Egencia propose désormais une alternative “rail” aux vols court-courrier
L’outil Egencia affiche désormais l’alternative ferroviaire pour les trajets aériens court courrier. D’après nos confrères de Business Travel News, le « Air-Rail display » d’Egencia alerte les voyageurs qui réservent un vol lorsqu’un service ferroviaire couvre le même trajet – très vraisemblablement aves une empreinte carbone plus faible, donc, mais aussi, possiblement plus rapide. > Lire aussi : Amex GBT en passe de racheter Egencia L’affichage Air-Rail est actuellement disponible pour les voyages au Royaume-Uni, en France et en Suède et sera déployé dans d’autres pays plus tard cette année, a déclaré Egencia.
Billionaire Mark Cuban Commends Defi Economy Dubbing It the ‘Next Great Growth Engine’ – Finance
The entrepreneur Mark Cuban has been in the crypto space for quite some time now, and a recently published blog post explains he is focused on defi innovation and decentralized exchange (dex) platforms. Cuban wrote an opinion piece on his blog called: “The Brilliance of Yield Farming, Liquidity Providing and Valuing Crypto Projects,” which explains the defi universe from his point of view. Cuban stressed that yield farming via staking and liquidity providing are the core features of defi and as far as the economy is concerned, he believes defi could be the “next great growth engine.” Cuban discussed his interest in certain projects like Polygon/Matic and a number of dex platforms he personally leverages. “Examples of such exchanges that I use are zapper.fi, quickswap.exhange, bancor.network, [and] uniswap,” Cuban wrote. The investor further detailed the benefits of these operations by explaining how finance companies need financial depth to offer specific services. “You need to be able to afford to hedge the risk of pricing volatility between currencies. If you want to do this business with scale, across the world, it can be very expensive and risky,” Cuban’s blog post insists. The Shark Tank co-host added: Not for Defi Exchanges. What makes running a Defi exchange so much better than a traditional centralized financial business of this and any kind is that rather than the owners of the business, investors and their creditors putting up capital for all the transactions to take place, Liquidity Providers (LPs) do it for them.
Allo Apple bobo
Ça pourrait faire froid dans le dos. Le Wall Street Journal vient de révéler qu’Apple aurait envisagé dès 2016 de créer son propre service de santé sur abonnement, avec des centres de santé et ses propres médecins… La firme de Cupertino avait même racheté des cliniques, monté une équipe composée de médecins, d’ingénieurs, de designers produits et embauché une spécialiste de l’Université de Stanford pour chapeauter le projet. Une application nommée HealthHabit aurait dû voir le jour et connecté les abonnés via le chat avec des médecins employés par Apple et aurait permis un service en continu grâce notamment aux données captées par l’ iPhone et l’Apple Watch. La firme à la pomme aurait finalement renoncé à ce projet pour des raisons d’intégrité sur des données très personnelles. Définitivement ou provisoirement ? On ne sait pas. Il n’est pas question ici de remettre en question la volonté de Apple d’avancer dans le domaine de la santé. « Je pense qu'un jour pas si lointain, on dira que la plus grande réalisation d'Apple se trouve dans la santé », déclarait Tim Cook*, le PDG d'Apple, il y a deux ans. Les smart watches sont un atout formidable, les algorithmes d’intelligence artificielle peuvent déceler, avant l'heure, des trends et patterns parmi des millions d'utilisateurs et Apple Watch sauver des vies en décelant des anomalies en temps réel. Beaucoup s’inquiètent toutefois du danger de voir des informations sur sa santé et sur son comportement alimentaire, sportif, etc. dans les mains d’un Gafam. Mais la vraie question est sans doute de savoir comment Apple peut mettre au point des services qui permettront une amélioration réelle de la santé, sans vendre les informations et comment protéger les données personnelles.
