3,5 % des Français ont déjà acheté des NFT
Au total, 3,5 % des Français ont déjà acheté des jetons non fongibles ou NFT et 8 % des cryptomonnaies comme le bitcoin, selon un sondage (1) de l'Ifop réalisé pour le compte de « Cointribune.com » en début d'année. En 2021, les recherches mondiales sur Google à propos des NFT avaient dépassé celle sur le Bitcoin, ce qui témoigne de l'intérêt pour ces actifs émis sur une blockchain comme Ethereum. Les NFT sont des certificats de propriété d'actifs numériques (oeuvres d'art, photos, vidéos, personnages de jeux , objets du métavers) ou réels (propriétés…). Faciles à acheter et à vendre, ils sont devenus très populaires sur les réseaux sociaux, notamment sous l'impulsion des influenceurs . Malgré cette surexposition, seulement 8 % des Français estiment avoir une connaissance précise des NFT contre 40 % pour les cryptomonnaies. Les trois quarts des personnes sondées ignorent tout des premiers, contre 18 % pour les secondes. Jeux, sports, métavers Les potentialités des NFT étaient connues des spécialistes dès l'origine du bitcoin et de l'ether il y a une dizaine d'années mais le grand public en a seulement pris conscience depuis 2020. Un jeune sur deux (18-24 ans) a entendu parler des NFT contre 20 % des plus de 35 ans. Les NFT sont de plus en plus répandus dans les univers des jeux ( Sorare ), du sport et du métavers , avec lesquels les jeunes sont plus familiers que leurs aînés. Or, une meilleure connaissance facilite l'achat. 13 % des personnes qui estiment appréhender plus ou moins bien ces actifs y ont déjà investi et 19 % envisagent de le faire.
Metaverse, France Télévisions dégaine la première.
La Direction de l’Innovation du Numérique de France Télévisions a donc annoncé cette semaine le lancement, conjoint avec la direction des sports, d’un premier test d’ESI – Espace Social Immersif – dédié au sport et à l’univers de Stade 2. Cet espace, qui sera disponible gratuitement sur casque de réalité virtuelle et sur PC via la plateforme VR sociale VRChat, permettra de visiter, avec ses amis, sous forme d’avatar, le studio virtuel de Stade 2 dans un décor hivernal. Il permettra également de participer à des activités sportives virtuelles et ludiques, sur la thématique des JO de Pékin 2022, telles que des courses de ski, des descentes en bobsleigh, des tirs à la Carabine – en lien avec le biathlon – ou des chasses au trésor. « A travers cette expérience, la direction des sports de France Télévisions est heureuse de poursuivre sa politique d’innovation. Cette initiative nous permet de proposer une première expérience concrète dans le Metaverse qui sera riche d’enseignements pour concevoir les contenus sportifs du futur », expliquait Laurent-Eric Le Lay, directeur des sports. Une expérimentation assumée comme telle Ce premier test, centré autour de composantes sociales et immersives, a pour vocation d’imaginer ce que pourrait être la place d’un diffuseur au sein du futur metaverse. En utilisant des technologies actuelles et accessibles à tous, il doit permettre de mesurer l’appétence du public français pour ces nouveaux formats afin d’orienter notre offre de contenus numériques. Compte tenu de toutes les contraintes du streaming en temps réel et des performances limitées des casques autonomes, cela représente un défi technique pour permettre l’accès au plus grand nombre, alors que les infrastructures préfigurant les futurs metaverses en sont encore à leurs balbutiements. C’est également l’occasion pour France Télévisions de tester de nouveaux modes de production 100 % numériques et de nouveaux formats d’émissions au sein d’un monde virtuel pour toucher de nouveaux publics plus jeunes en utilisant les codes et les graphismes du gaming. Ce monde a été développé par la société VRrOOm avec France Télévisions en intégrant le studio virtuel de Stade 2 utilisé à l’antenne, conçu par la cellule GTR – la Cellule Graphismes Temps Réel – de FTV. Il est disponible sur la plateforme VRChat depuis le 7 février en renseignant les mots clés « Stade 2 ». FTV rappelle que cet ESI pourra évoluer, en fonction de l’intérêt et des retours des publics, en lien avec l’agenda sportif et culturel de l’année.
