Monthly Archives: July 2017

Musk veut diviser par six le temps de trajet entre New York et Washington

Le milliardaire Elon Musk affirme avoir obtenu « un feu vert oral » du gouvernement américain pour construire un Hyperloop entre New York et Washigton, à l'image de celui précédemment envisagé entre San Francisco et Los Angeles. L'entrepreneur, qui a révélé l'information sur Twitter, n'a pas précisé le nom de la personne ayant accordé cette autorisation. Son intention est de construire un tunnel entre les deux villes, qui desservirait aussi Philadelphie et Baltimore. Une navette à sustentation magnétique empruntant ce tunnel permettrait de relier New York et Washington en 29 minutes. Un exploit, quand on sait que les trains Acela nécessitent presque 3 heures aujourd'hui ! La prudence reste toutefois de mise. Elon Musk est un habitué des effets d'annonce, qu'il s'agisse de ses projets spatiaux (SpaceX) ou du lancement de ses véhicules électriques (Tesla). Il n'a d'ailleurs donné aucune date au projet. Les responsables du réseau de transport new-yorkais sont, quant à eux, « sidérés » par les déclarations du milliardaire, comme le raconte Nathan Bomey, un journaliste de « USA Today ». Compte tenu de la saturation urbaine entre les deux villes, « ce sera plus dur que d'envoyer une fusée sur Mars ! » estime-t-il, en référence à un autre projet phare d'Elon Musk.

By |2017-07-21T16:59:23+00:00July 21st, 2017|Scoop.it|0 Comments

Un robot retrouvé dans une fontaine : l’enquête piétine

Lundi 17 juillet, sous les yeux ébahis de plusieurs témoins, le robot de surveillance Knightscope K5 est retrouvé sur les lieux du crime. Dans la fontaine d'un centre commercial de Washington, l'appareil créé pour surveiller les centres commerciaux gît à moitié englouti. Sa mission est terminée. Sur Twitter, l'évènement ne passe pas inaperçu. Un internaute compatissant écrit : « Aucun problème robot. C'est un job stressant, on est tous passés par là ». K5 aurait-il fait un burn-out ? De quel mal souffrait-il pour aller jusqu'à mettre fin à ses jours ?

By |2017-07-21T15:38:34+00:00July 21st, 2017|Scoop.it|0 Comments

Quatre graphiques pour espérer que la bulle internet ne soit pas de retour

Bulle? Techmania ? Changement majeur de l'économie mondiale? Près de deux décennies après l'éclatement de la bulle Internet, les valeurs technologiques ont retrouvé le chemin des sommets. Le S&P500 Information Technology a ainsi battu son record historique à 992,29 points mercredi. Des signes d'une crise à venir? Pas sûr... En 17 ans, l'économie a changé et la Bourse aussi. Voici quelques graphiques pour remettre en perspective ces records. En 2000, la valorisation des entreprises tech n'avait rien à voir avec les bénéfices qu'elles dégageaient : c'est très nettement moins le cas aujourd'hui. Grâce à une forte hausse des bénéfices des géants GAFAM (Google, Apple, Facebook , Amazon et Microsoft), le ratio PER a retrouvé des niveaux raisonnables. Ce ratio du cours de Bourse par rapport aux bénéfices progresse depuis 2012 pour flirter avec les 25 fois, mais il est très loin des niveaux de 2000 où il pouvait atteindre plus de 70 fois. L'autre changement majeur concerne les introductions en Bourse (IPO), dont le nombre a diminué. Selon le relevé de Bloomberg, il y en a eu 81 au deuxième trimestre 2000. Aujourd'hui, ce nombre est retombé pour se situer entre 20 et 40 selon les trimestres. De plus, quelques IPO Tech récentes ont échaudé les futures ambitions. Twitter ou même Snap n'ont pas été couronnés d'un franc succès. Passé l'euphorie des premiers jours, le cours n'a cessé de fondre .

By |2017-07-21T08:47:54+00:00July 21st, 2017|Scoop.it|0 Comments

New iPhone 8 Details Confirm Tim Cook’s Expensive Gamble

The iPhone 8 is coming, it’s going to pack in as much cutting edge technology as possible, and I think Apple would rather that most of the iPhone community buy another iPhone. With a new OLED display, curved glass, new physical design, inductive charging, and a still to be confirmed change in biometric recognition, the iPhone 8 is sitting on the bleeding edge of Apple’s ability to innovate. It’s already expected to be late into Apple Stores compared to historical norms, and the price is set to break $1000 for the base model. Apple is not a company known for making dramatic changes to its product line. Rather than an iteration of the regular iPhone line, the iPhone 8 should be seen as a brand new category of iPhone. The iPhone 7S and 7S Plus are the conservative ‘next steps’, with the iPhone 8 representing a new way of thinking (an almost ‘Pro’ way of thinking). That way is not about maximizing volume or delivering an updated package at the same price point for everyone who wants one. The iPhone 8 will be about luxury, about high price, about fashion statements and new technology. Think of the iPhone 8 should be seen as a luxury sports car, rather than a muscle car for the masses.

