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Comble du luxe, Gucci crée des œuvres virtuelles NFT avec des artistes synthétiques

Le projet commun s’intitule SUPERGUCCI. SUPERGUCCI est une série en trois volets de NFT (Non Fungibles Tokens) – des objets numériques uniques – ultra-limités co-créés par le directeur créatif de Gucci, Alessandro Michele, et Janky et Guggimon présentés comme des « artistes synthétiques » de SUPERPLASTIC. Janky et Guggimon sont en fait des artistes virtuels. Bref, ce ne sont pas de vraies personnes Janky et Guggimon sont en fait des artistes virtuels. Bref, ce ne sont pas de vraies personnes. Janky et Guggimon sont des personnages et des mascottes de SUPERPLASTIC, et sont entourés d’autres personnages virtuels. Bien que virtuels, Janky et Guggimon interagissent avec leurs fans sur les réseaux sociaux. Guggimon dispose de 1,4 million d’abonnés sur Instagram. Janky a 900 000 abonnés sur Instagram. Sur Tiktok, Janky et Guggimon grimpent ensemble à 3,3 millions d’abonnés. Ils sont également présents dans le jeu vidéo Fortnite. Janky et Guggimon, artistes synthétiques de SUPERPLASTIC Dans le projet SUPERGUCCI, chaque NFT incorpore les codes de la maison Gucci inspirés par la collection Aria de Gucci, créée par Alessandro Michele. Le NFT, objet numérique unique, est livré avec un objet physique, une sculpture SUPERGUCCI SuperJanky en céramique blanche exclusive de 8 pouces (20 centimètres) de haut, fabriquée à la main par des céramistes en Italie. L’édition est limitée à 500 exemplaires. Gucci Vautl, un espace expérimental accessible via la plateforme numérique Discord Les NFT de Gucci sont accessibles via Gucci Vault, l’espace expérimental de Gucci où l’on se connecte par la messagerie et la plateforme numérique Discord. Cet usage de Discord amène d’ailleurs le recrutement par Gucci d’un coordinateur de communautés sur Discord, également à l’aise avec les e-mails et les NFT. Des artistes qui n’existent pas sont parties prenantes d’oeuvres commercialisées dans un univers virtuel Force est de constater que le commerce, le luxe et l’exclusivité se compliquent avec des artistes qui n’existent pas réellement, qualifiés de « synthétiques », et qui sont parties prenantes d’oeuvres commercialisées dans un univers virtuel sous forme numérique NFT (Non Fungible Token), tout en étant accompagnées d’une émanation physique réalisée par d’autres et livrées par la poste. Gucci crée des oeuvres NFT avec SUPERPLASTIC SUPERPLASTIC a été créé en 2018 par l’artiste Paul Budnitz, et s’est fait connaître avec des figurines en plastique co-conçues en éditions limitées avec des designers.

By |2022-02-11T12:23:57+00:00February 11th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Les robots vocaux mobilisés dans le service client chez les hôtels Best Western

