Monthly Archives: June 2017

Charmin Van-GO: The First On-Demand Private Restroom

utting the “pee” in VIP, the humorous local marketing activation invited New Yorkers to summon its mobile loo by mobile phone. With an interface similar to Uber’s and other ride-sharing apps, you use your phone to order a personal (and ultra-clean) bathroom to your current location via CharminVanGo.com. In cases of higher demand for the van, you may be asked to meet at another nearby location instead—putting the (ahem!) in UberPool, as it were. The hashtag, by the way: #EnjoytheGo. Janette Yauch, Charmin’s Associate Brand Director, says the firm is “always looking to bring people the best bathroom experience, both at home with our tissue and in new and unexpected ways.” Charmin Van-GO was made available for two days (until June 22) from 8 a.m. to 5 p.m. in the following neighborhoods: Columbus Circle, Bryant Park, Herald Square, Lincoln Center, Rockefeller Plaza, Union Square and the High Line.

By |2017-06-26T14:13:32+00:00June 26th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Le buzz des Etats-Unis : Facebook va se lancer dans la télévision

Le réseau social envisage de produire des émissions et séries de télévision de différents formats. Objectif : pénétrer un marché publicitaire qui pèse plusieurs dizaines de milliards de dollars. Après la vidéo, la télévision. Selon le "Wall Street Journal" , Facebook discuterait actuellement avec des maisons de production à Hollywood afin de pouvoir proposer à ses utilisateurs un ou plusieurs programmes de télévision d'ici à la fin de l'été. Le réseau social aurait commencé à recruter des figures de l'industrie et serait prêt à financer jusqu'à 3 millions de dollars par épisode, soit le haut de la fourchette pour les émissions et séries diffusées sur le câble aux Etats-Unis. Selon le quotidien, Facebook envisagerait de proposer deux types de formats, l'un d'environ 10 minutes, et l'autre de 30 minutes au plus. Sa cible serait principalement la population des Millenials, en particulier la tranche 17-30 ans, avec des programmes dans l'esprit de la série "Pretty little liars", qui raconte l'histoire de cinq jeunes femmes. L'entreprise souhaiterait éviter les programmes pour enfants et jeunes adolescents, ainsi que les émissions politiques ou comportant trop de scènes de nus. Elle envisagerait aussi de reprendre des séries tombées en disgrâce, comme "Loosely Exactly Nicole, une série sur Hollywood diffusée sur MTV et annulée après une saison faut de succès.

By |2017-06-26T07:30:48+00:00June 26th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Les sciences cognitives : ne pas oublier l’éthique svp…

Nous changeons d’époque et les enjeux sont capitaux. Mais cela n’est pas une raison pour l’industrie de la communication d’oublier ses responsabilités vis-à-vis des des personnes, des citoyens et des consommateurs… Que vous soyez un groupe, un réseau ou une agence de communication, un annonceur, un média ou une boîte de tech, si vous n’avez pas dans votre besace un projet autour du comportement humain, vous risquez de reléguer la réputation de votre entreprise en seconde division. Evidemment ce n’est pas encore une fin en soi, mais clairement il faut suivre les nouveaux wagons de l’innovation, comme par exemple, l’IA, le neuromarketing etc... Mais voilà, à vouloir trop en être, on fonce tel un rhinocéros avec une vision trouble de la situation. Et évidemment pour aller vite on a tendance à laisser de côté certains sujets qui lestent le développement et pourraient nuire à la rentabilité d’un projet. L’éthique en fait justement partie. C’est justement le sujet d’une des conférences des Cannes Lions 2017 avec Havas : " l’éthique créative des sciences cognitives ". Ce débat, animé par Jason Jercinovic, Global Head of Marketing Innovation chez Havas, Astrid Boutaud, Procurement Head of Advertising and Digital chez Sanofi et le vénérable Tenzin Priyadarshi, est revenu sur l’influence des sciences cognitives. Et surtout comment cette science va augmenter les dispositions et capacités de l’esprit humain au travers du langage, du raisonnement, de la conscience, de l’émotion et de la perception des choses. Les trois intervenants sont, et c’est une bonne chose, unanimes sur l’éthique qui doit être préservée voire réinventer pour protéger l’individu. Pour Jason Jercinovic : « jamais nous n’avons eu autant accès aux hobbies et aux habitudes du consommateur. Nous devons être sûrs que ces données ne sont pas utilisées à des fins négatives ». On a envie de dire, normal. Mais il est toujours bon dans une industrie qui avance plus vite que la marée du Mont-Saint-Michel de rappeler les bases. Le vénérable Tenzin appuis ces propos en estimant que« la vie privée est devenue un privilège et nous devons toujours avoir le choix. Et pour garder notre liberté, l’éthique ne devrait pas être une réflexion abordée dans un second temps ». Astrid Boutaud assure, quant à elle, que « nous devons être un « marché responsable » et ne jamais perdre de vue que les marques doivent être très « human centric ». Nous avons besoin de règles claires et précises sur les datas opt-in et opt-out. Et de rajouter : "l’intelligence artificielle, par exemple, va révolutionner toutes les industries et plus spécialement celle de la santé. La vigilance est donc de mise ».

