HOSPITALITY LAB & PRACTICE FOR BRANDS

Blog2017-10-23T13:43:48+00:00

GDPR : L’hospitalité des marques fait loi en Europe.

GDPR : L’hospitalité des marques fait loi en Europe.

En imposant aux marques de privilégier l’intérêt de leurs clients dans la gestion des données qu’elles détiennent, l’Europe fait de l’hospitalité le vecteur principal de leur croissance.

1. AUJOURD’HUI, LA CROISSANCE DES MARQUES PASSE PAR LA QUALITÉ DE LEUR RELATION CLIENTS.

Dans un monde digital, « Les Marchés sont des Conversations ».

Dès 1999, Doc Searls et ses co-auteurs avaient mis cette idée au coeur de leur “Clue Train Manifesto” (Manifeste des Evidences) (1), démontrant alors avec brio comment le développement du “capital relationnel” de la marque pouvait devenir le principal moteur de la croissance des entreprises.

L’arrivée des sites internet dans la fin des années 1990 avait eu en effet le mérite de faire prendre conscience qu’il pouvait se nouer une relation directe entre l’entreprise et ses clients, sans passer par un distributeur ; et que ces nouveaux liens produisaient énormément de données qu’il était probablement intéressant d’exploiter : ainsi, pour développer plus loin l’idée du “Clue Train”, lorsqu’il s’agit de générer une croissance durable des ventes et des profits, les meilleurs atouts de la marque sont sa légitimité à susciter des échanges autour de son coeur de métier (Conversation), son intelligence à les analyser (Curation), sa capacité à apporter des réponses adaptées aux besoins exprimés (Customization), et finalement son empathie relationnelle, propre à mettre le client en résonance avec la marque (Communion). Autant d’atouts qui précèdent dorénavant la simple « qualité des produits » mis au catalogue, autrefois le principal fer de lance des entreprises.
Une vision depuis partagée par Interbrand(2), qui dans sa publication annuelle du classement de la valeur des marques insiste sur le fait que “la croissance est la conséquence d’une stratégie claire et d’expériences exceptionnelles délivrées au consommateur”.
Voici donc venu le temps pour les marques soucieuses de croissance durable de passer un nouveau contrat relationnel avec leurs consommateurs, où l’achat et la livraison du produit n’est plus la fin mais le début de la relation : un contrat qui couvre d’abord l’usage, et l’expérience qui l’accompagne. Un contrat qui est aussi l’occasion de proposer de nouveaux moments de consommation, de nouveaux services, qui sont autant de chiffre d’affaires supplémentaire pour les marques. Mais un contrat relationnel d’abord fondé sur le respect de l’intérêt du client, notamment en matière d’utilisation de ses données.

 