Best Western automatise sa relation client grâce aux bots, vocaux et chat. L’usage de ces bots améliore la concrétisation des ventes, avec une augmentation de +12% du taux de conversion. La technologie permet de réattribuer les actions des équipes autrement et de gommer les frictions pour que les employés soient au service du client, dans l’interaction. Un démarrage par le chatbot et les messageries Apple et Facebook Le réseau Best Western en France compte 300 hôtels indépendants et emploie 4000 personnes. Avec l’usage des bots vocaux, Best Western poursuit la transformation digitale de sa relation client initiée en 2018. Le réseau d’hôtels propose une communication multi-canal afin de faciliter le parcours de réservation de ses clients. Il y a deux ans, Best Western a proposé son chatbot en ligne sur son site e-commerce www.bestwestern.fr, puis il a mis en place des messageries instantanées, Facebook Messenger et  Apple Message. Le groupe vient de déployer un voicebot ainsi qu’un callbot et d’intégrer la messagerie WhatsApp Business Le groupe vient de déployer un voicebot ainsi qu’un callbot et vient d’intégrer la messagerie WhatsApp Business comme nouveau moyen de communication avec ses clients depuis août 2021. Best Western veut diversifier ses canaux de communication dans le cadre de sa stratégie de digitalisation et d’automatisation de son service client. Best Western veut s’adapter aux nouvelles habitudes de communication des clients. Sur ces projets, Best Western a travaillé avec iAdvize, qui propose une plateforme conversationnelle, et Yelda qui commercialise un voicebot et un callbot. Le service vocal par robot est proposé sur les enceintes connectées de Google et sur le site e-commerce de la chaîne hôtelière, accessible sur PC ou mobile. Il est également accessible par appel téléphonique. Ces solutions vocales automatisées sont couplées à l’humain, et intègrent plusieurs scénarii pour anticiper les questions des clients et les guider dans leur parcours d’achat. Les réponses des bots évoluent selon l’actualité, selon les nouveautés au sein des hôtels, les offres du moment, le changement de réglementation, les annonces gouvernementales, les services proposés dans les hôtels, la carte de fidélité Best Western Rewards et les conditions d’annulation. Des scénarii préparés par les équipes du service client Tous ces scénarii ont été préparés par les équipes du service client pour anticiper les besoins des voyageurs et leur répondre de façon instantanée et efficace. A l’instar du chatbot, le voicebot (proposé sur le site e-commerce et les enceintes Google) et le callbot (accessible par téléphone) basculent les questions vers les équipes du service client en cas de requêtes trop complexes ou qui susciteraient une attention particulière de leur part. Le voicebot est disponible sur le site www.bestwestern.fr et sur le terminal Google Home. Le client peut directement poser ses questions à l’assistant vocal pour connaître les offres du moment, les mesures réglementaires en vigueur. Le robot répondra : « Oui, nous avons 2 hôtels à Vannes qui acceptent les animaux, le Roof et le Vannes Centre » On peut poser des questions plus spécifiques aux hôtels comme par exemple « Y a-t-il un hôtel à Vannes qui accepte les chiens ? » Le robot répondra : « Oui, nous avons 2 hôtels à Vannes qui acceptent les animaux, le Roof et le Vannes Centre ». En utilisant le voicebot sur smartphone, en plus de la voix, un carrousel d’images défile avec le choix des hôtels. Le client peut soit répondre à la voix, soit cliquer pour consulter les établissements et continuer sur le site. La recherche vocale peut également se faire par enceintes connectées à Google Hom

By |2022-02-11T12:18:34+00:00February 11th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Revealed: Marketing’s strategic importance is on the rise

The data suggests limited progress has been made to address the diversity crisis highlighted in both the 2020 and 2021 editions of the Career and Salary Survey. Some 75.3% of the 4,463 respondents identify as white, down from 84.6% in 2021 and 88% in 2020. By comparison, 12.2% of respondents identify as Asian (up from 4.1% of the sample in 2021), 5.1% as mixed race (4% in 2021) and 2.7% as black (up from 1.2% in 2021). As in 2021, the sense of imbalance within the industry also applies to the socio-economic background of marketers and geographical split of roles, highlighting a continued bias towards London and the South East (56.8%). The bias towards more than half of marketing roles being in London and the South East is important from both a racial diversity and socio-economic diversity perspective. While the 2021 Census is yet to report, the 2011 Census revealed 44.9% of people in London identified as white British and 14.9% as ‘other white’. Office of National Statistics data from 2019, found London was the most ethnically and religiously diverse region in England and Wales, with 43.4% of people in the capital identifying as white British, 14.6% ‘other white’ and 7.9% as black African. In this context, the Career and Salary Survey statistics suggest that ahead of the two-year anniversary of the death of George Floyd, and the commitments made by brands to widen access to people from diverse backgrounds, a long-term focus is needed to address diversity within marketing. While 22.6% of the sample identify as coming from a working class or skilled working class background, some 71% of marketers identify as coming from either a lower middle, middle or upper middle class background. Furthermore, the data reveals a persistent skew within the marketing industry towards youth. Some 5.7% of respondents are classed as Gen Z (aged under 25) and 59.7% are millennials (aged 25 to 40), while 28.2% of the sample are classed as Gen X (aged 40 to 54) and 6% as baby boomers (aged 55 and over). To get a better sense of the issues emerging over the past year, Marketing Week has spoken to a variety of marketers to get their views, with in-depth features to follow exploring the skills gap, changing team characteristics, the rise of hybrid working and how brands are dealing with the great resignation. Click here to read the first feature in the series, looking at what is helping to boost perceptions of marketing. NEWSCAREER AND SALARY SURVEY 2022MARKETING LEADERSHIPMARKETING SKILLS & TRAININGMARKETING TEAM STRUCTURE Recommended Salary Survey 2021: Brand values and diversity commitments tested by the crisis Salary Survey 2021: Addressing the career consequences of Covid Salary Survey 2021: Team restructures open up possibilities for change Show Comments Marketing Week Jobs Find your next job Latest from Marketing Week More Seeing the value: How apprenticeships are being used to unearth fresh talent Coca-Cola claims revamped marketing model is already delivering ‘strong results’ John Lewis and Waitrose hire customer director to cover both brands Unilever highlights Ben & Jerry’s and Hellmann’s growth following brand purpose criticism Advertising Queries Contact Cookies FAQs Jobs Newsletter Privacy Website Terms and Conditions Twitter Linkedin Facebook Instagram Copyright © 2022 Centaur Media plc and / or its subsidiaries and licensors. All rights reserved. built by interconnect/it Xeim Limited, Registered in England and Wales with number 05243851 Registered office at Floor M, 10 York Road, London, SE1 7ND

