Scoop.it

Google souhaite transformer la peau en tablette tactile

Après la 3D, la réalité virtuelle ou bien encore la technologie holographique, Google se lance dans un projet baptisé SkinMarks. Le concept : transformer une zone de la peau en pavé tactile via l’impression de tatouages. Chargés de capteurs, ces tatouages appliqués directement sur la peau se transforment alors en tablette tactile et ce, grâce au toucher ou au mouvement. L’objectif de cette innovation : rendre l’interaction avec la technologie plus naturelle.Les tatouages ​​sont réalisés par sérigraphie d’encre conductrice sur du papier tatouage. Le papier est ensuite thermodurci pour pouvoir être appliqué sur la peau. « Grâce à une épaisseur de tatouage considérablement réduite et une extensibilité accrue, un SkinMark est suffisamment mince et flexible pour se conformer à une géométrie irrégulière, comme les lignes de flexion et les os saillants », ont déclaré les chercheurs travaillant sur le projet. Un projet qui n’en est encore qu’au stade de développement mais qui pourrait bientôt permettre aux internautes de se passer de clavier ou de souris et aux annonceurs d’en savoir davantage sur leurs habitudes de navigation.

By |2020-07-18T08:42:59+00:00July 18th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Moins de 2h30 de trajet : la bascule de l’aérien vers le train

Le vendredi 3 juillet, le comité social et économique central extraordinaire d'Air France officialisait la suppression de 7.600 postes et devançait l'annonce d'Emmanuel Macron, confirmation de celle de son ministre de l’Économie et des Finances deux mois auparavant. Il est vrai que la fermeture de lignes domestiques, nonobstant la volonté gouvernementale, peut répondre aussi à un impératif économique : sur son réseau domestique, le transporteur national perd 200 millions d'euros par an.Concrètement, la filiale régionale Hop! devrait concentrer son activité sur l’alimentation des hubs de Paris CDG et Lyon. Et c'est Transavia, la filiale néerlandaise d'Air France-KLM, qui reprendra la plupart des lignes assurées jusqu’à présent par Hop à Orly (Toulon, Montpellier, Perpignan, Biarritz et Brest), à Lille (Bordeaux, Marseille et Nice) et à Nantes (Lyon, Nice, Toulouse, Montpellier, Lille et Marseille, seule la ligne sur Roissy est conservée), ainsi que les lignes Lyon-Toulouse et Lyon-Bordeaux.Ces lignes qui seront désormais au programme de vols de Transavia couvrent effectivement des trajets ne disposant pas de la fameuse alternative ferroviaire de 2h30 ou moins. A quoi correspondent ces 2h30 ? Alors que l'extension des tronçons à grande vitesse permettait à Lyria de relier Paris à Genève une vingtaine de minutes plus rapidement, un responsable de la société franco-suisse nous avait déclaré qu'un temps de trajet de 3 heures en train était une bascule. Temps utileCette bascule correspond au niveau en-deçà duquel le ferroviaire l'emporte sur l'aérien en termes de "temps utile". Ce temps utile, ce sont ces moments où le passager peut travailler sur son ordinateur par exemple, auxquels les voyageurs d'affaires sont particulièrement sensibles. Dans son estimation, on prend donc en compte le temps de trajet jusqu'au hub (la gare ou l'aéroport), le temps d'embarquement (dans un train ou un avion), et le temps du trajet lui-même, seul "temps utile" du process.L'annonce d'Emmanuel Macron semble revêtir tous les atours de la raison : une empreinte carbone drastiquement réduite (le calcul est complexe et doit prendre en compte de nombreux facteurs mais à la SNCF on parle d'émission de CO2 27 fois inférieur en train qu'en avion) pour des voyages qui, au final, ne ferait pas perdre de temps, dans l'absolu, et en ferait même gagner, considérant ce fameux temps utile.

