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Want a Cut of the $39B Facebook Makes Off Your Data? That’s About $5 a Month

For many years, platforms such as Facebook and Google have tracked user data — from browsing history to email addresses — and deployed that to offer companies targeted advertisements. In 2017, Facebook earned $20.21 per user this way, according to filings with the Securities and Exchange Commission — its 1.94 billion monthly active users at the time would have brought in $39 billion in revenue. But none of that money was shared with users. Then there are the violations of data privacy: In April, Facebook confirmed that it’s likely to incur $3 billion to $5 billion in fines from the Federal Trade Commission, potentially for sharing user data without explicit consent. Now, a host of startups are threatening to challenge that model and force Facebook and Google to adapt — or suffer — with an alternative approach that gives consumers the option to both control their own data and to profit from it. Killi, an app launched by global data company Freckle IoT in 2018 in the U.S. and Canada, lets users decide which pieces of data they want to share with brands in exchange for cash — usually between $3 to $5 per month. Killi is gaining around 10,000 users per month, and it expects to have more than 1 million users by the end of the year, says Freckle IoT founder and CEO Neil Sweeney.Brave, in prerelease phase at the moment, allows users to opt for a Brave Rewards browser version, where their data will be tracked but stored securely on their browsers — rather than with the company. Users can choose to not interact with targeted advertisements, but if they do, they get 70 cents in cryptocurrency on every dollar Brave earns. Those who don’t opt for Brave Rewards get the regular browser, which is ad-free. The prerelease version has already drawn 5.9 million users and 55,000 publishers.YOU, AS A CONSUMER, REALLY HAVE NO IDEA HOW MUCH OF YOUR DATA IS BEING COLLECTED.NEIL SWEENEY, FOUNDER AND CEO, FRECKLE IOT And Wibson, a mobile app launched in Argentina, Spain and the U.K. by data platform Grandata in 2018, is a blockchain-powered marketplace where users can sell their data to companies that know they’re getting far more authentic information directly from users than is possible from the algorithms used by big tech firms at present. Users earn $3 to $5 per month in Wibson tokens, a cryptocurrency that runs on the Ethereum blockchain network. Wibson, which is already working with Spanish telecommunications giant Telefónica, has racked up 10,000 users and has facilitated more than 100,000 transactions so far — without storing any user data.  “We see Wibson as a challenge to the current principles and a way for the people who are generating data — the real data owners — to get some benefit,” says Rodrigo Irarrazaval, marketing manager at Wibson.    To be sure, getting billions of Google or Facebook consumers to suddenly switch to Brave, Killi or Wibson is an uphill battle, says Ashley Nelson, who teaches social media and communications at Tulane University. And for now, the amount users can earn through these apps is small — it’ll buy you a snack every month, no more. That’s because these apps can’t yet offer advertisers the volume of data that firms like Facebook and Google promise.

By |2020-01-09T17:06:29+00:00January 9th, 2020|Scoop.it|0 Comments

#CES2020 : Cybersécurité et « télépathie »

Pour aider les entreprises à lutter contre les cybermenaces, la startup Cyber-Detect a mis au point une technique d’analyse de codes malveillants. La solution permet d’identifier les attaques inédites, ainsi que les virus camouflés échappant aux logiciels de détection couramment utilisés, indique le CNRS. Une approche basée sur la détection de codes malveillants non répertoriés dans les bases de virus connus grâce à une « analyse morphologique » du programme. Celle-ci permet d’identifier ou de reconnaître un comportement caractéristique de logiciel malveillant.La start-up NextMind expose son casque qui décode les ondes cérébrales et traduit l’intention de l’utilisateur à l’écran, lui permettant de « tirer » sur des canards dans un jeu vidéo, sans appuyer sur un bouton, lors de l’avant-première du CES 2020 à Las Vegas, le 5 janvier 2020. Crédits : NextmindLes progrès en neuroscience sont en passe de faire du concept de « télépathie » une réalité. Elon Musk et sa société Neuralink ne sont pas les seuls acteurs à mettre au point de telles solutions. Fondée en 2017 et issue du laboratoire de sciences cognitives et psycholinguistique du CNRS, NextMind est spécialisée dans les neurotechnologies de commande par la pensée et propose un dispositif de décodage de l’activité neuronale. Il s’agit du premier dispositif portable de détection d’ondes cérébrales non invasive permettant de traduire instantanément les signaux cérébraux provenant du cortex visuel de l’utilisateur en commandes numériques. Ils facilitent ainsi l’interaction et le contrôle d’interfaces digitales comme des ordinateurs ou des casques de réalité virtuelle ou de réalité augmentée. En d’autres termes, ce dispositif permettra à son utilisateur de contrôler son smartphone, un objet connecté ou un ordinateur par la pensée. Après la commande vocale, la commande neuronale révolutionnera-t-elle nos usages numériques ?

