Les passeports seychellois et mauriciens permettent de se rendre dans plus
Dans la région, Les Seychelles sont en tête du classement avec 151 destinations. L'archipel est talonné par l'île Maurice et 146 accords. Madagascar devance les Comores avec respectivement 55 et 53 possibilités de voyages pour leurs ressortissants d'entrer dans des pays sans avoir à demander un visa. Cette exemption de visa offre aux ressortissants des deux pays signataires de séjourner dans le pays sans avoir à besoin d'une autorisation particulière. Elle est variable en fonction de la provenance des voyageurs en dehors de l'Union européenne. En France, par exemple plusieurs conditions peuvent intervenir. La durée est variable : 6 mois renouvelable une fois : Bénin, Burkina Faso, Maurice 6 mois renouvelable deux fois : Tunisie 9 mois (non renouvelable) : Cap Vert, République du Congo (Brazzaville) 9 mois renouvelable une fois : Gabon 12 mois (non renouvelable) : Monténégro, Serbie, Géorgie, Bosnie-Herzégovine 12 mois renouvelable une fois : Inde Niveau de diplôme : Diplôme au moins équivalent au Master : Cap Vert, République du Congo (Brazzaville), Inde Diplôme au moins équivalent à la licence professionnelle ou au Master : Bénin, Burkina Faso, Gabon, Tunisie, Géorgie, Maurice, Bosnie-Herzégovine, Monténégro, Serbie Pays d’obtention du diplôme : Diplôme obtenu dans un établissement français habilité au plan national : Bénin, Cap Vert, République du Congo (Brazzaville), Gabon Diplôme obtenu dans un établissement français habilité au plan national ou dans un établissement du pays d'origine dans le cadre d'une convention de délivrance de diplômes en partenariat international : Burkina Faso, Inde, Maurice, Tunisie, Géorgie, Bosnie-Herzégovine, Monténégro, Serbie
La reconnaissance d’image établit le prix de reprise d’un sac à main de luxe
Rebag, l’enseigne de revente de produits de luxe, sacs à main en tête, lance Clair AI, une technologie de reconnaissance visuelle de sac à main et d’évaluation du prix. 15 000 références reconnues avec une précision de 91% Le logiciel de reconnaissance d’image identifie 50 marques. Actuellement, il peut reconnaître 15 000 références existantes et les identifier avec une précision de 91%. Le logiciel Clair AI fait jusqu’à cinq prédictions pour le sac à main classé selon la probabilité la plus élevée, et l’utilisateur peut ensuite sélectionner celle qui correspond à son sac. Le logiciel utilise du Machine Learning et a été entraîné à partir de 6 ans d’historiques et de millions de photos collectées par Rebag. Une boutique Rebag Ce logiciel doit simplifier l’expérience de revente sur le site Rebag.com et via les 7 boutiques de l’enseigne. Clair est l’acronyme pour « Comprehensive Luxury Appraisal Index for Resale » ce qui signifie « Indice complet d’évaluation du luxe pour la revente ». Les utilisateurs peuvent télécharger l’application de Rebag sur leur smartphone, fonctionnant sous iOS ou Android, ou se rendre sur Rebag.com. Banalisation de l’évaluation du prix d’un sac de luxe Après avoir scanné le sac à main sur un fond neutre via l’appareil photo du téléphone, Clair AI identifiera dans la foulée la marque, le modèle et le style du sac, et proposera le prix que Rebag est prêt à payer pour cet article. « N’importe qui peut numériser et accéder instantanément à la valeur de revente d’un sac à main, sans aucune connaissance préalable » considère Charles Gorra , fondateur et PDG de Rebag. « Avec Clair AI, nous poursuivons sur notre promesse de toujours offrir une transparence et une simplicité totales aux revendeurs » déclare-t-il. Il pense même que l’état d’esprit des clientes va se tourner vers l’investissement plutôt que la seule consommation. On peut scanner un sac à tout moment, que ce soit en boutique ou dans une fête avec des amis. Le logiciel peut également reconnaître un sac à main en photo sur une page web, sur les réseaux sociaux, à la télévision ou sur une page de publicité imprimée dans un magazine. Les clientes n’ont pas besoin de posséder le sac pour découvrir sa valeur de revente. Paiement dans les 2 à 3 jours par Rebag Après avoir reçu leur devis, les clientes peuvent accepter l’offre de Rebag, générer une étiquette d’expédition gratuite et envoyer leur article par la poste. Conformément au processus de ré-emballage, les vendeurs seront payés dans les 2 à 3 jours ouvrables suivant la réception des articles. Il est également possible de recevoir un paiement instantané en personne en déposant les produits dans l’un des 7 magasins Rebag à New York, Miami et Los Angeles. Clair AI n’est actuellement disponible que pour les sacs à main bien que Rebag achète d’autres catégories de produits, notamment des montres, des bijoux et des accessoires.