Luxe : LVMH avance vers la vente en one-to-one en vidéo streaming
A l’heure où Carrefour lance une plateforme de Live Shopping avec le média Brut, le groupe de luxe LVMH signe un accord cadre avec la startup Bambuser, pour un usage de ses solutions de communication et de vente en direct en ‘one-to-one’ en vidéo via internet. Cet accord étend l’accord précédent qui concernait l’usage de la solution de Bambuser pour la vente en Live Shopping, en ‘one-to-many’, en vidéo streaming sur internet. Les solutions de vidéo en direct One-to-One proposent aux détaillants que leurs employés puissent s’engager dans des appels vidéo bidirectionnels avec les clients pour accompagner des achats personnels, assurer le service client, l’après-vente ou des consultations. On trouve ce genre de service chez Fnac Darty où le service dope le taux de conversion des ventes en e-commerce ou chez Clarins. La solution de Bambuser peut s’intégrer aux systèmes de relation client (CRM) et de réservation et comprend l’affichage et la comparaison des produits afin de faciliter des expériences d’achat transparentes et guidées.
Apple veut remplacer les terminaux de paiement avec sa solution Tap to Pay sur iPhone
Apple propose aux commerçants d’accepter les paiements sans contact avec sa solution Tap to Pay sur iPhone. L’iPhone devient un lecteur de carte bancaire sans contact et de portefeuille électronique sur mobile. La solution sera employée dans les magasins Apple aux Etats-Unis. Acceptation des paiements sans contact chez les commerçants Cette année, les commerçants américains pourront accepter les paiements sans contact Apple Pay et d’autres paiements sans contact en se servant de leur iPhone et d’une application iOS compatible. Outre Apple Pay, l’iPhone servira à accepter les cartes de crédit et de débit sans contact et d’autres portefeuilles numériques. Apple vise des millions de commerçants aux Etats-Unis, depuis les petits commerces jusqu’aux grands détaillants. La solution de paiement Stripe sera la première plateforme de paiement à proposer Tap to Pay sur iPhone à ses clients professionnels, y compris l’application Shopify Point of Sale ce printemps. D’autres plates-formes et applications de paiement suivront plus tard cette année. Le paiement sera effectué sans contact à l’aide de la technologie NFC. Apple Pay est déjà accepté par plus de 90 % des détaillants américains explique Apple, et grâce à cette nouvelle fonctionnalité, pratiquement toutes les entreprises, grandes ou petites, pourront autoriser leurs clients à payer sur iPhone à la caisse. Apple ne sait pas ce qui est acheté ni qui l’achète Toutes les transactions effectuées à l’aide de Tap to Pay sur iPhone sont cryptées et traitées à l’aide de Secure Element, et Apple ne sait pas ce qui est acheté ni qui l’achète. Tap to Pay sur iPhone fonctionnera avec les cartes de crédit et de débit sans contact des principaux réseaux de paiement, notamment American Express, Discover, Mastercard et Visa. « Que vous soyez un détaillant en ligne ou un entrepreneur individuel, vous pourrez bientôt accepter les paiements sans contact sur votre iPhone » reprend Billy Alvarado, directeur commercial de Stripe. Tap to Pay sur iPhone sera disponible pour les plates-formes de paiement participantes et les développeurs d’applications via le kit de développement logiciel (SDK) dans une prochaine version bêta du logiciel iOS.
