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Biden Wants You Out of Your Car and on the Train | WIRED

THE US IS car country. Its 4.1-million-mile road network is the world’s most expansive. It has more motor vehicles per person than any other major nation. Eighty-six percent of Americans drive to work (or did during the Normal Times), compared with 63 percent of English workers and 71 percent of Australian commuters. A pop song called “Driver’s License,” about the freedom and heartbreak that comes with a rite of young adulthood, has spent 11 weeks on the Billboard Hot 100. Only in America. So President Biden’s proposed $2 trillion infrastructure program is most notable for one fact: It allocates more money to transit and rail than to highways. Budgets may make for boring reading, but they’re also signaling documents, telling the public about their leaders’ priorities. The infrastructure proposal seems to say: Consider getting your butt out of your car. “The plan seems to take seriously the idea that we need to be investing more in our transit and intercity rail system than we do in our highway system,” says Yonah Freemark, a senior research associate at the economic policy think tank the Urban Institute who studies land use and transportation. He says the proposal would double typical federal spending on transit and quadruple the government’s investment in rail. The justification is climate change. Biden said on Wednesday that the plan would “lead to a transformational progress in our effort to tackle climate change with American jobs and American ingenuity.” If the plan makes it into law—which won’t be easy; more on that later—it would count among the federal government’s largest pushes ever to combat greenhouse gas emissions. The president has promised to put the country on a path to net-zero carbon emissions by 2050.

By |2021-04-04T07:59:09+00:00April 4th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Internet : des données personnelles de 500 millions de comptes Facebook mises en ligne

Près de 20 millions de comptes français et 32 millions de comptes américains, entre autres, pourraient être affectés, indiquait Alon Gal sur Twitter en janvier, lorsqu’un utilisateur cherchait alors encore à vendre ces données sur le même forum. Ces données comprennent notamment numéro de téléphone, nom complet, date de naissance et, pour certains comptes, adresse e-mail, selon Business Insider. Des personnes mal intentionnées « vont certainement utiliser ces informations pour des arnaques, du piratage et du marketing », a relevé l’expert en cybercriminalité. Ce n’est pas la première fois que des données de millions d’utilisateurs du premier réseau social - qui compte près de 2,8 milliards d’utilisateurs mensuels - se trouvent mises en ligne. En 2018, le scandale Cambridge Analytica, un cabinet britannique ayant détourné les données personnelles de dizaines de millions d’utilisateurs de Facebook à des fins de propagande politique, avait durablement terni la réputation du réseau social sur la question de la confidentialité des données.

By |2021-04-04T07:56:24+00:00April 4th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Les vols vers l’inconnu proposés par Qantas font un carton en Australie

Certaines personnes sont prêtes à tout pour retrouver le plaisir de voyager. Qantas Airways l’a bien compris et a mis en vente en mars dernier plusieurs « vols mystères » qui ont été vendus en 10 minutes. Le ticket en classe économie était proposé à 474 euros et à 1046 dollars en business. Le principe ? Vous embarquez pour une destination inconnue à deux heures d’avion sur le territoire australien pour un voyage d’une journée. La destination est révélée au moment de l’atterrissage. Le premier départ a eu lieu le 27 mars dernier depuis Brisbane. Deux autres départs sont prévus le 18 avril depuis Sydney et le 1er mai depuis Melbourne. 120 places par vol étaient disponibles. Qantas affirment que ces vols sont neutres en émission carbone. La dernière fois que la compagnie a proposé ce genre de « vols mystère », c’était dans les années 90. « Les passagers arrivaient à l’aéroport et étaient placés sur un vol régulier vers n’importe quelle destination du réseau Qantas », précise-t-elle sur son site.

By |2021-04-02T15:28:40+00:00April 2nd, 2021|Scoop.it|0 Comments

Séoul installe des lampadaires intelligents multiusages à travers la ville –

Une capitale qui fait office de précurseur en matière de smart city. Séoul adopte en effet des « cyber-lampadaires » capables de comprendre un feu tricolore, d’intégrer une borne d’accès Wi-Fi, des chargeurs pour smartphone ou bien encore des capteurs de foulées. Encore en phase de test, la ville n’en a pour l’instant installé que 26 dans 6 zones de la ville. Chaque lampadaire est ainsi équipé d’un système qui répond au besoin de la zone (surveillance, chargeurs, Wi-Fi …). A terme, ce type d’installation pourrait être capable de proposer des chargeurs pour véhicules électriques ainsi que détecter des infractions de stationnement. En parallèle, la capitale sud-coréenne continue d’adopter massivement des drones pour des usages de surveillance de la population ou de prévention sanitaire en cette période de crise. Les lampadaires connectés joueraient ainsi un rôle clé en permettant de recharger les petits engins volants et d’en récupérer les données pour ensuite les envoyer au gouvernement métropolitain.