By |2020-07-18T08:42:34+00:00July 18th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Bank of Thailand Enters Third Phase of CBDC Development; Now “Using CBDC with Big Businesses” | News

BOT is planning to expand the use of the CBDC among large businesses.The report by The Nation of Thailand quotes Vachira Arromdee, BOT assistant governor saying the central bank is already using the CBDC for financial transactions with a number of big businesses.Thailand’s cement and building material provider, Siam Cement Group (SCG), and fintech firm Digital Ventures Company Limited were selected by BOT to pilot test the payment prototype system.In June, BOT announced plans to develop a prototype to test real-life business use cases of its CBDC. The prototype builds on the knowledge gained Project Inthanon, a collaborative project between BOT and eight financial institutions.Next, the BOT will begin using the digital currency for transactions with the Hong Kong Monetary Authority starting in September.Arromdee explains that BOT is also thinking about “expanding use of the cryptocurrency to the general public.”She cautions, however, that any further action can only be pursued after completion of a comprehensive study currently underway. The study seeks to assess the potential impact of digital currencies on the financial system.Arromdee suggests that the “cryptocurrency may have a negative impact on commercial banks by removing the need for a middleman in financial transactions.”On the other hand, “it would reduce the cost of financial transactions.”Still, Arromdee expresses optimism as she points to China where “public use of digital currency in the form of tokens had not affected the financial system there.”Meanwhile, the Nation Thailand also quotes Thakorn Piyapan, head of the Krungsri Consumer Group, supporting a public rollout of the BOT digital currency.Piyapan insists the CBDC would “promote mobile banking and e-wallets while reducing the cost of printing and using banknotes.”In 2019, BOT announced the completion of the second phase of Project Inthanon. The findings showed that Distributed Ledger Technology or DLT can help enhance the efficiency of bond trading and repurchasing activities.