By |2017-07-21T08:47:46+00:00July 21st, 2017|Scoop.it|0 Comments

Self-Disruption or Self-Destruction — Can Wall Street Tame the Blockchain?

So what’s at stake here? On Wall Street, blockchain could upend how institutions trade with one another. One example: It could shrink the three days that it currently takes to clear a securities transaction into seconds. It could also enable entirely new forms of exchange — think self-enforcing contracts and, yes, digital currency. Indeed, “blockchain will do for transactions what the internet did for information,” IBM CEO Ginni Rometty said at a conference in Geneva in September. Extending Rometty’s analogy, it should be noted that it’s early days for blockchain, with developers still establishing the ground rules for the equivalents of the TCP/IP language protocols that allowed the internet to become the internet. But despite all the anarchistic rumblings that the end is nigh for Wall Street intermediaries, here’s the surprising reality: The three leading consortia vying to establish shared protocols — Hyperledger, R3 and the Ethereum Enterprise Alliance — count among their members old-school titans such as JPMorgan Chase, Wells Fargo, Barclays, Bank of America, Deutsche Bank and HSBC. Admittedly, there are a bunch of quirky-sounding tech startups there too, from Bloq to Infrachain, as well as surprising big brands like BP, Microsoft and Airbus. The fact remains, though, that on Wall Street the blockchain revolution won’t be disruption from the outside, but instead “the most meaningful adoptions have been when the intermediaries are disrupting themselves,” says Javier Paz, a senior analyst at research and advisory firm Aite Group.

By |2017-07-21T08:47:41+00:00July 21st, 2017|Scoop.it|0 Comments

Apple Pay multiplie les partenariats en France

Face à la résistance des banques françaises, Apple Pay a trouvé un autre moyen de gagner du terrain en France : la solution de paiement mobile multiplie les partenariats avec de plus petits acteurs dont la clientèle est très demandeuse de ce type de service innovant. Dix jours après le Crédit Mutuel Arkéa et sa banque en ligne Fortuneo , les jeunes pousses Lydia et N26 ont ainsi annoncé, mardi, qu'elles mettraient Apple Pay à disposition de leurs clients en France d'ici à la fin de l'année. Le nom de la banque portugaise BCP est aussi apparu sur le site Internet hexagonal du portefeuille digital. Pour les start-up, un moyen d'accélérer leur développement Les grands acteurs bancaires se refusent à assumer l'essentiel des coûts marketing liés au déploiement d'Apple Pay, et ce tout en abandonnant au groupe de Cupertino une part importante de leurs revenus liés au paiement par carte. Mais les challengeurs du secteur voient là l'occasion d'accélérer leur développement. « Apple Pay et toutes les solutions innovantes que nous avons vocation à développer doivent nous permettre d'accélérer le recrutement de nouveaux clients », confirme Jérôme Rosselli, directeur de N26 en France. Avec 3.000 nouveaux souscripteurs par semaine, dont près de la moitié sont propriétaires d'un iPhone, la jeune pousse espère atteindre dans l'Hexagone les 100.000 utilisateurs rapidement.

By |2017-07-21T08:42:42+00:00July 21st, 2017|Scoop.it|0 Comments

Du design thinking au design éthique : redonner du sens à l’innovation – Mais où va le Web