2. GDPR : UNE RÉGLEMENTATION POUR SAISIR DE NOUVELLES OPPORTUNITÉS DE CROISSANCE.

Selon une étude récente de la Commission Européenne(3), 72% des Européens s’inquiètent en effet de laisser trop de données personnelles aux entreprises, souvent à leur insu, et surtout de ne pas en recevoir de réelle contrepartie. D’ailleurs, la connaissance plus précise du client semble ne faciliter en rien la capacité de l’entreprise à mieux cibler ses offres : selon tous les indicateurs(4), le taux d’ouverture des mails diminue alors que les désabonnements (opt-out) augmentent, ce qui fragilise largement la rentabilité des investissements lourds consentis dans le CRM.
La Commission souligne également que le marché en ligne est constitué à 57% d’échanges avec des opérateurs américains, alors que seulement 4% des échanges se font au travers d’opérateurs pan-européens. Elle estime que si les 100 plus grosses entreprises Européennes faisaient un usage judicieux de leurs données clients, le PNB Européen pourrait s’octroyer 1,9% de progression supplémentaire d’ici 2020, soit plus de 200 Milliard d’Euros de gain potentiel.
C’est avant tout à cette opportunité de croissance que la GDPR s’attaque : permettre une meilleure utilisation des données pour les entreprises grâce à un consentement avéré des consommateurs, favoriser les échanges intra-européens au sein d’un univers mieux sécurisé. Loin d’être une contrainte, la GDPR est une chance de développement de nouvelles sources de revenus pour les marques européennes : elle conduit à un modèle de croissance durable rendu possible par une approche choisie et non plus subie de la consommation. Avec la GDPR, les marques doivent négocier avec chacun de leurs clients un contrat relationnel : elles doivent se mettre à l’écoute, comprendre les besoins, proposer leurs services, et définir les modalités de la relation ; le tout dans la transparence ( accès aux données, droit de modification) qui établit la confiance, l’attachement. Les marques deviennent alors attachantes dans le bon sens du terme, et c’est de cet attachement que nait la croissance durable.
C’est à ce nouveau modèle relationnel qu’appellait lui-même Doc Searls dans son “Clue Train Manifesto” : il lui avait même trouvé un nom, la VRM (Vendor Relationship Management). Une approche basée sur le consentement avéré du client vis à vis de ses fournisseurs (vendeurs) avec un postulat simple : “un consommateur libre a plus de valeur qu’un consommateur captif – pour lui-même, pour les marques et pour l’économie en général”.
Encore faut-il s’entendre sur la définition du consommateur “libre”. Searls le définit en cinq points :
1. Il entre en relation avec les marques de manière indépendante et sans contrainte.
2. Il est le point d’intégration de sa propre donnée (c’est lui seul qui peut relier sa donnée à sa personne).
3. Il a le contrôle de la donnée qu’il génère et collecte. Il décide de ce qu’il veut partager, à qui et comment.
4. Il définit son propre niveau d’engagement avec les marques.
5. Il est libre d’exprimer ses exigences et ses intentions en dehors du contrôle de toute entreprise.
C’est ce consommateur “libre” que la GDPR souhaite aujourd’hui promouvoir, afin d’en faire le vecteur de croissance de l’économie.

3. L’HOSPITALITE DES MARQUES, PRINCIPAL VECTEUR DE LEUR PROPRE CROISSANCE.

Accueillir un consommateur “libre” est sans doute une perspective qui effraie bon nombre de marques, tant elle ont été construites sur la notion d’un marketing manipulateur et insidieux, capable d’influencer jusqu’aux émotions pour enfermer les clients dans un tunnel de vente dont la seule issue est l’achat du produit. Avec la GDPR, ce n’est plus le produit qu’il va falloir vendre, c’est la marque qui doit apprendre à se faire acheter. Et pour cela, il va falloir qu’elle se montre hospitalière vis à vis de ses clients : bienveillante, humaine et proche.
Le produit devient simplement la porte d’entrée à la marque, celui qui va forger les impressions de la première rencontre, et donc le début (et non la fin) de l’histoire. Le produit n’est plus qu’un prétexte, c’est la marque qui devient le réel support de l’expérience pour le consommateur : c’est d’ailleurs à elle qu’il va naturellement s’adresser s’il a besoin d’assistance ou s’il a simplement des remarques à formuler. À la marque de se montrer engageante, accueillante, généreuse et humaine pour fidéliser le consommateur au-delà du premier produit, et pour entretenir une relation proche, intime, qui permettra de continuer à vendre sans qu’il soit besoin de déployer la coûteuse armada publicitaire du premier jour : avoir une stratégie à long terme d’entretien de la relation, plutôt que de s’épuiser dans des efforts permanents de recrutement.
Autant le “tunnel de vente” était indifférencié et anonyme, donc étranger à toute notion d’hospitalité, autant le “cycle de décision d’achat” est personnalisé et fait appel à la relation humaine : c’est de la capacité de la marque à accueillir que dépend la fidélisation du client, et encore plus, sa propension à devenir activement promoteur vis à vis de ses pairs. Pour le dire différemment, c’est du niveau d’hospitalité de la marque que va découler l’amplitude de la réalisation du cycle d’achat, et donc le montant de la valeur créée.
Autant le “tunnel de vente” s’envisageait dans un temps le plus court possible, avec l’espoir de limiter la durée d’exposition nécessaire pour déclencher l’achat afin de réduire les coûts, autant le “cycle de décision d’achat” s’inscrit dans la durée la plus longue possible afin de maximiser les revenus. En se plaçant dans une notion de permanence, on met forcément en exergue la qualité de l’hospitalité, seule capable de générer de la pérennité dans la relation.
Plus le consommateur progresse avec la marque, plus la marque fait preuve de « disponibilité » vis à vis des demandes du consommateur, plus se crée la confiance dans la relation, le consommateur récupérant de plus en plus de valeur d’usage en retour de sa relation avec la marque, la marque obtenant de plus en plus de “permissions” qui lui permettent d’aller encore plus loin dans son service du consommateur.
C’est bien là le cercle vertueux de l’hospitalité des marques : un marketing “on demand” (inbound marketing), un marketing de l’échange, de la confiance, de la permission, du partage de la valeur, où les clients sont aussi des hôtes ; un marketing qui se définit d’abord par rapport au client pour qu’il puisse adopter lui-même la marque, la faire sienne et en devenir à son tour le porte-parole…
Alors que la GDPR fait des marques le gibier de consommateurs devenus madrés, l’hospitalité est la meilleure réponse pour faire de ces mêmes marques les plus désirables des proies : avec bienveillance, humanité et intimité. Assurant ainsi la pérennité de leur croissance.