By |2020-07-18T08:36:56+00:00July 18th, 2020|Scoop.it|0 Comments

La Frugalité : vers une réinvention du désir

En novembre 2019, en pleine controverse autour du Black Friday (et alors que de plus en plus d’acteurs se mobilisaient autour du Green Friday, événement citoyen anti-Black Friday), Courrier International titrait : « L’hyperconsommation, c’est la mort ». Assiste-t-on à une forme de retour au cartésianisme dans un monde régi par l’émotion ?Un grand courant émerge donc : la frugalitéUn grand courant émerge donc : la frugalité, qui s’inscrit dans une logique de consommation raisonnée, modérée, et impliquant de facto une forme de renoncement à l’hyperconsommation. Selon l’Insee, la consommation des ménages a ralenti plus fortement que le pouvoir d’achat en 2018. Les consommations de tabac, d’alimentation, de boissons alcoolisées et d’habillement notamment se sont repliées en volume. La déconsommation est en marche.Par ailleurs, de nouvelles pratiques mettent au jour une prise de position forte en faveur d’un mode de consommation et de vie plus durable, et se présentent comme une alternative possible à la destruction de la planète. L’essor du vrac illustre bien cette volonté de consommer au plus juste et d’éviter le gaspillage alimentaire et la production de déchets. Les chiffres sont encore modestes, mais la tendance est là. En 2015, on comptait moins d’une vingtaine d’épiceries spécialisées, en 2018, on en dénombrait 200. Un pas plus loin, la tendance du minimalisme fait de plus en plus d’émules.   Le retour de la raison et de la rationalisation Les minimalistes repensent totalement leur façon de consommer à l’aune de l’état des ressources de la planète et entendent se dégager du superflu. La définition qu’en donne Fumio Sasaki, penseur japonais auteur du livre Goodbye, Things, semble même d’une logique évidente : « Le minimalisme est un style de vie dans lequel vous limitez ce que vous possédez à l’absolu minimum dont vous avez besoin pour vivre ». On assiste donc bien au retour de la raison et de la rationalisation des décisions et actes de consommation. Il ne s’agit pas pour autant de renoncer au désir, constituante fondatrice de nos sociétés et nécessaire à leur perdurance. Mais ce désir devient plus conscient, plus respectueux de soi-même et des autres, dans une logique d’intégration des contraintes et de conciliation.De l’humain dans la consommation En 2014, Navi Radjou, universitaire franco-américain, théorisait une nouvelle approche de l’économie, fondée sur l’innovation frugale, qui ambitionne de « faire mieux avec moins ». Vivre avec moins ne représenterait pas un sacrifice, mais pourrait être source d’innovation et même d’une meilleure qualité de vie. Déjà, en 2010, Pierre Rabhi promouvait le concept de « sobriété heureuse », preuve s’il en faut que consommer moins n’est pas un frein au bonheur. En effet, la frugalité s’affirme comme source de libération physique et morale : consommer moins et surtout posséder moins permettent de s’alléger psychologiquement et matériellement pour se reconnecter avec soi-même et les autres, retrouver l’essentiel. À titre d’exemple, le succès planétaire que rencontre Marie Kondo, essayiste nippone, avec sa méthode de rangement minimaliste, démontre bien cet engouement pour le « moins ». Elle fait même l’objet d’une série de téléréalité sur Netflix. Début 2019, surfant sur l’engouement que suscite la méthode « KonMari », la page Facebook d’Ikea Singapour a créé le buzz avec une parodie faisant référence au grand principe de celle-ci : garder les objets qui apportent une « étincelle de joie » et se débarrasser du reste.La frugalité permet de réintroduire la relation humaine dans l’acte de consommation Don et contre-don, troc, recyclage, économie circulaire ou collaborative et zones de gratuité ne cessent de se développer pour insuffler des pratiques plus vertueuses. Le marché de la seconde main, par exemple, ne fait que croître : en témoigne le succès du Boncoin, qui étend sans discontinuer son champ d’action (après l’immobilier et l’emploi, le site de petites annonces vient de se lancer dans la formation), et de Vinted, qui compte aujourd’hui plus de 1,4 million d’utilisateurs dans l’Hexagone. Autre exemple : les ateliers pour offrir une seconde vie aux objets en les réparant plutôt qu’en achetant du neuf, ou en les transformant, se multiplient. Bien sûr, la motivation financière est primordiale. Mais au-delà, c’est une économie de pair à pair, qui repose sur le partage ou l’échange entre particuliers de biens ou de services et permet de partager non seulement l’usage de ces biens ou services, mais aussi une expérience. La frugalité, au-delà du rejet de l’abondance matérielle, permet donc de redonner de la conscience et du sens au désir et de réinvestir l’humain. Serait-on en train de passer d’une économie consumériste à une économie relationnelle ?

By |2020-07-18T08:20:20+00:00July 18th, 2020|Scoop.it|0 Comments

The B Corp movement is accelerating during the pandemic

To Emmanuel Faber, CEO of food giant Danone, the coronavirus pandemic is a reason to accelerate social and environmental impact goals, not abandon them in the name of his company’s bottom line.On the latest episode of Leadership Next, Fortune’s podcast about the changing role of business leadership, the CEO joins cohosts Alan Murray and Ellen McGirt to talk stakeholder capitalism in today’s tumultuous world.Danone is on the path to become a certified B Corporation by 2025. That means the company will be held to strict standards of “verified social and environmental performance, public transparency, and legal accountability to balance profit and purpose.” Most B Corps are small businesses, but a growing number of larger businesses, with Danone being one of the largest, are interested in achieving the certification, according to Anthea Kelsick, co-CEO of B Lab U.S. and Canada.Faber said that the company believes that committing to these goals will provide Danone a competitive advantage while achieving good in the world. And becoming a certified B Corp creates tangible, measurable targets that must be hit, which keeps businesses accountable for their public commitments.At the 8:30 mark, McGirt cuts in with Kelsick to discuss the B Corp movement, corporate accountability, and infusing business with more anti-racism. Kelsick says that since the Business Roundtable’s statement embracing stakeholder capitalism last fall, there has been a spike in interest at B Lab, the nonprofit that certifies B Corps. And further interest has come from the COVID-19 pandemic and the global reckoning with systemic racism spurred by George Floyd’s killing by police, she said. Business is asking itself what role it plays in society and what value it truly brings.“There is no better tool than B Corp certification to measure and also manage how to deliver that value,” she said. “Being armed with the right tools to put that thinking into practice is so incredibly important right now.”To close the episode, Murray asks Faber for his advice to companies starting out on their journey to B Corp certification or including social and environmental good in the fabric of their business.“I think, first of all, that you have to be conscious of where you started and why is your company existing,” he said. “Your company does not just exist to create profit.”After reconnecting with your company’s purpose, Faber said, it is important to listen to your critics and younger generations. Seeing your business from an outside perspective is key to moving forward on this journey, he added.