#VivaTech : Mark Zuckerberg prédit la création d’un méta-univers –
Le célèbre patron de Facebook, prenait la parole hier lors de l’édition 2021 du salon VivaTech. Lors d’un duplex diffusé en direct sur la Stage One, Mark Zuckerberg a fait part des ambitions de Facebook en matière de réalité virtuelle et augmentée. Quelques mois seulement après avoir lancé sur le marché le nouveau masque de réalité virtuelle, Oculus Quest 2, Mark Zuckerberg estime que, « cela a commencé à décoller un peu plus vite que nous le pensions ». Avec 10 000 personnes travaillant actuellement sur le segment de la VR et AR, le groupe connait en effet un véritable succès à travers l’utilisation de ces technologies. Pour le PDG, il est certain que d’ici quelque temps : « Il n’y aura plus besoin de télévision ou d’écrans. Il vous sera possible de projeter une image n’importe où et n’importe quand avec l’utilisation de vos lunettes de réalité augmentée ». Un projet sur lequel travaillent, pour rappel, les chercheurs de Facebook Reality Labs via un nouveau bracelet neuronal qui permettrait de traduire des signaux électriques envoyés par le cerveau vers les mains. Il en profite par ailleurs pour rappeler la différence entre les 2 technologies : « La VR sert à vous projeter dans un autre univers que le vôtre, un univers virtuel 3D alors que la réalité augmentée fait davantage appel à vos sens comme le touché. Les 2 ont le même objectif : créer une expérience immersive afin de vous procurer de l’émotion ». Des objets virtuels plutôt que physiques Le géant californien investit actuellement « des milliards et des milliards de dollars » dans ces 2 technologies afin de construire un « avenir extraordinaire d’ici 5 à 10 ans ». Si pour le moment les masques Oculus sont davantage destinés à un usage récréatif, le patron de Facebook espère pouvoir en développer l’usage à une échelle plus large afin de créer ce qu’il nomme un « méta-univers », soit un univers virtuel où il sera possible de posséder et d’acheter des biens virtuels. « Faites cette expérience de pensée, pensez à toutes les choses dans votre vie qui n’ont pas besoin d’être physiques et qui pourraient être remplacées par un hologramme dans un monde où vous portez des lunettes intelligentes », a-t-il ainsi déclaré. « Plutôt que de devoir produire une télévision ou tel ou tel type d’objet physique complexe qui nécessite des usines et des matières premières, n’importe quel enfant ou développeur dans le monde pourra faire cela avec un jeu d’outils de conception en 3D et du code afin d’être capable de vendre des produits dans le monde entier sans avoir à s’inquiéter de la logistique ou de l’expédition », ajoute-t-il. Pour Mark Zuckerberg, la réalité virtuelle et augmentée représentent deux nouveaux segments qui permettront, à terme, de créer une « nouvelle vague économique », créant des opportunités et de nouveaux métiers à travers le monde. Pour lui, cette nouvelle ère devrait arriver dans les 5 à 10 prochaines années…
Fusion nucléaire : Jeff Bezos soutient le projet d’une première centrale près de Londres
En attendant de s'envoler pour l'espace, Jeff Bezos a déjà la tête dans les étoiles. Le patron d'Amazon, qui s'apprête à quitter son poste le 5 juillet avant de réaliser un vol spatial avec son frère le 20 du même mois, investit dans les technologies qui permettront un jour de produire de l'énergie à la manière du soleil ! La start-up canadienne General Fusion, que le milliardaire soutient, est spécialisée dans les techniques de fusion nucléaire. Elles consistent à produire de l'énergie en liant des atomes plutôt que par fission en les cassant. La société a annoncé jeudi qu'elle construirait sa première centrale nucléaire pilote à Culham, un petit village de