By |2020-01-09T16:33:40+00:00January 9th, 2020|Scoop.it|0 Comments

CQFR CES 2020 – J4 : Malgré des distributeurs discrets, le retail demeure un sujet clé | HUB Institute – Digital Think Tank

Outre le paiement, la logistique (et en premier lieu la livraison) fait figure de point d’optimisation principal pour les distributeurs : c’est en effet en s’améliorant sur ce sujet qu’ils pourront rivaliser avec Amazon. Connecter, automatiser et optimiser les entrepôts grâce à la data et à l’IA est depuis plusieurs années déjà une préoccupation majeure des (e)-commerçants et des marques. Mais ces innovations concernent la plupart du temps le back-office et restent souvent invisibles du client final.Ce n’est pas le cas de The Box, de la startup française Living Packet. Ce colis connecté et réutilisable surprend par son design, ses fonctionnalités et sa promesse : recyclable, il permet d’éviter les déchets d'emballage et promet une économie de 90% d’émissions de CO2.

By |2020-01-09T16:20:50+00:00January 9th, 2020|Scoop.it|0 Comments

#CES2020 : ce qu’il faut retenir du jour 1

Samsung a dévoilé Ballie, son robot domestique inspiré par R2D2, à peine plus gros qu’une balle de tennis. Présenté comme un compagnon de vie, le dispositif est capable d’assister l’utilisateur partout dans son domicile. Pour ce faire, Ballie est équipée d’une caméra dotée d’un logiciel de reconnaissance visuelle ainsi que d’un micro et peut se connecter, en bon pilote de la maison connectée, à l’ensemble des appareils électroniques du domicile. Ballie étant guidé par une intelligence artificielle, Samsung est néanmoins resté vague sur les caractéristiques techniques du robot. Aucune date de sortie, ni tarif n’ont été communiqués.Autre annonce issue cette fois du STAR Labs (Samsung Technology & Advanced Research) de Samsung : un « humain artificiel » baptisé NEON. Créé à partir d’algorithmes, cet avatar plus vrai que nature pourrait assurer les fonctions de relation client en entreprise mais aussi devenir un compagnon artificiel aux traits humains. Samsung n’écarte pas la possibilité à terme de remplacer des présentateurs TV, des porte-parole ou des acteurs par son dispositif. NEON annonce-t-il la fin des déplacements professionnels ?Pour transformer les espaces de vie à « l’ère de l’expérience », Samsung mise sur son dispositif de réalité augmentée. Grâce à sa technologie GEMS qui comprend une paire de lunettes de réalité augmentée, une montre intelligente Galaxy ainsi qu’un exosquelette connecté. L’ensemble permet par exemple à l’utilisateur de transformer son salon en véritable salle de sport.

By |2020-01-09T16:06:30+00:00January 9th, 2020|Scoop.it|0 Comments

CQFR CES 2020 – J1 : les acteurs “non-tech” bien présents à Vegas | HUB Institute – Digital Think Tank

P&G améliore son système Opte Precision Skincare System, qui avait déjà reçu 4 Best Of Innovation Awards en 2019. Le dispositif permet à l’utilisateur de scanner son visage pour y détecter les traces d’hyperpigmentation et recommander un traitement adapté. Il est désormais 70% moins cher et 30% plus rapide, avec une interface utilisateur et un form factor améliorés. L’Oréal a également présenté son nouveau device destiné à la personnalisation du soin et du maquillage. Perso permet par exemple de recréer les looks de votre influenceur favori, les tester en réalité augmentée avant de la créer. Trois cartouches de couleurs se mélangent alors jusqu’à reconstituer la bonne teinte.