4. QUELLES APPROCHES POUR LES MARQUES FACE A LA GDPR ?

Ce serait peine perdue pour les marques que de se contenter de « mettre en conformité » leur bases de données tout en espérant garder les mêmes pratiques relationnelles. Car la GDPR est d’abord une invitation à renverser ses pratiques relationnelles pour faire montre d’hospitalité vis à vis de ses clients ; et c’est ce renversement d’attitude qui est lui même porteur de croissance pour les marques. Avec la GDPR, l’hospitalité ouvre pour les marques de nouvelles perspectives de croissance.
Une étude publiée en Mai dernier par le gouvernement Britannique4 s’était alarmée sur le fait que seulement 30% des grandes entreprises du pays avaient commencé à prendre les mesures nécessaires à la mise en conformité de leurs pratiques d’utilisation des données, alors que la transcription dans la loi Britannique vient d’être réalisée en ce mois d’Août, et qu’elle survivra au Brexit. Les autres pays feront-ils preuve de la même insouciance, par rapport à une échéance qui dans la plupart des pays européens, a été fixée à Mai 2018 ?
La GDPR transforme radicalement la manière dont les entreprises utilisent les données. Il va falloir arrêter d’acheter des listes d’adresses, et même se débarasser des listes qu’on aura pu acheter auparavant. Contacter un client exigera d’avoir les permissions nécessaires, sauf à s’exposer à des amendes prévues pour atteindre jusqu’à 4% du chiffre d’affaires.
Il n’y aura donc pas d’échappatoires.
Mais n’est-ce pas justement l’opportunité d’une prise de conscience salutaire dans le futur de la relation client ? Quelle marque aujourd’hui a encore besoin d’avoir accès à des millions de noms dont simplement un infime pourcentage montre un intérêt pour ses propositions ? Ne vaudrait-il pas mieux établir une véritable relation avec moins de clients mais qui ont un véritabe intérêt à avoir un dialogue, un échange, une conversation avec la marque ?
N’est-il pas temps, tout simplement, que les marques apprennent à devenir hospitalières vis à vis de leurs clients ?
Et si la GDPR n’était qu’un manifeste pour l’hospitalité des marques ? Une manière de sauver les marques traditionnelles à l’heure du digital ? La dernière opportunité à saisir avant liquidation ou reprise par les acteurs de la nouvelle économie ?
En développant leur hospitalité pour se mettre en conformité avec la GDPR, ce n’est pas tant l’amende que les marques vont éviter, c’est leur futur qu’elle vont assurer.
Aucune raison d’attendre. Embrassons la GDPR en développant l’hospitalité des marques (5).

