satya Nadella. « OpenAI est très attaché au fait d'être contrôlé par un conseil d'administration à but non lucratif », a-t-il déclaré. « Nous y avons une participation ne donnant pas le contrôle et nous y avons un excellent partenariat commercial », a-t-il poursuivi. OpenAI a été fondé en 2015 en tant qu'association à but non lucratif. La structure a changé en 2019, lorsque deux hauts dirigeants ont annoncé la formation d'une entité à « profit plafonné ». Ce statut empêche les premiers investisseurs de la start-up de gagner plus de 100 fois leur investissement, avec des rendements inférieurs pour les investisseurs ultérieurs, tels que Microsoft. LIRE AUSSI : DOSSIER - Intelligence artificielle générative : la révolution ChatGPT Avec GPT-4, OpenAI veut creuser l'écart dans la révolution de l'intelligence artificielle Microsoft a annoncé, en janvier, un investissement pluriannuel de plusieurs milliards de dollars dans OpenAI et a intégré sa technologie, telle que GPT-4, dans ses produits et services ces derniers mois, comme dans son navigateur Bing et son logiciel de messagerie Teams. Malgré cette bataille de géants qui s'est ouverte entre Microsoft et son grand rival Google - qui a également lancé son propre chatbot, Bard -, il n'est pas garanti que ceux-ci soient les grands gagnants de cette course dans l'IA générative, a toutefois ajouté Satya Nadella. La capacité des petites entreprises à percer dans l'IA « dépendra de l'adéquation produit-marché », a assuré le PDG. Il n'y a qu'à voir, selon lui, comment les cartes ont été rebattues dans le domaine des moteurs de recherche, largement dominé par Google jusqu'ici. « Si vous aviez dit, encore l'an dernier, qu'une vraie compétition est lancée dans la recherche en ligne et qu'il existe une alternative à Google, qui l'aurait cru ? ».

By |2023-05-20T22:05:47+00:00May 20th, 2023|Scoop.it|0 Comments

Climat : les cinq prochaines années seront les plus chaudes de l’histoire de l’humanité

Une projection climatique à laquelle il fallait s'attendre. Selon les dernières données de l'Organisation météorologique mondiale (OMM), les températures de la planète devraient atteindre des niveaux records au cours des cinq prochaines années. Selon l'OMM, il y a ainsi 66 % de risque qu'entre 2023 et 2027 la température mondiale moyenne annuelle soit supérieure de plus de 1,5 °C, par rapport au niveau préindustriel, pendant au moins une année. « La confiance dans les prévisions de la température moyenne mondiale est élevée, car les prévisions a posteriori révèlent que toutes les mesures sont très fiables », souligne à ce sujet l'OMM. Les cinq prochaines années les plus chaudes Conséquence tirée par l'OMM dans ce rapport : il y a 98 % de chance qu'au moins l'une des cinq prochaines années, ainsi que la période de cinq ans dans son ensemble, soient les plus chaudes jamais enregistrées dans l'histoire de l'humanité. Lorsqu'on remonte dans les précédentes données de l'OMM, les huit dernières années ont été les plus chaudes jamais mesurées. 2016 étant, pour le moment, l'année qui détient le record dans cette période. Les températures moyennes à la surface de la terre et de la mer à l'échelle mondiale ont été en hausse constante depuis les années 1960. En 2023, elles devraient être supérieures à la moyenne de 1991-2020 dans presque toutes les régions. LIRE AUSSI : INTERVIEW - « Les températures extrêmes actuelles sont toutes liées au changement climatique » Climat : l'Europe sort de sa deuxième année la plus chaude jamais enregistrée Selon l'Organisation météorologique mondiale, l'Alaska (USA), l'Afrique du Sud, l'Asie du Sud et certaines parties de l'Australie seront les seuls territoires à être un peu épargnés. Certaines parties de l'océan Pacifique Sud seront plus froides que la moyenne. Concernant le régime moyen des précipitations entre mai et septembre sur la période 2023-2027, l'OMM prévoit « une hausse des pluies au Sahel, dans le nord de l'Europe, en Alaska et dans le nord de la Sibérie ». A l'inverse, il y aura une baisse des précipitations sur le bassin de l'Amazone et dans certaines régions de l'Australie. L'OMM fait aussi un zoom sur le réchauffement de l'Arctique. D'après ses calculs, le réchauffement de ce territoire connait « une intensification disproportionnée ». Par rapport à la moyenne de la période 1991-2020, la température dans l'Arctique devrait être « trois fois supérieure à l'anomalie moyenne mondiale ». En cause, les gaz à effet de serre et le phénomène « El Niño » Cet emballement est alimenté par l'augmentation des gaz à effet de serre, qui retiennent davantage de chaleur et « El Niño », phénomène climatique qui se caractérise par des températures anormalement élevées de l'eau dans la partie Est du sud de l'océan Pacifique. L'augmentation des températures produite par « El Niño » provoque des sécheresses accrues dans certaines parties du monde et de fortes pluies dans d'autres. Tout particulièrement l'Afrique. Début mai, l'OMM estimait qu'il y avait 60 % de chances qu'« El Niño » se développe d'ici la fin juillet et 80 % de chances d'ici la fin septembre. Des hausses directement liées au changement climatique « Ce rapport ne signifie pas que nous dépasserons en permanence le niveau de 1,5 °C spécifié dans l'Accord de Paris […]. Cependant, l'OMM tire la sonnette d'alarme sur le fait que nous allons temporairement dépasser le niveau de 1,5 °C avec une fréquence croissante », explique le secrétaire général de l'OMM, le professeur Petteri Taalas. Le chercheur poursuit son explication : « Un épisode El Niño devrait se développer dans les mois à venir. Associé au changement climatique anthropique, il fera grimper les températures mondiales à des niveaux jamais atteints ». Conséquence néfaste sur la santé humaine « Les répercussions sur la santé, la sécurité alimentaire, la gestion de l'eau et l'environnement seront considérables. Nous devons nous préparer », alerte le haut cadre de l'OMM. « Les températures moyennes mondiales devraient continuer d'augmenter, nous éloignant toujours plus du climat auquel nous sommes habitués », abonde en ce sens Leon Hermanson, expert scientifique du Service météorologique du Royaume-Uni (Met office), qui a dirigé la rédaction de ce rapport .

