Monthly Archives: July 2017

Innovation. Au revoir la Silicon Valley, bonjour la Silicon Beach !

Atout non négligeable : la vie à Los Angeles est moins chère qu’à San Francisco. “Une jeune start-up devra débourser en moyenne 1 800 dollars (environ 1 597 euros) pour un 20 m² dans le centre de Los Angeles, contre 3 355 dollars (2 976 euros) dans la Silicon Valley”, déclare le quotidien suisse. De plus, à la Silicon Beach, les investisseurs misent gros. Certes, il faut avoir une solide équipe et certaines compétences techniques, mais “si vous avez l’équipe et le projet, trouver de l’argent est extrêmement facile”. Pour Jean-Christophe Bornaghi, “le succès, c’est 50 % la réalisation et 50 % les relations. Il ne s’agit pas de sauter sur la première offre de financement”. Aujourd’hui, le phénomène dépasse la Silicon Beach et s’étend à Beverly Hills, Culver City et Downtown, qui attirent de plus en plus d’entrepreneurs.

By |2017-07-24T13:00:49+00:00July 24th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Alibaba prévoit une hausse de 45-48% du CA

Le géant chinois du commerce en ligne a réalisé sur l'exercice annuel clos fin mars un chiffre d'affaires de 22,99 milliards de dollars (19,75 milliards d'euros). "Sur nos revenus de cette année, nous allons encore dégager une croissance de 45 à 48%, l'argent venant en résolvant les problèmes des autres", a dit Jack Ma à des centaines de cadres supérieurs dans la salle bondée d'un grand hôtel de Nairobi. L'homme d'affaires chinois a dit envisager d'investir au Kenya à l'issue d'une rencontre avec de jeunes entrepreneurs et après avoir salué la qualité des infrastructures en haut débit du pays. "J'ai été surpris par la vitesse de l'internet", a-t-il noté. Il a ajouté, lors d'une autre visite, faite à l'Université de Nairobi, que la vitesse du réseau au Kenya était plus élevée que dans certains pays développés. Jack Ma, accompagné de dizaines d'entrepreneurs chinois, a également loué les initiatives locales en matière de création d'entreprises, tout en promettant de faire plus tard une annonce officielle sur les investissements envisagés au regard des opportunités qu'il y avait observées. "On dit qu'il est très difficile de trouver un autre Jack Ma en Chine mais aujourd'hui, nous avons trouvé beaucoup de Jack Ma en Afrique", a-t-il conclu.

By |2017-07-24T12:58:42+00:00July 24th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Microsoft a plus que doublé son bénéfice au 4e trimestre

Microsoft a annoncé jeudi un bénéfice plus que doublé et meilleur qu'attendu pour le trimestre clos le 30 juin, aidé par un gain fiscal et la forte croissance de son activité dans le cloud. Le groupe américain a fait état d'un bénéfice net de 6,51 milliards de dollars (5,60 milliards d'euros), soit 83 cents par action, pour le quatrième trimestre de son exercice décalé, contre 3,12 milliards de dollars (39 cents/action) un an plus tôt. Hors éléments exceptionnels, le bénéfice par action ressort à 98 cents, dépassant nettement le consensus Thomson Reuters I/B/E/S qui le donnait à 71 cents. Le chiffre d'affaires ajusté a progressé de 9,1% à 24,7 milliards, lui aussi supérieur au consensus qui était de 24,27 milliards. Le chiffre d'affaires de la division de logiciels dématérialisés (cloud), qui comprend la plate-forme Azure et des produits pour serveurs, a augmenté de 11% à 7,43 milliards de dollars. Les analystes attendaient en moyenne 7,32 milliards de dollars, selon la firme d'études FactSet.