 

 

(1) Le Cluetrain Manifesto (Manifeste des évidences) est un texte rédigé par Rick Levine, Christopher Locke, Doc Searls, et David Weinberger. Il est d’abord diffusé sur le web en 1999 comme un ensemble de quatre-vingt-quinze thèses, puis est publié sous forme de livre en 2000 avec les thèses prolongées de sept essais. https://www.amazon.com/Cluetrain-Manifesto-End-Business-Usual/dp/0738204315
(2) Etude 2016 Interbrand : http://interbrand.com/best-brands/best-global-brands/2016/
(3) Etude de la Commission Européenne : https://ec.europa.eu/commission/publications/why-we-need-digital-single-market_en
(4) Citée par Tanya Joseph dans le magazine Marketing Week (UK) du 7 Août 2017, New data laws are a chance to reset customer relationships : https://www.marketingweek.com/2017/08/07/tanya-joseph-data-law/
(5) Cf, “Manifeste pour l’Hospitalité des Marques”, Georges-Edouard DIAS, Edition Netexplo : https://www.amazon.fr/dp/2954667230/

Airbnb valorisée 100 milliards de dollars à Wall Street

By |December 11th, 2020|Categories: Scoop.it|

vec une action à 144,77 dollars, soit plus du double de la valeur d’ouverture, la plateforme de location saisonnière réalise une entrée en grande pompe à Wall Street. L’entrée de Airbnb au Nasdaq est pour le moins réussie. Les actions de la plateforme de locations saisonnières ont été introduites à 68 dollars, ce qui est bien au-dessus de la fourchette de prix initialement prévue (56 – 60 $) et qui avait déjà fait l’objet d’une augmentation, pour finalement terminer à 144,71 dollars, soit plus du double de la valeur d’ouverture. L’opération a permis à la firme de récolter 3,4 milliards de dollars. Une entrée en grande pompe pour Airbnb, dont la valorisation globale environne 100 milliards de dollars selon Bloomberg. Heurtée par la pandémie, l’entreprise a dû licencier environ 25 % de ses salariés et lever 2 milliards de dollars pour survivre. Malgré la difficulté de la période, l’entreprise est parvenue à dégager 219 millions de dollars de bénéfices à l’été 2020 profitant du désengagement des voyageurs envers les hôtels notamment. Des performances sans doute appréciées à Wall Street où les acteurs de l’économie circulaire sont parfois entrés en bourse sans jamais générer de profit, à l’instar d’Uber qui vient par ailleurs de recentrer son activité sur la livraison de repas.

Comment ba&sh utilise la blockchain pour se connecter avec les…

By |December 11th, 2020|Categories: Scoop.it|

Ba&sh est moins concernée par la contrefaçon   Avec son modèle de distribution en direct et son positionnement “luxe accessible”, ba&sh est moins concernée par la contrefaçon que des maisons de luxe et d’horlogerie, même si elle fait fermer chaque année des dizaines de sites frauduleux. L’intérêt principal de ces certificats d’authenticité basés sur la blockchain est avant tout de rassurer les acheteurs d’occasion, tout en leur donnant l’opportunité d’entrer en relation directe avec elle.     La revente, les marketplaces, la location... “Le certificat numérique garantit à l’acheteur qu’il achète un produit authentique. L’intérêt pour nous est de pouvoir entrer en contact avec lui. On a observé qu’il n’y avait pas un grand chevauchement entre les acheteurs de première main et ceux de seconde main : cela signifie qu’il y a une grande partie de nos acheteurs qu’on ne connaît absolument pas” ajoute Pierre-Arnaud Grenade, qui a fait de la revente un enjeu de fidélisation et de conquête client. “Aujourd’hui, notre enjeu n’est plus uniquement le retail. Il est d’accepter l’idée que l’omnicanal, c’est pas seulement le retail et le digital, mais aussi tous les autres canaux, quels qu’ils soient : la revente, les marketplaces, la location… il faut que tout cela soit extrêmement fluide” ajoute-t-il.     Interagir tout au long de la vie du produit   “Prouver l’authenticité est l’une des choses que permet notre technologie, mais ce ‘double numérique’ permet également d’offrir des services autour du produit. C’est un premier contact avec le client, avec lequel la marque peut ensuite interagir tout au long de la vie du produit”, précise Pierre Nicolas Hurstel, CEO et co-fondateur d’Arianee. Celui-ci ajoute que la démarche est totalement volontaire : si l’acheteur du produit d’occasion veut rester anonyme aux yeux de la marque, il le peut.     Mugler, Richemont, Vacheron Constantin ou Breitling aussi rejoignent Arianee Afin d’anticiper les nouveaux usages rendus possibles par la blockchain, ba&sh a intégré le consortium Arianee, aux côtés de Mugler, Richemont, Vacheron Constantin ou Breitling. “A la fin de l’année prochaine, plus de trois millions d’identités numériques seront émises. Cela va permettre aux marques d’offrir des services à forte valeur ajoutée après l’achat. De plus en plus de marques nous disent qu’elles sont prêtes”, ajoute Pierre Nicolas Hurstel.   Développement durable et innovation   Pour ba&sh, cette initiative s’inscrit dans une réflexion plus large autour du développement durable et de l’innovation. “Une des caractéristiques de l'entreprise, c’est d’être non seulement créative dans la mode, mais aussi innovante. Ce sujet s’inscrit dans une réflexion plus globale sur l’environnement : nous avons aussi une initiative autour de la location, nous travaillons beaucoup sur les matières, les fournisseurs, notre bilan carbone… C’est un projet qui englobe toute la chaîne de valeur” conclut Pierre-Arnaud Grenade.