l'Oxfordshire. Situé à deux heures de voiture à l'ouest de Londres, il abrite déjà le programme de recherche britannique sur la fusion nucléaire. Technologie prometteuse Ce démonstrateur à 400 millions de dollars vise à « vérifier que la technologie de General Fusion peut créer les conditions d'une fusion d'une manière à la fois pratique et optimale en termes de coûts, tout en affinant le modèle économique d'une telle production », explique l'entreprise. Sa construction devrait démarrer dès l'an prochain, pour une entrée en phase opérationnelle trois ans plus tard. Cela permettra d'aboutir dans un deuxième temps au design d'une centrale commerciale. Encore loin d'être totalement au point, les techniques de fusion nucléaire n'en sont pas moins prometteuses, puisqu'elles doivent, à terme, permettre de produire de l'énergie nucléaire quasiment sans déchets radioactifs. La fusion se fait à des températures 10 fois plus élevées que le soleil. La technologie développée par General Fusion consiste à faire chauffer un gaz dérivé de l'hydrogène, le « plasma », et à l'injecter dans un cylindre entouré d'un mur de métal à l'état liquide. Pas de déchets radioactifs Environ 500 pistons pneumatiques sont ensuite utilisés pour le comprimer jusqu'à ce que les atomes fusionnent, générant alors une chaleur énorme. Celle-ci est transférée par le métal à l'état liquide, puis est utilisée pour faire bouillir de l'eau qui fait tourner une turbine. De quoi produire environ 115 mégawatts par machine, ce qui ne suffit pas pour éclairer une grande ville, mais permet largement de stabiliser un réseau par ailleurs alimenté de manière intermittente par l'énergie solaire ou éolienne. Environ 25 start-up se sont spécialisées sur ces techniques, sur lesquelles travaillent déjà les laboratoires publics depuis une cinquantaine d'années. Parmi elles, General Fusion, mais aussi TAE Technologies, ou encore Commonwealth Fusion Systems aux Etats-Unis. Côté public, 35 pays soutiennent ITER, un programme à 22 milliards de dollars, dont les tests devaient démarrer dans quatre ans, mais pourraient finalement être retardés à cause de la crise sanitaire , pour un fonctionnement à pleine puissance prévu après 2035. Sa technologie diffère de celle de General Fusion, avec des réacteurs devant chacun permettre de générer à terme plus de 1.000 mégawatts d'électricité.
Amazon supprime le passage en caisse dans une grande surface
Pour la première fois, la technologie « Just Walk Out » d’Amazon est disponible dans une épicerie Amazon Fresh sur une plus grande surface de 2300 mètres carrés, taille d’un supermarché en France. Les clients peuvent zapper le passage en caisse lors de leurs courses. L’épicerie ouvre ses portes le jeudi 17 juin dans The Marketplace à Factoria à Bellevue, dans l’Etat de Washington, où se trouve le siège d’Amazon, sur la côte Ouest des Etats-Unis. Vision par ordinateur et capteurs de poids La technologie « Just Walk Out » fonctionne par une combinaison de vision par ordinateur, de capteurs de poids et d’intelligence artificielle. La technologie, se connecte au compte Amazon ou à la carte de crédit des clients pour le paiement. Les clients sont invités aux portes d’entrée du magasin à choisir s’ils souhaitent utiliser les achats « Just Walk Out » ou les caisses de paiement traditionnelles. Les clients qui optent pour le shopping « Just Walk Out » peuvent entrer dans le magasin de trois manières. Ils peuvent scanner le code QR dans leur application Amazon, utiliser Amazon One pour scanner la paume de leur main ou insérer une carte de crédit ou de débit liée à leur compte Amazon. Chaque option ouvrira les portes « Just Walk Out ». Une fois à l’intérieur du magasin, les clients font leurs achats comme d’habitude.