By |2017-07-24T12:58:29+00:00July 24th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Impression en 3D d’un cœur en silicone

Des chercheurs suisses sont parvenus à concevoir un cœur en silicone à l'aide d'une imprimante 3D qui, pour l'instant, ne peut battre que durant trente minutes. Le cœur en silicone, imprimé en 3D, ressemble à l'organe humain et pompe le sang de la même manière. C'est un cœur doux qui bat (presque) comme celui d'un être humain. Les chercheurs du laboratoire de l'École polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ ) viennent d'avoir recours à l'impression 3D pour imprimer un cœur 100 % en silicone. Ce prototype comporte deux ventricules, gauche et droit, comme dans un véritable cœur humain. Mais les deux cavités ne sont pas, comme dans la réalité, séparées par une paroi, le septum. Les ingénieurs ont conçu une chambre supplémentaire qui joue le rôle de l'incontournable pompe, nécessaire à la propulsion du sang vers le restant du corps. Pour cela, un dispositif gonflable permet, selon la quantité d'air mise sous pression, de gonfler ou de dégonfler la chambre. 26 millions de personnes à travers le monde souffrent d’insuffisance cardiaque Affichant un poids de 390 grammes et un volume de 679 cm3, des valeurs très proches des dimensions humaines, “il s'agit d' un monobloc en silicone”, explique dans le communiqué de l'EPFZ son développeur, NIcholas Cohrs, étudiant en doctorat qui a travaillé avec Anastasios Petrou.

By |2017-07-24T12:58:13+00:00July 24th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Emmanuel Faber, c’est bon pour la morale

