Les nouveautés

Dans les deux tailles on gagne un petit millimètre, de 41mm à 42mm et de 45mm à 46mm, la belle affaire! Avec un écran plus lumineux ce qui est bienvenu.
Mais dans un design plus arrondi, ce qui fait que ce qui est gagné d’un coté l’est perdu… dans les coins. Mais aussi plus fine, 9,7mm et plus légère dans sa version en titane finalement grade 5.
Car il y a maintenant une présentation en aluminium, et une seconde en titane, qui n’apporte pas grand-chose sauf quelques grammes en moins et des finitions et couleurs différentes.
Le chargement est plus rapide passant de 0% à 80% en 30mn, ce qui est très pratique vu l’autonomie réduite. On est loin des 120h (5 jours) de certaines montres traditionnelles.
Un haut-parleur qui peut enfin diffuser de la musique ou la piste audio d’une vidéo, un profondimètre comme sa grande sœur Ultra [1] limité à la plongée en apnée, une App pour les marées (comme une G-Shock G-7900A “rescue” de 2015).

Coté santé c’est la déception.
Il y a certes une fonction non-encore validée d’alerte d’apnée du sommeil, bienvenue et disponible aussi pour les AppleWatch serie 9.
Mais l’alerte d’hypoglycémie et d’hyperglycémie qui est pour moi le killer-app pour une montre connectée n’est pas présente. On parle de plus de 30% de diabétiques aux USA.

Conclusion

La communication d’Apple me brouille l’écoute sur l’AppleWatch: après des années à amener des fonctions de santé et à être orienté là-dessus, j’ai l’impression que la cible est manquée et qu’on parle maintenant d’une AppleWatch Ultra “mini”.
Le sport, qui devrait être le marché de l’AppleWatch Ultra, a été utilisé par Apple pour communiquer sur sa petite sœur. Dont la plongée en apnée.

J’ai l’impression que Apple a tapé à coté avec un produit qui fut, qui a été et qui va rester une réussite. Un coup dans l’eau cette année.

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