By |2022-02-11T10:31:16+00:00February 11th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Le Marketing, grand gagnant des années Covid.

Comme le révèle l’enquête 2022 Marketing Week qui cherche à dresser un portrait britannique, mais très révélateur au niveau mondial, de la discipline post covid, le marketing a acquis un rôle stratégique plus important dans les entreprises au cours des 12 derniers mois, selon près d’un tiers –30,9 % – des 4 463 spécialistes du marketing ayant répondu à l’étude. L’enquête révèle notamment que 14,8 % des répondants sondés affirment que le marketing est mieux apprécié, tandis que 13,4 % prétendent qu’il est considéré comme plus influent. Seulement 10,3 % affirment que le marketing n’est pas considéré comme une priorité d’investissement, et 3,3 % décrivent le marketing comme ayant été moins apprécié au cours de l’année écoulée. Des pros qui prennent confiance L’évolution de la perception du marketing pourrait avoir un impact sur la façon dont les spécialistes du genre considèrent leur capacité à conduire le changement. Quelques 60,3 % des personnes interrogées se disent « très confiantes » ou « assez confiantes » dans leur capacité à influencer le changement dans leur organisation. Lorsqu’on leur demande dans quelle mesure les spécialistes du marketing se sentent confiants dans leur rôle et leur impact sur l’entreprise par rapport à l’année dernière, 17,5 % d’entre eux répondent qu’ils se sentent « beaucoup plus sûrs » et 36,2 % « un peu plus sûrs ». Si le marketing gagne en importance stratégique, beaucoup de doutes demeurent. Les différents secteurs des entreprises se sont restructurés et ont fusionné avec d’autres départements à un rythme plus soutenu. Les résultats de l’enquête révèlent d’énormes lacunes en matière de compétences dans le domaine des données et de l’analyse, ainsi que des priorités d’embauche divergentes pour les PME par rapport aux grandes entreprises, et une demande de travail hybride parmi les spécialistes du marketing. Un secteur de moins en moins cloisonné Les données suggèrent que des progrès limités ont été réalisés pour résoudre la crise de la diversité soulignée dans les éditions 2020 et 2021 de l’enquête sur les carrières et les salaires. Quelques 75,3 % des 4 463 répondants s’identifient comme blancs, contre 84,6 % en 2021 et 88 % en 2020. En comparaison, 12,2 % des répondants s’identifient comme asiatiques – contre 4,1 % de l’échantillon en 2021 –, 5,1 % comme métis – 4 % en 2021 – et 2,7 % comme noirs – contre 1,2 % en 2021 –. Dans ce contexte, les statistiques de l’enquête sur les carrières et les salaires suggèrent qu’à l’approche du deuxième anniversaire de la mort de George Floyd et des engagements pris par les marques pour se rendre plus accessibles auprès des minorités, une attention sur le long terme est nécessaire pour aborder pleinement la diversité au sein du secteur marketing. Alors que 22,6 % de l’échantillon s’identifient comme issus de la classe ouvrière ou de la classe ouvrière qualifiée, quelque 71 % des spécialistes du marketing s’identifient comme issus de la classe moyenne inférieure, moyenne ou supérieure. En outre, les données révèlent une tendance persistante à privilégier les jeunes dans le secteur du marketing.  5,7 % des personnes interrogées font partie de la génération Z – moins de 25 ans – et 59,7 % sont des milléniaux – 25 à 40 ans –, tandis que 28,2 % de l’échantillon sont issus de la génération des 40 à 54 ans – et 6 % font partie des baby-boomers,  -55 ans-. Des bouleversements également made in France Une étude parue le 27 janvier dernier par L’Observatoire des métiers du marketing et de la communication et Ipsos nous montre, encore une fois, comment le secteur marketing gagne en importance – notamment sur le plan numérique – dans tous les conseils d’administration du pays, le notre, cette fois. 93 % des dirigeants interrogés constatent que les secteurs du marketing et de la communication sont confrontés à d’importantes transformations. Ces mutations sont jugées, par près de 49% des sondés, comme « très importantes », notamment dans les structures purement digitales. À l’ère de la crise sanitaire, 87 % des responsables estiment que les mutations sont importantes, pointant ainsi du doigt l’accélération de la digitalisation des entreprises de ces derniers mois. Parmi eux, 57 % dirigent des structures purement digitales. Certains acteurs s’en frottent déjà les mains. Le cabinet Oliver Wyman, notamment, prévoit une progression de 18 % du marché publicitaire digital en France en 2022, pour atteindre 9 milliards d’euros d’ici la fin de l’année. Selon lui, la croissance devrait demeurer soutenue grâce à la digitalisation post-Covid qui devrait se poursuivre.