Laura Boulet, DGA de l’Union des Marques : “ toutes les entreprises doivent être activistes. La question est : comment ? “
La principale conclusion de la précédente édition était l’affirmation que toutes les entreprises doivent être activistes. La question est : comment ? C’est ce point d’ancrage qui nous a permis d’avancer toute l’année avec les 40 grandes entreprises signataires du programme FAIRe, au prisme d’un volet sociétal et d’un autre axé sur les enjeux environnementaux, le tout permettant d’améliorer tout le cycle de vie des communications : comment envisager de manière responsable les supports, contenus, diffusions, et relations avec les publics et partenaires? L’un des fils rouges de 2020 était de faire en sorte que le contenu des communications soit, au-delà d’une stratégie produit, l’occasion de passer au public un message plus fort, via un renouvellement des modèles de représentations tendant vers des postures plus éco-responsables. Il est évident que plus les consommateurs sont exposés à des images véhiculant des comportements éco-responsables, plus leurs habitudes iront dans ce sens. En 2021, l’idée sera donc d’accélérer le mouvement. Nous souhaitons principalement avancer sur : La mesure d’impact environnemental des communications via des référentiels de mesure en travaillant sur l’ensemble des supports Le renforcement de notre outil sur la lutte contre les stéréotypes au-delà de l’égalité des genres en le renforçant sur les sujets de la diversité, la représentation du handicap et l’inclusion.
Nivea preps DTC site to capitalise on ecommerce surge
Beiersdorf, the parent company behind skincare giant Nivea, is preparing to launch a direct-to-consumer (DTC) site later this year to capitalise on the surge in ecommerce driven by Covid-19. The group, which also owns brands including Eucerin and Coppertone, has seen extensive growth in ecommerce sales during the pandemic, Beiersdorf marketing director for Northern Europe, Patrick Albrecht tells Marketing Week. The planned cross-brand online store would, initially at least, offer simple DTC sales of Beiersdorf brands, rather than any more complex subscription offers. “Subscription might come at a later stage, we just want to get it up and running. There is a massive amount of logistics in the background,” says Albrecht. He explains the shift in consumer behaviour triggered by the coronavirus crisis has already resulted in Beiersdorf moving much of its advertising spend away from TV and commuter-targeted out-of-home activity. “We now do a lot of what we call proximity out-of-home, in front of a Tesco or Sainsbury’s,” Albrecht explains. “And of course a lot more digital, a lot more social and a lot more communication on retailer websites.