LVMH veut co-créer de nouveaux algorithmes d’IA avec Google
LVMH ne part pas de zéro en matière de données et d’intelligence artificielle. Il s’agit désormais d’accélérer et pour un ensemble de 15 à 20 maisons du groupe de luxe. « Cela fait 3 à 4 ans dans le groupe qu’un certain nombre de nos maisons parmi les plus grandes avaient déjà investi ce territoire de la data. Cela avait commencé il y a 4 ans par Louis Vuitton, Sephora aussi était bien positionné. La maison Christian Dior couture avait aussi commencé il y a à peu près 3 ans » indique le CIO. « Nous avons un souhait de faire en sorte qu’au niveau du groupe nous puissions accélérer nos top 15 ou top 20 maisons sur ce sujet. Il s’agit de pouvoir véritablement progresser et offrir des services, offrir une personnalisation, une recommandation encore plus importante avec nos clients » dit-il. Il liste l’ensemble des avancées qui doivent être possible grâce à un bon usage de la donnée. « C’est tout ce qui concerne la personnalisation de la relation avec nos clients. Il s’agit de mieux les connaître, mieux les servir, interagir rapidement avec eux, leur proposer des produits et des services. Cela concerne le merchandising et l’offre produit. Comment mieux personnaliser au niveau pays et au niveau des magasins, notre assortiment de produits en fonction des typologies de clientèle et de marché » énumère-t-il. D’autres enjeux sont reliés à l’environnement et à la production responsable. « Il y a tout ce qui va nous permettre de mieux piloter nos prévisions commerciales, de mieux ajuster notre distribution et notre production et d’être beaucoup plus réactif » ajoute-t-il. L’IA pour devenir plus agile et plus efficace Pour lui, tout cela est un enjeu de data. « Nous pensons que les algorithmes, le Machine Learning, vont nous permettre de devenir encore plus agile, encore plus efficaces. Nous avons une volonté d’aller vers cela. Nous avons décidé de le faire avec Google » poursuit-il. Google a été retenu par LVMH en particulier pour sa « pile » technologique, c’est-à-dire les logiciels proposés. « Cette stack technique nous a paru extrêmement pertinente, en termes de technologie d’intelligence artificielle, de Machine Learning. Google investit massivement et met à disposition sur le marché des produits innovants, qui nous intéressent et qui vont nous permettre d’accélérer, et d’harmoniser nos différentes maisons autour de ce socle technique » présente-t-il. « Nous avons décidé de franchir une étape majeure et d’accélérer » La crise sanitaire due à la pandémie a été un accélérateur. « Cette connexion en permanence de façon digitale avec les clients, est un vrai réservoir de data mais c’est aussi une fantastique opportunité de se servir de ces data pour mieux interagir avec nos clients, pour mieux les connaître, pour mieux personnaliser les services que l’on va pouvoir leur offrir, et donc nous avons décidé de franchir une étape majeure et d’accélérer » confirme-t-il. Adopter le Cloud d’un prestataire américain soulève toutefois des questions sur l’accès aux données. « La souveraineté des données est un vaste débat, car LVMH est un groupe international. Nous ne sommes pas basés qu’en France. Sephora et Tiffany sont des sociétés majeures aux Etats-Unis. Nous avons des sociétés en Asie » relève Franck Le Moal.
LVMH s’allie à Google afin d’innover grâce à l’intelligence artificielle
L’intelligence artificielle sera positionnée au cœur de la chaîne de valeur chez LVMH. Cela va du développement de produits jusqu’à la chaîne d’approvisionnement, en passant par les employés, les fournisseurs et les clients. LVMH s’appuiera sur les technologies, les solutions d’intelligence artificielle et de Machine Learning développées par Google Cloud, pour favoriser leurs usages à grande échelle. Un programme de formation et de certification des équipes de LVMH LVMH s’appuiera sur Google Cloud pour développer sa culture de la data et de l’innovation, à travers des programmes de formation et de certification dédiés pour les équipes des Maisons du groupe. Les deux partenaires définiront conjointement les opportunités de co-innovation et lanceront une « Data and AI Academy » à Paris pour améliorer leur expertise et leur innovation dans ces domaines. « La donnée client et produit sera plus fortement hébergée chez Google » résume pour sa part Frédéric Arnault, PDG de Tag Heueur, une des maisons de LVMH, interrogé sur le plateau de BFM. Il souligne le respect du RGPD et il considère que la sécurité informatique sera mieux assurée par un acteur de la taille de Google plutôt qu’avec un prestataire de taille plus petite ou par un hébergement des données qui serait assuré par le groupe LVMH lui-même
Apple Says It’s Time to Digitize Your ID, Ready or Not | WIRED