By |2020-07-17T12:36:25+00:00July 17th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Andrew Yang Wants You to Get Paid for Your Data. It Doesn’t Add Up | WIRED

LAST MONTH, FORMER presidential hopeful Andrew Yang launched a new initiative called the Data Dividend Project that would force social media companies to compensate users for the use of their data. As Yang told the Verge, “That first day that people get paid their dividend through DDP for All is going to be such a great day.” But the second day, as platform users and advertisers adjust to the new costs, is sure to be a mess.Yang isn’t the only one calling for social media users to share in platform revenues. In 2019, California governor Gavin Newsom also called for creating a digital dividend. “California’s consumers should also be able to share in the wealth that is created from their data,” he said. Two years earlier, in 2017, the Minnesota State Legislature introduced a bill that would force telecom and internet service providers to pay consumers for using their information obtained from the internet. The Senate Banking Committee has also toyed with schemes that would force companies to pay platform users. These efforts are sure to fail for three reasons.First, Yang vastly underestimates the difficulty in valuing data. DDP aims to build off the successes of the Consumer Privacy Act to establish a digital dividend. (The CCPA went into effect July 1 and provides Californians baseline privacy protections.) But the state of California has already made rules around this law. It lists seven possible methods to calculate the value of data as well as a catchall for “any other practical and reliable method of calculation.” Each method yields widely different valuations in practice, one of them would price accounts at $140, another at fractions of a cent. Companies would immediately select into the lowest cost option, defeating the purpose of a dividend payment.Second, it is clear that Yang’s digital dividend, which he says would be “something like $20, $50, or $100,” is far too steep. After subtracting business costs, the average Facebook user only nets about $7 in income. Forcing Facebook to send out checks of $20 each year to its US users would evaporate about a quarter of the global bottom line and rearrange the entire business. Facebook would have to make deep cuts across the company, including the already beleaguered content moderation and customer service teams.Third and most importantly, Yang wants to force Facebook and other firms to become cash payment business models, which would be a death sentence. The idea has been tried countless times with no success. In the late 1990s, the pay-to-surf business model seemed to be the next thing, but AllAdvantage and its peers were rightly swept away after the dotcom crash forced sobriety on everyone’s bottom line. Firms like Handshake and Datacoup have tried the model in recent years, and they too have faltered. While the idea has acolytes, no entrepreneur has made it successfully work.Part of the problem rests in the language of “free” and “value.” While services like Facebook might not involve cash, users freely give up their time to browse the service. Tallying up all of the wage time spent on the platform suggests that US consumers already see nearly $1 trillion in value every year in using the site.Yang wants to shift the value proposition and ensure these companies “will no longer be able to get away with hoarding the gains made off your data.” But consumers have already done that by logging off entirely or spending less time on the site. Since the Cambridge Analytica story broke, roughly 15 million people have left Facebook, and those that have stayed on spend four fewer minutes per day on the site. In other words, consumers have taken back nearly $200 billion of their time.Digital dividends seem clever at first, but become far less appealing when thinking through implementation. Converting the implicit benefit of an online experience into an explicit cash payment is a difficult model to sustain in the real world. In the end, foisting a digital dividend is sure to create spectacular failures of successful companies.