Meta se dit toujours prêt à interrompre Facebook et Instagram en Europe à cause du RGPD
Le rapport annuel de Meta, maison mère de Facebook, Instagram et WhatsApp, rappelle que le groupe pourrait interrompre ses services en Europe s’il ne peut pas continuer à transférer les données de ses utilisateurs européens vers ses serveurs situés aux Etats-Unis. Une possibilité d’arrêt des activités déjà évoquée en 2020 Cette possibilité d’arrêt des services avait déjà été évoquée en septembre 2020 lors de l’annonce de la fin du Privacy Shield à la suite de l’action en justice du juriste autrichien Max Schrems. A l’époque, Facebook s’était vu demandé de stopper ses transferts de données qui utilisent le cadre juridique des clauses contractuelles standard (SCC Standard Contractuel Clauses). Meta est désormais dans l’attente d’une décision des autorités. « Nous pensons qu’une décision finale dans cette enquête pourrait être rendue dès le premier semestre 2022 » écrit Meta dans son nouveau rapport annuel. Dès lors, Meta déclare qu’il devrait probablement stopper ses services tels que Facebook ou Instagram s’il n’est pas autorisé à transférer des données depuis l’Europe vers les Etats-Unis, ceci si un nouveau cadre transatlantique de transfert de données n’est pas adopté et qu’il n’est pas en mesure de continuer à compter sur les clauses SCC ou sur d’autres moyens alternatifs de transfert de données. Meta n’a pas de désir ni de plan pour interrompre ses services Cette description de l’interruption potentielle de ses services en Europe a été largement relativisée par Meta. Via différents porte-paroles en France ou aux Etats-Unis, Meta indique ne pas avoir de désir ni de plans pour stopper ses activités en Europe. Le site financier CityAM, cite en outre Nick Clegg, Vice Président Global Affairs and Communications de Meta qui pour sa part veut démontrer que Meta n’est pas seul concerné par l’absence d’un cadre réglementaire applicable sur les transferts de données entre l’Europe et les autres pays. « Dans le pire des cas, cela pourrait signifier qu’une petite start-up technologique en Allemagne ne serait plus en mesure d’utiliser un fournisseur de Cloud basé aux États-Unis » illustre-t-il. « Une société espagnole de développement de produits ne pourrait plus être en mesure de gérer une opération sur plusieurs fuseaux horaires. Un commerçant français peut découvrir qu’il ne peut plus maintenir un centre d’appels au Maroc » a-t-il ajouté. Meta a perdu 30% de sa valeur en bourse en quelques jours Côté Europe, on indique être toujours en négociation pour fixer un nouveau cadre d’échange de données avec les Etats-Unis. Quoiqu’il en soit, on voit mal Meta quitter l’Europe, qui rien qu’avec Facebook réunit 309 millions d’utilisateurs quotidiens. Côté moyens de pression possible, Meta dispose notamment de l’arme de l’emploi. Le réseau social avait annoncé en octobre 2021 vouloir recruter 10 000 personnes sur 5 ans en Europe.
Pour lutter contre le surtourisme, les territoires adoptent le démarketing
La crise sanitaire a-t-elle poussé les territoires à adopter le démarketing ? De nouveaux comportements sont apparus avec la crise sanitaire. Les Français, ne pouvant se déplacer que dans l’Hexagone, se sont rendus dans des espaces qu’ils pensaient peu fréquentés. Sauf que tout le monde a eu la même idée en même temps. Je l’ai vu moi-même en Auvergne, où les collectivités se sont vite retrouvées dépassées par l’affluence. Certains territoires ne sont pas prêts pour accueillir autant de gens à la fois. Et lorsqu’il n’existe pas de dispositif pour encadrer ce flux, il y a des répercussion sur l’environnement et les habitants. Depuis peu, les citoyens et les protecteurs de la nature font pression auprès des acteurs économiques du Tourisme, à l’origine des campagnes marketing, pour réduire la fréquentation et engager des campagnes de démarketing. Les habitants de Venise ou de Barcelone se sont vivement impliqués par exemple, ce qui a permis de mettre en place des mesures. Lorsque la population locale devient hostile envers les touristes, cela crée des conflits importants. La ville d’Amsterdam l’a compris et a décidé d’intégrer les habitants dans sa réflexion touristique. C’est pourquoi les coffee shops et le quartier rouge pourraient bientôt être interdits aux étrangers.
