HOSPITALITY LAB & PRACTICE FOR BRANDS

Blog2017-10-23T13:43:48+00:00

GDPR : L’hospitalité des marques fait loi en Europe.

GDPR : L’hospitalité des marques fait loi en Europe.

En imposant aux marques de privilégier l’intérêt de leurs clients dans la gestion des données qu’elles détiennent, l’Europe fait de l’hospitalité le vecteur principal de leur croissance.

1. AUJOURD’HUI, LA CROISSANCE DES MARQUES PASSE PAR LA QUALITÉ DE LEUR RELATION CLIENTS.

Dans un monde digital, « Les Marchés sont des Conversations ».

Dès 1999, Doc Searls et ses co-auteurs avaient mis cette idée au coeur de leur “Clue Train Manifesto” (Manifeste des Evidences) (1), démontrant alors avec brio comment le développement du “capital relationnel” de la marque pouvait devenir le principal moteur de la croissance des entreprises.

L’arrivée des sites internet dans la fin des années 1990 avait eu en effet le mérite de faire prendre conscience qu’il pouvait se nouer une relation directe entre l’entreprise et ses clients, sans passer par un distributeur ; et que ces nouveaux liens produisaient énormément de données qu’il était probablement intéressant d’exploiter : ainsi, pour développer plus loin l’idée du “Clue Train”, lorsqu’il s’agit de générer une croissance durable des ventes et des profits, les meilleurs atouts de la marque sont sa légitimité à susciter des échanges autour de son coeur de métier (Conversation), son intelligence à les analyser (Curation), sa capacité à apporter des réponses adaptées aux besoins exprimés (Customization), et finalement son empathie relationnelle, propre à mettre le client en résonance avec la marque (Communion). Autant d’atouts qui précèdent dorénavant la simple « qualité des produits » mis au catalogue, autrefois le principal fer de lance des entreprises.
Une vision depuis partagée par Interbrand(2), qui dans sa publication annuelle du classement de la valeur des marques insiste sur le fait que “la croissance est la conséquence d’une stratégie claire et d’expériences exceptionnelles délivrées au consommateur”.
Voici donc venu le temps pour les marques soucieuses de croissance durable de passer un nouveau contrat relationnel avec leurs consommateurs, où l’achat et la livraison du produit n’est plus la fin mais le début de la relation : un contrat qui couvre d’abord l’usage, et l’expérience qui l’accompagne. Un contrat qui est aussi l’occasion de proposer de nouveaux moments de consommation, de nouveaux services, qui sont autant de chiffre d’affaires supplémentaire pour les marques. Mais un contrat relationnel d’abord fondé sur le respect de l’intérêt du client, notamment en matière d’utilisation de ses données.

 

2. GDPR : UNE RÉGLEMENTATION POUR SAISIR DE NOUVELLES OPPORTUNITÉS DE CROISSANCE.

Selon une étude récente de la Commission Européenne(3), 72% des Européens s’inquiètent en effet de laisser trop de données personnelles aux entreprises, souvent à leur insu, et surtout de ne pas en recevoir de réelle contrepartie. D’ailleurs, la connaissance plus précise du client semble ne faciliter en rien la capacité de l’entreprise à mieux cibler ses offres : selon tous les indicateurs(4), le taux d’ouverture des mails diminue alors que les désabonnements (opt-out) augmentent, ce qui fragilise largement la rentabilité des investissements lourds consentis dans le CRM.
La Commission souligne également que le marché en ligne est constitué à 57% d’échanges avec des opérateurs américains, alors que seulement 4% des échanges se font au travers d’opérateurs pan-européens. Elle estime que si les 100 plus grosses entreprises Européennes faisaient un usage judicieux de leurs données clients, le PNB Européen pourrait s’octroyer 1,9% de progression supplémentaire d’ici 2020, soit plus de 200 Milliard d’Euros de gain potentiel.
C’est avant tout à cette opportunité de croissance que la GDPR s’attaque : permettre une meilleure utilisation des données pour les entreprises grâce à un consentement avéré des consommateurs, favoriser les échanges intra-européens au sein d’un univers mieux sécurisé. Loin d’être une contrainte, la GDPR est une chance de développement de nouvelles sources de revenus pour les marques européennes : elle conduit à un modèle de croissance durable rendu possible par une approche choisie et non plus subie de la consommation. Avec la GDPR, les marques doivent négocier avec chacun de leurs clients un contrat relationnel : elles doivent se mettre à l’écoute, comprendre les besoins, proposer leurs services, et définir les modalités de la relation ; le tout dans la transparence ( accès aux données, droit de modification) qui établit la confiance, l’attachement. Les marques deviennent alors attachantes dans le bon sens du terme, et c’est de cet attachement que nait la croissance durable.
C’est à ce nouveau modèle relationnel qu’appellait lui-même Doc Searls dans son “Clue Train Manifesto” : il lui avait même trouvé un nom, la VRM (Vendor Relationship Management). Une approche basée sur le consentement avéré du client vis à vis de ses fournisseurs (vendeurs) avec un postulat simple : “un consommateur libre a plus de valeur qu’un consommateur captif – pour lui-même, pour les marques et pour l’économie en général”.
Encore faut-il s’entendre sur la définition du consommateur “libre”. Searls le définit en cinq points :
1. Il entre en relation avec les marques de manière indépendante et sans contrainte.
2. Il est le point d’intégration de sa propre donnée (c’est lui seul qui peut relier sa donnée à sa personne).
3. Il a le contrôle de la donnée qu’il génère et collecte. Il décide de ce qu’il veut partager, à qui et comment.
4. Il définit son propre niveau d’engagement avec les marques.
5. Il est libre d’exprimer ses exigences et ses intentions en dehors du contrôle de toute entreprise.
C’est ce consommateur “libre” que la GDPR souhaite aujourd’hui promouvoir, afin d’en faire le vecteur de croissance de l’économie.

