The 2022 Agenda: It’s time for purpose 2.0
The purpose debate reached new heights this year when effectiveness expert and consultant Peter Field unveiled new research, which found well-executed brand purpose campaigns can drive above average business effects for brands compared to non-purpose cases. At the time Field noted there had been an “awful lot of vitriolic criticism” of purpose in marketing that is not entirely justified. Criticism then headed Field’s way, with Professor Byron Sharp, Marketing Week columnist Mark Ritson, and Richard Shotton, founder of behavioural science consultancy Astroten, all branding the research flawed. Critics dismissed the credibility of the research as it compares “strong” purpose campaigns with both weak and strong non-purpose campaigns combined. In response to the criticism, Field told Marketing Week: “It was perhaps inevitable that any study that dared to question the vocal criticism of brand purpose would provoke a hysterical response: positions had already been publicly stated and minds already made up. So I was expecting it and indeed predicted it – but what I wasn’t expecting was that some responses would be delivered before the presentation had even been made or the full findings revealed. But, clearly, for many people, this is an emotional issue, not a rational one.” FMCG giant Unilever is a long-time advocate of purpose and recently highlighted how having purpose at its core has helped it attract great talent. It also puts the success of brands such as Lifebuoy – €1bn brand and the “third most consumed brand in the world” – according to Unilever, squarely on the fact it is rooted in purpose. The key to successfully augmenting purpose, to Unilever at least, is to have it right at the core of an organisation with everyone from the C-suite down completely onboard. Purpose should also be about more than a box-ticking exercise or a chance to talk to consumers about the causes a brand supports or its stand on societal issues. It should be about the role a brand plays in people’s lives and why that matters. NatWest illustrated that earlier this year with the launch of its ‘Tomorrow Begins Today’ campaign, through which it aims to help customers can take control of their finances. With arguments for and against, it’s likely the purpose debate will become even more polarised in 2022.
Au Rwanda, les motos-taxis à la pointe de la conversion à l’électrique
"La raison pour laquelle je suis passé à une moto électrique, c'est parce que je voulais m'éviter les coûts d'essence, qui ne cessent d'augmenter, et aussi le coût d'aller tout le temps au garage pour l'entretien", explique à l'AFP cet homme de 37 ans. L'entreprise qui a transformé son engin, Rwanda Electric Motors Ltd, a jusqu'à présent converti environ 80 motos-taxis - le moyen de transport public le plus répandu dans la capitale Kigali - et développé 200 autres motos électriques flambant neuves. Le projet, financé par le gouvernement rwandais et le Programme des Nations Unies pour le développement (Pnud), fait partie d'une campagne nationale ambitieuse visant à réduire les émissions de dioxyde de carbone de 16% d'ici 2030, puis d'atteindre 38% de baisse à la fin de la décennie suivante.
How Dove redefined beauty for the pandemic
At the start of 2020, Dove committed $7.5m to support healthcare workers all over the world. It kickstarted its mission to redefine beauty amid a global crisis that had changed the world overnight. The Unilever brand, known for its ‘Real Beauty’ ethos, drew inspiration from the front-line workers sharing pictures on social media of them wearing their protective masks on top of bruised and exhausted faces. The brand believed these images were bringing the reality of the pandemic to life in a way government messaging wasn’t. Hoping to capture the zeitgeist of the pandemic while staying true to its purpose, Dove launched its ‘Courage is Beautiful’ campaign featuring genuine photos of frontline workers to thank them for their work and draw attention to their messages. The campaign, created in partnership with Ogilvy UK, launched on major TV networks, YouTube, Twitter, Facebook and Instagram within six days, including a range of different length films for social. Dove also turned its film and photographic content into shareable assets in a bid to amplify the campaign through influencer reach. By collecting data on key workers’ shift patterns and commute times, Dove was able to find the best times to reach key workers with the campaign, broadcasting ads on digital out-of-home sites, programming billboards and bus shelters between shifts. The campaign, which saw Dove win the 2021 Marketing Week Masters Award for Brand Purpose, generated over 2 billion global impressions and achieved unprecedented engagement rates for Dove – up 349% on Facebook, 1,599% on Twitter and 300% on Instagram. The 30-second film on Twitter set a record engagement rate for Dove, up 2,601%, with the brand achieving 99% positive sentiment in social media overall.