By |2021-04-02T15:27:48+00:00April 2nd, 2021|Scoop.it|0 Comments

Plan de relance : Joe Biden parie 80 milliards de dollars sur le train

Joe Biden propose d’investir quelque 2 000 milliards de dollars dans le cadre de son plan de relance. Cette enveloppe colossale devra cependant passer par la hausse de l’impôt sur les sociétés, ce qui ne plaît pas à l’opposition.  Réhabiliter les infrastructures vieillissantes du pays tout en misant sur les énergies renouvelables, c’est l’un des objectifs du plan pharaonique dévoilé mercredi par le président américain. Sur les 2 000 milliards de dollars, 80 milliards de dollars sont prévus pour développer le service ferroviaire Amtrak à travers le pays. Une grande partie de l’expansion profiterait aux régions du sud et de l’ouest, avec de nouvelles lignes ferroviaires reliant des villes comme Nashville, Tennessee et Atlanta, Houston et Dallas, et ramenant le service entre Las Vegas et Los Angeles (voir la carte ci dessus). 20 millions de passagers supplémentaires en vue Amtrak a également prévu des « services améliorés ». Le PDG Bill Flynn estime qu’une priorité serait de reconstruire de « nombreux tunnels et ponts majeurs » dans le corridor du nord-est. Presque toutes les routes au départ de Chicago seraient également renforcées. Au total, plus de 30 nouveaux itinéraires sont envisagés, ainsi que des fréquences supplémentaires sur une vingtaine d’itinéraires déjà existants. Si le plan d’infrastructures est approuvé (voir la carte en illustration), Amtrak compte servir 20 millions de passagers supplémentaires en 2035, par rapport à 2019. 32 millions de personnes ont emprunté ses trains en 2019. Le président des Etats-Unis est connu pour ses affinités personnelles envers Amtrak. Il a lui-même estimé avoir parcouru dans sa vie plus de 2 millions de kilomètres à bord de trains.

By |2021-04-02T15:25:39+00:00April 2nd, 2021|Scoop.it|0 Comments

Hello Planet ou l’art de faire de la pub un moyen pour une Good fin

Nous venons de lancer HelloPlanet.tv en mars avec la nouvelle campagne « Ne passez plus la publicité », créée et orchestrée par Leo Burnett. Grâce à cette communication engagée, invitant le grand public à « ne pas passer à côté de demain », nous espérons avoir + de 100. 000 utilisateurs inscrits d’ici fin 2021. Pour atteindre cet objectif, nous pouvons aussi compter sur les partenariats que nous avons avec les ONG, les éditeurs et l’appui de certaines personnalités. D’ici quelques semaines nous mettrons en place d’autres fonctionnalités sur notre plateforme, comme la possibilité pour nos utilisateurs de déposer leurs contenus vidéos, podcast et articles blog pour que notre communauté puisse communiquer et s’inspirer entre elle.

By |2021-04-02T10:21:51+00:00April 2nd, 2021|Scoop.it|0 Comments

En doublant de valeur cette année, le bitcoin et les cryptos prolongent l’état de grâce de 2020

A 58.961 dollars (50.319 euros), le bitcoin a plus que doublé de valeur sur les trois premiers mois de l'année. La leader des cryptos a connu son meilleur premier trimestre depuis 2014. Et la hausse devrait se poursuivre. Au deuxième trimestre, elle progresse historiquement en moyenne de 60 %, et n'a cédé du terrain qu'en 2018 (-6,7 % durant les trois premiers mois de cette année). Son meilleur deuxième trimestre a été enregistré en 2019 (157,5 %). Le hedge fund Pantera Capital n'exclut pas un cours du bitcoin de 115.000 dollars autour de l'été. Petites cryptos en tête Après un quatrième trimestre très porteur , le marché des cryptos ne s'est pas du tout essoufflé et sa hausse s'est généralisée. L'indice des cryptos de Bloomberg a gagné 113 % sur les trois premiers mois de l'année et l'ether (1.932 dollars ou 1.650 euros) 144 %. Les cryptos de taille modeste ont bien plus progressé que le bitcoin. Cardano a bondi de 560 % sur les trois premiers mois, Neo et Cosmos de 260 % Algorand de 225 %, Stellar de 200 %. Les afflux de capitaux vers les plateformes des cryptos, qui ont connu des records d'activité cette année, et ont propulsé les petites cryptos peu liquides vers leurs sommets.