3. L’HOSPITALITE DES MARQUES, PRINCIPAL VECTEUR DE LEUR PROPRE CROISSANCE.

Accueillir un consommateur “libre” est sans doute une perspective qui effraie bon nombre de marques, tant elle ont été construites sur la notion d’un marketing manipulateur et insidieux, capable d’influencer jusqu’aux émotions pour enfermer les clients dans un tunnel de vente dont la seule issue est l’achat du produit. Avec la GDPR, ce n’est plus le produit qu’il va falloir vendre, c’est la marque qui doit apprendre à se faire acheter. Et pour cela, il va falloir qu’elle se montre hospitalière vis à vis de ses clients : bienveillante, humaine et proche.
Le produit devient simplement la porte d’entrée à la marque, celui qui va forger les impressions de la première rencontre, et donc le début (et non la fin) de l’histoire. Le produit n’est plus qu’un prétexte, c’est la marque qui devient le réel support de l’expérience pour le consommateur : c’est d’ailleurs à elle qu’il va naturellement s’adresser s’il a besoin d’assistance ou s’il a simplement des remarques à formuler. À la marque de se montrer engageante, accueillante, généreuse et humaine pour fidéliser le consommateur au-delà du premier produit, et pour entretenir une relation proche, intime, qui permettra de continuer à vendre sans qu’il soit besoin de déployer la coûteuse armada publicitaire du premier jour : avoir une stratégie à long terme d’entretien de la relation, plutôt que de s’épuiser dans des efforts permanents de recrutement.
Autant le “tunnel de vente” était indifférencié et anonyme, donc étranger à toute notion d’hospitalité, autant le “cycle de décision d’achat” est personnalisé et fait appel à la relation humaine : c’est de la capacité de la marque à accueillir que dépend la fidélisation du client, et encore plus, sa propension à devenir activement promoteur vis à vis de ses pairs. Pour le dire différemment, c’est du niveau d’hospitalité de la marque que va découler l’amplitude de la réalisation du cycle d’achat, et donc le montant de la valeur créée.
Autant le “tunnel de vente” s’envisageait dans un temps le plus court possible, avec l’espoir de limiter la durée d’exposition nécessaire pour déclencher l’achat afin de réduire les coûts, autant le “cycle de décision d’achat” s’inscrit dans la durée la plus longue possible afin de maximiser les revenus. En se plaçant dans une notion de permanence, on met forcément en exergue la qualité de l’hospitalité, seule capable de générer de la pérennité dans la relation.
Plus le consommateur progresse avec la marque, plus la marque fait preuve de « disponibilité » vis à vis des demandes du consommateur, plus se crée la confiance dans la relation, le consommateur récupérant de plus en plus de valeur d’usage en retour de sa relation avec la marque, la marque obtenant de plus en plus de “permissions” qui lui permettent d’aller encore plus loin dans son service du consommateur.
C’est bien là le cercle vertueux de l’hospitalité des marques : un marketing “on demand” (inbound marketing), un marketing de l’échange, de la confiance, de la permission, du partage de la valeur, où les clients sont aussi des hôtes ; un marketing qui se définit d’abord par rapport au client pour qu’il puisse adopter lui-même la marque, la faire sienne et en devenir à son tour le porte-parole…
Alors que la GDPR fait des marques le gibier de consommateurs devenus madrés, l’hospitalité est la meilleure réponse pour faire de ces mêmes marques les plus désirables des proies : avec bienveillance, humanité et intimité. Assurant ainsi la pérennité de leur croissance.