By |2023-05-20T22:05:00+00:00May 20th, 2023|Scoop.it|0 Comments

Ecologie : les Français pas prêts à renoncer à l’avion

Les militants écologistes qui escaladent les grillages des aéroports, comme les dirigeants du transport aérien et de l'aéronautique qui ne peuvent plus ouvrir la bouche sans parler de la réduction des émissions de CO2, ont encore beaucoup à faire pour être entendus. C'est ce qui ressort, année après année, des études et sondages consacrés à la relation compliquée des Français à l'avion. Malgré les efforts des premiers pour les en détourner, la majorité des répondants restent toujours aussi attachés à l'avion et n'ont pas l'intention d'y renoncer. Y compris les jeunes, pourtant réputés plus sensibles aux enjeux environnementaux. Selon un sondage Ipsos réalisé pour l'Alliance France Tourisme auprès d'un échantillon de 18-34 ans, publié ce week-end par le « JDD », plus d'un jeune interrogé sur deux (54 %) cite l'avion comme mode de transport favori pour partir en vacances, juste derrière la voiture (65 %). Les jeunes préfèrent l'avion au train La même proportion (53 %) affirme pourtant choisir son mode de transport en fonction de son impact écologique. Néanmoins, le train n'a la préférence que d'un jeune sur trois (35 %). Et 87 % des jeunes répondants accepteraient « sûrement ou probablement » un billet d'avion gratuit pour partir en week-end en Europe. Le dernier rapport de la chaire Pégase de l'université de Montpellier, publié mardi, fait le même constat du décalage entre les préoccupations environnementales et les pratiques des Français. Selon cette étude annuelle consacrée au transport aérien, seulement 12 % des Français interrogés, sur un échantillon représentatif de 1.000 personnes, déclarent avoir honte de prendre l'avion. Ils sont 91 % à avoir déjà pris l'avion au moins une fois dans leur vie et un peu plus de 50 % au cours des douze derniers moins. Mais seulement 28 % assurent avoir déjà compensé les émissions de CO2 de leurs vols, bien que 79 % se disent préoccupés par l'environnement. Les efforts de décarbonation restent méconnus Mais de même que les préconisations écologistes radicales laissent de marbre la majorité, les efforts des compagnies aériennes et des industriels de l'aéronautique pour réduire leur empreinte environnementale, leur passent également au-dessus de la tête. Selon le rapport « Pégase », seulement 35 % des personnes interrogées avaient entendu parler des différentes innovations technologiques destinées à décarboner le transport aérien, telles que les carburants d'aviation durables (CAD). « Paradoxalement, l'innovation la plus connue [par 50 % des répondants, NDLR] est l'hydrogène, qui n'est pourtant pas encore entré en application, contrairement à d'autres nouveaux carburants qui commencent déjà à être utilisés mais qui sont encore très peu connus », souligne Paul Chiambaretto, directeur de la chaire Pégase. De même, les images d'ailes volantes diffusées par Airbus ont été remarquées par 43 % des répondants, alors que 19 % seulement avaient entendu parler des nouveaux moteurs, comme l'open rotor de Safran. 15 % plus cher Dans l'ensemble, ces innovations sont néanmoins plutôt bien acceptées par les personnes interrogées. A commencer par le recours à l'hydrogène, qui ne semble pas susciter d'inquiétude particulière. La seule innovation rejetée sans explication par la majorité est le moteur non caréné ou « open rotor ». « Cela fait écho aux réticences déjà constatées dans d'autres études vis-à-vis des avions à hélices », explique Paul Chiambaretto. LIRE AUSSI : Comment le transport aérien espère atteindre la neutralité carbone en 2050 Accord historique européen sur les carburants d'aviation durables Non seulement les Français interrogés seraient prêts, dans leur majorité, à voler à bord de ces avions du futur à hydrogène, mais ils se disent même disposés à payer leur billet d'avion 15 % plus cher, en moyenne, pour financer ces innovations. Et la majorité des répondants est convaincue que ces innovations entreront progressivement dans les faits au cours des neuf prochaines années. Ce qui peut s'apparenter à un excès d'optimisme en ce qui concerne l'hydrogène et les nouveaux designs d'avions.

