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Blockchain, crise de la pub, quête de sens : les ingrédients de la mayonnaise WhatRocks

Annonceurs comme éditeurs ont besoin de restaurer l'image de la publicité digitale. Elle s'est insuffisamment auto-régulée aux yeux de la société, ouvrant la porte à la généralisation des ad blockers et au durcissement des lois sur les données personnelles. Restaurer le contrat social de la publicité digitale passe par une solution sociale. Il s'agit de donner une utilité sociale aux investissements publicitaires". Le projet de pub responsable de la Fondation suisse* de Njara Zafimehy a pris vie le 10 septembre dernier, avec un pilote mené par Nestlé et L'Oréal, sous la houlette de Publicis Média. Elise Ducret, la CMO de L'Oréal a choisi pour ce pilote une nouvelle marque.  La Provençale est une marque 100 % bio, packaging compris. WhatRocks permet à L’Oréal de rendre ses investissements publicitaires  encore plus responsables. Le communiqué qui annonce l'opération est intitulé "ad tech for good" (qui rappelle l'autre action phare du groupe Publicis, act for good, de Carrefour), et parle de "performance responsable". La publicité ne doit pas seulement être performante, mais aussi apporter des solutions.

By |2019-09-16T14:39:55+00:00September 16th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Government Hates Crypto Because It Empowers the People, Not Because It’s Used for Crime

MIT is conducting an internal review of the Epstein matter, which could be connected to donations from such influential tech-savvy billionaires as Bill Gates. The school has a history of taking underhanded jabs at disruptive and subversive tech like Bitcoin, and remaining tellingly silent when human rights activists are put on the spit of government persecution, or when ties with brutal, U.S.-supported dictatorial regimes like Saudi Arabia are concerned. In a joint-authored MIT Media Lab-connected piece published to The Atlantic in 2016, the writers state:The [bitcoin] cryptocurrency is a powerful tool for early adopters and middle-class entrepreneurs, but it may not provide the opportunities in the developing world that its advocates claim.That’s fair enough, and at face value a pretty innocuous and possibly substantial claim. But the Bitcoin critical hint-drops continue throughout the piece, suggesting to readers that they “dig into the ways mobile money is embedded in new, networked systems of control and value enclosure, as opposed to being a purely grassroots phenomenon for social inclusion.”Tellingly, the url for the piece includes the word “hype” and the original title, prior to being edited, was “The New Bitcoin Myth.” For anyone that can read between the lines here, The Atlantic piece is an attempted attack on the utility of crypto and its revolutionary potential, coming from a massively government-funded university. According to a 2017 letter from MIT president L. Rafael Reif:Congress will shape the final terms. But because we rely on federal funding for 66% of our campus research support, we must take this “blueprint” seriously, for both what it says and what it signals.

By |2019-09-15T15:04:26+00:00September 15th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Distrust of the Bolivar Prompts Venezuelans to Seek Sound Money

“This situation is caused by high levels of exposure inflation, which causes rapid loss of consumer purchasing power — In the face of this reality Bitcoin Cash emerges as a necessary alternative, at a time when the country opens the doors to the legalization of cryptocurrencies, an option that would allow supporting the wages and economic assets of the citizens of this country,” the report details. Additionally, out of the first 100 people surveyed, 68% did not know of the existence of cryptocurrencies, while 32% felt they did. A staggering 88% of respondents replied that they do not trust the bolivar. “Last year the government printed new cash money — This year nobody can use it or accept it because of inflation and low salaries,” she explained. Sofia also spoke about some pictures she shared of Venezuelans waiting as long as six hours to withdraw 20,000 bolivares cash ($0.94). “The banks have limited the people with restricted amounts by day and they do not have enough printed money to deliver to people, so the lines are huge and people waste a lot of time there,” Sofia, said, adding:They want this money to pay for bus tickets or sell to miners or the mafia — The mafia will pay you 100% value of cash money — Cash money is scarce.In Venezuela, gold dealers from the mines run rampant in congested areas like shopping centers. Sofia said there are a lot of gold dealers and they are “everywhere and they have the control of the authorities and cash money.” After hearing about the gold dealers, news.Bitcoin.com asked the Ryver group community manager why her team thinks most Venezuelans are not getting exposure to digital currencies.