By |2022-02-11T10:14:42+00:00February 11th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Google : une nouvelle solution de ciblage publicitaire nommée Topics –

Repoussée puis désormais prévue pour 2023, la fin des cookies tiers va obliger les acteurs du marché de la publicité à repenser leur stratégie web. Alors que Google testait depuis plusieurs mois un projet baptisé FLoC, ce dernier ne semble pas satisfaire le géant américain qui vient d’annoncer le développement d’un nouveau système : Topics. Pour Louis Prunel, CEO de BeOp : « Cette incertitude est insupportable pour l’ensemble du marché. Nous sommes dans une situation aberrante où nous sommes tous à la merci du même acteur qui n’est autre que juge et partie ». Topics devrait permettre aux annonceurs de pousser des publicités à un groupe d’internautes dont le centre d’intérêt a été identifié. Un système de ciblage « groupé » qui, semble-t-il, n’a rien d’innovant. « Ce système de ciblage est une technique ancienne alors si Topics est définitivement adopté j’ai envie de dire ‘tout ça pour ça’. Sur le plan de la vie privée ce sera peut-être plus sécurisé mais cela ne réglera en rien certaines problématiques », ajoute Louis Prunel. La difficulté pour Google est en effet de réussir à proposer une solution publicitaire efficace qui respecte la confidentialité des données des utilisateurs. En détail, Topics devrait pouvoir analyser l’historique des navigations, sans révéler les sites visités à des tiers. Pour le CEO de BeOp, l’objectif de Google est désormais d’avoir le monopole et la main mise sur la publicité : « Nous allons arriver à un système où une chose ne pourra être vendue que par eux. Nous, les acteurs du marché, avons l’impression qu’ils veulent tuer la publicité en ligne et faire en sorte que les seules solutions utilisables soient les leurs. » Affaire à suivre …

By |2022-02-11T08:27:29+00:00February 11th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Champions de la croissance 2022 : une licorne industrielle en tête du classement !