4. QUELLES APPROCHES POUR LES MARQUES FACE A LA GDPR ?

Ce serait peine perdue pour les marques que de se contenter de « mettre en conformité » leur bases de données tout en espérant garder les mêmes pratiques relationnelles. Car la GDPR est d’abord une invitation à renverser ses pratiques relationnelles pour faire montre d’hospitalité vis à vis de ses clients ; et c’est ce renversement d’attitude qui est lui même porteur de croissance pour les marques. Avec la GDPR, l’hospitalité ouvre pour les marques de nouvelles perspectives de croissance.
Une étude publiée en Mai dernier par le gouvernement Britannique4 s’était alarmée sur le fait que seulement 30% des grandes entreprises du pays avaient commencé à prendre les mesures nécessaires à la mise en conformité de leurs pratiques d’utilisation des données, alors que la transcription dans la loi Britannique vient d’être réalisée en ce mois d’Août, et qu’elle survivra au Brexit. Les autres pays feront-ils preuve de la même insouciance, par rapport à une échéance qui dans la plupart des pays européens, a été fixée à Mai 2018 ?
La GDPR transforme radicalement la manière dont les entreprises utilisent les données. Il va falloir arrêter d’acheter des listes d’adresses, et même se débarasser des listes qu’on aura pu acheter auparavant. Contacter un client exigera d’avoir les permissions nécessaires, sauf à s’exposer à des amendes prévues pour atteindre jusqu’à 4% du chiffre d’affaires.
Il n’y aura donc pas d’échappatoires.
Mais n’est-ce pas justement l’opportunité d’une prise de conscience salutaire dans le futur de la relation client ? Quelle marque aujourd’hui a encore besoin d’avoir accès à des millions de noms dont simplement un infime pourcentage montre un intérêt pour ses propositions ? Ne vaudrait-il pas mieux établir une véritable relation avec moins de clients mais qui ont un véritabe intérêt à avoir un dialogue, un échange, une conversation avec la marque ?
N’est-il pas temps, tout simplement, que les marques apprennent à devenir hospitalières vis à vis de leurs clients ?
Et si la GDPR n’était qu’un manifeste pour l’hospitalité des marques ? Une manière de sauver les marques traditionnelles à l’heure du digital ? La dernière opportunité à saisir avant liquidation ou reprise par les acteurs de la nouvelle économie ?
En développant leur hospitalité pour se mettre en conformité avec la GDPR, ce n’est pas tant l’amende que les marques vont éviter, c’est leur futur qu’elle vont assurer.
Aucune raison d’attendre. Embrassons la GDPR en développant l’hospitalité des marques (5).

 

 

(1) Le Cluetrain Manifesto (Manifeste des évidences) est un texte rédigé par Rick Levine, Christopher Locke, Doc Searls, et David Weinberger. Il est d’abord diffusé sur le web en 1999 comme un ensemble de quatre-vingt-quinze thèses, puis est publié sous forme de livre en 2000 avec les thèses prolongées de sept essais. https://www.amazon.com/Cluetrain-Manifesto-End-Business-Usual/dp/0738204315
(2) Etude 2016 Interbrand : http://interbrand.com/best-brands/best-global-brands/2016/
(3) Etude de la Commission Européenne : https://ec.europa.eu/commission/publications/why-we-need-digital-single-market_en
(4) Citée par Tanya Joseph dans le magazine Marketing Week (UK) du 7 Août 2017, New data laws are a chance to reset customer relationships : https://www.marketingweek.com/2017/08/07/tanya-joseph-data-law/
(5) Cf, “Manifeste pour l’Hospitalité des Marques”, Georges-Edouard DIAS, Edition Netexplo : https://www.amazon.fr/dp/2954667230/