Trains de nuit : le confort, clé de la conquête de la clientèle d’affaires
Jean-Baptiste Djebbari veut aller plus loin : « Je souhaite que nous ayons une dizaine de lignes nationales de train de nuit à l’horizon 2030″, a indiqué le ministre délégué aux Transports ce dimanche soir, gare de Paris-Austerlitz, dans le cadre de la relance des deux dessertes de train de nuit hexagonales. Sont évoquées plusieurs lignes reliant Paris à Aurillac, Perpignan (et au delà Barcelone), Toulouse, Montpellier ou Marseille, la prolongation de la ligne de Rodez jusqu’à Albi, ainsi que des transversales telle Bordeaux-Nice. Le ministre a également indiqué qu’il travaillait au lancement début 2022 d’un appel à manifestation d’intérêt pour multiplier les lignes au niveau européen. « Mon ambition, c’est que des trains de nuit relient Paris aux capitales européennes : Madrid, Rome, Copenhague, peut-être même Stockholm« , a-t-il précisé, signalant également l’existence d’un projet de ligne reliant Strasbourg et Luxembourg à Barcelone. Le renouvellement du matériel va de pair avec la relance des trains de nuit. D’autant que le confort est primordial pour attirer la clientèle d’affaires. Sur le Paris-Vienne, pas de souci : les rames Nightjet (Siemens) offrent un bon niveau de confort, avec trois classes, l’une avec place assise dans un compartiment, les deux autres avec cabines dont l’une avec couchette et l’autre qualifiée de « premium », privatisable (single, double ou triple), avec linge de lit, possibilité de repas à la place, douches et toilettes à l’intérieur des cabines… En France, le gouvernement avait déjà dégagé l’an dernier une enveloppe de 100 millions d’euros pour améliorer l’offre, dans le cadre du Plan France Relance annoncé par le gouvernement en septembre 2020. Sur Paris-Nice sont ainsi positionnées d’anciennes rames wagon-lits, sauvées de la casse, complètement désossées et remises à neuf. La modernisation des voitures passe par l’ajout du wifi et de prises électriques individuelles dans les compartiments, par des sièges et couchettes plus confortables, une climatisation performante et une meilleure insonorisation. Toutes ces améliorations manquent évidemment dans les rames Corail remises en service sur les autres axes, avec ses compartiments pour six personnes qui ne répondent pas aux besoins d’une clientèle un tant soit peu exigeante. « Je compte faire en sorte qu’un nouveau matériel roulant soit développé (…), livré entre 2025 et 2030« , a poursuivi Jean-Baptiste Djebbari, annonçant un investissement d' »au moins 800 millions d’euros » pour acquérir quelque 300 voitures, une trentaine de locomotives et deux ateliers de maintenance. Difficile néanmoins d’anticiper sur les évolutions de la demande et des comportements futurs sur plusieurs années. Avec la libéralisation du rail européen vont se multiplier les offres concurrentes sur le TGV. A ce titre, on peut questionner l’approche de la compagnie italienne Trenitalia, laquelle lance samedi prochain sa ligne à grande vitesse Paris-Milan… six mois après que sa filiale Thello ait stoppé son desserte nocturne Paris-Venise…
La blockchain testée pour sécuriser la recharge des véhicules électriques à grande échelle
A l’heure du développement du véhicule électrique, un des enjeux concerne l’accès aux bornes de recharge. La startup nantaise Sparklin propose une prise présentée comme une solution alternative aux recharges rapides, et qui répond aussi aux besoins de déploiement massif d’infrastructures de charge de véhicules électriques. Un test dans une trentaine de sites en Pays de Loire La prise connectée de Sparklin est actuellement en test dans une trentaine de sites de la région des Pays de la Loire, et devrait être commercialisée début 2022. Cette prise électrique permet de recharger les batteries de véhicules électriques ou hybrides aussi divers que des gyropodes, vélos, trottinettes, scooters ou voitures. L’offre Sparklin est moins coûteuse qu’un équipement de charge rapide. Elle vise les emplacements où les stationnements sont de longue durée. La prise de Sparklin est connectable en wifi, 4G et bluetooth. Elle sera commercialisée auprès des opérateurs de mobilité et de grandes entreprises disposant de parcs de places de parking à exploiter. Dans une stratégie directe aux utilisateurs finaux, en « B to C », elle sera aussi proposée aux particuliers, aux syndics de copropriétés, aux entreprises, aux campings, hôtels, restaurants et aux gestionnaires de logements en location de type Airbnb. La blockchain pour un usage partagé et sécurisé En plus de cette prise de 3,7 kWh, la société Sparklin a développé l’application Sparklin App qui permet d’identifier l’utilisateur et de suivre l’évolution de sa consommation. Elle utilise la technologie blockchain de la société nantaise Emblock qui assure la traçabilité nécessaire et sécurisée à un usage partagé de la prise de recharge Spark 1.