Amadeus et AXA Partners s’associent pour rendre les voyages d’affaires plus sûrs

By |December 11th, 2020|Categories: Scoop.it|

Le partenariat noué entre le fournisseur de technologie pour l’industrie du voyage et l’entité d’Axa spécialisée dans les services d’assistance va permettre aux entreprises et aux voyageurs d’affaires utilisant Amadeus cytric T&E de bénéficier d’un meilleur niveau de protection. Amadeus et AXA Partners vont déployer, dans un premier temps dans toute l’Europe, une nouvelle offre permettant aux entreprises de « disposer des bons outils et des bonnes informations pour garantir la sécurité et le bien-être de leurs collaborateurs en déplacement« . Ces derniers bénéficieront ainsi, en utilisant Amadeus cytric Travel & Expense, d’un meilleur niveau de protection, du début à la fin de leurs voyages, grâce aux services médicaux et d’assistance d’AXA Partners. « Alors qu’Amadeus cytric Travel & Expense facilitera la planification, la réservation, les services pendant le voyage et la gestion des notes de frais, AXA Partners complétera l’offre avec des prestations sur mesure, incluant une couverture globale d’assistance médicale, la gestion des risques pendant le voyage et l’assurance« , précisent les deux entreprises dans un communiqué commun. Grâce à ce partenariat, AXA Partners proposera aux clients d’Amadeus cytric un modèle commercial en «pay-per-use» basé sur le voyage réel et non sur une cotisation annuelle classique. Les entreprises ne paieront les prestations d’assurance et d’assistance à AXA Partners que pour la durée effective du déplacement de leurs collaborateurs. Et ces derniers, avec Amadeus cytric, bénéficieront d’une protection complète du début du voyage jusqu’à leur retour à la maison. Samia Baliad, responsable des solutions de déplacements professionnels chez AXA Partners, rappelle que la garantie de sécurité des collaborateurs « est une priorité croissante des programmes de voyage d’affaires. Le duty of care et l’évaluation des risques deviennent des éléments clés des politiques voyages. Les entreprises recherchent des informations fiables sur les risques qu’elles peuvent partager en temps réel avec leurs collaborateurs et les voyageurs en déplacement« .

Venezuela Pays for Imports From Iran and Turkey With Bitcoin to Evade Sanctions | News

By |December 11th, 2020|Categories: Scoop.it|

Venezuela has been using bitcoin to pay for imports from allied countries, local news outlet Runrun.es reported this week. The government of President Nicolas Maduro is also planning to increase its usage of bitcoin in trade now that the Venezuelan Army is actively mining the cryptocurrency at its recently inaugurated crypto mining center, the publication added, quoting sources from the Central Bank of Venezuela as saying: Payments to companies from allied countries, such as Iran or Turkey, have been made through bitcoins. Maduro explained that the country’s anti-blockade law allows him to “use all the cryptocurrencies in the world, public, state or private, for internal and external trade,” announcing that some important projects are already in development. This law was approved in October by the pro-government National Constituent Assembly. It provides a wide range of tools aimed at mitigating the effects of U.S. sanctions placed on the Venezuelan economy.