Meta menace de fermer Facebook et Instagram en Europe
C'est une simple phrase, enfouie dans un dense rapport de 134 pages. Mais elle est lourde de menace. Dans ce rapport envoyé à l'US Securities and Exchange Commission (SEC), le groupe Meta prévient qu'il pourrait bientôt fermer ses deux réseaux sociaux, Facebook et Instagram, en Europe. En cause, la réglementation européenne sur les données qui empêche le groupe de Mark Zuckerberg de gérer les données des Européens sur les serveurs américains. Concrètement, Meta affirme que la capacité de transférer les données des utilisateurs entre les pays est cruciale à son activité, à la fois sur le plan opérationnel et pour le ciblage publicitaire. « Si un nouveau cadre de transfert de données transatlantique n'est pas adopté […], nous ne serons probablement pas en mesure d'offrir un certain nombre de nos produits et services les plus importants, y compris Facebook et Instagram, en Europe », écrit ainsi l'entreprise de Menlo Park. Cette fermeture « aurait une incidence importante et défavorable sur nos activités, notre situation financière et nos résultats d'exploitation », ajoute-t-elle. La suite de l'invalidation du Privacy Shield Pour mémoire, en août dernier, la maison-mère de Facebook a reçu « une ordonnance préliminaire de suspension des transferts de données vers les Etats-Unis concernant ses utilisateurs européens » de la part de la Commission irlandaise de protection des données. Cette décision de la « CNIL irlandaise » (qui s'est saisie de ce dossier car le réseau social a basé son siège européen en République d'Irlande) faisait suite à l'invalidation du Privacy Shield par la justice européenne en juillet 2020. Négocié entre 2015 et 2016, le Privacy Shield est un accord qui facilitait le transfert de données entre l'UE et les Etats-Unis, en reconnaissant que la législation américaine offrait les mêmes garanties que le droit européen. Mais finalement, les juges européens ont estimé que les lois américaines, notamment celles sur la surveillance des communications électroniques qui accordent des pouvoirs très larges à la NSA, ne garantissent pas aux citoyens européens une protection équivalente à celles dont ils jouissent en Europe dans le cadre du RGPD (le règlement général sur la protection des données personnelles, entré en vigueur en 2018).
Meta-backed cryptocurrency Diem to shut down after regulators blocked
After multiple rebrands, congressional hearings, and several high-profile staff departures, the Meta-backed cryptocurrency known as Diem is calling it quits. The association behind Diem confirmed Monday that it sold its assets for around $200 million to Silvergate, a crypto-focused bank it was working with last year to launch a stablecoin pegged to the U.S. dollar. The decision to sell was made after it “became clear from our dialogue with federal regulators that the project could not move ahead,” Diem CEO Stuart Levey said in a press release. (It’s already known that the U.S. Federal Reserve was a key opponent to Diem launching.) THE SALE OF DIEM’S ASSETS MARKS THE END OF AN EFFORT THAT, IN RETROSPECT, WAS DOOMED FROM THE START. The sale of Diem’s assets marks the end of an effort that, in retrospect, was doomed from the start. Facebook, which now goes by Meta, created the apps that would have been the main way people used the token. So even though Facebook formed the Libra Association to govern the token with other companies, people were immediately fearful that Libra would make the controversial tech giant even more powerful. Plus, members of the Libra Association started to drop out, just months after the group had been announced. Libra also burst onto the scene when stablecoins, which are designed to hold a set price to encourage regular transactions, were a relatively new idea and not closely scrutinized by regulators. Given how big the stablecoin market has become since 2019, governments around the world are starting to take notice and look at legislation. In November, the US Treasury said it thought stablecoins should be regulated as banks. And Barron’s recently reported that the White House is planning to direct federal agencies to regulate cryptocurrencies as a matter of national security. While Meta’s ties to Diem are over, there’s always the chance that Silvergate or another player revives the project. Even though Meta’s reputation ultimately sank it, the design of Diem was more transparent and regulator-friendly than a lot of existing stablecoins. But with nearly all of Libra founding team gone from Meta, the odds of Diem ever reemerging with the same level of backing it once had feel slim. It’s clear that at least some of the original leaders of Libra feel burned by how the project was politicized. David Marcus, the former Facebook executive who created Libra and left late last year, tweeted the following about Diem shutting down: A silver lining to Diem’s demise is that Meta has promised to not enforce its trove of cryptocurrency patents against other crypto developers — something that even Jack Dorsey thinks is a good idea.