By |2020-07-17T12:34:33+00:00July 17th, 2020|Scoop.it|0 Comments

La Poste devient hébergeur de données de santé certifié

Des Data Centers opérés en propre en FranceDocaposte souligne qu’il opère ses propres Data Centers installés en France. Le périmètre de la certification HDS obtenu par Docaposte concerne les 6 niveaux d’activités qui couvrent l’ensemble de la Tierce Maintenance d’Exploitation (TME) depuis la fourniture de data centers à l’exploitation des applications informatiques.La stratégie de Docaposte est de réconcilier les sphères médicales, familiales et médico-sociales autour du patient. Docaposte a racheté en 2019 Icanopée, éditeur spécialisé dans l’échange de données de santé, Docaposte souhaite accompagner le déploiement du dossier médical partagé (DMP) et son interfaçage avec les dossiers patients dans les établissements de santé. Fin 2019, Docaposte a également été retenu par la Centrale d’Achat de l’Informatique Hospitalière (C.A.I.H.) pour le marché de recueil du consentement des patients dans les hôpitaux publics.Docaposte emploie 6400 personnes réparties sur 70 sites« Nous nous engageons pour le déploiement d’une santé de proximité facilitant la prévention et la prise en charge des patients y compris dans les zones les plus reculées » annonce Docaposte. Docaposte emploie 6 400 personnes réparties sur près de 70 sites en France et à l’international. Cette filiale de La Poste a réalisé 700 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2019, en tenant compte de l’intégration de Softeam Group.

By |2020-07-17T12:25:14+00:00July 17th, 2020|Scoop.it|0 Comments

E.Leclerc fait un point d’étape sur son « panier vocal »

Le service est utilisable sur l’enceinte connectée Google Home ou via l’application Google Assistant qui fonctionne sur smartphone ou sur tablette. Les clients peuvent ajouter des produits grâce à la voix dans leur panier d’achat. E.Leclerc annonce que depuis février dernier, de nombreux clients ont pu tester le « Panier Vocal E.Leclerc ». Le distributeur les a sondés entre le 3 et le 8 juillet 2020.Premier atout retenu par E.Leclerc, l’interface vocale permet de gagner du temps, « à chaque fois que l’on a besoin d’ajouter quelque chose, il suffit de quelques mots pour l’ajouter au panier ». Second point, le dispositif vocal propose des produits pertinents : « le fait qu’il me propose un produit que je prends habituellement, marque et spécificité, est un vrai plus. ». Enfin, le vocal facilite la vie, « j’ajoute un produit quand je cuisine, cela évite de l’oublier » ou « j’ajoute des produits sur ma liste sans chercher mon téléphone portable ou un crayon et un papier ».Accélération du parcours d’achatE.Leclerc considère que « Panier Vocal » simplifie le parcours d’achat et accélère l’acte d’achat, par l’utilisation de la voix. Le distributeur souligne que le service vocal tient compte de l’historique du consommateur afin de lui proposer des produits personnalisés. Par exemple, si un consommateur a l’habitude d’acheter une lessive de marque nationale dans un format précis, c’est ce produit qui est ajouté au panier.Le service vocal effectue aussi des recommandations personnalisées, y compris pour des produits qui ne figurent pas dans l’historique d’achat du client. Un algorithme propose une référence qui correspond à la commande exprimée en définissant les préférences des clients selon leurs habitudes de consommation. En outre, le dispositif ajoute une sélection de 2 à 16 produits lorsqu’il y a plusieurs réponses possibles afin de proposer un produit que le client est susceptible d’acheter et lui faire gagner du temps. Le client choisit au moment de finaliser son panier. Enfin, l’utilisateur peut demander à l’assistant quelles sont les promotions du jour et le dispositif lui proposera les plus pertinentes pour lui.