Le Danemark et la Suède vont lancer un passeport numérique vaccinal
Alors qu’en France, la mise en place d’un futur passeport vaccinal fait débat, au Danemark et en Suède cela ne serait plus qu’une question de mois. La liste des usages ouverts par ce type de passeport n’a pas été encore définitivement définie. Le passeport vaccinal deviendra-t-il obligatoire pour voyager ou bien encore se rendre au restaurant ? Au Danemark, alors que la population subit un nouveau semi-confinement depuis mi-décembre, le gouvernement souhaite mettre en place un passeport vaccinal d’ici 3 ou 4 mois. Baptisé « coronapas », ce document permettra à ses détenteurs d’avoir accès aux restaurants, aux commerces ou bien encore à des salles de spectacles. Délivré aux personnes vaccinées, testées négatives au coronavirus ou bien encore ayant déjà développé des anticorps contre le virus, ce « coronapas » fonctionnera via une application mobile. En Suède, le gouvernement a également annoncé le développement futur de passeports vaccinaux électroniques afin de faciliter les voyages à l’étranger et l’accès à certaines infrastructures (restaurants, salles de spectacles…). L’objectif est de développer ce passeport avant le mois de juin. Il permettra ainsi de prouver sa vaccination contre le coronavirus. Les deux pays ont assuré qu’ils veilleraient à rendre ces certificats compatibles avec les projets internationaux discutés à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et au sein de l’UE
Ngozi Okonjo-Iweala, première femme à la tête de l’OMC –
Diplômée de Harvard et du MIT La désignation de Ngozi Okonjo-Iweala, 66 ans, première femme et première représentante africaine à la tête de l’institution, semble naturelle au regard de son parcours. Fille d’une professeure de sociologie et d’un prof d’économie, elle a grandi avec sa grand-mère jusqu’à ses 9 ans, alors que ses parents finissaient leurs études. «J’ai fait tout ce qu’une fille de village ferait, aller chercher de l’eau, aller à la ferme avec ma grand-mère et réaliser toutes les tâches possibles. J’ai vu ce que signifiait la pauvreté», assure-t-elle. Mais sa trajectoire sociale se dissocie ensuite du commun des Nigérians. A 19 ans, elle arrive à Harvard, en sort avec un diplôme en économie, valide en 1981 son doctorat en développement économique régional dans le tout aussi prestigieux MIT. L’année d’après, à 28 ans, elle entre à la Banque mondiale. Une institution dans laquelle elle travaillera un quart de siècle, devenant de 2007 à 2011 son numéro 2. Plus récemment, en tant que présidente du conseil d’administration de Gavi Alliance, elle avait pris en charge l’accès et le financement de la vaccination contre le Covid-19 en Afrique – un projet qu’elle ne pourra donc mener à son terme. A lire aussi : A Bali, l’OMC cherche à sortir de l’impasse Europe 2 déc. 2013 Ngozi Okonjo-Iweala a délaissé plusieurs fois les institutions internationales pour s’occuper de son pays natal, en tant que ministre des Finances de 2003 à 2006 sous la présidence d’Olusegun Obasanjo, puis de 2011 à 2015 sous Goodluck Jonathan – mandature qui verra le Nigeria devenir la première puissance économique d’Afrique, devant l’Afrique du Sud. En 2012, elle porte par exemple la réforme du président Goodman de ne plus subventionner le prix du carburant à la pompe, rapidement multiplié par deux. Si les économistes libéraux saluent cette «réforme nécessaire», un mouvement social d’ampleur, Occupy Nigeria, s’ébroue en janvier 2012, avec des manifestations et des grèves, qui ont entraîné plusieurs morts et des centaines de blessés. Lors de son mandat, elle séduira malgré tous certains grands médias occidentaux puisque le Time la classe parmi les 100 personnes les plus influentes au monde en 2014 et Fortune parmi les 50 plus grands leaders de la planète l’année suivante.
