Monthly Archives: September 2023

La RATP et IDFM font circuler un bus autonome avec des voyageurs à bord –

Depuis le 11 septembre le bus autonome de la ligne 393, qui relie Sucy-Bonneuil RER et Créteil Pointe du lac, entre dans une nouvelle phase d’expérimentation. Il accueille désormais des voyageurs à son bord et ce, pour la première fois en France pour une ligne de bus classique. Pour IDFM et la RATP, il s’agit d’intégrer progressivement l’autonomisation sur le réseau de transports à haut niveau de service et d’approfondir son expertise sur les questions d’autonomie. Un second véhicule autonome relie des gares à Paris Le bus autonome est 100% électrique et peut accueillir jusqu’à 17 voyageurs en places assises. Un « safety driver » sera tout de même à bord pour assurer la sécurité des voyageurs en toutes circonstances. La ligne comprend 20 arrêts sur un tronçon de 12km, pour une durée totale de trajet d’environ 30 minutes. « L’expérimentation du bus autonome sur la ligne 393 est un symbole fort de modernité pour la mobilité francilienne. Avec le soutien d’Île-de-France Mobilités, il était naturel pour le groupe RATP, à la pointe des véhicules autonomes en zones urbaines denses, d’accompagner l’émergence de cette nouvelle mobilité urbaine et d’étudier les modalités d’intégration de véhicules autonomes dans le réseau francilien », indique Gilles Tauzin, Directeur de l’innovation RATP. En parallèle, depuis le lundi 18 septembre, une seconde expérimentation de véhicule autonome a été lancée avec des voyageurs à bord de la navette inter-gare entre Gare de Lyon, le Pôle de Bercy et la Gare d’Austerlitz.

By |2023-09-20T08:31:13+00:00September 20th, 2023|Scoop.it|0 Comments

Avec Eolink, l’éolienne offshore du futur est bretonne

Comme dans les (mauvaises) comédies romantiques, l'histoire d'amour a commencé par de l'indifférence, voire de l'hostilité. Alors qu'il est ingénieur chez Renault, Marc Guyot partage les vues de certains milieux sur l'exploitation de l'énergie du vent : « Je pensais que l'éolien serait minoritaire dans la transition écologique, pas intégrable au réseau électrique… Puis j'ai lu un livre sur le sujet, fait des règles de trois et j'ai compris l'opportunité offerte par cette source d'énergie, notamment pour l'éolien offshore. » Mais certaines habitudes freinent le déploiement des aérogénérateurs marins, bien plus puissants que leurs homologues terrestres, et seuls capables de fournir de l'énergie propre à grande échelle. Depuis la fondation du premier parc éolien offshore, en 1991 au Danemark, le secteur s'est schématiquement scindé en deux filières, le « posé » et le « flottant ». Les éoliennes posées sont, historiquement, la première technologie employée et restent les plus courantes aujourd'hui. Elles ne diffèrent guère des éoliennes terrestres dans leur principe : un mât planté dans la terre, en l'occurrence le sous-sol marin. « Il est difficile d'être plus compétitif que des éoliennes offshores plantées à 20 ou 30 mètres de profondeur, sur des sols de sable, reconnaît Marc Guyot. Mais les lieux où elles peuvent être installées sont très restreints car, bien souvent, le sous-sol marin plonge très vite à de grandes profondeurs, sauf en mer du Nord ou à l'Est de la Chine. » Marc Guyot, fondateur d'Eolink.Margaux Thokagevistk/Photopqr / Ouest France / Maxppp Pour augmenter le rayon d'action de ces éoliennes, certaines entreprises ont mis au point d'immenses flotteurs pour supporter le poids des mâts et ainsi ancrer ces géantes des mers plus loin au large. C'est en 2017, en Ecosse, que la première ferme d'aérogénérateurs flottants voit le jour. Si cette filière est aujourd'hui moins structurée que celle de l'éolien offshore posé, son potentiel est bien plus important à condition de lever les obstacles qui entravent son essor. C'est la mission que s'est donnée Marc Guyot en fondant, en 2016, la société Eolink à Brest. 45 % à 50 % d'économie d'acier « Toutes les éoliennes reposent sur un mât, or ce mât n'a aucune raison d'être sur un support flottant, explique le fondateur de la start-up. C'est difficile de croire que personne n'y a pensé avant. Et pourtant ! » En effet, l'usage principal du mât est de permettre l'installation du système de rotation permettant à l'éolienne d'être toujours face au vent. Mais dans le cas d'un aérogénérateur flottant, cette machinerie complexe ne se justifie plus étant donné que l'engin suit naturellement le courant pour se placer face au vent. Et dans le cas rare mais toujours possible d'un découplage des zéphyrs et des courants en haute mer, Eolink a équipé ses flotteurs de ballasts activables à distance permettant de remettre, le cas échéant, l'éolienne dans le sens du vent.