By |2023-05-20T21:45:31+00:00May 20th, 2023|Scoop.it|0 Comments

ChatGPT Now Has an iPhone App

IF YOU’VE SEARCHED for “ChatGPT” in Apple’s App Store since the chatbot launched six months ago, you may have discovered some of the dozens of apps with names like Genie, Genius, and AI Writer claiming to be powered by OpenAI’s technology. Or you might have found Microsoft’s Bing app with the company’s own chatbot inside, powered by OpenAI’s GPT-4 text generator. But ChatGPT itself hasn’t had an official iPhone app released by its own developer—until now. COURTESY OF OPENAI; APPLE OpenAI’s free ChatGPT app for iOS just hit Apple’s App Store in the US. As with the original web model of the chatbot, the free-to-use version is built on GPT-3.5, and its most capable persona built on GPT-4 is accessible only if you’re paying $20 a month for ChatGPT Plus. OpenAI says the mobile app syncs your history of chats with its bot across devices and will be expanding to other countries “in the coming weeks.” An Android app is coming “soon.” The biggest change that comes with ChatGPT’s new mobile incarnation is that you can now talk to the chatbot instead of just typing. OpenAI has added its speech recognition system, Whisper, which the company claims reaches “human-level robustness and accuracy” for English. That could give interacting with ChatGPT a different feel and perhaps encourage people to turn to it for (glitchy) AI wisdom more often. ChatGPT on iOS will also be limited to phones that can run the iOS 16.1 operating system, which means iPhone 8 or newer hardware models. But it’s unclear whether ChatGPT will have the same freewheeling personality in the new iOS app as the original form of ChatGPT on OpenAI’s own website, given Apple’s strict content moderation policies in its App Store. The iPhone maker tells developers that apps should not include “defamatory, discriminatory, or mean-spirited content,” or content that is “offensive, insensitive, upsetting, intended to disgust, or in exceptionally poor taste.” It also prohibits overtly sexual or pornographic material, inflammatory religious content, and “false information and features.” ChatGPT has some limitations built in, but they can be sidestepped, and the chatbot, like other generative AI tools, is widely documented to sometimes present falsehoods and fabrications as fact, a phenomenon known as hallucination. 