By |2019-09-15T15:03:11+00:00September 15th, 2019|Scoop.it|0 Comments

La loi mobilités cale face au tout-voiture

La France a longtemps été droguée aux nouveaux grands projets (contournements routiers, autoroutes, et surtout TGV). Ce fut parfois un moyen de désenclaver certains territoires, mais cela a surtout entraîné de nouveaux déplacements toujours plus rapides et lointains, au détriment des transports du quotidien domicile-travail. La Cour des comptes dénonce ainsi la priorité donnée au TGV, qui a englouti beaucoup d’argent pour des liaisons où la grande vitesse n’est pas nécessairement pertinente. Bonne nouvelle, la LOM prend le contrepied de cette stratégie : la France va désormais essentiellement rénover l’existant et prioriser « les trajets du quotidien ». Une décision saluée par les acteurs, d’autant qu’il y aura plus d’argent que précédemment (13,4 milliards d’euros entre 2019 et 2023 contre 9,8 entre 2014 et 2018), et qu’il sera surtout fléché vers le ferroviaire (51 %, contre 39 % pour la route, assure le gouvernement). Une vingtaine de nouveaux tronçons routiers seront tout de même construits au nom du désenclavement, comme le contournement de Rouen ou l’autoroute qui relie Toulouse à Castres.Reste « qu’il ne faut pas forcément opposer trajets du quotidien et nouvelles infrastructures. Nous manquons par exemple d’étoiles ferroviaires autour des métropoles. Sans nouvelles infrastructures, il faudra continuer de passer par le centre pour aller de banlieue à banlieue en transports en commun… ou alors continuer de prendre sa voiture », regrette Bruno Gazeau. « Par ailleurs, avoir étendu la compétence mobilité partout sur le territoire est une très bonne chose pour les territoires ruraux. Mais si dans le même temps on supprime les petites lignes de train, ça n’aura aucun sens », poursuit-il. La loi ne prévoit pas de supprimer ces lignes, comme le rapport Spinetta le proposait. Mais dans un contexte où l’exécutif cherche à baisser les dépenses publiques, la tentation de fermer les petites lignes n’a probablement pas totalement disparu.Enfin, les débats ne sont pas encore tranchés sur la façon de financer ces infrastructures. « Il manquait 300 millions d’euros par an pour les financer, et c’est pour ça que la loi a bloqué cet été au Sénat et qu’elle traîne à être adoptée », décrypte un acteur du dossier. Pour trouver ces 300 millions d’euros supplémentaires, le gouvernement a consenti à deux efforts. L’Assemblée nationale a ainsi voté une taxe sur l’aérien (elle rapportera 180 millions d’euros par an), et le gouvernement a annoncé une réduction de deux centimes d’euros par litre de l’avantage fiscal sur le gazole pour les poids lourds (140 millions d’euros par an). Les carburants pour les simples consommateurs ne bougeront pas, contexte gilets jaunes oblige. L’augmentation de la taxe carbone sur les carburants du quotidien est-elle donc enterrée à jamais ? Pour qu’elle soit audible, il faudrait que les recettes de la taxe soient fléchées vers les transports en commun, estiment la plupart des acteurs de la mobilité. Et pas vers le budget général de l’Etat, comme actuellement.

By |2019-09-15T12:51:26+00:00September 15th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Quel RGPD pour l’IA ?