Une incroyable success story qui incombe à deux anciens de BA Systèmes et General Electric Healthcare, Romain Moulin et Renaud Heitz. Leur idée ? Elle est née après l'acquisition en 2012 du roboticien Kiva Systems par Amazon, le géant de l'e-commerce américain, pour 775 millions de dollars… « Au-delà du prix payé, c'est la décision d'Amazon de fermer immédiatement le département commercial de Kiva qui nous a interpellés. On a compris à quel point l'automatisation de la logistique constituait un avantage différentiel pour ce groupe », raconte Renaud Heitz, CTO d'Exotec. Illustration Call me George(s) pour les Echos Week-End C'est ainsi qu'est né le Skypod d'Exotec, un petit robot blanc et carré de 80 cm de côté, doté de roues et capable de se mouvoir en 3D en grimpant jusqu'à 12 mètres de hauteur sur les glissières des racks. Dans le nouvel entrepôt de Monoprix à Moissy-Cramayel, ils donnent l'impression d'un ballet futuriste où jamais ils ne se gênent en allant chercher les bacs, les amener au préparateur et aller se garer dans leur petit parking en attendant leur prochaine mission… Un ballet contrôlé à distance, au siège de la start-up à Croix où, sept jours sur sept, 24 heures sur 24, des techniciens veillent sur les quelque 2.500 robots actuellement en fonctionnement dans le monde et dont le nombre devrait doubler d'ici à la fin de l'année. C'est dire à quel point ces Skypod, très agiles et pouvant changer de tâches aisément, séduisent une quantité grandissante d'acteurs. « Avec la crise sanitaire, tous les distributeurs se lancent dans la vente en ligne et ont besoin de robots capables de les aider, en particulier dans la préparation des commandes », indique Renaud Heitz.

By |2022-02-11T07:28:12+00:00February 11th, 2022|Scoop.it|0 Comments

#AFWT21 : « En partageant des données avec les voyageurs, nous leur donnons le pouvoir d’agir en faveur de l’environnement »

tous les gouvernements dans le monde ont été dans une position de réaction et non d’anticipation. « Il faut individualiser les alertes et notifications afin que chacun puisse réagir à sa propre échelle », a-t-il ajouté. Dans le voyage d’affaires, cela peut se traduire par des alertes en fonction des risques. Dans le tourisme, cela peut se traduire par des conseils personnalisés aux voyageurs. C’est là le but de Jumptuit : dès qu’un évènement de quelque nature qu’il soit (sanitaire, climatique, politique, etc.) survient avant votre départ ou peut survenir, vous êtes prévenu et une alternative peut vous être proposée. Pour cela, la société se connecte à un tas d’informations privées et publiques (réseaux sociaux, boites e-mails, logiciels CRM, cloud, applications de communication collaborative, etc.). Mais selon lui, tout est encore trop siloté et les entreprises, notamment celles du tourisme, doivent apprendre à collaborer en partageant les données. Une opinion partagée par Tony Smyth, SVP de i-Free Group : « La technologie est une alliée pour vous notifier des risques et des choses qui peuvent être améliorées ». Mais pour cela, c’est une ville intelligente qui reste à construire pour pouvoir connecter les sources d’informations entre elles et donc les humains entre eux. C’est la mission que s’est donnée cette entreprise technologique spécialisée dans le développement des télécommunications, de l’Internet des objets (IoT) et des villes intelligentes. Redonner le pouvoir aux voyageurs et aux professionnels du tourisme Pour le comparateur Skyscanner, la technologie va également aider les voyageurs à faire les bons choix en matière de durabilité. C’est pourquoi il a lancé l’outil « Greener Choice » qui permet aux utilisateurs de comparer les itinéraires en fonction de leur empreinte carbone. « Nous avons décidé d’utiliser des pourcentages. Si un vol émet au moins 4 % de CO2 de moins que la moyenne pour une route, nous le qualifions de ‘choix plus vert’. Il est possible d’utiliser des filtres afin d’afficher uniquement ces vols », a expliqué Stephanie Boyle, Group Head, Industry and Partner Communications chez Skyscanner. Pour calculer ce pourcentage, Skyscanner examine le modèle de l’avion (les avions les plus récents sont en général plus économes en carburant), la distance parcourue (les vols directs sont moins gourmands en carburant) et la capacité en sièges (plus il y a de sièges, plus la consommation de carburant par siège à bord est faible). Grâce à un partenariat avec CHOOSE, Skyscanner propose également de compenser les émissions de gaz à effet de serre, non pas en plantant des arbres car cette action ne suffit pas réellement à compenser les gaz à effet de serre émis par les avions, mais en contribuant à financer des organisations œuvrant pour la protection du climat dans le monde. Pour compenser les voyages professionnels des employés de la société, Skyscanner a réalisé un partenariat avec SkyNRG, premier producteur mondial de carburant aviation durable qui promet une diminution des émissions de CO2 allant jusqu’à 75 %. En proposant des informations supplémentaires, Skyscanner s’est mué en véritable hub d’informations pour les voyageurs. « Knowledge is power » (le savoir, c’est le pouvoir), a déclaré Stephanie Boyle sur scène. Selon elle, c’est notre responsabilité de corriger les erreurs du passé en investissant dans des technologies qui vont dans le bon sens pour la planète. « Il faut investir dans la conception de carburant durable pour les avions, dans la capture de CO2 ou dans des appareils qui fonctionnent à l’électricité ou à l’hydrogène », a développé la Group Head, Industry and Partner Communications chez Skyscanner, « Nous avons la responsabilité d’éduquer, d’attirer l’attention et de s’assurer que les gens, quand ils voyagent, aient le choix de voyager plus durablement. En partageant des données avec eux, nous leur donnons le pouvoir d’agir en faveur de l’environnement ». Stephanie Boyle ne pense donc pas qu’il ne faille plus voyager car trop de destinations et de personnes reposent sur l’économie du tourisme. C’est le cas de la Jamaïque et de son programme en faveur de la jeunesse mis en place par le Global Tourism Resilience & Crisis Management Centre (GTRCMC). Sur l’île et dans le reste des Caraïbes, il est difficile pour les petits et moyens établissements hôteliers de maintenir un niveau technologique suffisant pour attirer les touristes. Les jeunes jamaïcains de leur côté sont à l’aise avec la technologie mais peinent à trouver du travail. C’est pourquoi le GTRCMC a créé un programme permettant à ces jeunes de former les établissements hôteliers en matière de réseaux sociaux. « Nous avons permis à une personne de passer d’un salaire de 1 dollar par jour à 30 dollars par jour », illustre le professeur Lloyd Waller, Executive Director de GTRCMC. Un programme vertueux qui entre dans sa dernière phase d’expérimentation. « Ce modèle pourra être répliqué dans d’autres pays des Caraïbes pour lutter contre le chômage chez les jeunes et développer le tourisme dans la région », a-t-il ajouté. La technologie peut-elle être verte par essence ? Plus loin dans la conversation, TOM.travel a interrogé Tony Smyth, SVP de i-Free Group à propos du green code (code informatique qui permet de minimiser l’utilisation des ressources par le logiciel) et du cloud public comme pistes pour réduire l’impact environnemental des entreprises. Selon lui, un code bien construit est par essence green car il est optimisé. Bien souvent, les développeurs ne savent pas forcément qu’ils font du green code. « Nous embauchons beaucoup d’ingénieurs en R&D et beaucoup n’en ont jamais entendu parler. Mais cela ne veut pas dire qu’ils ne sont pas conscients des enjeux environnementaux », explique Tony Smyth. Quant au cloud, il est selon lui moins couteux en énergie lorsqu’il est partagé. De plus, les data centers peuvent être installés dans des zones où les énergies renouvelables sont développées afin d’avoir un impact moindre.

