Airbnb valorisée 100 milliards de dollars à Wall Street
vec une action à 144,77 dollars, soit plus du double de la valeur d’ouverture, la plateforme de location saisonnière réalise une entrée en grande pompe à Wall Street. L’entrée de Airbnb au Nasdaq est pour le moins réussie. Les actions de la plateforme de locations saisonnières ont été introduites à 68 dollars, ce qui est bien au-dessus de la fourchette de prix initialement prévue (56 – 60 $) et qui avait déjà fait l’objet d’une augmentation, pour finalement terminer à 144,71 dollars, soit plus du double de la valeur d’ouverture. L’opération a permis à la firme de récolter 3,4 milliards de dollars. Une entrée en grande pompe pour Airbnb, dont la valorisation globale environne 100 milliards de dollars selon Bloomberg. Heurtée par la pandémie, l’entreprise a dû licencier environ 25 % de ses salariés et lever 2 milliards de dollars pour survivre. Malgré la difficulté de la période, l’entreprise est parvenue à dégager 219 millions de dollars de bénéfices à l’été 2020 profitant du désengagement des voyageurs envers les hôtels notamment. Des performances sans doute appréciées à Wall Street où les acteurs de l’économie circulaire sont parfois entrés en bourse sans jamais générer de profit, à l’instar d’Uber qui vient par ailleurs de recentrer son activité sur la livraison de repas.
Comment ba&sh utilise la blockchain pour se connecter avec les…
Ba&sh est moins concernée par la contrefaçon Avec son modèle de distribution en direct et son positionnement “luxe accessible”, ba&sh est moins concernée par la contrefaçon que des maisons de luxe et d’horlogerie, même si elle fait fermer chaque année des dizaines de sites frauduleux. L’intérêt principal de ces certificats d’authenticité basés sur la blockchain est avant tout de rassurer les acheteurs d’occasion, tout en leur donnant l’opportunité d’entrer en relation directe avec elle. La revente, les marketplaces, la location... “Le certificat numérique garantit à l’acheteur qu’il achète un produit authentique. L’intérêt pour nous est de pouvoir entrer en contact avec lui. On a observé qu’il n’y avait pas un grand chevauchement entre les acheteurs de première main et ceux de seconde main : cela signifie qu’il y a une grande partie de nos acheteurs qu’on ne connaît absolument pas” ajoute Pierre-Arnaud Grenade, qui a fait de la revente un enjeu de fidélisation et de conquête client. “Aujourd’hui, notre enjeu n’est plus uniquement le retail. Il est d’accepter l’idée que l’omnicanal, c’est pas seulement le retail et le digital, mais aussi tous les autres canaux, quels qu’ils soient : la revente, les marketplaces, la location… il faut que tout cela soit extrêmement fluide” ajoute-t-il. Interagir tout au long de la vie du produit “Prouver l’authenticité est l’une des choses que permet notre technologie, mais ce ‘double numérique’ permet également d’offrir des services autour du produit. C’est un premier contact avec le client, avec lequel la marque peut ensuite interagir tout au long de la vie du produit”, précise Pierre Nicolas Hurstel, CEO et co-fondateur d’Arianee. Celui-ci ajoute que la démarche est totalement volontaire : si l’acheteur du produit d’occasion veut rester anonyme aux yeux de la marque, il le peut. Mugler, Richemont, Vacheron Constantin ou Breitling aussi rejoignent Arianee Afin d’anticiper les nouveaux usages rendus possibles par la blockchain, ba&sh a intégré le consortium Arianee, aux côtés de Mugler, Richemont, Vacheron Constantin ou Breitling. “A la fin de l’année prochaine, plus de trois millions d’identités numériques seront émises. Cela va permettre aux marques d’offrir des services à forte valeur ajoutée après l’achat. De plus en plus de marques nous disent qu’elles sont prêtes”, ajoute Pierre Nicolas Hurstel. Développement durable et innovation Pour ba&sh, cette initiative s’inscrit dans une réflexion plus large autour du développement durable et de l’innovation. “Une des caractéristiques de l'entreprise, c’est d’être non seulement créative dans la mode, mais aussi innovante. Ce sujet s’inscrit dans une réflexion plus globale sur l’environnement : nous avons aussi une initiative autour de la location, nous travaillons beaucoup sur les matières, les fournisseurs, notre bilan carbone… C’est un projet qui englobe toute la chaîne de valeur” conclut Pierre-Arnaud Grenade.