The One Part of the Vision Pro That Apple Doesn’t Want You to See

By |January 25th, 2024|Categories: Scoop.it|

Apple seems to not want you to notice the battery. The external battery pack barely appears on the product page on Apple's website, showing up only at the end of a photo gallery at the bottom of the page. And in demo sessions this week, Apple told journalists they were not allowed to snap photos or capture any video of the hardware, an unusual rule for a press briefing. Instead, the company had its own photographer take photos during the Vision Pro demos. Every photo you’ve seen this week of reporters sitting on a couch while wearing the headset were shot by Apple. Notably, the battery pack doesn’t appear in any of them. One attendee chose to run the attached cable down the back of his sweatshirt. In another shared image, of The Verge’s Nilay Patel, the cable is clearly visible, but the photo is cropped to avoid showing the battery pack. Chokkattu experienced this too; he set the Vision Pro’s battery pack on the couch cushion next to him during his demo, but in the photo Apple shared with us, the offending pack is cropped out of the frame. ADVERTISEMENT WIRED’s Julian Chokkattu wears the Vision Pro. Apple supplied this photo; the battery pack on the sofa next to Julian is not shown in the frame. PHOTOGRAPH: APPLE FEATURED VIDEO Ali Wong & Steven Yeun Answer the Web's Most Searched Questions MOST POPULAR GEAR You Can Take Sony’s Full Frame Camera Anywhere SCOTT GILBERTSON GEAR 12 Ways to Upgrade Your Wi-Fi and Make Your Internet Faster WIRED STAFF GEAR How to Organize Your Tech and Purge That Random Box of Cables SIMON HILL GEAR Which Apple Watch Is Best Right Now? ADRIENNE SO ADVERTISEMENT It doesn’t take a serious sleuth to spot the pattern in the photos. The battery pack is probably the most inelegant element of what is an otherwise unblemished product. It’s an explicit design decision: Pack the battery into the headset itself and risk adding an untenable amount of weight, or attach an external battery to offload that weight and make room for advanced sensors. It’s representative of the technical trade-offs that exist in virtual reality that even Apple can’t engineer its way out of. “Everyone wants light fluffy headsets without battery sets,” says Jeremy Bailenson, a longtime VR researcher and founding director of Stanford University’s Virtual Human Interaction Lab. “But you can’t have everything. You can’t have incredible eye and finger tracking without those sensors. VR is always about trade-offs.” Power Play Victoria Song of The Verge. COURTESY OF NILAY PATEL The obfuscation of the Vision Pro battery pack only makes its existence that much more notable, raising two questions in particular: How does Apple envision people using this thing? And is having an external battery pack a serious hindrance to that usability? All signs indicate that Apple believes that this version of the Vision Pro is for sitting—for working and watching movies and browsing old photos (now in 3D!) and even FaceTiming. Apple has called it “the ultimate workspace” and “an infinite canvas for multitasking and collaborating.” Most Vision Pro demos, including my own last June, were seated demos aside from one interaction with a Jon Favreau–created dinosaur video. The Vision Pro headset includes gesture control technology that frees the wearer’s hands from controllers, another distinction from the Meta Quest Pro and Meta Quest 3, which do include controllers. Nearly every Meta Quest experience I’ve had involves standing: multiplayer gaming, punching the air in a fitness app, or peering down at a virtual world map and then zooming in on a vacation location. MOST POPULAR GEAR You Can Take Sony’s Full Frame Camera Anywhere SCOTT GILBERTSON GEAR 12 Ways to Upgrade Your Wi-Fi and Make Your Internet Faster WIRED STAFF GEAR How to Organize Your Tech and Purge That Random Box of Cables SIMON HILL GEAR Which Apple Watch Is Best Right Now? ADRIENNE SO ADVERTISEMENT Joanna Stern of The Wall Street Journal. COURTESY OF JOANNA STERN If Vision Pro is mostly meant to be used from a couch cushion or desk chair, the external battery pack may not factor in as much. As I pointed out last spring, it’s an unusual choice for a consumer tech company that has, over the past two decades, created products that we transport with us, literally everywhere we go. Some industry experts are split on the external battery design. Bailenson, for one, believes that headset computing should be optimized for shorter durations. “After 30 minutes, it’s probably time to take off the headset and go about your day and touch some walls and drink some water,” he says. “So in this instance there really shouldn’t be a need for an external battery pack, in my opinion, because most experiences are short.”