By |2022-02-11T07:07:41+00:00February 11th, 2022|Scoop.it|0 Comments

3,5 % des Français ont déjà acheté des NFT

Au total, 3,5 % des Français ont déjà acheté des jetons non fongibles ou NFT et 8 % des cryptomonnaies comme le bitcoin, selon un sondage (1) de l'Ifop réalisé pour le compte de « Cointribune.com » en début d'année. En 2021, les recherches mondiales sur Google à propos des NFT avaient dépassé celle sur le Bitcoin, ce qui témoigne de l'intérêt pour ces actifs émis sur une blockchain comme Ethereum. Les NFT sont des certificats de propriété d'actifs numériques (oeuvres d'art, photos, vidéos, personnages de jeux , objets du métavers) ou réels (propriétés…). Faciles à acheter et à vendre, ils sont devenus très populaires sur les réseaux sociaux, notamment sous l'impulsion des influenceurs . Malgré cette surexposition, seulement 8 % des Français estiment avoir une connaissance précise des NFT contre 40 % pour les cryptomonnaies. Les trois quarts des personnes sondées ignorent tout des premiers, contre 18 % pour les secondes. Jeux, sports, métavers Les potentialités des NFT étaient connues des spécialistes dès l'origine du bitcoin et de l'ether il y a une dizaine d'années mais le grand public en a seulement pris conscience depuis 2020. Un jeune sur deux (18-24 ans) a entendu parler des NFT contre 20 % des plus de 35 ans. Les NFT sont de plus en plus répandus dans les univers des jeux ( Sorare ), du sport et du métavers , avec lesquels les jeunes sont plus familiers que leurs aînés. Or, une meilleure connaissance facilite l'achat. 13 % des personnes qui estiment appréhender plus ou moins bien ces actifs y ont déjà investi et 19 % envisagent de le faire.