IF YOU'VE EVER scanned a digital boarding pass directly from your phone at airport security, you can imagine how doing the same with your driver's license would make life a little easier. Beginning in iOS 15 this fall, Apple will enable just that, letting you store your state ID alongside your credit cards, loyalty programs, transit passes, and even door and car keys in Apple Wallet. By doing so, the company won't just introduce convenience; it may well be the tipping point that forces more states, the US government, and even Android to make digital driver's licenses the norm. Apple itself isn't launching a universal digital identification scheme; plenty of others have embarked on technically and geopolitically fraught efforts to create a new type of private and secure ID for everyone. And digital driver's licenses aren't entirely novel. States like Oklahoma, Delaware, and Arizona have recently worked with a company called IDEMIA to develop both the infrastructure and a companion app to support digital driver's licenses. And Colorado and Louisiana introduced digital IDs more than two years ago. It's still very much early days, though. Every state that allows for digital driver's licenses still requires you to carry the physical version, and some mobile licenses currently can't be used outside the state that issued them. That's partly because the federal government is in the process of introducing new design requirements to make driver's licenses harder to forge or manipulate, part of the REAL ID Act. Apple didn't speak to the issue directly, but will presumably build in the ability to use Wallet IDs out of state for flying. In April, TSA and the Department of Homeland Security Office of Strategy and Policy opened a public comment period for digital ID security standards and platforms. Apple's also in direct contact with the TSA to get Wallet-based driver's licenses approved for airport use. “The TSA is working to enable airport security checkpoints as the first place you can use your digital ID,” Jennifer Bailey, vice president of Wallet and Apple Pay, said during last week's iOS 15 launch. "When you present your ID you'll know what specific information is requested and securely presented." The International Organization for Standardization has also released a digital driver's license standard, but it is unclear whether Apple is incorporating it. The standard is still in the “under development” status and may evolve since digital IDs are so new. “I am disappointed at the lack of transparency around this announcement from the start.” ALEXIS HANCOCK, EFF In general, though, proponents say that digital IDs will ultimately be more secure and private than physical ones. Mobile driver's licenses can be locked with biometric authentication—FaceID or TouchID in Apple's case. If someone steals your physical driver's license, they could potentially flash it at a bouncer or steal your personal information off of it. But a secure digital driver's license, like one in Apple Wallet, would be inaccessible to anyone who didn't have your finger or face handy. Digital driver's license efforts have had a slow start in the US so far. In Louisiana, for example, about 670,000 residents were using the state's three-year-old digital ID system as of May, or about 14 percent of the population. Apple's support for driver's licenses in Wallet makes the prospect of digital IDs feel much more concrete. But a lot of open questions remain about how the company will implement the feature and whether your state will actually participate anytime soon. Apple declined to comment about which states it is collaborating with and which driver's licenses Wallet will support when the feature launches. The company also declined to comment about whether it's working to launch digital driver's licenses with any states that don't already offer one independently. “I imagine that Apple may release more specifics soon, but I am disappointed at the lack of transparency around this announcement from the start,” says Alexis Hancock, director of engineering at the Electronic Frontier Foundation. “Is this proprietary or are they using the ISO mobile driver's license compliance standard? I am not sure. And I have many questions that aren't answered at the moment on how they plan to roll this out with TSA." One major question is how Apple users and law enforcement like TSA agents will actually interact with these digital IDs. If your driver's license is on your phone, you could potentially have to present your fully unlocked device to a law enforcement agent in a transaction like a traffic stop or at airport security. That could, in turn, expose you to incidental search of your data, social media accounts, or anything else the agent flicks to. Customs and border crossings are already fraught with digital privacy threats, even within the US. “I’ve wondered about the same thing in the past for auto insurance cards—it's one of the reasons I’ve never put one on my phone,” says Thomas Reed, a Mac security specialist at the antivirus firm Malwarebytes. Apple referred WIRED to its iOS 15 and watchOS 8 press releases for more details about its plans for digital driver's licenses in Wallet. The releases do not make it clear how TSA-Apple Wallet interactions will work in practice, though. Apple declined to comment about the specific choreography of scanning a digital driver's license with Wallet and whether a user's unlocked iPhone will always stay in their possession throughout the interaction.