L’Afrique veut rassurer les investisseurs

By |January 25th, 2024|Categories: Scoop.it|

es bonnes nouvelles économiques ou plutôt des éclaircies pour l'Afrique au milieu de gros nuages sombres. Même si de nombreux pays africains restent accablés par la dette, certains gouvernements vont pouvoir un peu respirer en 2024. Des pays comme le Ghana, le Nigeria ou encore le Kenya vont prochainement recevoir l'appui des institutions économiques multilatérales comme le FMI et la Banque mondiale. Le Ghana, qui était devenu juste après la pandémie de Covid-19 le deuxième pays en défaut de paiement après la Zambie, a conclu un accord avec ses créanciers pour réorganiser 5,4 milliards de dollars de prêts, débloquant ainsi le prochain paiement d'un plan de sauvetage de 3 milliards de dollars du Fonds monétaire international négocié depuis deux ans. LA NEWSLETTER AFRIQUE Tous les mardis à 16h45 Recevez le meilleur de l’actualité africaine. En vous inscrivant, vous acceptez les conditions générales d’utilisations et notre politique de confidentialité. Le Nigeria pourrait également bénéficier d'un appui financier plus que bienvenu. Le pays a annoncé par la voix de son ministre des Finances être en pourparlers pour obtenir jusqu'à 1,5 milliard de dollars d'aide budgétaire de la part de la Banque mondiale. L'heure est à l'urgence car malgré les réformes économiques initiées par le président nigérian Bola Ahmed Tinubu, en poste depuis mai, la première économie d'Afrique est étranglée par une inflation record, la dévaluation du naira et un climat des affaires qui ne rassure pas les investisseurs. À lire aussi Investissements : la Banque africaine de développement veut séduire l'Asie Des défis à venir Plus à l’est du continent, au Kenya, le gouvernement vient d’obtenir un plan d’aide de 685 millions de dollars auprès du FMI et a levé un prêt de 210 millions de dollars auprès de la Trade & Development Bank, une institution financière de commerce et de développement opérant en Afrique orientale et australe. Des montants qui devraient permettre à Nairobi de rembourser une euro-obligation de 2 milliards de dollars arrivant à échéance dans quelques mois. La revue The Economist Intelligence Unit souligne dans son dernier rapport du 18 janvier « l'engagement du gouvernement kenyan à sauvegarder la réputation financière du pays en évitant un défaut de paiement sur cette dette importante ». Pour les experts de l'EIU, « le respect du remboursement des euro-obligations atténuera probablement certains des défis budgétaires du Kenya. Après le paiement de 2024, les prochaines obligations majeures du Kenya en euro-obligations, d'un montant de 1,9 milliard de dollars, ne seront pas exigibles avant 2027-2028, offrant un certain répit face aux pressions immédiates de la dette extérieure ». Dans cette parenthèse de nouvelles optimistes, le rapport positionne l'Afrique, en particulier l'Afrique de l'Est, comme l'une des régions à la croissance la plus rapide au monde en 2024. Cette croissance devrait être principalement tirée par le secteur des services, notamment l'industrie du voyage et du tourisme, et les transports, la logistique, la finance ou encore les télécommunications. Le Kenya, ainsi que d'autres pays d'Afrique de l'Est comme l'Éthiopie, l'Ouganda, le Rwanda, la Tanzanie et la RDC, devraient être à l'avant-garde de cette expansion économique dans cette région. Plus intéressant, voire plus challengeant encore dans le contexte mondial actuel, alors que les perspectives de croissance de l'Afrique subsaharienne pour l'année qui vient sont modestes, la Côte d'Ivoire, l'une des économies les plus dynamiques d'Afrique de l'Ouest, a annoncé qu'elle deviendrait le premier pays de la région à vendre une euro-obligation en près de deux ans. Faut-il pour autant y voir un regain d'appétit du marché pour les investissements régionaux ? Rien n'est moins sûr, alors que la Zambie bataille toujours pour faire aboutir son projet de restructuration de 3 milliards de dollars en euro-obligations. À lire aussi « L'Afrique est dans une quête de justice fiscale internationale » Faire avec la « prudence » des investisseurs Le défi d'attirer à nouveau les investisseurs, notamment privés, reste entier pour le continent africain. Des réponses sont venues du Forum économique mondial, qui se tenait la semaine dernière à Davos, en Suisse. Plusieurs thèmes étaient au cœur des échanges : le libre-échange, l'investissement, l'innovation ou la transition énergétique. Mais l'urgence portait sur la question de la manière dont l'Afrique peut attirer et retenir les investissements vitaux, dont elle a cruellement besoin pour dynamiser sa croissance. La question est d'une actualité brûlante après une période de chocs économiques successifs qui ont renforcé le besoin d'autonomie du continent. Au-delà des inquiétudes liées aux différents conflits au Sahel, au Soudan ou les tensions en Éthiopie, les dirigeants africains réunis à Davos ont clairement affiché leur souhait de ne pas s'étendre sur les problèmes du continent. C'est de business, de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf), le grand marché intérieur, dont ils voulaient parler, convaincus que le continent peut rebondir durablement, et ce malgré les problèmes sociaux, politiques et environnementaux. Pour le président ghanéen, Nana Akufo-Addo, « un des principaux défis pour atteindre les objectifs de développement en Afrique reste la capacité de mobiliser les ressources financières, étant donné que la plupart des économies africaines ont déjà des capacités fiscales limitées, le secteur privé jouera un rôle important », a-t-il insisté à Davos, au moment du lancement de l'initiative « timbuktoo », mis en place par le Programme de développement des Nations unies (Pnud) et dont Google est partenaire. L'objectif est d'investir 1 milliard d'euros de capitaux publics et privés en dix ans dans de jeunes pousses innovantes à travers huit pôles panafricains, parmi lesquels Dakar, Nairobi, ou Lagos. « Les jeunes pousses africaines manquent de capital pour être compétitives sur la scène mondiale », a déploré le président rwandais, Paul Kagame, qui a annoncé une contribution immédiate de 3 millions de dollars dans ce fonds qui sera hébergé à Kigali. En effet, d'après l'ONU, la plupart des capitaux injectés dans les start-up africaines proviennent de l'étranger, tandis que 83 % vont à des entreprises de quatre pays seulement : l'Égypte, le Kenya, le Nigeria et l'Afrique du Sud. L'idée avec timbuktoo est de mettre sur pied un modèle de financement du développement basé sur le partage des risques, parce que le véritable nœud du problème réside dans la mauvaise perception du risque africain. Pour les investisseurs, leur « prudence » se justifie par les problèmes de gouvernance et de corruption qui pénalisent de nombreux pays africains, la dépendance des économies aux matières premières, le manque de statistiques fiables, ou encore le ­retour sur investissements.