Maintenant, attaquons-nous à la nouvelle marotte des innovateurs de tous poils qui veulent remettre « l’humain au centre ». Mais au centre de quoi ? Le design thinking, disions-nous, revêt l’habit du designer et se targue d’entrer en empathie avec sa cible. Par ailleurs, il s’agirait d’une méthode dite « collaborative », impliquant à la fois l’extérieur (les clients), et l’intérieur (les collaborateurs de l’entreprise). Cette saine alliance produirait une réaction en chaîne vertueuse pour tous, d’où sans doute l’expression « remettre l’humain au centre » ou « human centric ». Seulement voilà, comme nous venons de l’expliquer, tout dépend de ce qu’on appelle un homme car en réalité, l’homme n’est au centre de rien. Difficile de dire s’il s’agit là d’une réminiscence toute judéo-chrétienne pour qui l’homme pourrait être appréhendé comme un être hors-sol pouvant dominer son environnement et disposer de la nature selon ses besoins, car force est de constater que, depuis lors, l’humanité a un peu avancé. Darwin l’avait déjà montré en 1859 : chaque être organisé tend à se déployer et à se multiplier autant qu’il le peut, dans les limites que lui imposent son milieu (depuis 1935, on dit « écosystème » (2)). Spinoza aussi : « l’homme n’est pas un empire dans un empire », en d’autres termes, nous ne sommes pas « à part » mais bien liés à la nature et déterminés par elle. L’homme n’est pas plus au centre de quoi que ce soit que la terre n’est au centre de l’univers. Corolaire : penser l’homme « au centre » est le meilleur moyen de viser à côté de ses besoins réels. Ce que la plupart des innovateurs mettent au centre, c’est un client, et c’est très différent. Dès lors, il convient de saisir que le terme « human centric » exprime une vision de l’Homme parmi d’autres. En l’occurrence, un individu à l’intérieur d’une certaine économie de marché qui considère encore très mal les notions de « milieu », « d’écosystème », etc. Darwin et Spinoza auraient probablement donné un tout autre sens à la formule. Le designer, un manipulateur manipulé ? Que doit-on en conclure ? Que la vision du designer, aussi pure soit-elle, est toujours déterminée par un cadre idéologique, inscrite dans un temps et soumise à des intérêts plus ou moins conscientisés. En témoignent les nombreuses citations de Steve Jobs qui parsèment la littérature propre au design thinking. Oui, Steve Jobs était ce génie du design, oui, ses produits ont fait pâlir d’envie bon nombre d’entre nous. Dans quelle mesure peut-on qualifier sa démarche « human-centric » ? Doit-on faire l’impasse sur les modes de management internes ou chez les prestataires tels que Foxconn dont certains « salariés » se sont suicidés en se jetant par les fenêtres (3) ? Peut-on passer outre les externalités écologiques ahurissantes qui font peser des risques inconsidérés à la planète entière ? Que penser du modèle économique d’iTunes ? Des architectures verrouillées des systèmes d’exploitation propres à la marque ? Quelle est la vision de l’Homme défendue ici ?

By |2017-07-20T13:24:23+00:00July 20th, 2017|Scoop.it|0 Comments

#MyChicAfrica : quand les influenceurs deviennent ambassadeurs de leur continent

Pour mettre en valeur une Afrique trendy et audacieuse, AccorHotels a tenté une campagne social media exclusive, #MyChicAfrica : elle invite les influenceurs africains à devenir ambassadeurs de leur continent. Véritable invitation au voyage au cœur d’une Afrique en pleine effervescence, la campagne " est l’illustration parfaite du Feel Welcome, prôné par le groupe AccorHotels ", explique Souleymane Khol, VP Sales Marketing Distribution & Revenue Management pour l'Afrique et l'océan Indien chez AccorHotels. Lancée en partenariat avec Air France, MyChicAfrica repose sur un principe hospitalier : un influenceur africain invite un autre influenceur de la diaspora à vivre une expérience du voyage sur-mesure dans sa ville de résidence, pour découvrir l’Afrique de la manière la plus inédite qui soit. Débutée en avril dernier à Abidjan, en Côte d'Ivoire, la promenade africaine d'AccorHotels sur Instagram se poursuivra fin 2017 à Dakar. " Nous souhaitons déployer cette opération dans d’autres villes africaines ", confirme Souleymane Khol, pour qui cet acteur majeur de l'hôtellerie en Afrique est complètement crédible pour co-créer du contenu hybride composé d'un tiers Lonely Planet, d'un tiers mag de voyage et d'un tiers mensuel féminin. " Nous sommes depuis quarante ans sur ce continent où nous avons des success stories, donc nous sommes parfaitement légitimes pour parler de voyage en Afrique de façon globale. Nous voulons raconter une histoire qui ne commence pas au check-in, et être un compagnon de voyage plus qu'un acteur de l'hôtellerie. Soyons lucides, l'un des freins de l'Afrique reste son image donc le parti pris du lifestyle, de la mode et du design permet de véhiculer une image positive du continent sans parler d'hôtel ", détaille Souleymane Khol.