By |2021-04-02T10:15:53+00:00April 2nd, 2021|Scoop.it|0 Comments

L’engagement environnemental et sociétal, obligatoire pour les marques selon les responsables MarCom

Les marketeurs sont quasi unanimes (99%) et estiment qu’une entreprise se doit d’avoir un rôle sociétal ou environnemental, 80% des répondants déclarent que c’est même une question de survie. Cet engagement de l’entreprise sera réalisé sans réellement arriver à en mesurer le retour sur investissement, considèrent une moitié des professionnels. Pour autant, l’engagement sera motivant pour les employés, pensent-ils. L’objectif affiché est d’abord de contribuer positivement à la planète ou à la société Interrogés sur la cause que leur entreprise défend, les professionnels du marketing et de la communication adoptent une attitude désintéressée. Deux marketeurs sur trois (63 %) citent ainsi la contribution positive à la protection de la planète ou de la société comme principale cause de l’engagement de leur entreprise. La volonté d’inspirer la confiance du consommateur et de développer une image positive n’est déclarée que par 1 répondant sur 4 (24% des réponses). Quant à la volonté de motiver et fidéliser les salariés et de valoriser la marque employeur, elle arrive en queue de peloton (13% des réponses). L’impact de l’engagement de leur entreprise ne sera pas mesuré pour la moitié des marketeurs car cela s’avère difficile. Pour ceux qui essayent de mettre en place des indicateurs, les KPIs les plus suivis concernent l’impact sur l’environnement (68%). Les indicateurs sociaux et sociétaux arrivent en 2ème position ex-aequo avec ceux relatifs à l’image et à la réputation de la marque (60%).  Les employés sous le charme de l’engagement Le plus étonnant est que 80% des MarCom considèrent pourtant qu’une marque engagée contribue concrètement à la performance marketing. Les deux tiers (65%) des MarCom interrogés jugent que l’engagement de leur marque permet de gagner beaucoup en influence auprès des collaborateurs, suivi de près par ses clients (62%), les communautés sur les réseaux sociaux (60%) et même jusqu’aux journalistes et médias (49%).  Les responsables marketing et communication sont motivés par une stratégie de marque engagée Les MarCom se montrent motivés pour conduire une stratégie de marque engagée. Les engagements pris par leur entreprise suscitent l’adhésion des marketeurs. Ils sont 100% à estimer ces engagements comme étant légitimes, 95% comme étant authentiques et 89% respectés. Les MarCom trouvent d’ailleurs que leur entreprise ne va pas assez loin. Ils sont  seulement 39% à déclarer que les engagements de leur société sont suffisants. Deux responsables MarCom sur trois (62% des répondants) estiment avoir suffisamment de légitimité pour faire évoluer les choses. En revanche, la question du budget reste délicate. A peine 1 professionnel sur 3 (33 % des réponses) juge le budget alloué suffisant pour conduire une stratégie d’engagement.   Point clé, la direction générale monte au créneau lorsqu’il s’agit de l’engagement de la marque. La direction générale prend le leadership pour la mise en œuvre et du suivi de l’engagement dans deux entreprises sur trois (62% des répondants). Les MarcCom pilotent le projet seulement dans 20% des cas. Une cellule dédiée à la question de l’engagement, de type RSE, est en place dans 57% des entreprises interrogées. C’est 30 points de plus qu’un an auparavant. Réduire l’empreinte carbone et assurer le bien être des salariés Les deux priorités en termes d’engagement sont alors la réduction de l’empreinte carbone et le bien être des salariés. Les enjeux liés à l’égalité entre les femmes et les hommes, et l’inclusion, sont plus loin derrière. La réduction de l’empreinte carbone arrive en numéro 1 des objectifs choisis par les entreprises interrogées avec 22% des répondants. Le bien-être des salariés arrive ensuite (21% des répondants). L’ancrage local et les achats et la production responsables suivent en 3ème position (ex-aequo avec 15% des réponses). La promotion de la diversité arrive en bas de tableau L’égalité entre les femmes et les hommes et la promotion de la diversité et de l’inclusion se retrouvent en bas du tableau avec respectivement 6% et 5%. Sur le terrain, deux entreprises sur trois (68%) déclarent avoir déjà mis en œuvre des actions concrètes. C’est 10 points de plus par rapport à l’étude menée en février 2020 par Cision. Toutefois, une entreprise sur dix n’a encore pas du tout considéré le sujet de l’engagement. Enfin, l’engagement modifie les métiers du MarCom. Les trois quarts (75%) des professionnels interrogés estiment que l’engagement des marques a profondément changé leurs métiers et 80% estiment qu’il change en profondeur tous les services de l’entreprise. Le rôle des MarCom devient plus transverse pour 83 % des répondants. Le bashing ne fait plus peur La peur d’être accusé de « pseudo engagement » est jugée inévitable par 1 responsable Marcom sur 3. Ils sont 35% des MarCom à penser que le bashing est inévitable quoique l’entreprise fasse. Cette valeur est cependant en baisse, car ils étaient 41% à le craindre en 2020. Le Club des Annonceurs est un  Think Tank d’innovation à destination des responsables de marques en France. Sa communauté réunit 170 membres adhérents. Parmi les sociétés représentées, on citera Accor, SNCF, Axa, La Poste, EDF, BNP Paribas, Orange, Brinks, Klepierre, Orpi, etc. Cision délivre des services de communication aux marques.