Microsoft atteint les 3.000 milliards de dollars en Bourse

By |January 25th, 2024|Categories: Scoop.it|

Toujours plus haut. Microsoft a touché ce mercredi les 3.000 milliards de dollars de capitalisation en séance à Wall Street, avant de clôturer juste en dessous de ce seuil. Le cours du créateur de Windows a bondi de plus de 7 % en janvier pour atteindre un record à plus de 400 dollars par action. Ce qui lui permet de rivaliser avec Apple, première société à avoir atteint cette valorisation symbolique l'an dernier. Les géants américains de la tech continuent de porter Wall Street à de nouveaux sommets depuis le début de l'année. Le Nasdaq 100 à forte coloration technologique et le S&P 500, plus large, ont tous deux inscrit de nouveaux records ces derniers jours après avoir progressé respectivement de 4 % et de 2 % en janvier. A lui seul, Microsoft représente plus de 7 % du S&P 500, tout comme Apple. Mais son cours a progressé bien plus rapidement en ce début 2024 que celui de la marque à la pomme  (+1 %), avec laquelle il est au coude-à-coude pour le titre de plus grande société cotée au monde . Partenariat avec OpenAI Microsoft a atteint les 1.000 milliards de dollars de capitalisation en 2019, avant de franchir les 2.000 milliards deux ans plus tard. Après avoir été porté par l'hégémonie de son système d'exploitation Windows sur les PC du monde entier, il a su continuer à se développer en pariant sur le jeu vidéo, avec sa console Xbox et l'acquisition récente d'Activision pour 69 milliards de dollars. Il a également tiré parti de l'essor de l'informatique dématérialisée (le « cloud »), son plus important moteur de croissance ces dernières années.

Technologie. Des chercheurs le confirment : les résultats de Google sont de pire en pire

By |January 25th, 2024|Categories: Scoop.it|

Vous avez l’impression que le moteur de recherche de Google est moins pertinent qu’avant ? Vous n’êtes probablement pas le seul, relève le site Mashable. “On assiste vraiment à une dégradation de la qualité des moteurs de recherche, qui sont en fait en train de perdre la bataille contre le contenu optimisé pour eux”, peut-on lire dans une étude menée par des chercheurs d’universités allemandes et rendue publique en amont de la 46e conférence européenne sur la recherche d’information, qui aura lieu au printemps, lors de laquelle elle sera présentée. Les chercheurs se sont intéressés à la façon dont les contenus dits “affiliés” touchent les résultats des moteurs de recherche Google, Bing et DuckDuckGo. L’affiliation est un outil marketing qui vise à promouvoir, par exemple, un produit ou une entreprise contre une rémunération. “Même si vous ne connaissez pas ce terme, vous en avez vu les effets”, assure Gizmodo.

Avoir des salariés reste globalement moins coûteux que de les remplacer par de l’IA

By |January 25th, 2024|Categories: Scoop.it|

Alors que les études alarmantes se multiplient prédisant le remplacement des humains par des robots dans de nombreux pans de l'économie, une analyse du MIT vient apporter un contrepoint intéressant. Pour l'heure, le bon vieux salarié reste moins cher qu'une intelligence artificielle, dans nombre de cas. C'est en tout cas la conclusion de cinq chercheurs du MIT (Massachusetts Institute of Technology), qui ont évalué les coûts comparés entre la machine et l'humain. Le bilan de l'étude est en tout cas relativement rassurant - ou tout du moins pas complètement affolant : « seulement » 23 % des collaborateurs - ou plus exactement de la rémunération des collaborateurs - peuvent être effectivement remplacés, aux Etats-Unis, compte tenu des coûts de l'IA. L'exemple d'une boulangerie Dans ce papier académique intitulé « Beyond AI exposure : Which taks are cost-effective to automate with computer vision », les chercheurs donnent un exemple très simple : une petite boulangerie. L'une des tâches des boulangers est de vérifier la qualité des ingrédients utilisés. Cette tâche représente environ 6 % du temps de travail d'un boulanger, soit, sur la base d'un salaire moyen, un coût d'environ 14.000 dollars par an. Le fait de remplacer ce processus par une sorte de robot doté d'une caméra - qui serait donc développé, déployé puis soumis à maintenance - serait, de fait, plus élevé. L'étude ne s'intéresse qu'aux tâches impliquant la vision et aux machines pouvant tirer des informations significatives d'images numériques ou de données visuelles (détection d'objets, aide à l'analyse de photos, etc.). LIRE AUSSI : L'intelligence artificielle touchera 60 % des emplois dans les économies avancées, selon le FMI ENQUETE - A Davos, l'intelligence artificielle s'impose au coeur des débats Les chercheurs rappellent toutefois que le risque de se voir « piquer » son job par des machines est un sentiment que l'on retrouve souvent en période d'innovation technologique. Et cette inquiétude est prégnante avec l'essor rapide de l'IA générative, depuis un peu plus d'un an, marqué par l'arrivée de ChatGPT. Plusieurs études ont été faites mais restent relativement imprécises, ne prenant pas en compte la faisabilité technique et le coût du remplacement d'humains par des robots. De fait, ils tentent de voir si l'IA peut être attractive d'un point de vue économique.