Venezuelan Crypto-Friendly Freelancing Platform Emerges Amid Economic Crisis, US Sanctions | News

By |December 11th, 2020|Categories: Scoop.it|

More cryptocurrency solutions keep appearing on the scene for Venezuelan residents as U.S. sanctions weigh on Nicolás Maduro’s government, including heavy restrictions on the circulation of foreign exchange transactions, driving people to find on crypto a way to circumvent such hurdles and the economic crisis. Venezuelan Freelancers Find Ways to Circumvent U.S. Sanctions by Using Crypto Venezuela Workers, a Venezuelan freelancing platform, had emerged to connect local freelancers with global employers who are seeking to pursue some project or performing a specific task. But the platform is the first-of-its-kind in the country, as all the payments are made via cryptocurrencies such as bitcoin (BTC) and bitcoin cash (BCH). According to their website, the major purpose of launching this platform is to help Venezuelan freelancers to deal with the ongoing economic crisis, which has driven Venezuela’s national currency, bolivar, to have a strong depreciation since several years ago due to hyperinflation. With the Venezuela-based freelancing platform, Venezuela Workers expects to connect local freelancers with “major companies” worldwide. If a firm wants to hire a Venezuelan worker through Venezuela Workers, but they don’t have BTC or BCH to arrange the payment, the platform allows exchanging other cryptos through a third-party site. Chainalysis: Venezuela Is an “Excellent Example” of Crypto Adoption Venezuela is among the key players in the Latin American crypto industry in terms of adoption. A study published by Chainalysis on September 8, 2020, described the country as an “excellent example” of crypto adoption within emerging countries as a means to mitigate the economic crisis. They stated: Our data shows that Venezuelans use cryptocurrency more when the country’s native fiat currency is losing value to inflation, suggesting that Venezuelans turn to cryptocurrency to preserve savings they may otherwise lose.

Amazon, géant de la pollution qui s’ignore

By |December 11th, 2020|Categories: Scoop.it|

« Nous pouvons sauver la Terre !, clame Jeff Bezos sur Instagram. Il faut prendre des mesures collectives [notamment] dans les grandes entreprises. » Le réveil écologique a sonné l’an dernier pour le patron d’Amazon, lorsqu’il a promis que son entreprise atteindrait la neutralité carbone en 2040. Sacré défi pour une société qui transporte et livre 10 milliards d’objets dans le monde chaque année. Il faut dire que la firme était à la traîne, interpellée à de nombreuses reprises pour son manque d’implication dans la lutte contre le réchauffement climatique. Invité en 2016 par l’ONG Carbon Disclosure Project à faire la lumière sur ses émissions, le géant du commerce en ligne n’avait pas jugé nécessaire de répondre et s’était retrouvé cloué au pilori des pollueurs, aux côtés des pétroliers ExxonMobil, BP et Chevron. L’année suivante, Greenpeace l’épinglait pour son faible recours aux énergies renouvelables (17 %, contre 56 % pour Google ou 83 % pour Apple).

Venezuelan Army Starts Mining Bitcoin for ‘Unblockable Income’ | Mining

By |December 9th, 2020|Categories: Scoop.it|

The Venezuelan Army’s cryptocurrency mining center was inaugurated on Nov. 19 by the 61st Agustín Codazzi Engineer Conditioning Brigade, according to local media. The inauguration was led by Bolivarian Army General Lenin Herrera, Commander of the Brigade. He was accompanied by Major General Domingo Hernández Lárez, Commander of the Bolivarian Army and one of the highest-ranking military personnel in Venezuela. Also present at the event were representatives from Superintendencia Nacional de Criptoactivos y Actividades (Sunacrip) and the private company Crypto & Trading. Sunacrip regulates the crypto sector in Venezuela. The Brigade posted a video on Instagram explaining its cryptocurrency mining operations. “For the sake of strengthening and self-sustainability of our Bolivarian army, the harvesters of the 61st Agustín Codazzi Engineer Conditioning Brigade, proudly present the technological [blockchain] project of the Army’s digital asset production center,” it details, as translated by Bitcoin.com. The mining center has the support of more than 26 national legal norms, the country’s new anti-blockade law, Sunacrip, and the civic-military alliance.