By |2023-09-20T08:22:37+00:00September 20th, 2023|Scoop.it|0 Comments

The Fall of Babylon Is a Warning for AI Unicorns

IN LATE 2016, Hugh Harvey was working as a consultant doctor in the UK’s National Health Service. Harvey had dabbled in machine learning while doing a research degree, and had seen the potential for artificial intelligence to revolutionize health care. But he felt strongly that the introduction of AI into medicine was not going to come from within the NHS—it was going to come from industry. So when an opportunity opened up at a buzzy new health-tech startup, Babylon Health, he applied. Founded in London in 2013 by Ali Parsa, a British-Iranian ex-banker, Babylon had a lofty goal: It wanted to do with health care what Google did with information; that is, make it freely and easily available to everyone. By the time Harvey joined the company in 2016, it was already picking up tens of millions in venture capital funding—even though at that point, all it had built was an app that let patients have video calls with their doctors. Helpful, yes, but not exactly revolutionary. The company’s value was in its grand ambition to add on an AI-powered symptom checker, which would speed up—or even automate—diagnoses. ADVERTISEMENT Accustomed to the frugal conditions of the perpetually cash-strapped NHS, Harvey says he was taken in by the lavish setup: laptop waiting for him on his desk, fancy office in upmarket South Kensington, free office beers and pizzas at lunch. But soon, Harvey got to take a peek at the software that was behind all the excitement. What he was shown was a bunch of Excel spreadsheets containing clinical decision pathways written by junior doctors at the company. They had essentially divided the body up into different parts, and depending on which part of the body the user clicked on, the app would follow what they called “clinical flows,” or decision trees. “I was like, well, this isn't really artificial intelligence,” Harvey recalls thinking. But over the next few years, the hype around Babylon just kept growing. It picked up contracts with the NHS and British health insurance providers. Chinese tech giant Tencent signed a deal to offer services through WeChat. Saudi Arabia’s sovereign wealth fund invested $550 million. By the time it went public on the New York Stock Exchange in 2021, Babylon was valued at $4.2 billion. But the wheels were already coming off. The company’s losses were mounting as it spent big to chase growth. Its share price quickly went into free fall. In mid-August this year, after a rescue deal fell apart, it was announced that the UK side of the business was going into administration—a process similar to bankruptcy protection in the US. The company shuttered its US headquarters, laid off scores of employees, and filed for bankruptcy there, too.