Après des années de stagnation, le marché de l’intelligence artificielle (IA) explose et il ne se passe pas de jours sans que l’on annonce de nouvelles applications. Dans ce domaine, la Chine semble en pole position. Mais, ses avancées,notamment dans la reconnaissance faciale, inquiètent. Avec sa surveillance des réseaux sociaux, c’est un des piliers majeurs de son programme de «crédit social» visant à établir une culture de l’intégrité.A l’opposé d’une telle surveillance, l’Union européenne a institué le Règlement général sur la protection des données personnelles (RGPD) le 25 mai 2018. Des études montrent que cette institution n’est pas toujours comprise par ceux-là mêmes qu’elle veut protéger contre une utilisation abusive de leurs données personnelles. Néanmoins, après un an de mise en œuvre, le bilan n’est pas si négatif. Google a été condamné à verser une amende de 50 millions d’euros du fait de ses infractions à la nouvelle réglementation. Par ailleurs, à ce jour, près de 145.000 plaintes ont été déposées auprès de la CNIL.Dès lors, compte tenu de ces évolutions, la question s’est posée de savoir s’il ne convenait pas d’élargir le domaine de la protection des données personnelles à l’IA et de réglementer l’usage des algorithmes nécessaires à son fonctionnement.C’est dans ce sens que le Parlement européen a adopté une résolution le 12 février dernier et qu’un projet de directive sur «les implications éthiques et humaines de l’intelligence artificielle» est à l’étude. Porté par la nouvelle présidente de la Commission européenne, Ursula von der Luyden, ce projet est en quelque sorte la contrepartie du volontarisme dont veut faire preuve la Commission pour contribuer à l’essor de l’IA dans l’Union européenne. Mais qu’en est-il exactement ? Que veut-on précisément réglementer ? Autrement dit, de quoi a-t-on peur ?Peur de l'IAPersonne ne peut vraiment le nier, mais sous cette question, inévitablement, coule une représentation allégorique de l’IA. Difficile, en effet, d’oublier les images futures qu’en donnent des films comme Matrix avec La Matrice ou comme l’Odyssée de l’espace avec Hal. Rares sont les anticipations comme celle de la trilogie de Robert Sawyer avec Webmind qui en font un allié puissant de l’humanité. La plupart du temps, celle-ci est mise en péril par une intelligence artificielle dont elle a perdu le contrôle.A tel point que pour éviter d’en arriver là, il ne manque pas de responsables prêts à tout, y compris à mettre fin, drastiquement, à toute expérience pouvant conduire à l’émergence d’une singularité, autrement dit, d’une IA, autonome et consciente.Car c’est bien de cela, dont il s’agit. Et c’est pour cela que depuis plus de 30 ans des investisseurs privés et l’Etat américain soutiennent, en toute discrétion, une entreprise comme Cycorp, créée en 1984, par Doug Lenat et dont le siège social se trouve à Austin, au Texas.

By |2019-09-13T20:15:36+00:00September 13th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Exclusif : Afrimarket placée en liquidation judiciaire, les raisons d’un échec, Actu

La plateforme d'e-commerce française qui opère en Afrique de l'Ouest n'a pas résisté à la puissance financière de Jumia. Après huit mois d'audit, les deux fonds en lice pour y investir 20 millions d'euros se sont retirés.Au pays des start-up, l'histoire ne se termine pas toujours bien… Dernier exemple en date avec la demande de mise en liquidation judiciaire effectuée par Afrimarket auprès du tribunal de commerce de Paris. Une décision qui s'est imposée aux fondateurs Rania Belkahia et Jeremy Stoss après que ses nouveaux investisseurs potentiels ne finissent par se retirer du processus de levée de fonds fin juillet dernier.La start-up parisienne qui opère l'une des toutes premières places de marché e-commerce en Afrique de l'Ouest voulait réunir des capitaux frais pour nourrir sa croissance et se donner une chance de résister au géant  Jumia qui a levé près de 200 millions de dollars lors de son introduction au New York Stock Exchange en avril dernier, explique aux Echos Rania Belkahia : « Dans le courant de l'année dernière, nous avons commencé à chercher des investisseurs pour un tour de table de 20 millions d'euros et nous sommes entrés en discussions avec plusieurs fonds. Nous étions en due-dil (process d'audit pré-levée) avec plusieurs acteurs. Deux d'entre eux se sont positionnés dans la dernière ligne droite, mais nous ont lâché au milieu de l'été. Le principe d'une start-up est que si on ne la finance pas, elle s'arrête. »

By |2019-09-13T20:15:07+00:00September 13th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Tesla affiche ses ambitions dans l’assurance

Tesla enclenche la marche avant dans l'assurance.  Le constructeur américain de véhicules électriques propose depuis la semaine dernière sa propre offre d'assurance, Tesla Insurance, pour ses clients en Californie, son plus grand marché. Il agit pour l'heure en tant que courtier, les contrats étant garantis par State National Insurance Company, une filiale de l'assureur de spécialités Markel. Autrement dit, Tesla n'interviendra pas financièrement pour indemniser les assurés.Mais le groupe d'Elon Musk n'a pas l'intention d'en rester là. Il a déclaré  au « Financial Times » qu'il « faisait un pas » pour devenir un assureur à part entière. Ce qui constituerait un mouvement atypique dans le secteur. L'assurance est en effet une activité très réglementée, qui impose aux compagnies de mobiliser beaucoup de fonds propres. Devant cette contrainte, les constructeurs automobiles voulant vendre de l'assurance préfèrent nouer des partenariats avec des assureurs, comme Allianz Automotive, par exemple, qui a déjà des accords avec plus de 40 marques dans le monde entier. « Pas un métier facile »« Ce n'est pas un métier facile. La réussite de constructeurs auto dans l'assurance semble aussi improbable que le succès de compagnies d'assurance dans l'automobile », avait asséné en mai  Warren Buffett, le fondateur du holding Berkshire Hathaway , qui contrôle Geico, l'un des principaux assureurs auto aux Etats-Unis, quand il a été interrogé sur les projets d'Elon Musk.Selon Ben Carey-Evans, analyste du secteur de l'assurance chez GlobalData, l'arrivée de Tesla Insurance représente « une menace pour les grandes compagnies d'assurance puisqu'elles pourraient se retrouver coupées du processus d'achat ».Avec son offre Tesla Insurance, le constructeur fait miroiter aux détenteurs de ses modèles  S, X, 3 et Roadster une baisse de leur prime d'assurance pouvant aller jusqu'à -20 %, voire -30 % « dans certains cas ». Cette promesse repose sur « des tarifs reflétant les mesures actives de sécurité et d'assistance avancée à la conduite, qui deviennent des standards sur tous [nos] nouveaux véhicules, affirme le constructeur. Tesla connaît comme personne d'autre ses véhicules, la technologie, la sécurité et les coûts de réparation ».