Amadeus et AXA Partners s’associent pour rendre les voyages d’affaires plus sûrs
Le partenariat noué entre le fournisseur de technologie pour l’industrie du voyage et l’entité d’Axa spécialisée dans les services d’assistance va permettre aux entreprises et aux voyageurs d’affaires utilisant Amadeus cytric T&E de bénéficier d’un meilleur niveau de protection. Amadeus et AXA Partners vont déployer, dans un premier temps dans toute l’Europe, une nouvelle offre permettant aux entreprises de « disposer des bons outils et des bonnes informations pour garantir la sécurité et le bien-être de leurs collaborateurs en déplacement« . Ces derniers bénéficieront ainsi, en utilisant Amadeus cytric Travel & Expense, d’un meilleur niveau de protection, du début à la fin de leurs voyages, grâce aux services médicaux et d’assistance d’AXA Partners. « Alors qu’Amadeus cytric Travel & Expense facilitera la planification, la réservation, les services pendant le voyage et la gestion des notes de frais, AXA Partners complétera l’offre avec des prestations sur mesure, incluant une couverture globale d’assistance médicale, la gestion des risques pendant le voyage et l’assurance« , précisent les deux entreprises dans un communiqué commun. Grâce à ce partenariat, AXA Partners proposera aux clients d’Amadeus cytric un modèle commercial en «pay-per-use» basé sur le voyage réel et non sur une cotisation annuelle classique. Les entreprises ne paieront les prestations d’assurance et d’assistance à AXA Partners que pour la durée effective du déplacement de leurs collaborateurs. Et ces derniers, avec Amadeus cytric, bénéficieront d’une protection complète du début du voyage jusqu’à leur retour à la maison. Samia Baliad, responsable des solutions de déplacements professionnels chez AXA Partners, rappelle que la garantie de sécurité des collaborateurs « est une priorité croissante des programmes de voyage d’affaires. Le duty of care et l’évaluation des risques deviennent des éléments clés des politiques voyages. Les entreprises recherchent des informations fiables sur les risques qu’elles peuvent partager en temps réel avec leurs collaborateurs et les voyageurs en déplacement« .
Venezuela Pays for Imports From Iran and Turkey With Bitcoin to Evade Sanctions | News
Venezuela has been using bitcoin to pay for imports from allied countries, local news outlet Runrun.es reported this week. The government of President Nicolas Maduro is also planning to increase its usage of bitcoin in trade now that the Venezuelan Army is actively mining the cryptocurrency at its recently inaugurated crypto mining center, the publication added, quoting sources from the Central Bank of Venezuela as saying: Payments to companies from allied countries, such as Iran or Turkey, have been made through bitcoins. Maduro explained that the country’s anti-blockade law allows him to “use all the cryptocurrencies in the world, public, state or private, for internal and external trade,” announcing that some important projects are already in development. This law was approved in October by the pro-government National Constituent Assembly. It provides a wide range of tools aimed at mitigating the effects of U.S. sanctions placed on the Venezuelan economy.
Venezuelan Crypto-Friendly Freelancing Platform Emerges Amid Economic Crisis, US Sanctions | News
More cryptocurrency solutions keep appearing on the scene for Venezuelan residents as U.S. sanctions weigh on Nicolás Maduro’s government, including heavy restrictions on the circulation of foreign exchange transactions, driving people to find on crypto a way to circumvent such hurdles and the economic crisis. Venezuelan Freelancers Find Ways to Circumvent U.S. Sanctions by Using Crypto Venezuela Workers, a Venezuelan freelancing platform, had emerged to connect local freelancers with global employers who are seeking to pursue some project or performing a specific task. But the platform is the first-of-its-kind in the country, as all the payments are made via cryptocurrencies such as bitcoin (BTC) and bitcoin cash (BCH). According to their website, the major purpose of launching this platform is to help Venezuelan freelancers to deal with the ongoing economic crisis, which has driven Venezuela’s national currency, bolivar, to have a strong depreciation since several years ago due to hyperinflation. With the Venezuela-based freelancing platform, Venezuela Workers expects to connect local freelancers with “major companies” worldwide. If a firm wants to hire a Venezuelan worker through Venezuela Workers, but they don’t have BTC or BCH to arrange the payment, the platform allows exchanging other cryptos through a third-party site. Chainalysis: Venezuela Is an “Excellent Example” of Crypto Adoption Venezuela is among the key players in the Latin American crypto industry in terms of adoption. A study published by Chainalysis on September 8, 2020, described the country as an “excellent example” of crypto adoption within emerging countries as a means to mitigate the economic crisis. They stated: Our data shows that Venezuelans use cryptocurrency more when the country’s native fiat currency is losing value to inflation, suggesting that Venezuelans turn to cryptocurrency to preserve savings they may otherwise lose.
Amazon, géant de la pollution qui s’ignore
« Nous pouvons sauver la Terre !, clame Jeff Bezos sur Instagram. Il faut prendre des mesures collectives [notamment] dans les grandes entreprises. » Le réveil écologique a sonné l’an dernier pour le patron d’Amazon, lorsqu’il a promis que son entreprise atteindrait la neutralité carbone en 2040. Sacré défi pour une société qui transporte et livre 10 milliards d’objets dans le monde chaque année. Il faut dire que la firme était à la traîne, interpellée à de nombreuses reprises pour son manque d’implication dans la lutte contre le réchauffement climatique. Invité en 2016 par l’ONG Carbon Disclosure Project à faire la lumière sur ses émissions, le géant du commerce en ligne n’avait pas jugé nécessaire de répondre et s’était retrouvé cloué au pilori des pollueurs, aux côtés des pétroliers ExxonMobil, BP et Chevron. L’année suivante, Greenpeace l’épinglait pour son faible recours aux énergies renouvelables (17 %, contre 56 % pour Google ou 83 % pour Apple).