Lydia simplifie l’investissement dans les actions et les crypto-monnaies
La Fintech Bitpanda permet d’investir en actions, en crypto-monnaies, sur des entreprises américaines stars comme Tesla, Apple, Google ou Netflix, McDonald’s et des sociétés européennes (SAP, Deutsche Telekom, Adidas, …) et dans le CAC 40 (Carrefour, LVMH, BNP Paribas, Cap Gemini, L’Oréal, Michelin, …). Bitpanda agréé auprès de l’Autorité des Marchés financiers Bitpanda est un prestataire de services sur actifs numériques (PSAN) agréé depuis la fin 2020 par l’Autorité des Marchés Financiers française. Côté crypto-actifs, Bitpanda propose l’achat de Bitcoin, d’Ethereum, de Polkadot ou de ses propres jetons numériques (Best ou Bitpanda Ecosystem Token). Les utilisateurs peuvent directement utiliser l’argent de leur compte Lydia, il est également possible de retirer l’argent instantanément. Bitpanda emploie 600 personnes et annonce 3 millions d’utilisateurs. C’est une nouvelle étape pour l’application Lydia lancée en 2013 avec l’objectif de remplacer l’argent liquide. Depuis 1 an, Lydia s’étoffe de nouvelles fonctionnalités. En juillet 2020, Lydia avait ajouté la possibilité d’obtenir un crédit à la consommation grâce à un partenariat avec Younited Credit. L’offre « Petit Prêt Express » vise à régler des dépenses en équipement, voyage, voire l’achat de petits véhicules d’occasion. Fin 2020, Lydia montait en puissance en proposant un véritable compte courant, associant un numéro d’identifiant de compte bancaire IBAN (International Bank Account Number) français et une carte bancaire Visa ainsi qu’une possibilité de paiement en plusieurs fois avec la fonction « Acheter maintenant et payer plus tard ». Lydia est en croissance rapide et revendique 5,5 millions d’utilisateurs en cette fin d’année 2021 contre 3,5 millions en juillet 2020. Lydia a été créée à Paris par Antoine Porte et Cyril Chiche. La Fintech a depuis levé un total de 135 millions d’euros auprès d’investisseurs tels que Accel, Tencent, XAnge, New Alpha, groupe Duval et Founders Future. La jeune société emploie 150 personnes et fait partie du Next40, label créé par le gouvernement français afin de soutenir 40 jeunes entreprises considérées comme susceptibles de devenir des leaders.
Adrien Aumont : il faut une « génération Midnight Trains, comme il y a eu celle d’Easyjet »
Avec Romain Payet, Adrien Aumont est le cofondateur de Midnight Trains. Une entreprise française qui a pour ambition de se lancer sur le marché du train de nuit dès 2024, « dans le sud de l’Europe, en Italie et en Espagne ». Cette aventure entrepreneuriale est née d’une contrainte. « Tout part d’une histoire personnelle, explique Adrien Aumont, également cofondateur du site KissKissBankBank. Ma compagne avait décidé de ne plus jamais monter dans un avion. Les voyages en Europe sont devenus compliqués. J’ai donc essayé de comprendre quel autre moyen de transport permettrait de faire du moyen-courrier. » Après quelques recherches, le train de nuit apparaît « comme le meilleur moyen puisqu’il permet de gagner du temps sur la nuit. C’est une sorte de téléportation». Crédit : Midnight Trains. Le problème c’est bien sûr de se positionner face à la concurrence qui, elle aussi, a bien compris le potentiel du marché du train de nuit. A commencer par la SNCF en France. « Le train de nuit n’est pas quelques chose de nouveau puisqu’il existait déjà il y a un siècle. Il faut juste réinventer le produit pour lui donner un siècle de plus. » A l’époque, celui qui a quitté les bancs de l’école à 14 ans pour privilégier son amour pour le cinéma a déjà bien des idées en tête. « Il faut redéfinir les standards du train de nuit. Globalement, faire mieux qu’ÖBB (l’entreprise autrichienne, véritable pionnière dans le domaine NDLR), mais en moins cher. » Et avec Romain Payet, il choisissent de se positionner sur « du haut de gamme abordable. On a le souhait de faire un produit plutôt cool. Pas de smoking, de la bière artisanale et du