Battery-Powered Trains Are Picking Up Speed | WIRED
Now, battery power is coming to trains, in place of the diesel-fueled generators that have powered locomotives for more than a century. Last week, Union Pacific Railroad agreed to buy 20 battery electric freight locomotives from Wabtec and Progress Rail. The deal, which drew praise from President Biden, is worth more than $100 million. The battery electric locomotives initially will be used to sort train cars in rail yards in California and Nebraska. Battery electric locomotives have already begun rolling on California tracks. As part of a demonstration with the Pacific Harbor Line, Progress Rail, a Caterpillar company, began operating battery electric locomotives in the ports of Los Angeles and Long Beach late last year. Also last year, Wabtec tested its FLXdrive locomotives on 18 trips between Barstow and Stockton, California, under a $22 million grant from the California Air Resources Board. The battery electric locomotive sat between two traditional diesel locomotives, pulling as much as 430,000 pounds. Wabtec CTO Eric Gebhardt says the combination saved an average of 11 percent on fuel and emissions. Wabtec says its next-generation battery locomotive will nearly triple its energy storage capacity to 7 megawatt-hours, nearly 100 times the capacity of a Tesla Model 3. That could cut emissions by up to 30 percent, Gebhardt says. Switching to battery electric power will reduce greenhouse gas emissions and improve local air quality. Diesel locomotives spew particulate matter and other toxic pollutants, accounting for an estimated 1,000 premature deaths and $6.5 billion in health costs a year in the US. A spokesperson for the California Air Resources Board says replacing diesel locomotives will “undoubtedly have a positive health impact to nearby communities” and will represent “a step forward in the long-standing environmental justice concerns of communities living near rail yards in our state.” Last fall, researchers from Lawrence Berkeley National Laboratory and UCLA’s Institute of the Environment and Sustainability predicted that retrofitting traditional diesel locomotives with battery power could save railroads $94 billion in fuel costs over 20 years, after buying the batteries, and would keep tons of pollutants out of the air. Trains in the US are especially well-suited for retrofitting with battery power because most locomotives use a diesel generator but have electric motors.
GDPR : L’hospitalité des marques fait loi en Europe.
Selon une étude récente de la Commission Européenne(3), 72% des Européens s’inquiètent en effet de laisser trop de données personnelles aux entreprises, souvent à leur insu, et surtout de ne pas en recevoir de réelle contrepartie. D’ailleurs, la connaissance plus précise du client semble ne faciliter en rien la capacité de l’entreprise à mieux cibler ses offres : selon tous les indicateurs(4), le taux d’ouverture des mails diminue alors que les désabonnements (opt-out) augmentent, ce qui fragilise largement la rentabilité des investissements lourds consentis dans le CRM.
Accueillir un consommateur “libre” est sans doute une perspective qui effraie bon nombre de marques, tant elle ont été construites sur la notion d’un marketing manipulateur et insidieux, capable d’influencer jusqu’aux émotions pour enfermer les clients dans un tunnel de vente dont la seule issue est l’achat du produit. Avec la GDPR, ce n’est plus le produit qu’il va falloir vendre, c’est la marque qui doit apprendre à se faire acheter. Et pour cela, il va falloir qu’elle se montre hospitalière vis à vis de ses clients : bienveillante, humaine et proche.
Ce serait peine perdue pour les marques que de se contenter de « mettre en conformité » leur bases de données tout en espérant garder les mêmes pratiques relationnelles. Car la GDPR est d’abord une invitation à renverser ses pratiques relationnelles pour faire montre d’hospitalité vis à vis de ses clients ; et c’est ce renversement d’attitude qui est lui même porteur de croissance pour les marques. Avec la GDPR, l’hospitalité ouvre pour les marques de nouvelles perspectives de croissance.