By |2017-07-20T11:19:47+00:00July 20th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Le continent africain, nouveau terrain de jeu des enseignes

La montée en puissance d’une classe moyenne et aisée dans les villes aiguise de nombreux appétits en Afrique francophone comme anglophone. Partout des centres commerciaux et des malls s’ouvrent ou sont en projet. État des lieux et perspective. Avec une densité en centres commerciaux de 1,8 m2 à 2,6 m2 pour 1 000 habitants selon les pays (pour un total de 259 centres commerciaux et 6,4 M m2), la part du commerce moderne reste modeste en Afrique de l’Ouest et centrale. Elle est un peu plus élevée en Afrique du Nord (24,4 m2/1 000 habitants). Sur l’ensemble du continent africain, seule l’Afrique du Sud avec ses 134,5 m2 pour 1 000 habitants (soit un total de 23 M m2) est entrée dans l’ère de la distribution moderne et fait figure d’exception. Pour le moment. Car les choses évoluent vite. La montée en puissance d’une classe moyenne et aisée dans les villes aux besoins nouveaux aiguise, en effet, de nombreux appétits. Sagaci Research, société d’études et de market intelligence dédiée au marché africain, a recensé dans son dernier rapport sur les centres commerciaux en Afrique présenté au Siec, (le Salon du Retail et de l’immobilier commercial qui s’est tenu les 21 et 22 juin 2017 à Paris), une trentaine d’ouvertures par an depuis cinq ans pour un total de 460 000 m2, soit une progression de 10 par an. Toujours selon Sagaci Research, plus de 200 centres commerciaux sont en projet d’ici à 2020 (dont 29 en Afrique du Nord, 27 au Nigeria, 20 au Kenya, 13 en Angola). « Le nombre total de mètres carrés en centres commerciaux devrait dépasser 11 millions de mètres carrés d’ici à 2020, soit une progression de + 75 % entre 2016 et 2020 sur le continent africain, sans compter l’Afrique du Sud », constate Julien Garcier, fondateur de Sagaci Research.

By |2017-07-20T11:19:41+00:00July 20th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Le Bénin lance Sèmè City, la cité internationale dédiée à l’innovation et au savoir

SI vous voulez participer au développement de Sèmè City, lieu unique en Afrique de l’Ouest, pour former une nouvelle génération de talents et favoriser l’éclosion d’un nouveau modèle de croissance inclusive et durable fondée sur « l’Innovation Made in Africa », c'est le moment. Les appels d'offre seront bientôt ouverts. « Investir dans la formation et faciliter l’entrepreneuriat constituent deux clés essentielles pour la croissance de l’Afrique, continent le plus jeune au monde ». Claude Borna, aujourd’hui en charge du projet du projet Sèmè City à la Présidence de la République du Bénin, en est persuadée : « Il faut libérer le potentiel des jeunes entrepreneurs pour accélérer la transformation structurelle de l’économie du continent ». Mais si le besoin de formation est considérable, l’offre reste aujourd’hui encore insuffisante (1 établissement d’enseignement supérieur pour 470 738 citoyens) et souvent inadaptée à l’insertion des jeunes dans l’économie locale. « De plus, moins de 1 % du PIB en Afrique va dans la recherche. Sans compter le fait que les sources de financement sont surtout gouvernementales ou en provenance des ONG. Il faut corriger cette situation », souligne cette ancienne entrepreneuse. C’est tout l’objectif de Sèmè City, qui verra le jour en 2018 et qui se propose de construire des ponts entre formation et entrepreneuriat afin de constituer un capital humain de qualité et de parvenir ainsi, d’ici à 2030, à la création de près de 200 000 emplois -dont 1/3 d’auto-emplois- et à l’incubation de 250 start-up. Lancée dans le cadre du « Bénin révélé », programme d’investissement et de développement du gouvernement béninois*, Sèmè City abritera des institutions de formation de haut niveau, des centres de recherche et de développement et des incubateurs. L’appel à projets vise à initier des partenariats de long-terme dans l’éducation, la recherche et l’incubation dans 5 clusters interdisciplinaires : sciences, technologie, ingénierie et mathématiques; arts, design et sciences sociales; agriculture, nutrition et ressources naturelles; management, administration et entrepreneuriat, santé et sciences de la vie. Une liste non exhaustive de projets stratégiques, pour lesquels Sèmè City recherche des partenaires, a déjà été identifiée : en matière de formation (écoles/tourisme et hôtelière, sciences des données, cinéma et création audiovisuelle, design à fort impact social, mode éco-responsable), de recherche (laboratoire de recherche et de contrôle de la qualité des médicaments à base de plantes, laboratoire de recherche de nouveaux médicaments), et d’incubation (centre d’innovation ouverte pour des solutions innovantes en lien avec le concept de ville durable). L’appel à projets, qui démarre le 1er septembre prochain, concerne également des partenaires potentiels intéressés par le développement des infrastructures et services associés à Sèmè City. On connaîtra la liste des lauréats le 31 janvier 2018.

By |2017-07-20T11:19:36+00:00July 20th, 2017|Scoop.it|0 Comments