Netflix : le grand bond en avant

By |January 25th, 2024|Categories: Scoop.it|

Netflix a définitivement tourné la page de la crise. Il y a deux ans, le géant américain du streaming paraissait bloqué, en panne de croissance. Son nombre d'abonnés chutait pour la première fois de son histoire , et son action dégringolait à Wall Street. Mardi soir, l'entreprise a publié des résultats exceptionnels : la plateforme a ajouté 13,1 millions d'abonnés payants au dernier trimestre. Avec 260,3 millions d'abonnements dans le monde, « Netflix est clairement le roi des services de streaming », estime Paolo Pescatore, analyste et fondateur de PP Foresight. Ses revenus se sont établis à 8,8 milliards de dollars en trois mois, en hausse de 12,5 % sur un an. Son profit net s'est élevé à 938 millions, ce qui est légèrement inférieur à ses attentes. Mais Wall Street ne lui en a pas tenu rigueur : l'action Netflix décollait de plus de 8 % dans les échanges après la fermeture des marchés financiers. Stratégie payante Début 2022, tous les voyants étaient au rouge pour Netflix, après la croissance folle engrangée pendant la pandémie de Covid. Pour sortir de cette mauvaise passe, ses dirigeants ont fait deux choix décisifs : demander aux utilisateurs de payer s'ils veulent partager un compte au-delà de leur foyer, et introduire un nouveau type d'abonnement, moins cher et avec des publicités. LIRE AUSSI : DECRYPTAGE - Netflix lève le voile sur ses données de visionnage Cette stratégie a porté ses fruits. Depuis janvier 2022, la plateforme a ajouté près de 40 millions d'abonnés. Et le rythme de croissance s'accélère. Une performance d'autant plus remarquable que la plateforme vient d' augmenter ses prix . Les publicités constituent pour l'instant une petite partie des revenus de Netflix (qui ne révèle pas ces chiffres), mais ces ventes accélèrent fortement. Boom de la publicité L'année 2024 « promet d'être une année clé pour son activité publicitaire », note Paolo Pescatore, ajoutant que l'entreprise « commence à intensifier ses efforts » dans le domaine. Insider Intelligence estime que la publicité rapportera environ 1 milliard de dollars à Netflix cette année, en progression de 50 % sur un an. « La croissance [de nos revenus publicitaires] s'établit à 70 % au dernier trimestre. C'était 70 % au trimestre précédent, et 100 % au trimestre d'avant. Donc nous sommes sur une bonne trajectoire », a affirmé Greg Peters, co-PDG de Netflix, face à des analystes. « Nous avons 23 millions d'utilisateurs actifs mensuels, et nous pensons que cela continuera à croître dans les prochains trimestres. »

Aérien : 4 000 hôtesses et stewards attaquent Air France en justice

By |January 24th, 2024|Categories: Scoop.it|

Voilà une nouvelle épine dans le pied d’Air France et de sa direction, alors que le groupe remonte la pente après les années difficiles du Covid. Selon le média L’Informé, 4 000 hôtesses et stewards ont porté recours en indemnisation devant le conseil des prud’hommes de Bobigny (Seine-Saint-Denis) par des salariés d’Air France. Air France a déjà perdu en justice Un nombre impressionnant mais qui tient à la spécificité du droit français. En effet, l’action de groupe est impossible aux prud’hommes, en France. Il s’agit donc de 4 000 demandes identiques mais issues de personnels navigants (PNC) différents. Quand on sait que la compagnie tricolore emploie un peu plus de 13 000 PNC, on conçoit mieux l’ampleur de la gronde. Un mouvement qui n’est pas nouveau d’ailleurs. En 2020, sur le même sujet, l’Union des navigants de l’aviation civile (Unac) a gagné devant le tribunal judiciaire de Bobigny. Un jugement qui a été confirmé par un arrêt de la Cour d’appel de Paris en mars 2022. Alors, quel est le fond du problème ? Il faut remonter à 2013, au moment où le transporteur français a des finances presque sèches. Pour permette au groupe de survivre, les organisations syndicales acceptent alors le plan « Transform 2015 », qui implique notamment un gel des promotions pour 500 millions d’euros.  Juste un gain de temps ? A l’Informé, un syndicaliste explique que : « « Il était prévu dans l’accord de 2013 que les salariés récupèrent en 2016 l’échelon qu’ils auraient atteint sans le gel. Mais ce n’était pas l’analyse de la direction. Pour elle, il fallait repartir du niveau de 2013 et faire comme si on oubliait ces trois années de travail à Air France ». En 2020, la cour d’appel a ordonné à la compagnie de procéder au rattrapage salarial des salariés PNC. Mais en pleine crise du Covid, ce coût important pour la compagnie aérienne ne pouvait être supporté. Préférant jouer la montre judiciaire, elle s’est pourvue en cassation, le temps d’avoir les reins un peu plus solides. Les PNC d’Air France, eux, s’impatientent. Sans attendre l’arrêt de la haute juridiction prévu avant l’été prochain, selon l’Informé, les syndicats représentant les PNC d’Air France ont décidé d’obtenir réparation aux prud’hommes. Contacté, Air France – KLM a indiqué ne pas vouloir « commenter une procédure en cours ».