China Airdrops Digital Yuan Worth $3 Million — 10,000 Stores Will Accept It | News

By |December 8th, 2020|Categories: Scoop.it|

$3 Million in Digital Yuan Giveaway The Chinese city of Suzhou, located west of Shanghai, is reportedly gearing up to hand out 20 million yuan in the country’s central bank digital currency (CBDC) to 100,000 residents, according to a statement posted Friday by the Suzhou municipal government. The digital yuan is officially known as the Digital Currency Electronic Payment (DCEP). The South China Morning Post detailed: A total of 100,000 digital red packets, each containing 200 yuan, will be distributed to residents on December 11, the eve of the so-called Double Twelve shopping festival. They will be valid until December 27. “Any Chinese citizen living in the eastern city can register for the lottery through Suzhoudao, the city’s official public services app,” the publication added. The lottery winners will receive the red packets through the official Digital Renminbi App. A few hundred digital yuan giveaway recipients will also become the first to use what the central bank, the People’s Bank of China (PBOC), calls “dual offline wallets.” This allows them to use the digital yuan to pay for goods in stores without having to be connected to the internet, “effectively replacing notes and coins with the digital yuan,” the news outlet conveyed. About 10,000 stores will take part in Suzhou’s digital yuan trial. This includes JD.com which claims to be China’s largest online retailer. The company announced on Saturday it has become China’s first online platform to accept the PBOC-backed digital currency, Reuters reported. JD.com’s fintech arm JD Digits will accept the digital yuan as payment for some products on its online mall, a post on the company’s official Wechat account details. Suzhou’s digital yuan airdrop follows a similar giveaway in Shenzhen where the first large-scale public trial of the PBOC-backed digital currency took place in October. Ten million yuan were airdropped to 50,000 Shenzhen residents and 3,389 stores participated.

Comment Philippe Corrot a fait de Mirakl la 10ème licorne française

By |December 8th, 2020|Categories: Scoop.it|

Le Lycée Pasteur, à Neuilly, n'a pas été que le vivier d'une bande de comiques ayant fait les beaux jours du cinéma français. Le terrain de jeux du faux château Louis XII de la banlieue huppée de Paris a aussi été arpenté par l'un des rares champions français du numérique. Vingt ans après que Gérard Jugnot, Thierry Lhermitte et Christian Clavier ont découvert le septième art au ciné-club, Philippe Corrot, le fondateur de Mirakl, la nouvelle licorne française qui permet aux e-commerçants de créer leur propre place de marché en y associant d'autres vendeurs, scellait son amitié avec Michael Ziegler le long du boulevard d'Inkermann. « Il était prudent, presque sauvage », témoigne le second. Philippe Corrot franchit la première marche de sa carrière d'entrepreneur en série dans les escaliers qui mènent à la cave du père de son ami. Il y crée Keyrus, pionnière des agences Web. L'histoire rapprochait ces familles d'Ashkénazes qui avaient fui les persécutions d'Europe de l'Est. Les Korowsky sont devenus Corrot aux abords des étangs du bois de Boulogne. Le collégien un peu sauvage cachait un tempérament. « Une fois passée la méfiance du premier abord, il se révèle », décrypte Alexandre Viros, le patron d'Adecco que Philippe Corrot rencontrera plus tard, à la Fnac. « Affirmé, très curieux et passionné », complète Michael Ziegler. L'informatique dès l'âge de 4 ans Le lycée sera pourtant sa seule école. Malgré une mention au bac, un mois de droit résume ses études supérieures. « Mon parcours scolaire a été chaotique. Mes parents ne s'occupaient pas de moi », se justifie l'intéressé. Le campus de Nanterre forgera quand même son destin. À côté de la faculté d'Etat, éternel foyer de la contestation, pousse « la fac Pasqua », privée, neuve, bourrée de PC, de Mac et reliée à Internet. « Je passais mes journées dans les salles informatiques, se souvient Philippe Corrot, alors que je m'étais inscrit en commerce et gestion, parce que c'était moins cher. »

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