By |2020-01-09T16:04:39+00:00January 9th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Looking for Love? Blockchain to the Rescue

A growing wave of blockchain-based apps are using the distributed ledger to offer services that commit to transparency and safety, even as the broader industry continues to expand. The global dating app industry — with annual revenue of $2 billion and 220 million users globally — is expected to continue to grow by up to 6 percent annually until 2025, making it ideal for innovation. Take Ponder, launched in 2017, which now has 70,000 users. Its blockchain-based service doesn’t just connect people for dates; it also allows others to play matchmaker — and earn from it in cryptocurrency. Every time you are successful in making a match and both the people “like” each other, you earn $10, and if they end up marrying, you can win up to $1,000. Singapore-headquartered Viola.AI uses blockchain to build what it calls a global relationship registry that is transparent, open and accessible to all. The technology creates smart contracts and digital wallets for users that allow Viola.AI to verify their identity, including through visual recognition. Its artificial intelligence engine meanwhile tracks down common interests and backgrounds to find sharper matches than would be possible with standard dating app algorithms. The company had an initial coin offering (ICO) in June 2018. It also has trained relationship experts who offer online advice — for a fee, which you pay in “Violet Tokens” that you purchase from the company.TRUST AND SECURITY COME FROM THE BLOCKCHAIN AS USERS MUST GO THROUGH [WHAT IS EFFECTIVELY] A CIVIC MANAGEMENT PLATFORM.OLIVER DALE, BLOCKCHAIN ANALYSTLike Voila.AI, DateCoin, which had its ICO in May 2018, combines neural networks and AI algorithms with blockchain to promise a more secure and transparent dating experience. These apps are all available on Google Play, Apple’s App Store and a range of Chinese online platforms. And established dating apps are now beginning to acknowledge the potential of blockchain by also turning to the technology. Secretive Hong Kong-based dating app for the ultrarich, Luxy, in 2018 announced that they will accept bitcoin as a mode of payment. The app uses blockchain to verify that those looking to get on the platform are all millionaires. “Many of our clients are in this industry, and accepting [cryptocurrency] is just the first step in integrating this technology with Luxy,” Raffael Krause, head of public relations at Luxy, says of the company’s switch last year. To be sure, it’s early to say just how much these apps will disrupt mega-platforms like Tinder, which gets 1.6 billion swipes a day — that’s more than the population of China. That some of their most sophisticated services need you to pay for them means their audience might stay niche, at least for now. Not everyone — especially men — will be willing to take the trouble of going through extra scrutiny to set up their profiles, experts caution. 

By |2020-01-06T22:12:28+00:00January 6th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Neutrogena offers an easy entry into personalized skincare that doesn’t require anything other than an iPhone with FaceID

For a long time I was very neglectful of my skin. I’d moisturize now and then, but it wasn't until I used a moisturizer for my exact skin type that I realized what I had been missing. It was a revelation; I felt like I could cry. But it can be hard to find the right products to match your skin, as well as intimidating. Well, Neutrogena's new app solves that. The Skin360 app uses the iPhone’s FaceID camera to scan your face and determine which areas need help. Naturally the app recommends Neutrogena’s products, but it offers an easy entry into personalized skincare that doesn’t require anything other than an iPhone with FaceID

By |2020-01-06T22:04:02+00:00January 6th, 2020|Scoop.it|0 Comments

This will help you figure out which of your beloved kitties is having a rough day,

Of all the wild and wacky applications of AI we're seeing at CES, cat facial recognition is one of the most delightful. Designed by UC Berkeley students, the Alexa-enabled Lulupet uses AI to both determine the size, quantity, and consistency of different types of cat excreta and report which cat did the dirty deed (more than 40 percent of all cat owners own more than one cat). This will help you figure out which of your beloved kitties is having a rough day, gastrointestinally. The Lulupet will go on sale on Amazon for $149 in March.