By |2019-09-12T22:01:56+00:00September 12th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Switzerland Approves Bitcoin Banks – But With Strict Conditions Attached

The Swiss Financial Market Supervisory Authority (FINMA) has announced on Monday that it has issued banking and securities dealers’ licenses to two “pure-play blockchain service providers” for the first time. The new Swiss crypto banks are SEBA Crypto AG, which is registered in Zug, and Sygnum AG, which is registered in Zurich. With this development they can now offer banking services for institutional and professional crypto clients under supervision by the financial regulator in Switzerland, one of the most advanced markets in the world.SEBA Crypto AG is expected to officially go live in early October 2019 when a previously announced cooperation with the 125 year-old Swiss private bank Julius Baer will enter into force. The startup raised CHF 100 million in a September 2018 funding round and currently employees more than 60 people. The company wants to enable professional individuals and companies as well as institutional clients to invest, safely keep, trade and borrow against traditional and digital assets. In particular, the future offering will include custody storage, trading and liquidity management as well as asset and wealth management. For cryptocurrency companies based in Switzerland, it will provide accounts and custody for fiat and digital assets.Andreas Amschwand, Chairman of the Board of SEBA, commented: “The banking licence of the Swiss Financial Market Authority FINMA is not only a milestone for SEBA, it sets a new standard for banking in the Blockchain and digital asset economy. This moment has significance far beyond the Swiss financial industry.”

By |2019-09-12T22:01:35+00:00September 12th, 2019|Scoop.it|0 Comments

High time: How brands can capitalise on the CBD explosion –

It is fair to say cannabinoid (CBD) is gripping the UK. From beauty masks to coffee, the seven-leafed symbol is popping up more than ever before, spanning sectors and target audiences.The number of CBD consumers shot from 125,000 in 2017 to 250,000 in 2018, according to the Cannabis Trades Association UK. While a separate study by the Centre for Medicinal Cannabis (CMC) estimates there are 1.3 million regular users of CBD in the UK, with 6 million people having tried it in the last year. Furthermore, it predicts the UK market could be worth almost £1bn a year by 2025. In short, business is blazing.CBD is a non-psychoactive found in cannabis. Unlike tetrahydrocannabinol (THC), the other major compound in cannabis, CBD doesn’t get you high and is legal in the UK, provided it has been derived from an industrial hemp strain that is EU-approved and contains less than 0.2% of THC.Despite its many health and wellness benefits, CBD is a substance that still strikes up images of hippies and Howard Marks, though, so how should brands go about marketing it?“We see CBD very much a health and wellness product rather than a 1970s class A drug,” explains Rebekah Hall, founder and CEO of juice business Botanic Lab.

By |2019-09-12T22:01:00+00:00September 12th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Uber installe des bornes à Toronto pour réserver une course

Alors que le succès d’Uber repose sur l’usage mobile de ses services, le VTC a décidé d’installer des bornes à l’aéroport Pearson de Toronto. Depuis quelques jours, il est donc possible de réserver une course sans smartphone. Pratique lorsque l’on ne possède pas d’accès à Internet en arrivant dans un pays étranger. Les bornes s’inspirent des bornes d’arcade, afin « de créer un environnement social qui invite les utilisateurs à s’entraider », explique Anurag Agarwalla, à la tête du département innovation chez Uber. Si les premiers tests sont concluants, le VTC envisage d’installer d’autres bornes dans d’autres localisations.

By |2019-09-12T22:00:41+00:00September 12th, 2019|Scoop.it|0 Comments