By |2020-07-17T12:24:49+00:00July 17th, 2020|Scoop.it|0 Comments

How the West Got China’s Social Credit System Wrong | WIRED

But there is no single, all-powerful score assigned to every individual in China, at least not yet. The “official blueprint” Pence referenced is a planning document released by China’s chief administrative body five years ago. It calls for the establishment of a nationwide scheme for tracking the trustworthiness of everyday citizens, corporations, and government officials. The Chinese government and state media say the project is designed to boost public confidence and fight problems like corruption and business fraud. Western critics often see social credit instead as an intrusive surveillance apparatus for punishing dissidents and infringing on people’s privacy.With just over a year to go until the government’s self-imposed deadline for establishing the laws and regulations governing social credit, Chinese legal researchers say the system is far from the cutting-edge, Big Brother apparatus portrayed in the West’s popular imagination. “I really think you would find a much larger percentage of Americans are aware of Chinese social credit than you would find Chinese people are aware of Chinese social credit,” says Jeremy Daum, a senior research fellow at Yale Law School’s Paul Tsai China Center in Beijing. The system as it exists today is more a patchwork of regional pilots and experimental projects, with few indications about what could be implemented at a national scale.That’s not to say that fears about social credit are entirely unfounded. The Chinese government is already using new technologies to control its citizens in frightening ways. The internet is highly censored, and each person’s cell phone number and online activity is assigned a unique ID number tied to their real name. Facial-recognition technology is also increasingly widespread in China, with few restraints on how it can be used to track and surveil citizens. The most troubling abuses are being carried out in the western province of Xinjiang, where human rights groups and journalists say the Chinese government is detaining and surveilling millions of people from the minority Muslim Uyghur population on a nearly unprecedented scale.But Western concerns about what could happen with China’s Social Credit System have in some ways outstripped discussions about what's already really occurring. Critiques are often based on worst-case scenarios far off in the future, and run the risk of minimizing the troubling aspects of the project as it is in place today. The exaggerated portrayals may also help to downplay surveillance efforts in other parts of the world. “Because China is often held up as the extreme of one end of a spectrum, I think that it moves the goalposts for the whole conversation,” says Daum. “So that anything less invasive than our imagined version of social credit seems sort of acceptable, because at least we’re not as bad as China.”

By |2020-07-17T12:23:48+00:00July 17th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Amazon propose des chariots informatisés pour faire ses courses en magasin

Les acheteurs doivent disposer d’un compte Amazon et d’un smartphone pour utiliser un chariot de ce type, un « Dash Cart ». Après être entré dans la boutique, l’utilisateur s’identifie via son QR code, afin de relier son compte Amazon à son chariot. Chaque chariot est équipé de lecteurs et de caméras qui identifient quand un sac est placé à l’intérieur.« Le chariot utilise une combinaison d’algorithmes de vision par ordinateur et de fusion de capteurs pour identifier les articles que vous mettez dans le chariot » indique Amazon. Une balance est intégrée pour peser les produits si nécessaire. « Un écran permet d’accéder à votre liste de courses afin de vérifier les articles et voir votre sous-total » présente Amazon. De plus, chaque chariot est équipé d’un scanner de coupons qui permet d’appliquer des remises.Les chariots sont conçus pour les petites et moyennes courses d’épicerie, où les acheteurs peuvent quitter le magasin avec 1 ou 2 sacs. Au fur et à mesure que les acheteurs ajoutent et retirent des articles, un affichage à l’avant du panier ajuste le prix total. Lorsqu’ils sont prêts à partir, les acheteurs sortent par la voie « Dash Cart » du magasin. Amazon débite la carte bancaire liée au compte Amazon et envoie une copie du reçu par e-mail. Contrairement aux magasins Amazon Go, qui sont orientés vers le snacking, l’épicerie de Woodland Hills, en Californie, ressemble à un supermarché conventionnel dans ses offres et sa disposition.

By |2020-07-17T12:15:51+00:00July 17th, 2020|Scoop.it|0 Comments