Cette fois-ci, Big State a gagné contre Big Tech. Le libra est mort. Si jamais le projet de monnaie porté par le géant américain Facebook finit par voir le jour, il occupera sans doute une niche, comme le paiement d’un type de transactions numériques ou le transfert d’argent des immigrés vers leur pays d’origine. Rien à voir avec la perspective grandiose d’une nouvelle devise adoptée à la vitesse du clic par des milliards de femmes et d’hommes. Et pourtant, le libra nous dit beaucoup de choses sur la monnaie.

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