vin naturel. Les trois maîtres mots pour que nos trains de nuit fonctionnent doivent être intimité, convivialité et une surcouche digitale très forte ». Midnight Trains veut renouveler les trains de nuit Adrien Aumont le sait, son produit sera forcément un peu plus cher que l’aérien, qui désormais, avec les low cost, pratique des tarifs souvent imbattables sur les longues distances. « Le train de nuit est plus cher mais le choix du transport ne doit pas être ‘drivé’ par le prix, l’expérience doit primer. Quand vous avez un coût de revient élevé, vous ne pouvez pas le revendre a un prix ‘peu’ cher. Cela nous oblige à produire de la qualité. Et si on ne le fait pas, on ne renouvellera pas le train de nuit. » Crédit : Midnight Trains. L’entrepreneur tient à rappeler que la compétition n’est pas seulement sur le prix du billet mais sur l’ensemble du voyage en avion. « Quand on prend l’avion il faut ajouter, le taxi depuis l’aéroport, voire un nuit d’hôtel et un dîner. » Il souhaite désormais qu’émerge une « génération Midnight Trains comme il y a eu une génération Easyjet ». Le train de nuit, il en est persuadé, a un impact positif sur l‘environnement. « En tant qu’entrepreneur nous avons une obligation d’impact. Les jeunes génération nous appellent. » Midnight Trains peut déjà s’enorgueillir d’une signature de partenariat avec le grosse TMC Travel Perk. « Nous sommes très fiers de signer avec eux. Ils nous prennent sous leur aile. » Aujourd’hui, l’entreprise reste encore au stade d’embryon. Les deux cofondateurs ont rencontré des experts, se sont entourés de consultants et de financiers pour les acquisitions de nouvelles rames. Leur directeur des opérations ferroviaires arrive en janvier. L’acquisition des rames se fera en leasing appelé « rosco » dans le ferroviaire. Pour un départ depuis Paris dès 2024.
Tesla : Taxis G7 suspend sa flotte de Model 3 après un grave accident à Paris
A la suite d'un terrible accident ayant occasionné un mort et 20 blessés dont trois graves samedi 11 décembre dans le 13e arrondissement de Paris, la compagnie de taxis G7 a décidé de suspendre sa flotte de Tesla Model 3, en attendant les résultats de l'enquête. Le chauffeur du véhicule, qui n'était pas en service à ce moment-là, a perdu le contrôle de son véhicule et percuté des piétons et d'autres véhicules, provoquant des chocs d'une extrême violence. « Une enquête a été ouverte par les forces de l'ordre, et nous nous y fierons », explique Yann Ricordel, directeur général délégué de G7. « En attendant, au vu des premières informations que nous avons recueillies comme nous le faisons sur chaque accident grave, nous avons préféré agir en responsabilité pour protéger nos chauffeurs, nos passagers et les autres usagers de la route. »
Cryptocurrencies a ‘red alert’ priority for ASA amid crackdown
Six cryptocurrency platforms, alongside pizza brand Papa John’s, have had adverts banned by the Advertising Standards Authority (ASA) for “taking advantage of consumers’ inexperience” in digital currencies. The crypto platforms under fire from the regulator are eToro, Coinbase, CoinBurp, Payward, Exmo Exchange and Luno Money, all of which were also accused of failing to “illustrate the risk of investment” in cryptocurrencies. Papa John’s was censured for a promotion running on its website and Twitter account promoting the brand’s partnership with crypto exchange Luno. The ads on the Papa John’s website read “Free Bitcoin worth £10″, while on Twitter the brand offered “Free Bitcoin worth £10” for every pizza bought via its ‘£15 off when you spend £30’ promotion. Despite not attempting to get consumers to invest, a stipulation of the promotion was customers had to open a Luno account. The ASA ruled that customers who engaged in a promotion linked to buying pizza were likely to be inexperienced in their understanding of cryptocurrencies and the inherent risks. The regulator noted the adverts also contained no risk warnings about cryptocurrency.