Usbek & Rica – « La notion de résilience infantilise les populations et déresponsabilise l’État »
La notion de résilience vient de la géologie, où elle s’applique aux organismes vivants. On dit de ces derniers qu’ils ont une capacité d’adaptation, dans différents contextes, face à des menaces extérieures et à des milieux hostiles. Cette notion a ensuite été introduite en France dans les années 1990 par les psychologues et les psychiatres : dans ce cadre, elle renvoie à la capacité d’un individu à surmonter un choc, une épreuve (par exemple un deuil). Sauf qu’à partir du début des années 2000, la résilience a été transposée au champ de la sécurité nationale. Elle a été valorisée par un certain nombre d’États comme le Royaume-Uni, les États-Unis ou la France, comme l’une des clés de réaction à un attentat ou à une crise grave. Elle vise à décrire la manière dont une société rebondit ou réagit après une attaque terroriste, après une guerre ou à la suite d’un événement critique. « Cette focalisation sur la notion de résilience rend les populations responsables des erreurs, des défaillances ou des crises qu’elles subissent et des échecs de l’État en matière de sécurité » Vanessa Codaccioni, spécialiste de la justice pénale et de la répression, autrice de "La société de vigilance" Partager sur Twitter Partager sur Facebook Or cette notion, comme j’essaye de le montrer dans le livre, s’inscrit dans le cadre de la gouvernance néolibérale puisqu’elle renvoie à la responsabilité de chacun dans le domaine de la sécurité. Être résilient ou résiliente, c’est être responsable de sa propre sécurité : prendre des précautions, se préparer. Ce n’est pas l’État lui-même qui doit être résilient mais le citoyen. Et ce de deux manières : avant la crise, et après la crise. Avant la crise, il doit se préparer, se sensibiliser, apprendre – d’où les exercices de sécurité anti-fusillades dans les écoles, par exemple. Après la crise, il doit surmonter l’épreuve, réagir, rebondir. Et, si possible, s’engager dans des réserves de police comme celle que souhaite créer Gérald Darmanin. Le bon citoyen est celui qui participe à ce genre de dispositifs. Cette focalisation sur la notion de résilience rend les populations responsables des erreurs, des défaillances ou des crises qu’elles subissent et des échecs de l’État en matière de sécurité, à la fois climatique, sanitaire ou physique. Quelques exemples, parmi d’autres : si un confinement est décrété, c’est parce que la population ne respecte pas les gestes barrières ; si un couvre-feu est décrété, c’est parce qu’il y un « effet apéro ». Appliquée à la sécurité, la notion de résilience est particulièrement dangereuse dans la mesure où elle responsabilise, culpabilise, infantilise les populations tout en déresponsabilisant l’État. L’autre piège de la notion de résilience, c’est qu’elle nous prépare toujours à la « catastrophe d’après » : on nous apprend qu’il y aura sans cesse d’autres problèmes, que l’on vivra dans un monde dangereux, catastrophique, et qu’il n’y a rien à faire pour que cela change. Cela permet de gouverner par la peur et de faire en sorte que les individus se replient sur eux-mêmes.
L’Europe pourrait imposer une part de carburant propre aux compagnies aériennes
En attendant les ruptures technologiques dans la conception des appareils, l’urgence est au développement des filières dédiées à la production de carburants durables. Les ministres des Transports de huit pays européens – Danemark, Finlande, France, Allemagne, Luxembourg, Pays-Bas, Espagne et Suède – ont ainsi demandé à la Commission européenne d’encourager l’utilisation des « sustainable aviation fuel » (SAF). Un pourcentage de mélange obligatoire avec du kérosène traditionnel stimulerait l’investissement dans les carburants verts, augmenterait l’offre et ferait baisser les prix, selon les ministres. Cette déclaration précède la publication de l’initiative ReFuelEU – soit un cadre pour la décarbonisation de l’industrie aéronautique – prévue par la Commission européenne d’ici la fin du premier trimestre. Ces SAF se doivent désormais d’être conçus à partir de matières premières d’origine biologique (déchets domestiques, agricoles et forestiers, composts, graisses animales…), plutôt que des biocarburants dits de première génération, issus de produits alimentaires (soja, huile de palme, colza, betterave…), ayant pour certains d’entre eux un fort impact écologique. Le secrétaire d’État français aux transports, Jean-Baptiste Djebbari, a d’ailleurs réitété sa mise en garde contre le recours à des matières premières provenant de pays extra-européens, lesquelles pourraient en outre nuire aux efforts d’indépendance énergétique de l’UE. La plupart des compagnies aériennes sont déjà engagés dans le