By |2017-06-25T15:47:39+00:00June 25th, 2017|Scoop.it|0 Comments

All Aboard Air Koryo, North Korea’s Fleet of Ancient Soviet Planes

NORTH KOREA POSSESSES the technological wherewithal to develop a nuclear bomb, launch devastating cyberattacks, and even hurl rockets toward its enemies. Yet it can't manage to put together an airline that isn't heavily stocked with Cold War-era Russian airliners. That said, the Air Koryo fleet is pretty cool in a retro kind of way, and a passionate band of aviation buffs happily spend their days taking joyrides. “They’re beautiful,” says Arthur Mebius. “These planes still have the original interiors they were delivered with.” Air Koryo started ferrying people between Pyongyang and Moscow in 1950. After the fall of the Soviet Union, sanctions and lack of funds kept the the state-owned airline from buying more than a few new planes. Today its fleet of 15 aircraft includes the Ilyushin 62, Kim Jong Un's personal favorite. The EU banned the airline in 2006 amid safety and maintenance concerns, and flights to Bangok, Kuala Lumpur, and Kuwait City ended last year. But the airline still makes regular flights to China and Russia. Most of the planes date to the 1960s (though a few planes, including a snazzy Tupolev Tu 204-300, entered line up more recently), the service is iffy, and the food sucks. So you can see why some people call Air Koryo "the one-star airline." But Mebius and air travel aficionados liken a flight on Air Koryo to reliving the golden age of air travel. Mebius read about the vintage fleet in 2015 and booked a $1,600 aviation tour through British agency Juche Travel. After flying from Amsterdam to Beijing, he hopped an Air Koryo flight to Pyongyang. He loved it so much he returned two more times. All told, Mebius has made 24 flights aboard 10 different kinds of aircraft, most of which were all but empty. The joyrides cost about $200 apiece, and although the aviation tourists occasionally take in the sights, the flights are the main attraction. Simply taking off felt like a grand affair. The pilot's pre-flight routine included poking the tires to ensure proper inflation. Flight attendants in dated uniforms helped passengers get settled. And then the engines started with a deafening roar. “It’s kind of scary,” Mebius says. “Add that with the noise, the dated design, and this strange communist country, and you have a party.” Once aloft, Mebius roamed the plane with his Fuji X100T. He eventually stopped asking the flight crew if he could take their photo to get more candid shots. “To North Koreans, a good photos is when somebody is looking into a camera, posed and proud and aware of the camera," he says. "Of course, this is not what I wanted." His quiet, sunlit images look like they were shot decades ago, adding to the sense of mystery of a country that already seems like something out of the past.

By |2017-06-25T14:45:22+00:00June 25th, 2017|Scoop.it|0 Comments

MediaSchool rentre dans le capital d’INfluencia

“Je n'enseigne pas, je raconte ”. Cette jolie phrase de l’un des plus grands philosophes français, Michel de Montaigne, exprime parfaitement le lien profond qui existe entre éducation et communication et pourrait tout aussi parfaitement s’appliquer à l’accord que vient de signer INfluencia avec le groupe MediaSchool. « Mieux vaut une tête bien faite qu'une tête bien pleine », disait encore l’auteur des Essais. Faire confiance en l’íntelligence, croire dans la force des médias, prendre du recul dans la course à l’information, lutter contre l’ínfobésité… Tels ont toujours été notre credo et notre combat. Et nous allons plus que jamais les poursuivre, au sein d’un groupe proposant justement aux jeunes et aux moins jeunes des formations en communication, en journalisme, aux métiers du digital ou encore de la production audiovisuelle. Nous avons décidé de rejoindre MediaSchool car nous partageons la même vision, la même envie, la même curiosité, la même croyance en l’innovation et la volonté de se développer à l’international. Nous travaillons déjà sur de nouveaux produits que nous allons lancer en France et dans d’autres pays. Stay tuned…

By |2017-06-25T14:39:08+00:00June 25th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Data Literacy Will Make You Almost Invincible – Shelly Palmer

You Need to Be Data Literate, Not Data Fluent All other things being equal, there is a significant difference between being literate and being fluent. A literate executive will recognize the need for a desired outcome. For example, “We need to understand how these sales numbers are related to these categories.” They might even know that a simple linear regression is the proper mathematical technique to accomplish the task. But most importantly, being data literate would enable this executive to ask the right questions and seek the right assistance to accomplish the goal. Someone fluent in mathematics, statistics or data science would look at the problem quite differently. They would quickly and clearly understand that a simple linear regression was the appropriate technique to accomplish the task, but someone fluent would consider specific methodologies in ways that literate executives might not. For example, “Is the least squares approach sufficient to achieve the desired outcome for this linear regression or will a least absolute deviations approach yield a better outcome?” To put it another way, you don’t need to speak French to recognize that the email you just received is written in French. You just need to be literate to the point where you know that Google Translate is not going to get the job done and you need a highly skilled French translator to help you interpret and respond to the communication.