By |2021-04-02T10:14:00+00:00April 2nd, 2021|Scoop.it|0 Comments

« Google veut être un acteur incontournable de la mobilité »

La société a annoncé l’achat de titres de transport dans Google Maps. Pour cela il suffit d’enregistrer sa carte bancaire dans Google Pay. Mais la société s’est lancée dans le segment du paiement avec moins de succès qu’Apple qui, elle, a signé des partenariats avec les principales banques en France. Google ne collabore qu’avec des néo-banques pour le moment. Cela réduit le nombre de personnes pouvant acheter leur titre de transport depuis Google Maps dans l’Hexagone. Pour que Google se fasse une place, il faut plusieurs conditions. D’abord, que le réseau de transports propose de valider son titre de transport directement avec sa carte bancaire, comme c’est le cas à Londres par exemple. Puis, il faut que votre banque ait signé un partenariat avec Google afin de pouvoir l’enregistrer dans Google Pay. La société a annoncé que le service serait prochainement disponible dans 80 agences de transport à travers le monde. Pourtant, il n’a signé aucun partenariat avec celles-ci. A Melbourne par exemple, les titres de transports sont dématérialisés mais il n’y a pas d’application dédiée. Tout se fait via Google Maps. Cela pose un problème de désintermédiation. En proposant ce service, Google veut récupérer la relation client et mettre en avant son service d’itinéraire sur Google Maps. La société possède un certain pouvoir car c’est elle décide de pousser tel ou tel moyen de transport. Face à ça, les réseaux de transports n’ont pas de marge de manœuvre puisqu’on ne leur demande pas leur avis. Je pense que la bonne approche est de proposer ces nouveaux canaux de paiement pour des cibles occasionnelles, comme les touristes. Les personnes vivant sur place ont elle tout intérêt à utiliser l’application mobile de l’opérateur.

By |2021-04-01T14:13:55+00:00April 1st, 2021|Scoop.it|0 Comments

Covid-19 : dès mai prochain, les WC d’hôtels dépisteront les clients positifs

Le principe est a priori aussi simple qu'intrusif : à partir de l'analyse des eaux provenant du tirage de chasse d'eau des toilettes de chambre d'hôtel, la chambre pourra se trouver irrémédiablement fermée si les résultats s'avèrent positifs au Covid-19. Le client s'en trouvant reclus dans sa chambre close pour une durée de sept à dix jours - sur ce point, les négociations sont toujours en cours entre représentants de l'hôtellerie et gouvernement. Le dispositif sera déployé dès la première semaine de mai, qui correspond à la dernière semaine de vacances de Pâques de la Zone B (Aix-Marseille, Nantes et Strasbourg, notamment). "L'expression 'remuer la m...' prend tout son sens", a réagi une CFDT Hôtellerie particulièrement remontée. Par-delà sa trivialité, la déclaration a au moins le mérite de mettre les pieds, éventuellement gauches, dans le plat. Alors que les Etats en sont à se poser des questions éthiques concernant le passeport sanitaire, que penser de ce dispositif qui consiste à fouiller les tréfonds de notre intimité ? "Accor est totalement dans son rôle" Cette question de l'éthique, Sébastien Bazin, PDG du groupe Accor et en pointe de la négociation avec le gouvernement sur ce sujet épineux, la balaie d'un revers de main : "Nous sommes totalement dans notre rôle ! Je parle ici au nom d'Accor mais l'ensemble de la profession est sur la même ligne que nous : nous sommes des entreprises citoyennes et c'est pour cette raison que nous apportons notre contribution au contrôle de la circulation du virus. Des entreprises actrices majeures du tourisme aussi, et, ce faisant, nous participons au redécollage de notre industrie si durement touchée. Et des entreprises soucieuses de RSE, enfin, pour que nos équipes ne soient pas au contact d'individus à risque". En effet, durant ce temps de confinement imposé - qui restera à la charge du client infecté - les staff se verront interdits de pénétrer dans les chambres concernées. Les plateaux repas, notamment, seront déposés à l'extérieur de la chambre, devant la porte. Pour autant, même dans ces conditions particulières, les hôteliers entendent continuer à faire rimer "sécurité" et "hospitalité", et respecter les prestations achetées à la base par les clients. A titre d'exemple, concernant ces plateaux repas, Accor explique : "Dans les MGallery et plus, ce sera du plateau proche d'une First Class Lufthansa; dans les milieux de gamme, disons du Air France. Pour les Ibis, ce n'est pas finalisé, mais nous sommes en discussion avec les fournisseurs catering de la SNCF".

By |2021-04-01T14:13:22+00:00April 1st, 2021|Scoop.it|0 Comments