soutien de la filière, conscients que ces SAF fonctionnent très bien avec les moteurs actuels mais coûtent encore beaucoup plus cher que les carburants traditionnels. Air France est ainsi à la manœuvre pour inciter les entreprises à faire émerger une filiale biocarburants en France. Sa compagnie sœur, la néerlandaise KLM, a pour sa part opéré il y a quelques jours, entre Amsterdam et Madrid, le premier vol passager au monde alimenté en partie par du kérosène synthétique, produit par Shell dans son centre de recherche d’Amsterdam. Marjan van Loon, le PDG de Shell Pays-Bas, s’est ainsi déclaré très fier d’avoir réussi à produire pour la première fois 500 litres de carburéacteur « à base de CO2, d’eau et d’énergies renouvelables. Il s’agit d’une première étape importante et, avec nos partenaires, nous devons maintenant le développer, l’accélérer et le rendre commercialement viable ». British Airways vient pour sa part, ce mardi, d’annoncer un partenariat avec la start-up américaine LanzaJet afin de faire voler dès 2022 certains des appareils avec du carburant produit à partir d’éthanol (déchets agricoles). La compagnie britannique est déjà partenaire de l’entreprise Velocys pour produire dès 2025 des carburants à partir des déchets des particuliers et des entreprises.
To make business more sustainable, focus on what you can change
It is often the most visible things like consumer waste which grab attention, but the biggest opportunities may lie elsewhere. In the Autumn, Diageo set out its vision for the next decade by launching its sustainability action plan ‘Society 2030: Spirit of Progress’. These 25 ambitious goals include reaching 1 billion people with dedicated ‘Responsible Drinking’ messaging, achieving net-zero carbon emissions across direct operations, increasing representation of leaders from ethnically diverse backgrounds to 45%, women in leadership to 50% and using 30% less water in every drink it makes. Behind these headline numbers are significant company-wide initiatives and targets. As marketers, it’s caused us to think about the issues through our brands and consumers, and here are some of the things we’ve learned: Address the issues holistically The fact that the UN’s 2030 Sustainable Development Goals have been adopted more broadly than originally intended provides a useful framework. Think more widely than just climate change, and understand the nuances of your brand’s specific role in the world. For Diageo this goes into promoting positive drinking, championing inclusion and diversity, preserving water, accelerating to a low carbon world, and becoming sustainable by design. Understand all aspects of the impact your business may have Think not only about your operations, but also your suppliers and the positive role your product or service could play in society. One recent example of this is Unilever’s commitment to ensure its suppliers pay a living wage by 2030. Establish your commitment Make it rich, measurable, and motivating to your employees and audiences. Diageo calls this our ‘Spirit of Progress’; it was born from cross-functional collaboration and provided an opportunity for all employees to connect to the outcomes and what it means for them. Understand your consumers Sustainability is a complex subject, but it helps to understand how consumers see themselves, their communities and the world. We’ve learned this subject is like an iceberg – it is often the most visible things like consumer waste which grab attention, but the biggest opportunities may lie elsewhere. Find the right tone, and language to communicate what you are doing Your brand’s role in society should link intrinsically to your brand purpose. We find our best work in this space springs from the same core creative idea as our other work; is bold, grounded in insight and consistent with other activity. Guinness Clear is a great example; it was creatively audacious in that it was in effect marketing H2O, but grounded in an insight about rugby-watching occasions, which have a strong association with Guinness. Not only did the evidence show that it helped to change behaviour and encourage moderation, but it created exceptional return on investment and share performance for the brand. Finally, be inspired by brands small and large Think about brands such as Tony’s Chocolonely, with its mission to eradicate slavery from its supply chain; or brands guided by their values such as Ikea’s drive for democratic and sustainable design; classic activist brands like Ben & Jerry’s; and Oatly’s playful approach, offering an alternative to less sustainable dairy and almond-based alternatives. If you want to change the world, work out which pieces you can change and do them one by one with sustained effort.