By |2017-06-25T13:11:26+00:00June 25th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Comment Amazon pulvérise la concurrence

Amazon vient de réaliser avec l'achat de Whole Foods Market la plus grosse acquisition de son histoire. A l'heure des analyses, il est utile de revenir quelques jours en arrière, à Chicago, où se tenait le plus grand Salon mondial dédié à l'e-commerce : Irce. Amazon était omniprésent dans les conversations et a de plus été sacré Internet Retailer of the Year . Son ascension pose beaucoup de questions, Irce a fourni des réponses. Dans sa conférence inaugurale, Amazon a enchaîné les chiffres sur le marché américain : sa croissance contribue pour plus de deux tiers à celle de l'e-commerce et pour 25 % à la progression de l'ensemble du commerce américain. Pour le Top 500 des e-commerçants américains, la croissance annuelle est de 15,5 %. Sans Amazon, elle passe à 11,7 % ! Sa croissance annuelle (24,64 milliards de dollars) dépasse le chiffre d'affaires global en ligne de Walmart (15,92 milliards). Dès 2017, Amazon devrait détrôner Macy's et devenir - selon les analystes de Cowen & Co. - le leader global du textile.

By |2017-06-25T13:09:57+00:00June 25th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Pub en ligne : Les Echos, Lagardère, SoLocal et SFR s’allient

Le Groupe Les Echos (« Les Echos », « Le Parisien »), Lagardère Active (« Europe 1 », « Elle », « Paris-Match », etc.), SoLocal et enfin SFR (avec ses médias comme BFM regroupés dans NextRadioTV) ont décidé de former une alliance dans la publicité en ligne. Baptisée « Gravity », elle sera présentée le 4 juillet. L'idée est de proposer aux annonceurs une alternative à Facebook et Google. En matière de publicité numérique, certains estiment que le premier, qui sait ce que vous cherchez, et le second, qui sait ce que vous aimez, forment un duopole, en particulier en Europe où ils sont paradoxalement encore plus puissants que sur leur marché domestique. Les chiffres montrent en tout cas qu'ils captent une part toujours plus importante (plus des trois quarts) des nouveaux budgets de pub en ligne mondiaux. Or l'union fait la force. En mettant en commun les espaces de leurs régies mais aussi leur connaissance, sous forme de data, de leurs visiteurs ou consommateurs, Les Echos, Lagardère, SoLocal et SFR peuvent faire valoir que leur force de frappe rivalise avec celle des deux Gafa. Par rapport à ces derniers, ils peuvent en outre se prévaloir d'espaces publicitaires protégés, où l'on ne trouvera pas de contenus haineux ou indécents. Au Royaume-Uni en particulier, mais aussi dans d'autres pays, les controverses se multiplient, même si Google et Facebook assurent que les pubs apposées à des contenus problématiques sont rares. Alors que Facebook a dû ces derniers mois corriger plusieurs fois de suite certains chiffres d'audience dont il s'était targué auprès de ses annonceurs, le projet Gravity embarquera un ­partenaire tiers pour garantir la bonne foi des audiences mises en avant auprès des marques - une initiative prise aussi récemment par Facebook.

By |2017-06-25T13:09:50+00:00June 25th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Ces zèbres qui veulent rivaliser avec les licornes

Après la licorne, un nouvel animal tente de se faire une place dans l'écosystème des start-up : le zèbre. C'est ce nom que deux Américaines, Mara Zepeda et Jennifer Brandel, ont décidé de donner à un nouveau mouvement qui rassemble des entrepreneurs du secteur technologique exaspérés par l'obsession des investisseurs pour ces entreprises aux valorisations dépassant le milliard de dollars, mais qui accumulent souvent les pertes. « Contrairement aux licornes, les zèbres ne sont pas des animaux mythiques mais sont bien réels. Ils sont noir et blanc : ils sont rentables et ont en même temps un impact positif sur la société. Ils ne sacrifient pas l'un à l'autre », expliquent les deux entrepreneuses, qui préparent une conférence sur ce thème à San Francisco en octobre. À LIRE AUSSI Sept sociétés françaises parmi les 50 futures licornes européennes Selon elles, un grand nombre d'entreprises avec des business models solides voient leur croissance entravée par la façon dont fonctionnent les fonds de capital-risque. Pour lever de l'argent auprès de leurs « limited partners », ils leur promettent un retour sur investissement d'au minimum 4 fois leur mise initiale sur 10 à 15 ans. Comme il est très difficile de dénicher uniquement des entreprises générant 4 fois la mise, et qu'en réalité « 40 à 50 % des start-up mettent la clef sous la porte », ils cherchent la perle rare capable de dégager un retour « de 15 ou 20 pour compenser », raconte Jeff Clavier, associé chez SoftTechVC. « Avec ces règles, il n'y a pas de place pour des sociétés qui ne cherchent pas à dépasser une valorisation de 500 millions de dollars », s'insurge Tomer Dean, un entrepreneur israélien, dans une récente tribune pour TechCrunch.

By |2017-06-25T13:09:41+00:00June 25th, 2017|Scoop.it|0 Comments