«Serein et concentré.» Voilà l’état d’esprit d’Emmanuel Faber, qui vient de boucler l’acquisition, aux Etats-Unis, de WhiteWave. Cela permet à Danone qu’il dirige de devenir le numéro 1 mondial du bio. En outre, sa filiale américaine est désormais reconnue comme une entreprise à «bénéfice public» : servant l’intérêt général en restant à but lucratif. Pour ce patron de 53 ans, père de trois enfants, venant travailler au siège parisien boulevard Haussmann en jean et chemise blanche, cela veut dire beaucoup. Rien moins qu’une concrétisation du grand rêve d’Antoine Riboud : constituer une entreprise à double finalité économique et sociale. Au printemps dernier, Danone (100 000 salariés dans le monde et 22 milliards d’euros de chiffre d’affaires)s’est donné pour feuille de route de devenir une «B Corp» : une société régie par ses performances économiques, mais aussi sociales et environnementales. Emmanuel Faber s’attache «à concilier l’inconciliable, à repousser sans cesse les limites», souligne Frédéric Dalsace, professeur à HEC, qui faisait du ski de compétition avec lui. «Ce gros bosseur veut changer de quelques degrés la direction du monde.» Une telle visée est assez rare au sein des dirigeants du CAC 40. Mais voilà bien longtemps que ce montagnard originaire de l’Isère fait bande à part. Le militant écologiste Cyril Dion (cofondateur du mouvement Colibris avec Pierre Rabhi), le décrit comme «profond, brillant et ambitieux, très porté vers la recherche spirituelle». Il se souvient qu’au Forum social mondial de Belém, en 2009, Faber avait été vivement pris à parti par les altermondialistes. Mais que le lendemain matin, il lui avait confié les comprendre. Son éditeur chez Albin Michel, Jean Mouttapa, aime cet homme plein de doutes, toujours en état de tension. «Emmanuel Faber sent qu’il peut faire bouger les choses. Il a l’ambition de rendre son entreprise plus écolo et ce, à grande échelle.» Tous s’accordent à le trouver un peu «mystérieux».Surnommé par l’Expansion «le Moine-Soldat», il a pourtant fendu l’armure l’an dernier, lors de la remise des diplômes HEC. Aux élèves médusés, il a raconté ce qui a changé sa vie : le jour où, dans cette école dont il est sorti en 1986, il a appris que son frère était schizophrène et qu’il allait être interné. «J’ai été submergé par l’impact de mes déclarations, avoue-t-il à présent. Les sollicitations sont venues de partout. C’était touchant, et cela m’a permis de faire de belles rencontres.» Il a séduit Riboud dans les années 90 alors qu’il était banquier d’affaires chez Barings. A l’époque, il avait écrit un livre où il rejetait comme une imposture l’idée que des entreprises puissent se proclamer citoyennes alors qu’elles ne recherchaient que le profit. «Voilà un catholique lumineux et original, sûr de lui, intéressant», se souvient son éditeur d’alors. A 33 ans, il était encore en quête de sens, quand Franck Riboud, le fils d’Antoine, l’a appelé pour rejoindre Danone. «C’était un patron iconoclaste dans une entreprise incroyable. Je n’avais pas le droit de ne pas essayer avant de condamner définitivement le modèle», explique-t-il. Très vite, il s’avère que Danone est fait pour lui et inversement. Il se montre un négociateur redoutable doté d’une intelligence hors pair avec toujours deux ou trois coups d’avance. Mais ce dirigeant qui se montre intransigeant en affaires reste un humaniste, à la recherche d’échanges avec des personnalités de tous horizons. Il a le déclic lorsqu’il croise le pionnier du microcrédit, Muhammad Yunus. Ensemble, ils s’emploient à améliorer la nutrition des enfants pauvres du Bangladesh. «Grameen Danone Foods Ltd» ne distribue pas de dividendes à ses actionnaires, la valeur créée est partagée entre tous ses partenaires. Cette microréalisation fait parler. A Paris, Martin Hirsch lui demande d’imaginer des solutions pour faciliter l’alimentation infantile en France. Cela débouche sur un programme avec Blédina. Depuis, ces deux acharnés ne se quittent plus. «Ce qui me stupéfie, c’est le temps qu’Emmanuel Faber passe sur ces causes humanitaires, alors qu’il a la responsabilité d’une entreprise mondiale, souligne Martin Hirsch. Bill Gates, lui, a attendu d’être à la retraite.» L’hommage est appuyé. A la mesure de l’énervement que Faber peut susciter : comment lui et sa multinationale pourraient-ils être irréprochables dans tous les pays (de la Chine à l’Indonésie) et sur tous les dossiers (sociaux, environnementaux) ? Le 22 juin, à Berlin, il a souligné devant ses pairs l’ampleur de la révolution que doivent affronter les géants de l’agroalimentaire. Dans le monde riche, l’heure est au bio, au sain, au local. Le modèle productiviste est remis en cause. Dans les pays en développement, l’alimentation peine à devenir un des droits de l’homme. Payé 2,8 millions d’euros par an, il leur a glissé qu’il y avait des «décisions qui l’empêchent de dormir». Quand on l’interroge là-dessus, il s’irrite un peu : «Pour que ma vision devienne réalité, il faut accepter des compromis. Mais il y a des cas où cela devient des compromissions. Il m’arrive d’être fatigué, découragé. Il y a la peur, les "à quoi bon". Je ne suis pas un surhomme vous savez !»

By |2017-07-24T12:57:53+00:00July 24th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Les start-up sauveront-elles le monde ?

Depuis plusieurs années, la France se bat pour créer un écosystème de start-up puissant. Avec un certain succès, puisque la French Tech a fait émerger de belles pépites, telles que Critéo, Blablacar ou Vente-privée, et que les levées de fonds deviennent de plus en plus importantes. Emmanuel Macron, lui-même, s’est érigé en promoteur de la “start-up nation”, n’hésitant pas à chanter les louanges de l’esprit entrepreneurial et ses vertus libératrices sur nos existences. La réalité est plus nuancée. De taille modeste, les jeunes pousses, quand elles n’échouent pas, finissent souvent dans l’escarcelle de grands groupes, étrangers la plupart du temps. Elles se montrent à première vue incapables de compenser le déclin français ni d’enrayer le chômage. Parfois aussi, la décontraction des dirigeants masque une certaine précarité des salariés. Quelle réalité se cache derrière l’univers mythique des start-up ?