By |2023-09-20T08:00:56+00:00September 20th, 2023|Scoop.it|0 Comments

Motus et bouche cousue : le greenhushing pour éluder les questions qui fâchent…

Paralysé par la peur Créé en 2008 par le cabinet de consultants Treehugger, ce terme décrit les entreprises qui ne souhaitent pas mettre en avant leurs initiatives environnementales, de peur d’être montrées du doigt. Dans la pratique, ces sociétés ne communiquent jamais lorsqu’elles décrochent un label environnemental ou réduisent leurs émissions de gaz à effet de serre (GES). Près d’un quart (23%) des 1200 sociétés engagées en faveur de projets climatiques interrogées par le le cabinet de conseil South Pole affirme ainsi avoir opté pour une politique d’ « écosilence » par peur d’être accusées d’opportunisme écolo. Interrogée par Carenews, Clémence Nutini, la responsable du développement durable de Nespresso, reconnaissait être « peut-être trop discrète sur les actions écologiques menées ». « Nous souhaitons avoir des preuves sur le long terme avant de communiquer, explique cette ancienne consultante du cabinet de conseil Deloitte. L’équilibre est hyper compliqué car dès que Nespresso communique sur une bonne action, il y a des critiques quoi qu’il en soit.C’est compliqué d’expliquer, dans une publicité en 15 secondes, la profondeur des actions. Nous n’avons pas trouvé la solution, il faut être humble. » Cette prudence s’explique… Chat échaudé… De nombreuses marques ont, en effet, été prises la main dans le sac après avoir fait des promesses qu’elles n’ont pas tenu. En février, la marque de boisson Innocent a été accusée de greenwashing après avoir diffusé une publicité qui affirmait que se procurer des produits plastiques revenait à « réparer la planète ». Les campagnes de reforestation mises en avant par des pollueurs notoires comme Shell, Total ou Air France ont, elles aussi, été montrées du doigt par les scientifiques qui montrent le faible intérêt écologique de cette stratégie. Le mensonge a longtemps été la règle dans le monde de l’entreprise. Une étude réalisée en 2022 par la Changing Markets Foundation a ainsi révélé que près de 60% des déclarations écologiques faites par douze grandes marques européennes n’étaient pas fondées ou trompeuses. Deux ans plus tôt, la Commission européenne avait estimé que plus de la moitié des publicités ou des emballages de 150 marques qui mentionnaient des expressions comme « zéro carbone » ou « empreinte climatique réduite » contenaient « des informations vagues, trompeuses ou non étayées ». 40% de ces allégations étaient même dénuées de tout fondement. Un quart des déclarations environnementales trompeuses provenaient, à elles seules, de l’industrie de la mode. Certaines griffes, qui mettaient en avant leur supposée stratégie écologique, ont commencé à faire marche arrière ces derniers mois. H&M a abandonné en novembre 2022 son label « Conscious », qu’elle promouvait depuis une décennie, à la suite d’une enquête de l’Autorité néerlandaise pour la consommation et les marchés. ASOS avait, lui aussi, retiré quelques mois auparavant « de façon proactive » son « responsible Edit » avant la publication d’une enquête de l’Autorité britannique de la concurrence et des marchés. Comme par hasard… Un pari perdant Si le greenwashing est évidemment une politique répréhensible à éviter comme la peste, le greenhushing ne semble pas non plus être une stratégie très efficace. 90% des clients attendent en effet des marques qu’elles s’engagent pour l’environnement et les aident à entamer leur propre transition écologique, si l’on en croit une étude d’OpinionWay et Oney. En optant pour l’écosilence, les entreprises risquent de décevoir des clients qui pourraient très bien se satisfaire des efforts déjà produits. Trop en dire n’est pas une bonne chose mais rester muet n’est pas forcément beaucoup plus malin…

By |2023-09-20T07:59:04+00:00September 20th, 2023|Scoop.it|0 Comments

Urgence climatique : le patron de l’ONU exhorte les dirigeants mondiaux à faire plus