By |2020-01-06T22:00:59+00:00January 6th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Russia Takes a Big Step Toward Internet Isolation | WIRED

Over the holidays, the Russian government said it had completed a multi-day test of a national, internal internet known as RuNet, a bid to show that the country's online infrastructure could survive even if disconnected from the rest of the world. Though Russia claims the initiative relates to cybersecurity, researchers and human rights advocates inside Russia and around the world argue that the test underscores Russia's broader campaign to control and censor access to digital information within its borders.Whether the Kremlin intends to fully cut Russia off from the global internet remains an open question. But through its support of purpose-built Russian services and its tech sector more generally, Russia has indisputably made significant steps toward going it alone. In early December, President Vladimir Putin signed a law that will take effect this summer requiring all computers, smartphones, and smart TVs sold in Russia to come pre-loaded with apps from Russian developers. The government is also investing 2 billion rubles—about $32 million—in a Russian Wikipedia alternative.Those initiatives, together with increasingly isolationist infrastructure, points to a desire for markedly increased control. But analysts say that last week's test may actually reflect a gradual approach rather than a rush to separate.

By |2020-01-06T21:57:13+00:00January 6th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Reconnaissance faciale : pourquoi le projet du gouvernement inquiète

L’article de NextINpact explique qu’au ministère de l’Intérieur et chez les industriels, beaucoup « poussent au développement de cet outil », en soulignant notamment que divers enjeux sécuritaires importants vont arriver. À l’image, par exemple, de cette citation très équivoque d’un chercheur du Creogn (Centre de recherche de la gendarmerie nationale) : « La Coupe du monde de rugby en 2023 et les JO de Paris en 2024 représentent des opportunités remarquables de convaincre la population de l'intérêt de déployer la reconnaissance faciale. »Risques de dérivesUn autre point soulevé par les associations de défense des libertés est lié aux risques de dérives du point de vue de la surveillance, alors que l’efficacité de ces dispositifs reste encore largement discutée. Exemple parmi d’autres, que nous évoquions déjà dans un article sur les données biométriques daté d’octobre 2019 : au Royaume-Uni, une étude réalisée par l’Université d’Essex a montré que le système de reconnaissance faciale londonien (qui a pour ambition de repérer les personnes suspectées de crime dans la foule) présentait un taux d’erreur de 81%. Plus récemment, le National Institute of Standards and Technology (NIST), un groupe d’experts affilié au gouvernement américain, a montré que les algorithmes de reconnaissance faciale identifient par erreur les personnes asiatiques ou noires 100 fois plus souvent en moyenne que les personnes blanches.Pour éviter de telles discriminations, Philippe Latombe insiste sur la nécessité d’ouvrir un grand débat sociétal sur le sujet, qui n’implique pas seulement les experts mais tous les citoyens : « Il faut ouvrir le débat AVANT de mener des phases d’expérimentation comme celles-ci. Si on le fait après, on va courir pour bloquer la technologie. Il vaut mieux définir dès le départ ce à quoi va nous servir une technologie et la construire de façon à ce qu’elle respecte par nature ces obligations. Cédric O part du principe inverse : il pense qu’il faut faire l’expérimentation, voir ce qui se passe techniquement, et seulement ensuite se poser des questions. »Moins critique à l’égard du projet de Cédric O, le député LREM des Yvelines Didier Baichère, par ailleurs vice-président de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques, préconise une expérimentation plus longue, « de deux ou trois ans », mais qui s’accompagnerait d’une loi pour l’encadrer. « Une loi d’expérimentation permettrait d’écrire ce que pourrait être concrètement cette expérimentation, en la bornant dans le temps de manière géographique, en définissant le collège de scientifiques impliqué et la façon de mener la consultation citoyenne effective, nous explique-t-il. Pour résumer, il faut s’inspirer des lois de bioéthique. Ce n’est pas seulement un sujet technologique, il s’agit de savoir quelle est la société que nous voulons pour demain (...) Cédric O pense ce qu’il veut, mais à titre personnel je crois qu’on peut difficilement dissocier l’expérimentation de la consultation citoyenne effective. »

By |2020-01-06T18:59:54+00:00January 6th, 2020|Scoop.it|0 Comments