Venezuelan Army Starts Mining Bitcoin for ‘Unblockable Income’ | Mining
The Venezuelan Army’s cryptocurrency mining center was inaugurated on Nov. 19 by the 61st Agustín Codazzi Engineer Conditioning Brigade, according to local media. The inauguration was led by Bolivarian Army General Lenin Herrera, Commander of the Brigade. He was accompanied by Major General Domingo Hernández Lárez, Commander of the Bolivarian Army and one of the highest-ranking military personnel in Venezuela. Also present at the event were representatives from Superintendencia Nacional de Criptoactivos y Actividades (Sunacrip) and the private company Crypto & Trading. Sunacrip regulates the crypto sector in Venezuela. The Brigade posted a video on Instagram explaining its cryptocurrency mining operations. “For the sake of strengthening and self-sustainability of our Bolivarian army, the harvesters of the 61st Agustín Codazzi Engineer Conditioning Brigade, proudly present the technological [blockchain] project of the Army’s digital asset production center,” it details, as translated by Bitcoin.com. The mining center has the support of more than 26 national legal norms, the country’s new anti-blockade law, Sunacrip, and the civic-military alliance.
China Airdrops Digital Yuan Worth $3 Million — 10,000 Stores Will Accept It | News
$3 Million in Digital Yuan Giveaway The Chinese city of Suzhou, located west of Shanghai, is reportedly gearing up to hand out 20 million yuan in the country’s central bank digital currency (CBDC) to 100,000 residents, according to a statement posted Friday by the Suzhou municipal government. The digital yuan is officially known as the Digital Currency Electronic Payment (DCEP). The South China Morning Post detailed: A total of 100,000 digital red packets, each containing 200 yuan, will be distributed to residents on December 11, the eve of the so-called Double Twelve shopping festival. They will be valid until December 27. “Any Chinese citizen living in the eastern city can register for the lottery through Suzhoudao, the city’s official public services app,” the publication added. The lottery winners will receive the red packets through the official Digital Renminbi App. A few hundred digital yuan giveaway recipients will also become the first to use what the central bank, the People’s Bank of China (PBOC), calls “dual offline wallets.” This allows them to use the digital yuan to pay for goods in stores without having to be connected to the internet, “effectively replacing notes and coins with the digital yuan,” the news outlet conveyed. About 10,000 stores will take part in Suzhou’s digital yuan trial. This includes JD.com which claims to be China’s largest online retailer. The company announced on Saturday it has become China’s first online platform to accept the PBOC-backed digital currency, Reuters reported. JD.com’s fintech arm JD Digits will accept the digital yuan as payment for some products on its online mall, a post on the company’s official Wechat account details. Suzhou’s digital yuan airdrop follows a similar giveaway in Shenzhen where the first large-scale public trial of the PBOC-backed digital currency took place in October. Ten million yuan were airdropped to 50,000 Shenzhen residents and 3,389 stores participated.
Comment Philippe Corrot a fait de Mirakl la 10ème licorne française
Le Lycée Pasteur, à Neuilly, n'a pas été que le vivier d'une bande de comiques ayant fait les beaux jours du cinéma français. Le terrain de jeux du faux château Louis XII de la banlieue huppée de Paris a aussi été arpenté par l'un des rares champions français du numérique. Vingt ans après que Gérard Jugnot, Thierry Lhermitte et Christian Clavier ont découvert le septième art au ciné-club, Philippe Corrot, le fondateur de Mirakl, la nouvelle licorne française qui permet aux e-commerçants de créer leur propre place de marché en y associant d'autres vendeurs, scellait son amitié avec Michael Ziegler le long du boulevard d'Inkermann. « Il était prudent, presque sauvage », témoigne le second. Philippe Corrot franchit la première marche de sa carrière d'entrepreneur en série dans les escaliers qui mènent à la cave du père de son ami. Il y crée Keyrus, pionnière des agences Web. L'histoire rapprochait ces familles d'Ashkénazes qui avaient fui les persécutions d'Europe de l'Est. Les Korowsky sont devenus Corrot aux abords des étangs du bois de Boulogne. Le collégien un peu sauvage cachait un tempérament. « Une fois passée la méfiance du premier abord, il se révèle », décrypte Alexandre Viros, le patron d'Adecco que Philippe Corrot rencontrera plus tard, à la Fnac. « Affirmé, très curieux et passionné », complète Michael Ziegler. L'informatique dès l'âge de 4 ans Le lycée sera pourtant sa seule école. Malgré une mention au bac, un mois de droit résume ses études supérieures. « Mon parcours scolaire a été chaotique. Mes parents ne s'occupaient pas de moi », se justifie l'intéressé. Le campus de Nanterre forgera quand même son destin. À côté de la faculté d'Etat, éternel foyer de la contestation, pousse « la fac Pasqua », privée, neuve, bourrée de PC, de Mac et reliée à Internet. « Je passais mes journées dans les salles informatiques, se souvient Philippe Corrot, alors que je m'étais inscrit en commerce et gestion, parce que c'était moins cher. »