Ses phrases coup de poing bousculent régulièrement la une des médias. Fin juillet, il s'est alarmé de l'entrée de l'humanité dans « l'ère de l'ébullition mondiale », avant d'estimer quelques semaines plus tard que « l'effondrement climatique » avait commencé. Au terme de l'été le plus chaud jamais enregistré, marqué par une série d'événements extrêmes un peu partout dans le monde, il est fort à parier qu'Antonio Guterres aura de nouveau des mots qui claquent à l'occasion du sommet sur l'ambition climatique que le patron de l'ONU a convoqué ce mercredi, à New York, en marge de l'assemblée générale de l'organisation . « Des politiques crédibles et concrètes » A moins de trois mois de la COP 28, l'idée d'un tel rendez-vous est de « mettre en valeur ceux qui sont les premiers à réagir et les premiers à agir », indique l'équipe du secrétaire général, sans avoir, pour l'heure, publié de liste précise. Sont ainsi invités à défiler à la tribune uniquement des gouvernements, des villes, des entreprises ou des institutions financières qui ont « des politiques crédibles et concrètes » pour limiter le réchauffement à 1,5 °C d'ici à la fin du siècle, comme fixé dans l'accord de Paris. Placer la barre très haut « Le sommet vise à placer la barre très haut en matière d'ambition », explique la directrice du programme climat de l'Institut du développement durable et des relations internationales (Iddri), Lola Vallejo, qui souligne « l'implication personnelle » d'un secrétaire général de l'ONU prêt à mettre son capital politique en jeu. L'urgence climatique est devenue beaucoup plus tangible par rapport au mandat de son prédécesseur, note la spécialiste, tout en rappelant que Ban Ki-moon avait aussi joué un rôle important, en organisant un sommet sur le climat en 2014 pour soutenir la mise en place de ce qui allait devenir l'accord de Paris.

By |2023-09-20T07:57:48+00:00September 20th, 2023|Scoop.it|0 Comments

Au Royaume-Uni, l’incroyable progression de la vigne jusqu’en Ecosse

Champagne ! C'est ainsi que le Sussex a célébré, il y a un an, l'annonce de la création d'une appellation d'origine protégée. Pour les vins de la région, l'AOP apporte une protection à sa production et c'est aussi une marque de reconnaissance pour le chemin parcouru. Depuis une vingtaine d'années, l'industrie viticole britannique cherche à se faire une place parmi les grands. Sous l'effet du dérèglement climatique , les coteaux anglais se sont couverts de nouveaux plants de vigne, prêts à conquérir les palais de consommateurs de plus en plus enclins à privilégier la production locale. Initialement concentrée dans le sud du Pays (Kent, Sussex, Hampshire), la viticulture anglaise s'est progressivement étendue vers le Nord au fil des années. « Lorsque mes parents ont planté dans les années 1980, la vigne la plus au Nord était à Worcester, dans le Centre de l'Angleterre. C'était vraiment considéré comme l'extrême limite, se souvient Ned Awty, viticulteur dans le Somerset. Aujourd'hui, on voit des vins du Yorkshire, dans le Nord, décrocher des médailles ! » Certains audacieux ont même commencé à planter en Ecosse. L'industrie se professionnalise A la tête de la fédération WineGB, qui défend les intérêts des producteurs britanniques, Ned Awty a vu l'industrie se professionnaliser : « Historiquement, nous n'avions pas l'expérience de la production de masse. Mais les pratiques s'améliorent et nous arrivons maintenant à obtenir de meilleurs rendements. »

By |2023-09-20T07:56:32+00:00September 20th, 2023|Scoop.it|0 Comments

Only one in five CMO-CFO relationships are truly collaborative

Just 22% of CMOs say their partnership with CFOs is truly collaborative according to new research from the CMO Council and KPMG. Just over a quarter (26%) of the marketing leaders surveyed describe the relationship they have with finance as “indifferent”, while 7% say it is outright “hesitant”. The report, titled ‘Marketing & finance: Fuelling innovation or falling behind?’, takes a look at the impediments to collaboration between marketing and finance, but also highlights the benefits of effective collaboration. While no silver bullet, the report suggests that joint ownership of customer data is paramount, but that only 18% of marketing leaders strongly believe both finance and marketing have the same access to the customer data and transactional information that informs marketing decision-making. The report makes clear that an unwilling or hesitant approach to collaboration between the two departments has a chilling effect on the ability of a brand to respond in an agile way to disruption. As a result the report advocates for marketing team leaders to approach their finance counterparts with “technology investments that add value to both your marketing and finance sectors” in order to show how investment in marketing provides a halo effect for the wider business. It echoes advice given by Boots’ former CFO Michael Snape and current CMO Pete Markey on effective collaboration, in which Snape advocated for marketers to make a consistent effort to explain the wider benefits of marketing efforts to the finance team, rather than just treating them “as a bank”.