Kuo : Apple aurait déjà vendu entre 160 000 et 180 000 Vision Pro

By |January 23rd, 2024|Categories: Scoop.it|

Quelques jours après l’ouverture des précommandes du Vision Pro, le généralement bien renseigné Ming-Chi Kuo s’est laissé aller à une analyse des premiers chiffres. En se basant sur les stocks de précommandes et des délais d'expédition, il estime qu’Apple aurait vendu entre 160 000 et 180 000 casques au cours de ce premier week-end sur le marché. Comme on pouvait le prévoir, le casque était en rupture de stock peu après sa mise en vente, les délais d’expédition annoncés oscillants entre 5 et 7 semaines. Kuo note cependant que cette durée n’a pas bougé pendant 48 heures après la première vague d’achat suivant l’ouverture des précommandes. En comparaison, les délais d’expédition pour les iPhone continuent de s’allonger pendant 24 à 48 h après le top départ, ce qui traduit une demande consistante. Ici, les plus gros fans d’Apple se sont rués sur le Vision Pro, mais les commandes ne semblent pas s’accumuler passé ce premier cercle d’acheteurs. Kuo craint que la demande ne s’estompe rapidement une fois que les clients les plus fidèles auront tous mis la main sur leur modèle. En effet, Apple dispose d'une base de plus de 1,2 milliard d'utilisateurs actifs : Cupertino peut vider ses premiers stocks si 0,007 % d’entre eux achète un casque. « Pour l'instant, le Vision Pro reste donc un produit de niche », écrit Ming-Chi Kuo. Atteindre un volume d'expédition de 500 000 unités pour Vision Pro cette année ne devrait pas être un problème [pour Apple]. Toutefois, comme la demande diminue rapidement après la première vague de vente, il est essentiel de suivre de près la demande sur d'autres marchés et les mises à jour des applications afin d'évaluer les évolutions de la demande. Sur un autre registre, l’analyste rappelle que les partenaires de fabrication d’Apple comme Luxshare ont annoncé devoir faire des heures supplémentaires malgré l’approche du Nouvel An lunaire, ce que l'on pourrait interpréter comme une demande plus forte qu’espérée. Ming-Chi Kuo nuance cependant et estime que l’efficacité des chaînes de production d’Apple pourrait encore être améliorée. Il rappelle que Luxshare fait des heures supplémentaires depuis le début de la production de masse du casque.

Quelles sont les tendances et attentes des voyageurs en 2024 ? –

By |January 23rd, 2024|Categories: Scoop.it|

Selon la dernière étude de Sabre, les voyageurs planifient leurs voyages bien plus tôt que les années précédentes pour leurs loisirs. La moyenne est désormais de 3 mois à l’avance, soit une nette rupture avec les tendances passées qui étaient de quelques semaines depuis la crise du Covid-19. En revanche, chez les voyageurs d’affaires, la moyenne n’est que de deux ou quatre semaines. Et s’ils font preuve d’optimisme, leurs dépenses ne cessent également d’augmenter, notamment chez les voyageurs de la génération Z qui déclarent que leur budget devrait à nouveau être en hausse en 2024. En ce qui concerne leurs préférences et le parcours voyageurs, si la destination, les loisirs sur place et le coût restent des facteurs importants lors de la planification d’un voyage, l’aspect durabilité entre en considération pour beaucoup. 5% des voyageurs se disent prêts à souscrire à une option plus durable et 15% déclarent qu’ils seraient d’accord pour payer jusqu’à 15% supplémentaire afin de compenser leurs émissions carbone. La perte des bagages est la principale inquiétude des voyageurs Loisirs D’un point de vue logistique, la perte des bagages est ce qui inquiète le plus les répondants, d’où la nécessité de développer des solutions technologiques pour limiter les incidents liés aux bagages. Pour les voyageurs d’affaires, c’est la possibilité de pouvoir sélectionner son siège à bord qui prime afin de pouvoir sortir rapidement et de voyager confortablement. Des tendances qui, selon Sabre, démontrent que l’industrie doit répondre à de nombreux défis en 2024 en termes de distribution de contenus et que tenir les voyageurs informés tout au long de leur parcours est essentiel.  « Les agences de voyage et les hôtels peuvent exploiter ces tendances et adapter leurs offres en conséquence. Cette approche stratégique est essentielle pour suivre le rythme des préférences dynamiques des voyageurs d’aujourd’hui et pour s’assurer que l’industrie du voyage reste réactive aux demandes du marché », conclut Richard Addey directeur régional Europe de l’Ouest et Afrique chez Sabre.

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