By |2022-02-09T13:35:15+00:00February 9th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Metaverse, France Télévisions dégaine la première.

La Direction de l’Innovation du Numérique de France Télévisions a donc annoncé cette semaine le lancement, conjoint avec la direction des sports, d’un premier test d’ESI – Espace Social Immersif – dédié au sport et à l’univers de Stade 2. Cet espace, qui sera disponible gratuitement sur casque de réalité virtuelle et sur PC via la plateforme VR sociale VRChat, permettra de visiter, avec ses amis, sous forme d’avatar, le studio virtuel de Stade 2 dans un décor hivernal. Il permettra également de participer à des activités sportives virtuelles et ludiques, sur la thématique des JO de Pékin 2022, telles que des courses de ski, des descentes en bobsleigh, des tirs à la Carabine – en lien avec le biathlon – ou des chasses au trésor. « A travers cette expérience, la direction des sports de France Télévisions est heureuse de poursuivre sa politique d’innovation. Cette initiative nous permet de proposer une première expérience concrète dans le Metaverse qui sera riche d’enseignements pour concevoir les contenus sportifs du futur », expliquait Laurent-Eric Le Lay, directeur des sports.     Une expérimentation assumée comme telle Ce premier test, centré autour de composantes sociales et immersives, a pour vocation d’imaginer ce que pourrait être la place d’un diffuseur au sein du futur metaverse. En utilisant des technologies actuelles et accessibles à tous, il doit permettre de mesurer l’appétence du public français pour ces nouveaux formats afin d’orienter notre offre de contenus numériques. Compte tenu de toutes les contraintes du streaming en temps réel et des performances limitées des casques autonomes, cela représente un défi technique pour permettre l’accès au plus grand nombre, alors que les infrastructures préfigurant les futurs metaverses en sont encore à leurs balbutiements. C’est également l’occasion pour France Télévisions de tester de nouveaux modes de production 100 % numériques et de nouveaux formats d’émissions au sein d’un monde virtuel pour toucher de nouveaux publics plus jeunes en utilisant les codes et les graphismes du gaming. Ce monde a été développé par la société VRrOOm avec France Télévisions en intégrant le studio virtuel de Stade 2 utilisé à l’antenne, conçu par la cellule GTR – la Cellule Graphismes Temps Réel – de FTV. Il est disponible sur la plateforme VRChat depuis le 7 février en renseignant les mots clés « Stade 2 ». FTV rappelle que cet ESI pourra évoluer, en fonction de l’intérêt et des retours des publics, en lien avec l’agenda sportif et culturel de l’année.

By |2022-02-09T13:18:56+00:00February 9th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Luxe : LVMH avance vers la vente en one-to-one en vidéo streaming

A l’heure où Carrefour lance une plateforme de Live Shopping avec le média Brut, le groupe de luxe LVMH signe un accord cadre avec la startup Bambuser, pour un usage de ses solutions de communication et de vente en direct en ‘one-to-one’ en vidéo via internet. Cet accord étend l’accord précédent qui concernait l’usage de la solution de Bambuser pour la vente en Live Shopping, en ‘one-to-many’, en vidéo streaming sur internet. Les solutions de vidéo en direct One-to-One proposent aux détaillants que leurs employés puissent s’engager dans des appels vidéo bidirectionnels avec les clients pour accompagner des achats personnels, assurer le service client, l’après-vente ou des consultations. On trouve ce genre de service chez Fnac Darty où le service dope le taux de conversion des ventes en e-commerce ou chez Clarins. La solution de Bambuser peut s’intégrer aux systèmes de relation client (CRM) et de réservation et comprend l’affichage et la comparaison des produits afin de faciliter des expériences d’achat transparentes et guidées.

By |2022-02-09T13:13:05+00:00February 9th, 2022|Scoop.it|0 Comments