By |2023-09-20T07:54:51+00:00September 20th, 2023|Scoop.it|0 Comments

Usbek & Rica – La mobilité solidaire peut-elle nous rendre heureux ?

Selon le Haut Conseil pour le climat, les transports sont la principale source d’émission de gaz à effet de serre en France (31 %). Préserver l’environnement implique donc de limiter nos déplacements. Mais pour la partie la plus vulnérable de la population, se déplacer peut être un enjeu de survie : on compte ainsi en France 13 millions de personnes en situation de « précarité mobilité », qui sont dépendantes de la voiture individuelle et menacées de ne plus pouvoir se déplacer, donc de perdre l’accès à l’emploi et aux services publics. Dans ce contexte, comment concilier mobilité écologique et solidarité ? Quelles conditions pour faire de la mobilité un bien commun ? Quelles nouvelles pratiques mutualisées, collectives et inclusives pourraient permettre à chacun de retrouver le plaisir de se déplacer ? Faut-il instaurer un “droit à l’immobilité” qui promouverait un autre rapport au travail, une nouvelle façon d’être au monde ?

By |2023-09-11T16:36:15+00:00September 11th, 2023|Scoop.it|0 Comments

Vous pouvez dématérialiser votre carte d’identité sur une application dédiée –

Disponible pour tous les utilisateurs d’un smartphone Android ou iPhone, l’application France Identité permet de dématérialiser des titres d’identité sur son téléphone. Cette nouveauté est accessible aux détenteurs d’une carte d’identité « nouvelle génération », c’est à dire le modèle déployé depuis août 2021, au format carte bancaire et disposant d’une puce électronique. Les voyageurs pourront ainsi l’utiliser lors des passages des frontières ou autre, comme pour une carte d’identité classique. L’application permettra par la suite d’accéder à plus de 1 000 services en ligne, comme France Connect ou donner une procuration. Pour ce faire, il suffit au mobinaute (majeur) de télécharger l’application, scanner sa carte ou entrer un code et coller son téléphone à la carte via la fonction NFC. Seuls quelques détenteurs d’iPhone semblent pour l’instant rencontrer des problèmes, ce à quoi le compte X (ex Twitter) de l’application a précisé que des équipes travaillent pour régler le problème au plus vite.

By |2023-09-11T16:32:47+00:00September 11th, 2023|Scoop.it|0 Comments

Les meilleurs masters en management selon le FT : 4 écoles françaises dans le Top 7

Pour la première fois depuis 2008, HEC obtient la meilleure place du classement du Financial Times, qui départage les meilleurs masters en management de 142 écoles dans le monde. Elle dépasse l'université suisse de Saint-Gallen, jusqu'ici indétrônable. L'école de commerce française y a été notamment hissée grâce au très haut salaire de ses alumni trois ans après leur diplôme - critère ayant le plus de poids, 16 % de la note dans ce classement - qui s'établit en moyenne à 129.806 dollars (121.000 euros) par an, soit plus de 10.000 dollars de plus que l'année précédente. Une progression qui n'est pas près de s'arrêter : « 2023 verra une forte augmentation de la rémunération des diplômés d'HEC », anticipe Omar El Arfaoui, le directeur accréditations et classements des données d'HEC Paris. En gagnant deux places par rapport à l'année dernière et quatorze en deux ans, l'emlyon business school intègre le Top 7 qui compte désormais quatre écoles françaises. Toutes gagnent des places : l'ESCP se positionne en 4e position et l'ESSEC en 5e position (+1 place chacune). Le Top 10 des meilleurs masters en management reste, lui, inchangé avec ces quatre écoles, et toujours trustées par les universités européennes (9 sur 10), plus cotées pour les masters alors que les américaines se démarquent davantage sur les MBA. L'Edhec arrive en 11e position, de quoi alimenter le match avec son éternel concurrent l'emlyon. Et Audencia fait une percée en gagnant 20 places, tout comme l'ICN Business School avec un bon de 21 places en un an. Kedge Business School fait son entrée au classement, à la 48e place.

By |2023-09-11T16:24:54+00:00September 11th, 2023|Scoop.it|0 Comments