By |2023-05-20T21:35:30+00:00May 20th, 2023|Scoop.it|0 Comments

Le tourisme, un secteur hybride et paradoxal –

C’est en Israël, terre imprégnée d’Histoire et à la fois tournée vers l’innovation, que le Forum des Pionniers a posé ses valises depuis quelques jours. Une terre hybride, à l’image de la première thématique abordée par la philosophe Gabrielle Halpern, Docteur en philosophie, qui effectue des travaux de recherche sur ce concept depuis plus de dix ans. L’hybridation est un vrai sujet de société et concerne le secteur du tourisme comme beaucoup d’autres secteurs. Aujourd’hui, de nombreuses entreprises sont hyperspécialisées, mais elles ont perdu leur sens. Les jeunes générations, en transférant des compétences d’un secteur à un autre, vont pouvoir participer à ce phénomène d’hybridation. L’hybridation est différente de la fusion, explique la philosophe. Dans l’hybridation, les deux identités restent bien distinctes. Dans la fusion, ces deux entités viennent en créer une troisième. Le « risque » dans la fusion est de se dénaturer, alors qu’il faut davantage chercher à s’augmenter. Selon Gabrielle Halpern, l’agence de voyage de demain devra être capable de s’hybrider et de proposer quelque chose de nouveau. L’hôtel, quant à lui, doit rester un point de repère sur le territoire. S’il propose un spa, s’il offre un espace de coworking, il ne s’hybride pas, il se diversifie. En revanche, s’il laisse à voir quelque chose du territoire en proposant des ateliers avec le boulanger ou le fleuriste du quartier, il s’inscrit totalement dans cette notion d’hybridation. « Soyez tous centaures », a appelé de ses vœux la philosophe, en valorisant cette figure mythologique, symbole de ce concept d’hybridation. Un tourisme empreint de dissonance cognitive La notion de paradoxe touche également le secteur du tourisme. Dans un contexte d’urgence climatique, on a vu émerger ce qu’on appelle le tourisme de la dernière chance (last chance tourism en anglais). Il consiste à visiter des lieux potentiellement condamnés à disparaître à moyen terme sous l’effet des changements globaux. Le plus étonnant, comme l’explique Emmanuel Salim, enseignant-chercheur à l’Institut de Géographie et Durabilité de l’Université de Lausanne, est que ce sont les touristes les plus au fait du changement climatique, les plus proches de la nature, qui vont visiter les sites glaciaires alpins, fortement touchés par le réchauffement climatique. Un comportement paradoxal qui crée chez ces touristes une dissonance cognitive : leur comportement ne reflète pas leur opinion ou leur croyance. Un signe de fin de civilisation ? Non, estime Emmanuel Salim qui y voit une manière de mettre en place un tourisme réflexif qui vient éveiller les consciences de la population en l’invitant à questionner ses pratiques et les lieux qu’elle fréquente. Le glacier ne devient plus seulement un marqueur du réchauffement climatique, mais également un objet de compréhension et d’influence des comportements. Des évolutions qui laissent sans conteste matière à réflexion.

By |2023-05-20T12:22:45+00:00May 20th, 2023|Scoop.it|0 Comments

Uber annonce le lancement d’Uber Boat à Mykonos et un service de conciergerie pour les hôtels

Uber continue de se diversifier afin de devenir une super-app du tourisme. Quelques jours seulement après l’annonce de son partenariat avec Hopper qui lui permet de tester la réservation de billet d’avion au Royaume-Uni, la société de VTC a fait part de l’arrivée de nouvelles fonctionnalités. La première est Uber Boat qui est pour le moment proposé à Mykonos et dans les îles grecques et qui va permettre aux utilisateurs de réserver un bateau avec pilote pour 8 personnes. Le service est différent d’Uber Boat by Thames Clippers qui permet d’emprunter un bus fluvial sur la Tamise à Londres. La deuxième fonctionnalité est Uber Central. Elle permet aux réceptionnistes d’un hôtel de réserver un Uber au nom de leurs clients. Si ceux-ci possèdent l’application, ils peuvent ensuite suivre le déroulé de la course. En marge de l’évènement, Uber a annoncé un chiffre d’affaires de 8,8 milliards de dollars au premier trimestre, en hausse de 29 % par rapport au même trimestre de l’année précédente, et 31,4 milliards de dollars de réservations brutes, soit une augmentation de 19 % d’une année sur l’autre.

By |2023-05-19T15:27:45+00:00May 19th, 2023|Scoop.it|0 Comments