By |2017-07-24T12:57:48+00:00July 24th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Comment Leroy Merlin veut devenir le futur Google de l’habitat

« Venez apprendre chez nous pour réussir chez vous. » Désormais, c’est par cette maxime que le magasin Leroy Merlin de Bordeaux-Lac accueille ses visiteurs. Une devise apposée sur la devanture de l’atelier de bricolage, implanté à deux pas de l’entrée. Chaque jour, des salariés de l’entreprise y enseignent gratuitement aux clients à poser du parquet flottant, du carrelage, ou encore à découvrir les bases de l’électricité lors de sessions d’une heure et demie, par petits groupes de six personnes. Quelques mètres plus loin, le public peut prendre des cours de cuisine ou encore de couture…

By |2017-07-24T12:57:43+00:00July 24th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Ce robot est inspiré d’une chaussette

Si les concepts de robots secouristes ne manquent pas, ils reposent tous, plus ou moins, sur des modes de locomotions assez classiques : roues, pattes voire chenilles ! Celui que viennent de présenter des chercheurs de l'université Stanford (Californie) est beaucoup plus original. Il s'inspire à la fois de la croissance d'une plante grimpante et d'une chaussette sale. Il faut effectivement s'imaginer un tube souple qui s'allonge au fur et à mesure qu'il progresse dans les décombres, pénétrant dans les plus petits interstices, montant le long d'une paroi ou contournant un obstacle. Cet allongement est basé sur un mécanisme appelé “éversion” qui consiste à déployer vers l'extérieur les bords d'un orifice. C'est exactement ce qu'il se passe quand on retourne une chaussette sale, avant de la mettre dans la machine à laver. Dans le cas du robot, ce mouvement d'éversion est produit par pression pneumatique, c'est-à-dire en envoyant de l'air pour que le tube encore replié à l'intérieur se déploie progressivement vers l'extérieur. L'extrémité peut alors être équipée d'une caméra qui permet aux secouristes de s'orienter dans les décombres tout en les inspectant.

By |2017-07-24T12:45:24+00:00July 24th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Quand la météo fait la pluie et le beau temps… pour la publicité mobile

Afin d'aboutir à une telle prédiction, les auteurs se sont basés sur des expériences de terrain, réalisées à partir de deux plate-formes de publicité mobiles pour vendre deux produits digitaux distincts (une vidéo à la demande ou un livre électronique). Ils ont ainsi pu toucher plus de 6 millions d'utilisateurs de smartphone dans 344 villes de Chine. Selon leurs conclusions, les consommateurs répondent favorablement aux publicités mobiles 20% plus souvent et 73% plus vite par beau temps que par temps nuageux. À l'inverse, les jours de pluies feraient chuter le taux de réponse de 10%. INTERRELATION. Mais selon toute logique, les simples différences climatiques à travers ces différentes villes ne pourrait-elle pas expliquer ces variations ? Disons qu'on dégaine moins souvent son téléphone lorsqu'il pleut à verse... La question est ouverte, même si pour ces chercheurs, c'est non : les simples disparités de comportement en fonction de la météo ne sauraient selon eux expliquer la variabilité des performances de la publicité mobile. Ils affirment en effet avoir isolé l'effet de paramètres comme la localisation, la température, l'heure du jour, et même le taux d'humidité de l'air ou le point de rosée (!). Fin publicité dans 84 s

By |2017-07-24T12:44:23+00:00July 24th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Marketing in the age of ‘micromoments’

We are living in an age of ‘micromoments’ – the short but precious times when brands get to interact with the consumer. Our challenge as marketers is to maximise the value of each and every one of them. Micromoments are driven by mobile. Between 50-80% of web traffic or content consumption in our consumer business is now mobile and this has completely changed how we approach key areas of our marketing. At Philips we know that we can only make these moments matter if we understand where consumers are in the journey and ensure that our message is relevant. It’s not enough to just broadcast your message – you need to be targeting your customers at the points that their interest is piqued. That’s because mobile has transformed what we used to think of as a linear consumer decision journey. The ‘old’ journey went like this: you wanted something, you did some research, you read a review and then you bought it. Afterwards you wrote your own review and became a loyal customer.

By |2017-07-23T12:12:09+00:00July 23rd, 2017|Scoop.it|0 Comments